ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
Bien le bonsoir !
 
Ce dont je voudrais vous entretenir ce soir…. avant que de converser avec vous pour répondre à vos questions… ainsi que vous bavardez sur vos récriminations…. je voulais entretenir donc vos personnes et vos esprits des passions et de leurs attributs.
 
Il n’est point bon pour vous de vous laisser aller à vos passions car vous oubliez l’essentiel de la sagesse.
Il ne faut point que votre vie soit guidée par les passions mais il faut que vous tendiez petit à petit… pas à pas… vers les pensées… la réflexion… qui amèneront à une vision… beaucoup plus juste… des évènements extérieurs et de ce qui se passe à l’intérieur de vous.
 
Je n’ai point dit qu’il ne fallait point vivre des passions… j’ai dit qu’il ne fallait point se laisser entraîner par elles !
 
- Le premier réussit à force d’exaltation à arriver au but qu’il recherche… l’épanouissement de la pensée… la concrétisation de l’homme….
- Le deuxième s’enchaîne… s’aveugle… se place dans une galère où il n’est que l’esclave… non point le maître….
 
Apprenez donc à devenir maître de votre vie… ne vous laissez pas guider !
 
Ne soyez point les esclaves d’une entité supérieure… souriant de vos efforts… de vos larmes et de vos tristesses.
Devenez des maîtres de joie. C’est tout le mal que je vous souhaite.
Cela n’est point difficile à réaliser… il faut simplement que vous le désiriez.
Cela n’est point si difficile pour certain… qui déjà en porte le prénom... et qui pourtant… ne cessent de bouger.
Ces paroles enregistrées… dites d’un ton calme et reposé… peut-être seront importantes pour vous… à la seule condition que vous les ressassiez.
J’espère que vous en ferez bonne mesure et laisse libre cours à votre esprit et à votre imagination pour répondre à vos questions… je vous écoute !
 
(Georges) La dernière fois que vous êtes venu… vous n’étiez pas seul ! Il y avait beaucoup de personnages avec vous…
-         Oui !
 
(Georges) Est-ce qu’on pourrait savoir qui étaient ces personnages ?
-         Vous les avez reconnus.
 
(Georges) Mais non ! Il y a certaines sur lesquels on n’a pas pu mettre de nom.
-         Ah ! en es-tu sûr ?
 
 
 
(Georges) Oui, par exemple celui qui nous a dit qu’il n’était pas un vieillard mais un jeune homme. On ne sait pas qui c’est !
-         Il a déjà pourtant passé un message parmi les supports dont je suis venu et nous l’avions dit … et il y en a déjà plusieurs qui avaient des oreilles attentives pour vous répéter ce que je vais dire… que c’était un et c’est toujours d’ailleurs… un de nos Maîtres… c’est un des sept Sages de la galaxie.
 
(Georges) Il n’a pas de nom ?
-         C’est un des sept Sages.
 
(Georges) Il y avait Mr St Bonnet également ?
-         Si tes souvenirs sont aussi précis que les miens, je pense bien qu’il est passé aussi…
 
(Georges) Erga également !
-         Si tes souvenirs sont aussi précis que les miens…. et si tes cassettes ne se sont point effacées d’ici… et je pense que non… je pense que ce personnage était là également... je pense qu’il y avait aussi un très petit garçonnet de votre entourage et un autre personnage aussi.
Combien de temps vont durer ces questions qui ne sont qu’une énumération ?
 
(Georges) Mais c’est important !
-         A ton avis ! Quand l’enregistrement est fait de ces quelques paroles, je ne considère point cela comme important.
Le jour où je cesserai d’avoir besoin de ces bandes dites magnétiques, nous ressasseront peut-être plusieurs fois la conversation.
 
(Georges) Pourquoi avez-vous tant tardé à venir ?
-         Parce que deux raisons essentielles m’y ont obligé !
Vos propres occupations respectives qui peuvent aller de vos occupations professionnelles à vos occupations de loisirs également… et puis… ne vous en déplaisent… les miennes !
 
Il est bien souvent le fait que nous ne sommes point en concordance.
Je vous attends et vous n’êtes point au rendez-vous… et que dans l’autre sens… vous m’attendez et que je ne puisse point y être.
 
Il s’est fait des fois que nous nous sommes loupés à une petite demi-heure d’intervalle. Mais, lorsque vous êtes dans vos périodes de loisirs… que vous devez vous détendre… et par nécessité… je ne me sens point le courage de venir vous atteindre… même si vous me dites maintenant que vous n’attendiez que cela… car, c’est un réel plaisir que de vous recevoir !
Je suis désolée, ma venue est toujours une rupture de vos soirées.
 
 
 
 
 
(Désiré) une rupture mais un désir aussi peut-être ?
-         Un désir mais une rupture… vois-tu qu’en inversant deux mots, nous pouvons déjà changer toute la portée… la signification d’une phrase.
Non point que je m’ennuie… non point que vous vous ennuyez à m’écouter… mais simplement le fait que vous ne devisez plus et que vous ne partagez plus des conversations… des mots et des idées.
Quoique des fois… vous ne partagiez que des conversations et des mots.
 
(Georges) Vous nous avez annoncé la dernière fois que notre réunion en vacances serait le début d’une guérison que nous attendions tous. Et en fait, nous attendons deux guérisons. Pourquoi ne nous en annoncer qu’une ?
-         Parce que mon jeune ami… si les deux guérisons étaient consécutives et se passaient exactement dans le même temps, j’en aurais annoncé deux !
 
(Georges) Oui ! Ça coule de source !
-         une source pour l’autre !
 
(Georges) Vous nous avez annoncé une fois également que nous allions rencontrer bientôt un personnage du genre « Uri Geller »… on ne l’a pas encore rencontré !
-         Non ! il attend simplement le moment… mais quand je dis… il attend le moment…. il n’est même point au courant lui… de la visite que je vous ai annoncée… vous êtes donc avec un « super journaliste » dans vos rangs en ayant la primeur de ces informations.
Ce que je peux vous dire… c’est simplement le fait que maintenant… votre avenir va s’ouvrir d’une façon beaucoup plus clarifiée sur les projets que vous attendez.
 
Des réalisations vont prendre jour !
Ce dont vous avez eu plus ou moins l’ostentation de croire que je vous annonçais… de fait… va bientôt prendre jour dans vos corps et vous contenter.
Ces visites… je vous les ai annoncées… vous allez bientôt les réaliser et dans l’été… les concrétisations de ces visites se feront.
Il n’y aura point d’autre « scoop » !
 
(Georges) C’est dommage ! Ca fait deux fois que je viens ici…
-         seulement deux fois ?
 
(Georges) Non ! Non ! Lorsque je m’en vais le soir… j’ai l’impression de ne pas être seul dans ma voiture !
-         Ah !
 
 
 
 
 
 
(Georges) Mais en plus… j’ai l’impression de ressentir une présence hostile dans ma voiture. Est-ce que c’est de l’imagination ?
-         Ce n’est point ton imagination sauf l’hostilité… l’hostilité… du moins cette sensation… n’est simplement le fait que de l’inconnu.
 
Le jour où tu te seras familiarisé à m’accepter comme hôte ou comme auto-stoppeur… tu verras qu’il n’y aura point de familiarité… ni d’hostilité… ni même… enfin… je ne serai point le seul à venir à tes côtés… d’une façon invisible et intangible.
 
Je ne suis point hostile… je pourrais l’être.
Non point dans ton véhicule car je suis immatériel… mais… en ce moment… en passant à travers ce corps… je pourrais l’être : oui !
Pourtant… vous le pourriez encore deux fois plus que moi car je suis bien plus vulnérable malgré tous les sentiments contradictoires qui véhiculent en vous.
Je suis deux fois plus vulnérable que vous et vous me prêtez tout de même des réflexions et des sentiments de supériorité… ce que je n’ai point dans mon propre physique…
Vous… seriez-vous par contre… deux fois plus vulnérables que je ne le suis à l’heure actuelle… physiquement parlant !
 
(Denise) Est-ce le fait qu’on ne vous a pas devant nous ?
-         Oui ! et j’utilise un corps non point à 100 % de ses capacités… même lorsque parfois, je l’habite d’une façon un peu plus poussée afin de véhiculer totalement bras et jambes… afin de le propulser à travers la pièces et d’avoir une liberté de mouvements… ce qui, tout de même, créé une dépense d’énergie supplémentaire qui n’apporte point de désavantage mais une fatigue tout de même.
Il est donc plus facile de parler que de bouger cent fois son bras.
Rappelez-vous certains Maîtres qui disaient :
- « il n’y a point d’arme plus terrible que la langue car elle ne se fatigue point et elle touche l’esprit ! ».
 
Si je vous donnais cent coups de poing… je ne toucherais que votre physique mais ça ne serait que momentané…
Faites donc un rapport de toutes ces choses de l’esprit et du physique.
Je vous écoute… n’avais-tu point à réclamer mon jeune ami ?
 
(Georges) Pendant nos vacances, nous n’étions pas seuls…
-         Non !
 
(Georges) Pourtant, personne ne s’est manifesté !
-         Exact ! du moins… ils se sont manifestés mais peut-être ne les as-tu point vus !
 
(Georges) Si ! Justement.
-         Non ! tu les as ressentis
 
(Georges) je les ai ressentis !
-         Merci !
 
(Georges) De toutes façons… on vous a beaucoup sollicité !
-         C’est vrai !
 
(Georges) En fonction de la peur qu’on avait tous les jour sur les pistes
 
(Désiré) … ?
-         Non point ! tu as été le seul maître d’œuvre de tes efforts.
Il faut souffrir pour arriver à la réalisation de son chef d’œuvre.
Tu n’en es point là mon jeune ami… du moins sur les skis !
 
(Désiré) C’est vrai que le premier jour… je serais déjà rentré !
-         Tu vois… comme quoi, de baisser les bras devant ce qui nous paraît toujours de prime abord une impossibilité, serait une bêtise foncière et profonde ! Prends-en leçon car il t’arrivera sur d’autres sujets de réflexion et de vie… d’avoir la même tentation de réaction que tu as déjà eue et que tu auras encore.
 
(Désiré) C’est toujours une lutte perpétuelle de toutes façons.
-         Ce n’est pas une lutte … c’est un apprentissage.
La sagesse ne se vole pas… elle s’acquière.
Le ski sans effort devient ennuyeux.
Arriver à se surpasser soi-même offre toutes les joies de la terre et du corps.
 
(Georges) Il m’arrive de plus en plus de parler tout seul mais je pose souvent des questions et j’ai l’impression d’avoir presque instantanément les réponses à ces questions.
-         Veux-tu une première partie de la réponse qui est presque entière.
 
(Georges) Je n’ai pas compris !
-         veux-tu que je te donne une réponse à la question que tu viens de me poser ?
 
(Georges) Oui !
-         sans y répondre complètement… bien sûr… et tu t’en doutes…
 
(Georges) Comme d’habitude !
-         je ne vois pas pourquoi je changerais puisque tu n’en changes pas… je parle des habitudes. Tu n’as point encore pris conscience de ton unité.
Tu en es toujours… comme il y a quelques mois… à te demander :
« Qui est qui ? »
« Par quoi je suis habité ? »
« Qui me prend comme –squat- ? »
« Qui loue la petite chambre de bonne ? »
« Pourquoi il y a un être à l’intérieur de moi qui n’est pas moi ? »
« Et qui pourtant pense… etc. etc.… ? »
 
 
 
 
Des questions extérieures inclinent… ton esprit… selon tes pensées… est  en propre évolution.
Ces questions… grâce à une unité d’être… de pensée… d’âme… qui te représente… apportent par leur acquis ancestral et par celui que tu vas bientôt obtenir… les réponses… toujours en manquant un petit peu car tu ne les as jamais complètement.
 
Cette unité… La seule sur laquelle tu as réfléchi… tu te tourmentes l’esprit depuis déjà quelques mois…
C’est cette unité là qui te permet d’acquérir et d’aborder la réponse à ces questions…
Si tu retirais toutes les impossibilités de ton esprits… les négations à toutes les confusions… tu irais bien au-delà et tu pourrais déjà me remplacer.
 
(Georges) Mais étant donné que ça tourne toujours autour de la même chose dans la mesure où moi, je me sens bien seul quand je résonne.
-         Dans ton véhicule, le soir, tu sens une présence à tes côtés.
 
(Georges) Oui, mais j’ai peur en plus… (rires) cette présence m’inquiète mais… vous dites « on raisonne, on pose des questions, on a souvent des réponses » mais ces réponses… on les a en nous mais on ne sait pas si on est dans le vrai… c’est ça… pour avancer… il faut avoir une certitude !
-         C’est pour cela qu’il est utile lors de mes visites de poser ces questions pour avoir confirmation.
Je te donne les moyens tout de même de vérifier que ta confiance n’est point mise en doute… toi-même, essaie de jouer avec !
Tu voulais… il y a quelques temps… voir et observer un objet volant venant à ton encontre et faire au-delà de ta pensée une action de rencontre avec les gens habitant un vaisseau…
Une seule présence immatérielle te mettant dans un tel malaise, crois-tu que tu pourrais aller au-delà si ce vaisseau se posait devant ta voiture ?
 
(Georges) Oui !
-         Cela est bien !
 
(Georges) Oui parce que je les verrai… là, je ne vois rien !
-         et tu aurais peur ?
 
(Georges) Oui ! J’aurais peut-être peur mais… ce qui est inquiétant, c’est de sentir quelque chose et de ne pas voir… c’est bien plus… on est plus conscient quand on voit le danger que quand on ne le voit pas… si danger il y a bien sûr !
-         donc, si je te comprends bien… pour reprendre sur une phrase beaucoup plus physique que de pensée…
il est préférable de prendre une gifle que d’y penser !
 
(Georges) Si on voit d’où elle vient : oui !
-         Cela fait certainement moins mal dans un cas comme dans l’autre…
 
Rires…
 
(Désiré) Moi qui conduit beaucoup la nuit… il y a parfois… quand mon regard se lève vers le ciel… il y a toujours un temps d’éclairage des étoiles, beaucoup plus lumineuses. Ca tient à quoi cette chose là ?
-         A un effet optique, mon jeune ami… à un effet optique…
 
(Désiré) Et quand on est plus fatigué… on a tendance à voir beaucoup mieux l’aura
-         Eh bien ! comment te dire…
Un long attachement du regard par l’analyse de l’esprit se fait… l’œil finit par travailler par une simple accoutumance étant donné que tu pousses au-delà des limites que tous les gens se donnent…
L’œil travaille donc pour lui-même sans que ta pensée… ne le lise… ne le contraigne à quoi que ce soit… donc, la perception de l’astral se fait bien plus facilement….
Vous cherchez trop à dominer vos instincts et vos fonctions naturelles… à leur supprimer toute spontanéité comme à votre esprit d’ailleurs.
 
(Denise) Vous nous avez dit que ce départ en vacances serait un prélude à une guérison. Pouvez-vous nous dire quand on se rendra compte que cette guérison est effective ?
-         Lorsqu’elle sera effective !
 
Rires….
 
(Denise) combien de temps ?
-         Les vacances… c’est un prélude : j’ai dit ! et puis donc… re-écoutez la cassette.
 
(Désiré) Féminin ou masculin ? On peut savoir ?
-         Non !
 
(Georges) Il m’arrive encore de penser à la conversation que nous avons eue il y a plusieurs mois. Je n’ai toujours pas trouvé… il y a dix ans environ et autour d’une naissance. Pouvez-vous m’aider ?
-         Peux-tu me confier des tarots ?
 
(Georges) des Tarots ?
-         Peux-tu me confier des tarots ?
 
(Georges) Oui !
-         Peux-tu m’apporter également une boule de cristal ?
 
(Georges) Oui ! Vous les voulez ?
-         Pourquoi ne faites-vous point le travail ?
 
Rires…
 
(Georges) On ne sait pas s’en servir 
-         Moi non plus !
 
(Denise) On ne sait pas !
-         c’est un mensonge.
 
(Denise) Non ! On ne voit rien !
 
(Georges) Ma boule de cristal, je l’ai mise dans mon bureau en objet décoratif.
-         C’est bien ! mais un jour… je peux te dire… et ce n’est pas un éclaircissement… c’est une prédiction…
et ce… dans moins longtemps que tu ne le penses… tu poseras les yeux dessus… ce sera ta première expérience et tu auras une très forte impression car tu sauras que telle chose plutôt que telle situation… consécutive à telle discussion… sera inéluctable.
Deuxième expérience… venant quelques semaines après… sera de percevoir un cliché ultrarapide mais précis que tu verras se réaliser peu de temps après.
 
Essaie de bien repenser et d’analyser tes états d’âme au moment où tu feras tes expériences…
Essaie de bien repenser afin de les analyser…tes préoccupations d’esprit… au moment où ces expériences se feront…
Essaie de repenser et d’analyser quelle est ton attitude physique…
et lorsque tu auras fait cela… essaie donc de les reproduire car… tu feras de multiples expériences… et tu es assez fin observateur.
 
Ce dont tu viens de me demander… je ne te donne point la réponse car il est vrai… tu n’as point fait le rapport encore de ce qui a été dit par rapport à ce que tu as vécu.
 
Je te dis « dans très peu de temps » tu en feras très vite le rapport grâce à la rencontre d’un personnage que tu as connu parfaitement bien dans le passé et tu te rappelleras… d’une façon tout à fait anodine… des souvenirs qui te feront remémorer ce que je t’ai annoncé.
Vois-tu… tu me disais tout à l’heure « vous me parlez que par énigmes ».
Eh bien ! Sache que je ne perds point mon habitude… même lorsque tu me demandes des exploits de Madame Irma.
 
Ces énigmes là… sache qu’elles n’ont point été faites au hasard…
se concrétiseront… mais te reporteront sur des choses bien plus profondes que je t’ai annoncées… et qui te touchent de bien plus près… que tu enfermes au fond de ton cœur… au fond de ton esprit… et que tu n’as point racontées encore… il me semble !
 
Si l’on dit que les femmes ont leur jardin secret… tu en es une jusqu’au bout des ongles…
 
Rires…
 
Pardonne moi ce rapport… mais je le pense très vrai !
 
(Désiré) Faudra quand même écouter la cassette ou la copie.
-         Et la tienne ?
 
(Désiré) Elle est chez moi !
-         Ah ! c’est déjà un gros progrès et un bel effort de ta part !
 
(Désiré) pour l’écouter… c’est déjà un effort aussi !
-         Laisses-en donc juge les oreilles qui l’auront à écouter !
 
(Désiré) bon !
-         Tu as de grosses proportions et propensions à te faire juge de tes propres actions alors que tu demandes aux autres leur avis.
Pourquoi… lorsque tu as donné des jugements définitifs… demandes-tu les avis aux amis qui t’entourent… en sachant pertinemment que tu as déjà donné le point final aux phrases que tu leurs prêtes….
Comment veux-tu qu’ils aillent penser l’inverse…. Ah !
 
(Désiré) Bien sûr ! Mais c’est vrai que moi-même j’ai essayé de l’écouter cinq minutes… ne serait-ce que pour entendre ma voix
-         Elle n’a point été enregistrée pour toi !
 
(Désiré) Non…
-         Tu la feras écouter en faisant ce que tu veux.
 
(Georges) l’Ami viendra bientôt nous voir ?
-         Il viendra bientôt !
 
 
 
 



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