Je suis heureux d’être parmi vous !
Je vous souhaite la bienvenue d’autant que dans votre esprit… je lis l’inverse de cette pensée !
Certains d’entre vous ont perçu la multitude qui était présente autour de cette table. Votre conversation… si elle a agacé certains d’entre vous… à certains moments… nous a beaucoup intéressé.
Elle dénote d’une démarche et d’une marche utile à l’évolution.
Vous vouliez tous… autour de cette table… un notion ou un exercice vous permettant d’aller plus loin pour vous faire évoluer… je vais vous en donner un !
Je vous quitterai… après… pour laisser la place à celui que vous avez l’habitude de recevoir. Cet exercice… le voici… une fois bien appliqué… nous reparlerons ensemble… peut-être avec plus d’égalité que vous ne l’avez dans vos pensées à l’heure actuelle !
Imaginez, désirez, visualisez un ballon doré… gros comme il vous plaira…
Mettez-y vos peurs… vos angoisses passées, présentes… enfermez-les à l’intérieur… jetez-les à l’intérieur… et plus !
Ce ballon… retenu par une ficelle fragile dont vous allez couper… avec un geste définitif ses assises et ses liens…
ce ballon qui s’envolera loin vers le haut… vers une lumière blanche…
ce ballon vous libérera de tout ce qui vous retient… de cette vision « d’alors »… de tout ce qui vous empêche d’aller plus loin :
de ces notions sociales
de ces notions de haine
de ces notions de reproche
de ces notions de peur
En un mot… de ces notions de jugement envers autrui et envers vous-même.
Enfermez tout dans ce ballon… coupez ses assises et laissez-le s’envoler… n’omettez rien ! Surtout n’omettez rien !
Enfermez vos peurs et vos angoisses !
N’oubliez rien ! Je vous en prie… car cet exercice serait vain !
Je vais vous laisser car je sais que ces paroles sont gravées… qu’elles seront écrites et qu’elles seront multipliées. Un exercice que je vous engage à dévoiler autour de vous… l’exercice proprement dit… bien sûr… non point la source qui doit être seulement pour vous compréhensible.
Les noms ne sont point bienvenus. Il faut que seuls… vous sachiez ce que vous voulez faire. Je vous donne cet exercice simple et surtout le seul conseil que voici : « n’oubliez point la lumière ! Ne l’oubliez pas ! N’oubliez pas car seul l’Amour est contenu dans cette dernière ! »
Je vous envoie la Paix ! Qu’elle soit en vous et qu’elle soit entre vous !
Bonsoir ! Vous souhaitiez une entrevue… voilà qui est fait !
Vous souhaitiez un dialogue… me voici !
Un dialogue qui… pour certains sera plus ou moins profond mais… peu importe… car les uns profiterons de la parole des autres.
Les réflexions que vous avez eues entre vous… ce soir… ne sont point tombées dans l’oreille d’un sourd et cela… au travers de moult discussions qui se croisaient autour de cette table… n’ont point été perdues pour tout le monde.
L’expérience a été vécue. Je voudrais vous dire qu’il est parfois intéressant d’être contradictoire comme vous l’avez été… surtout lorsque ce n’est pas ancré profondément au cœur de chacun d’entre vous.
L’esprit doit jouer… l’esprit doit s’envoler… la partie d’échecs… parfois… peut être amusante à partir du moment où il n’y a point de colère à être vaincu… ou davantage pernicieuse
[1] à être vainqueur.
Vous avez des questions inscrites sur un papier… vous en avez donné pour la plupart les réponses… vous en avez d’autres par contre que vous n’avez point écrites… vous n’en avez point débattu car vous ne les avez même pas mises sous la forme du langage et qui vous tiennent à cœur.
J’aimerais que sur ce plan de discussion, nous restions sur la pensée de l’Enseignement et n’en venions pas à des choses matérielles.
Aussi… ne commencerai-je point par vous donner des consignes… des directives… cela vient d’être fait bien mieux et bien plus haut que je ne pourrais point… un jour… le penser… aussi, j’aimerai entamer ce soir… en dehors de toutes idées contradictoires ou de tout verbiage… un dialogue… certains d’entre vous le souhaitaient… d’autres ne l’ont point émis et le souhaitent aussi.
Je vous engage à ne point perdre de temps car je n’ai point toute ma soirée pour moi et vous ne l’avez point pour vous !
(Georges) Qui était là avant ?
- c’était mon ami… c’est le vôtre je crois !
(Georges) Est-ce qu’il a un nom ?
- bien sûr !
(Georges) Vous pouvez nous le donner ?
- Il est imprononçable mais c’est : Celui qui est !
(Georges) Est-ce que vous pouvez nous dire ce qu’est un « déva » ?
- Précise donc ta pensée.
(Georges) J’ai entendu parler de ce mot, il y a très peu de temps.
C’est une personne qui a fait une sorte de conférence et qui a été interpellée par ce qu’elle appelle des dévas.
- C’est une émanation ponctuelle et précise de la conscience individuelle de l’image de cette étincelle du UN !
(Désiré) C’est un cliché visible.
- Effectivement, cela peut être interprété comme cela !
(Georges) Mais c’est une personne qui était interpellée par ces dévas qui sont issus uniquement des arbres et des plantes.
- c’est une image ponctuelle comme je l’ai dit tout à l’heure… une étincelle ponctuelle qui peut être attirée par votre esprit… d’une matière vivante… quelle qu’elle soit… qu’elle soit minérale… végétale… animale ou même… ce que vous appelez le plus haut de l’évolution : l’homme.
Elle a… effectivement… été interpellée comme elle le dit… elle-même.
Cette personne a connu la résurgence
[2] de certaines traditions du passé qui… sur le plan de la nature… parlaient des forêts… de certains elfes
[3]… sylphes
[4] et autres dénominations.
C’est ce qu’elle nomme à l’heure actuelle… dévas.
Peu importe le nom… ce n’est… je vous le dis… que la résurgence… la perception plutôt… de ce qui peut être l’extériorisation d’une conscience qui est en vous et qui fait partie du UN.
(Georges) Elle estime que les arbres émettent certaines ondes. En fait, les arbres sont des êtres vivants.
- c’est vrai !
(Georges) Certaines ondes que cette personne arrive à…
- interpréter.
(Georges) Elle arrive presque à dialoguer avec.
- Oui, parce que cela l’interpelle.
(Georges) Mais la nature est tellement belle qu’il m’arrive d’être amoureux des arbres.
- oui.
(Georges) Et je me sens presque attiré par ce genre.
- parce que tu les sens plus passifs que ceux qui font partie de la nature… quoique ! en dessous de toi… dans l’échelle de l’évolution… mais qui connaissent eux la haine et la violence. L’arbre… pour toi… étant le symbole de la sagesse… c'est-à-dire de l’immobilité.
Sais-tu qu’entre les arbres… il y a des guerres et des violences mais que vous ne percevez point car elles se font sur plusieurs siècles.
Mais des disparitions se font… des morts se créent : un arbre meurt… ce n’est point parce qu’il n’a point été arrosé alors que ses coreligionnaires
[5] qui sont autour de lui… à moins d’un mètre… restent bien vivants et vigoureux. Comment l’expliques-tu ?
Un combat a eu lieu… il y a eu un vainqueur et un vaincu !
(Denise) D’où vient la mort de tous les ormeaux ?
- Une maladie qui… du style de cette nouvelle maladie qui est un fléau et qui créée une hantise en votre race humaine… peut devenir l’extinction de votre race si rien n’est fait sur le plan de la prudence et sur le plan de la recherche.
Les arbres…eux… n’ont point… malheureusement….de laboratoires.
Les hommes n’ont point été assez rapides… n’ont point eu assez de conscience… pour avoir eu l’idée d’aller plus vite qu’un fléau afin de tenter quelque chose pour qu’une race ne perde point l’existence.
Vous savez… dans votre histoire… vous avez eu de ces expériences aussi… où vous… en tant que conscience humaine… amour… avez été beaucoup en retard par rapport aux actions qui étaient faites…
les virus peuvent être de diverses matières… peuvent être sur le plan de la maladie donc proprement virale mais le virus peut être aussi d’esprit… qui étend une main par rapport à l’action… par rapport à de hautes idéologies… quelles qu’elles soient… sans les juger… sans les prénommer.
Vous avez donc toujours sur l’observation de ce que vous avez dans votre vie sociale ou sous les yeux (social comprenant tout ce que peut comprendre votre entourage y compris la nature) : les ormeaux n’ont pas été sauvés par inconscience. L’homme était tourné vers d’autres loisirs ou vers d’autres recherches.
(Denise) Oui, parce qu’en fait, un arbre respire, c’est pour cela qu’on voit une petite vapeur qui en sort.
- oui
(Claudine) Quand on parle de la taille des arbres fruitiers, on se demande… quelquefois, c’est pour fortifier un arbre.
- Oui…
(Claudine) pour que ses fruits soient…
- il faut vous greffer d’autres pensées pour que vous donniez de plus beaux fruits.
(Claudine) Donc, ce n’est pas contre nature, on ne fait pas souffrir l’arbre ?
- Non pas ! Une connaissance… à partir du moment où elle arrive à produire de plus beaux fruits… n’est pas contre nature.
La nature a été créée… vous après… non point pour la dominer mais pour l’aider. Notion essentielle dont vous n’avez pas encore fait la différenciation… pas complètement !
(Guy) Avec tout ce qu’on fait actuellement, avec les produits, on détruit la nature.
- Des erreurs sont commises lorsqu’elles veulent violer… pousser… accélérer….lorsqu’elles veulent commettre l’irréparable à force de trop pousser… à force de trop vouloir… à force de trop abuser… vous n’obtenez plus rien.
La patience, la science et la conscience sont les seules trois voies essentielles qui vous permettront,à force de constance, d’obtenir la libération de votre ego.
(Georges) Bon, justement, c’est la science qui permet de faire ces…
- je n’ai pas parlé de science en parlant de laboratoire
(Denise) la conscience
- d’accord.
(Guy) Actuellement, avec tout ce qu’on fait, on a détruit les oiseaux.
- je suis bien d’accord avec toi... ce sont des erreurs fondamentales et cela ne fait point partie de la « science ». Il y a ce qui sauve et ce qui détruit.
Ce qui détruit… ce n’est point la science… c’est pourtant de cela que s’enorgueillissent à point nommé les hommes… au fur et à mesure où ils ont envie de posséder… de dominer.
La science ne domine pas… elle découvre et elle aide.
A partir du moment où elle sort de ces deux notions fondamentales… pour moi… cela ne s’appelle plus de la science… cela s’appelle de l’inconscience !
(Guy) Quand les humains prendront conscience qu’ils sont en train de détruire la nature et de se détruire eux-mêmes ?
- Il faut une évolution qui peut prendre trois ans ou trois siècles mais… il dépend peut être de chacun d’entre vous de faire évoluer certaines choses… sans avoir la faiblesse de se laisser submerger par des notions de bien être qui favorisent de toutes façons l’inconscience.
Propagez autour de vous… faites bourgeonner en vous cette nature qui fera évoluer la branche vers le divin et qui fera éclore le fruit de la conscience. Faites-le non point forcément d’une voie directe et parfois brutale comme vous avez toujours tendance à la faire… on ne force point les choses !
Pour vous reprendre une certaine image… le paysan qui greffe un arbre…
Il le fait en sachant ce qu’il fait… en choisissant son moment… en choisissant l’endroit et en choisissant le lieu.
Il le fait… et ensuite il attend avec patience… que cela enfin prenne.
Que cette greffe… une fois prise… puisse bourgeonner afin que quelques saisons plus tard… il puisse récolter.
Apprenez donc cette patience de l’homme qui observe la nature et surtout apprenez « au-delà » de la nature que vous aimez… observez… regardez… respirez… je vous demande… essayez de comprendre la nature humaine… de l’aimer… de l’observer et surtout de la respirer.
L’essence même de cette connaissance sera utile pour vous-mêmes car il y a déjà plusieurs années… nous avons dit :
« Celui qui est en face de vous n’est que le miroir ».
Maintenant je vous dis :
« C’est peut être un miroir qui vous fait voir la réalité… votre réalité ! »
Sachez humer les parfums pour en obtenir et saisir : la conscience et la consistance. Servez-vous de cela pour avancer.
(Guy) Je vais vous pousser au bout. Est-ce que les petits groupes comme nous, parce qu’on n’est pas seuls sur Terre, sommes-nous capables de rénover cette chose sur la Terre : la vie des oiseaux, de la nature entièrement ?
- Oui !
(Georges) C’est un sacré boulot !
- Il faut que vous soyez unis ! D’une union indestructible… imputrescible. Il faut que vous passiez tous dans le même sens.
(Guy) Cela, par conséquence, implique une très haute évolution spirituelle.
- Implique un engagement certain dans un sens d’évolution spirituelle ! Commencez donc par ne point juger des niveaux… des états… des possessions… des beautés.
Comprenez donc que seul… ce qui m’intéresse… ce n’est point votre nature… votre situation mais
l’étincelle au-devant[6]… venant de vous… qui commence à briller… et doit s’unir à celle qui est à côté de vous.
Nous sommes autour de cette table !
En élargissant nos coudes… nous pouvons nous toucher… cela ne serait qu’un geste physique momentané qui n’aurait point de conséquence dans l’avenir. Augmentons la petite étincelle au-dedans de nous… lorsqu’elles se toucheront… ce sera indestructible… le travail entamé est déjà effectif car vous êtes actifs à l’heure actuelle.
Ne pensez pas que vous ne servez pas !
Vous avez choisi de servir et votre action n’est point inutile… mais elle deviendra indestructible et irréversible lorsque vous aurez fait la jonction de vos unités intérieures de par la lumière.
C’est vrai… cela nécessite un grand travail… mais je vous rattrape de suite… cela n’est point irréalisable… sinon… il ne vous serait point proposé cette notion de travail.
Sachez… comme il a été dit… que de multiples groupes existent. Il est demandé chez eux des choses bien plus faciles à la multitude… des choses bien plus difficiles à quelques petits groupes.
Vous faites partie de ces petits groupes… mais il ne vous a point été demandé encore de choses difficiles.
Mais il est vrai qu’il faut faire un effort… ce n’est point en restant assis que l’on parcourt la muraille de Chine. L’image n’est point donnée au hasard.
(Georges) Est-ce qu’il est utile d’aller parcourir la muraille de Chine ?
- Non ! cela était une image mon jeune ami
… rires…
(Georges) En fait, ce qu’on essaie de faire les uns et les autres, c’est d’atteindre un but par des voies assez raccourcies.
- C’est de vous rassurer… ce que vous essayez de faire.
(Georges) Oui, de nous rassurer ! On essaie d’obtenir une sorte de sagesse sans pour cela parcourir les mêmes chemins qui sont dictés par les livres que nous lisons et qui demandent des sacrifices importants.
- Les livres ne veulent rien dire. Ils sont simplement les images et les reflets d’une réalité.
Je vous le dit… le seul livre et le seul lien de votre démarche et de votre future voie : c’est votre conscience.
Acceptez seulement de l’écouter au dixième de ce qu’elle vous parle !
(Georges) Oui mais vous disiez que nous posions nos propres barrières ?
- votre mental.
(Georges) Mais c’est la conscience ça aussi !
- Non
(Désiré) C’est notre inconscient
- la conscience te parle mais bien souvent comme tu as l’habitude de le dire : « je la mets dans ma boîte à gants »
(Georges) C’est facile ça !
- c’est vrai… mais comme tu n’as point encore essayé de le faire (rires). tu ne peux donc point juger.
(Georges) Je n’arrive pas à faire la différence entre les Esprits et les extra-terrestres.
- Il y a une notion de plan d’existence différent.
Les extra-terrestres vivent sur d’autres mondes réels… physiques et matériels.
Les esprits vivent sur des mondes qui ont déjà dépassé le plan vibratoire de notre matérialité.
C'est-à-dire… par exemple… l’âme qui se désincarne est déjà un esprit puisqu’il a quitté la matérialité.
Mais le Maître… qui arrive à sublimer la matérialité et qui emmène… comme vous avez pu le lire… son corps de l’autre côté… a déjà dépassé sur le plan vibratoire... le stade de la matérialité.
Il s’est libéré des contraintes comme vous pouvez le faire en l’espace de 24h… il suffit de l’accepter… mais cela pour vous est très dur car c’est une seconde naissance…C’est douloureux l’accouchement !
(Georges) Vous, vous êtes quoi ?
- je suis un composé
(Georges) C'est-à-dire, vous n’êtes pas encore arrivé au niveau de Maître ou c’est moi qui n’aie rien compris.
- « Maître » ne veut rien dire.
Il s’agit de plan d’existence… de prise de conscience.
(Désiré) Est-ce que vous avez pris conscience ?
- Oui ! par certains côtés… mais il n’y a pas eu encore complètement… détachement du plan de la matérialité… car il y a… quand même… une certaine notion de travail à effectuer.
Ce travail… je ne l’ai point réalisé complètement parce que j’ai choisi qu’il soit poussé un peu plus loin. Vous en faites partie mes amis !
(Georges) Autrement dit, nous sommes liés. Vous nous l’avez déjà dit.
- Oui ! parce que vous l’avez demandé.
(Georges) Vous avez intérêt à ce qu’on marche droit !
- Non ! vous avez intérêt… moi… j’ai tout mon temps !
… rires…
Vous savez… il y a déjà plusieurs siècles que je vous attends ainsi que pas mal de vos amis… aussi… quelques uns de plus ou de moins !
(Denise) Qu’est-ce que vous appelez « plans de matérialité » ?
- Ce que tu peux toucher.
Vous… vous avez remarqué pour certains d’entre vous… dont toi qui pose la question… pas mal d’invités qui étaient autour de cette table… qui ne faisaient point partie du plan de matérialité… mais qui étaient quand même observables.
Si tu avais voulu leur toucher la main… tu aurais eu beaucoup de difficultés. Le plan de la matérialité est différent… il s’agit d’une élévation d’un taux vibratoire donc… dans l’espace physique… étant différents.
(Denise) Alors, comment peut-on arriver à annuler ce plan de matérialité pour arriver à toucher la main…
- Supprimez vos peurs et vos angoisses comme il vous a été demandé dans l’exercice qui est conseillé. Remplacez tout cela par de l’Amour et par la Paix. Si vous cessez la peur et que vous remplacez cela par la Paix.
Si vous cessez la critique et que vous remplacez ça par la Paix.
Si vous cessez les jugements et que vous remplacez tout cela par la Paix. Automatiquement… l’Amour naîtra et tu arriveras à la solution que tu espères.
(Denise) c'est-à-dire, que je pourrai voir ces personnages tels qu’ils sont ?
-
Tu pourras vivre sur leur plan mais… en même temps… choisir de rester sur le tien. Non pas d’une façon concomitante
[7] mais de pouvoir… avant d’effectuer un choix définitif… allier ou l’un ou l’autre de ces plans.
Vivre en deux endroits différents… aller sur le leur… participer à une expérience… revenir sur Terre sans que cela pose pour toi de problème matériel. Par contre… ça t’apportera d’immenses avantages.
(Denise) La peur par elle-même… on ne l’a pas puisqu’on les aperçoit
- C’est une barrière « nouée » par des expériences négatives et nulles.
(Guy) A la suite de ce que vous venez de dire, est-ce qu’on a un cycle complet du zodiaque de 24000 ans dans 24 heures ?
- Oui, je l’ai dit tout à l’heure… il suffit d’annuler ses peurs.
(Georges) Oui ! Mais il faut le mériter, il faut avoir un comportement de Saint !
- Non !
(Denise) Mais je ne comprends pas parce qu’on n’a pas peur…
- Vous avez des PEURS et des ANGOISSES… vous ne me dites point le quart de votre pensée et ne me dites point « je n’ai pas ».
Soyez conscients…
Vous avez peur de vous-mêmes… peur de vos expériences passées.
Vous avez peur de ce que vous avez vécu.
Vous avez peur de ce que vous allez vivre.
Vous avez peur de ne pas réussir.
Vous avez peur de réussir même !
(Georges) Autrement dit, il faut se faire violence… quoi !
- Non ! Il faut être calme.
La peur engendre la nervosité… le calme engendre la sagesse.
(Georges) Il est écrit « Le Royaume des Cieux se gagne par la force ».
- Cela est vrai mais par la force de la constance.
Ce que vous n’avez point encore montré.
(Guy) Il est écrit « Le Royaume des Cieux appartient aux innocents » c’est pas pareil.
- Deux notions différentes.
(Désiré) La violence, ça prête à confusion.
La violence c’est la constance dans la continuité.
- Merci mon jeune ami… j’attends maintenant que tu l’aies !
(Désiré) C’est moins évident.
- Réponse à une autre parole qui a été émise quelques heures plus tôt.
Je te disais « maintenant que tu as pris conscience de cet état de fait…
j’espère que tu vas le mettre en application ! »
(Désiré) Oui…
- Tu as dit « oui » cela me suffit !
(Désiré) Je l’ai pensé, oui !
- Bien sûr… cela était plus net dans ta pensée que dans ta parole.
(Désiré) Parce que ça me paraissait très difficile
- Ce qui me satisfait… c’est qu’au bout de quelques secondes vous êtes moins agités.
(Georges) Mais nous avons des questions.
- J’attends que vous les posiez.
(Georges) Doit-on toujours éviter le conflit avec un proche ?
- Bien sûr !
(Georges) Je m’explique.
Quand quelqu’un qu’on aime beaucoup boude[8], fait la tête, nous fait supporter sa mauvaise humeur sans raison apparente.
Après trois tentatives de main tendue, cette personne continue à s’enfermer dans son mutisme.
Doit-on abandonner ou entrer en conflit en provoquant une explication souvent désagréable où l’on se fait du mal ?
Si on abandonne, n’est ce pas un signe de faiblesse et de lâcheté ?
- Première réflexion qui… de toutes façons… est venue à l’esprit de cette personne qui a été à la base de cette écriture (car tu as bien lu).
Il faut d’abord se demander si nous n’avons pas été l’acteur de ce conflit.
On se trouve des fois… lorsque l’on se penche avec un peu de conscience sur l’évènement… bien impliqué quoiqu’on en pense.
Si c’est avec une personne que l’on aime qu’on se retrouve en conflit :
Doit-on lui compter les pas que l’on doit faire au devant d’elle ?
Un, deux, trois… quinze…
Doit-on se sentir frustré parce que la personne… au bout de trois mains tendues comme il est inscrit… n’aie point répondu ?
Lorsque l’on aime… on agit pendant des siècles.
Lorsque l’on aime… on donne sa vie… on ne compte pas… bien entendu !
Doit-on se sentir frustré si la personne ne répond pas ?
je dis « non » car il faut d’abord et avant tout se demander… si le pas ou la main tendue que nous avons fait… a été fait avec sincérité… s’il a été fait avec conscience et vraiment dans un esprit de Paix.
Si oui ! Une main… une action… un pas… a suffit…. Il n’y aura point à compter au-delà… la bouderie étant un facteur extérieur d’un conflit larvé que l’on ne veut point faire sortir.
Le conflit se règle par l’Amour !
Si c’est une personne que l’on aime… il n’y a donc point de conflit !
Vous réécouterez cette réponse et y ferez toutes les extensions voulues qui répondront à vos aspirations. J’ai répondu dans un sens général où chacun pourra y trouver les prolongements qu’il souhaitait.
(Guy) Moi, je voudrais savoir :
Actuellement, on est en train de boucler les 24000 ans du cycle zodiacal, c'est-à-dire : que l’humanité actuelle va entrer dans la spiritualité.
Est-ce qu’on est appelés à évoluer plus ou à replonger ?
- La réponse est contenue dans la question.
Si vous entrez dans une ère de spiritualité… il ne peut en être autrement que d’évoluer… autrement je ne comprendrais plus rien à rien.
(Georges) Je voudrais vous parler justement à ce sujet :
L’Ere précédente, dans laquelle nous sommes encore, a vu l’avènement de Jésus. L’Ere du Verseau, verra-t-elle encore le retour du Christ Roi ?
- Oui ! il y a obligatoirement un retour vers la Source (d’où la notion d’eau).
Le signe dans lequel vous êtes depuis quelques milliers d’années c’est effectivement : « les poissons » qui vit dans un milieu et qui…sans en avoir conscience… va sublimer son état matériel et physique pour aller à la source même de l’Etre… c'est-à-dire… de l’environnement dans lequel il vit.
On surpasse donc l’état matériel pour entrer dans quelque chose de plus fluide qui vous permettra de trouver la notion essentielle de l’UN… de l’Unité… de l’Essence même de ce que peut être Dieu.
C'est-à-dire vers un état plus spirituel.
Les signes du Zodiaque… dans les sens et dans les notions où ils sont placés sur cette roue zodiacale… ne l’ont point été au hasard.
Cherchez donc l’analogie et surtout leur sens spirituel.
(Désiré) Et vers quelle époque va-t-on entrer dans le Verseau ?
- 2021
(Georges) J’ai porté un livre, tout à l’heure, qui parlait d’un prêtre qui a eu une révélation christique à Arès.
- Oui
(Georges) Cet homme est-il sincère ?
- Oui ! Il est sincère mais il a tout de même… dans toute la sincérité qu’on doit lui reconnaître… interprété certaines notions qu’il n’a point comprises.
Vous savez… vous m’entendez parler… vous avez la cassette… si vous écrivez : vous déformez… mais cela ne retirera point la sincérité du message qu’il voulait transmettre.
Sachez… lorsque vous avez des paroles et même les miennes… ne point prendre à la lettre… mais prendre le sens général… l’idée…. l’essence même de l’esprit qui a guidé les paroles.
Là, vous aurez l’essentiel de ce qu’il fallait comprendre et appliquer.
Avez-vous compris ?
(Guy) Oui. Mais alors, dans la sincérité de ce que dit cet homme, les révélations qu’il a eues, il y a une partie des gens qui l’écouteront qui iront dans son sens et une autre partie qui va nier ce qu’il a dit !
- Ceux qui s’attachent à la lettre ne seront que les applicateurs d’une future religion.
Ceux qui ne prendront en compte que l’esprit… ceux-là seront sur la Voie de l’Ouverture et de la Connaissance.
Ne vous attachez point à la lettre… à la matière… aux poids… aux nombres… attachez-vous simplement à ce qui est léger… imperceptible… ce qui vous semble hors d’atteinte et qui pourtant est plus près que votre souffle.
(Guy) Alors, pourquoi le petit groupe que nous sommes n’est pas appelé à avoir des contacts avec ces gens-là ?
- Vous avez un travail à réaliser qui n’a rien à voir avec le leur.
Qui sait si leur travail est en commune mesure avec le travail qui vous est assigné ?
Ce travail vous l’avez commencé individuellement…. Il va falloir… dans quelques temps… le mener d’une façon unitaire… mais chaque chose en son temps... vous avez votre rôle… je ne dis point qu’il est en dessous… qu’il est au dessus… je dis qu’il est essentiel !
(Guy) Oui, mais par rapport à ces groupes qui sont relativement connus, qui ont une expansion disons, auprès des humains, nous on ne fait rien du tout !
- Parce que tu penses que pour avoir un travail utile… il faut être des stars ?... il faut être connu ?… il faut qu’on parle de toi ?
Y a-t-il dans ce que vous pensez… dans ce que vous appelez l’Aggartha… des Maîtres qui agissent dans l’ombre et qui pourtant sont dix fois plus actifs… dix fois plus réels… dix fois plus incisifs… dix fois plus portants que tous les petits groupes dont tu viens de parler.
Je ne veux point vous mettre en rapport avec ces maîtres. Je veux simplement vous élever au stade.
Mais votre réalisation de ce que vous devez faire sur le plan social sera appelé… peut être un jour à être connu… non point comme l’on été ces autres groupes passés, présents et à venir.
Vous ferez parler de vous.
Vous ne savez point encore comment et je ne vous le dirai point.
(Georges) J’espère que ce ne sera pas dans Ici Paris ?
- Mais vous aurez votre rôle à tenir d’ici là… sans faire parler de vous.
Vous en serez les premiers bénéficiaires et parce que cela… bien sûr… ne serait point important… je n’oublierai pas la multitude de votre vaisseau en parlant de…. (coupure de l’enregistrement)
(Guy) On parlait tout à l’heure des Apôtres, que Jésus en avait un « le Bien-Aimé » : St Jean, et qu’il y en avait deux autres. Qui sont-ils ?
- Je puis vous donner les noms mais ils ne vous diraient rien car ce sont des témoins qui étaient… qui sont et qui seront.
Ils sont auprès de vous… un jour… non point matériellement mais… vous ferez leur connaissance.
Ils sont là… je l’ai dit… ce sont les gardiens… surtout ce sont les garants.
(Désiré) On ne parle pas dans la Bible de ces personnages ?
- Non
(Georges) Ce qui est bizarre, c’est que dans l’Evangile selon St Jean, St Jean parle souvent du disciple que Jésus aimait et d’après les traducteurs, on estime que ce disciple était St Jean. Autrement dit St Jean parle de lui-même !
- Non ! il parlait d’un autre qui lui ressemblait énormément. Ils étaient deux… ils étaient un… ils étaient trois.
Ce mystère de la Trinité n’a point fini de vous agacer ?
(Georges) Jésus a dit un jour à Pierre « Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Eglise ». Est-ce que c’était un jeu de mots ?
- C’était un jeu de mots ! mais il parlait essentiellement d’une continuité matérielle de l’Enseignement… les autres en étaient les gardiens et les garants… les veilleurs si vous préférez.
(Désiré) Ce sont les Fils du Père, un peu comme le Christ ?
- Tous l’étaient à ce moment là… puisqu’ils ont été coiffés par l’Esprit Saint mais certains avec des niveaux de conscience… des niveaux de mission différents.
(Désiré) la Trinité, ce n’est pas une partie du Christ ?
- Il faisait une partie d’un Tout. Puisque vous faisiez références tout à l’heure à l’Horloge zodiacale… remarquez quelles peuvent être les concordances.
(Georges) Il est souvent fait état des Noces de Cana. Or les Noces de Cana, moi, je trouve ça relativement simple : Jésus a fait remplir des jarres d’eau pour la changer en vin. Je ne vois pas ce qu’il y a de phénoménal ! Etait-ce simplement une image ?
- ce n’était point une image…. Il a effectivement transformé l’eau en vin.
(Georges) Oui, mai pourquoi tant d’importance ?
(Denise) C’était son mariage !
- Parce que vous avez donné de l’importance au phénomène extérieur du miracle. Ce qui l’était plus… c’était son statut d’invité qui était vraiment très particulier. Il était le centre de la Fête.
(Denise) C’était son mariage
- Oui
(Georges) Oui, mais pourquoi tant d’importance pour ces Noces.
Il y a d’autres événements aussi importants comme la multiplication des pains.
(Désiré) Il était comme le commun des mortels.
- Non point comme le commun des mortels.
Il y a eu « Union » en même temps que la matière… il y a eu union de l’esprit. Le mariage entier… complet… sans demi-mesure avec l’esprit.
L’Amour matériel et spirituel fait UN.
(Georges) Il est dit au commencement de l’Evangile selon St Jean « au commencement était le Verbe et le Verbe était tourné vers Dieu et le Verbe était Dieu ». Qu’est-ce que cela veut dire ? Quel verbe ? Au commencement de quoi ?
- Le Verbe c’est l’émanation de Dieu… du Père.
C’est celui sans lequel rien n’aurait pu Etre.
(Désiré) Le Prince ?
- Le Prince est l’émanation du Verbe !
(Georges) Au commencement : il n’y avait rien !
- Au commencement… il y avait Dieu qui était toute harmonie.
L’extériorisation de cette harmonie fut une vibration.
Cette vibration qui… par sa consistance… émet une couleur… un son… fut appelé le Verbe… simplement parce qu’elle prit consistance sur le plan vibratoire.
Cette vibration engendra automatiquement une matérialité… couleur et son engendrent matière (cette découverte sera faite par vos physiciens dans quelques temps. Ils l’approcheront de la notion du Verbe et finiront par comprendre qu’il est le lien… l’unité… qu’il est le trait d’union qui nous relie à Dieu). Le Verbe étant l’émanation directe de Dieu !
(Désiré) Et est-ce qu’il n’est pas réintégré à Dieu ?
- Non ! Dieu ne réintègre point.
L’Emanation de Dieu (le Verbe) ne peut point s’annuler.
(Claudine) Et si les couleurs y sont, c’est donc à partir du Verbe que tout a été créé ?
- Il est un état vibratoire de l’extériorisation et de l’émanation du Père.
(Guy) Cela correspond aux sept couleurs et aux sept notes de…
- Oui ! pour le plan de la Terre
(Guy) Je pense que les douze Apôtres ont écrit.
- Dix
(Désiré) C’est la symbolique du six.
- Oui ! comme il y a sur le Plan de l’Univers 12 couleurs et 12 sons !
(Désiré) Que sont devenus les deux autres apôtres. Ils ont été occultés.
- Ils ne sont point sur le plan vibratoire de votre matérialité.
Des voiles sont tombés car il fallait que cela soit.
(Guy) Est-ce que 7 se font dans les 12 ou les 12 dans 7 ?
- Les 7 dans les 12 et les 12 dans les 7.
Vous avez dans le blanc une différenciation dans le prisme des 7 couleurs mais qui contiennent celles qui ne sont point visibles.
Elles y sont mais vous ne les percevez point… elles ne font point partie de votre plan mais elles existent et sont concomitantes.
Il n’y a point à rejeter en dehors de la Terre quelques couleurs ou quelques sons pour n’en prendre que quelques uns.
Certains sont visibles et audibles… d’autres ne le sont pas mais ils existent partout. L’Emanation du Père pourrait-elle être retranchée d’un coin du pré dans lequel vous auriez mis vos moutons ?
(Guy) Autrement dit, dans le prisme terrestre actuel il y a 7 couleurs mais sur un plan…
- Le prisme est imparfait.
(Guy) Et sur un plan de 4ème dimension, ça correspond à voir un spectre de 12 unités
- Bien sûr !
(Désiré) Donc, lorsque les gens parlent de symbolisme des chiffres, ils ont tout faux. Par exemple, si je prends le 6, ils ne l’ont pas du tout symbolisé puisqu’ils ne savent pas du tout d’où ça provient.
- Ils finissent petit à petit à pénétrer… avec l’esprit et la réflexion… vers ce que peut être la compréhension de la conscience… mais la Kabbale autant que la mathématique… que l’explication des nombres… sont des façons d’appréhender une vérité. Il y en a beaucoup d’autres !
(Désiré) Schématiques
- Bien sûr !
(Claudine) Vous voyez, tout ça, ça me perd…
- Il faut prendre d’autres voies. Il en existe 36… invente donc la 37ème.
(Guy) Est-ce que le « Prana » fait partie des 12 énergies
- Non ! c’est une extériorisation et une approche de ce qui peut être…
(Georges) Et la kundalini ?
- C’est une énergie essentielle contenue au sein de ta colonne vertébrale en liaison entre la tête et les pieds.
(Georges) Et comment l’atteindre, la faire monter ?
- Fais donc éclore ton esprit… Dieu appelle tout ! Dieu attire tout !
(Georges) Il faut une sagesse extrême…
- Non ! annule donc tes peurs d’hier d’aujourd’hui et de demain.
Remplace par la Paix… tu verras que la sagesse viendra toute seule.
(Georges) Est-ce que la découverte de la Kundalini est importante ?
- Non ! c’est un stage essentiel de ta démarche mais cela viendra en temps voulu… ne cherche point à précipiter les choses… ne cherche point à précipiter les dangers… Il y a danger à tout intervertir !
(Georges) Qu’est-ce qu’il faut faire alors ? Je ne sais pas par où commencer, par où travailler ?
- C'est-à-dire que tu es dans l’état d’un personnage à qui on a donné un jeu de cartes…Nous nous partageons les cartes.
Je m’applique à te donner un jeu essentiellement gagnant.
Tu remélanges les cartes parce que cela te dérange de savoir que tu vas gagner… simplement parce que tu as peur de mal appliquer… alors tu remélanges… tu obtiens un plus mauvais jeu… tu te plains et tu deviens patient en te disant « le hasard, les évènements ou un copain viendront bien m’aider à rétablir ce jeu dont je n’ai pas su profiter »...
Ce jeu… tu l’as toujours en mains… c’est ton esprit qui n’a point voulu le voir !
(Désiré) On revient toujours au même problème de toutes façon !
(Georges) Eh oui ! On est coincé.
- Vous revenez à vous-mêmes. Savez-vous ce que veut dire « à la votre » ?
(Georges) « A votre santé » !
(Guy) « À votre bonheur » !
- A la mienne !
(Georges) Ca signifie quoi ? C’est à nous de réfléchir
- A vous de faire !
(Georges) A nous de faire, d’accord !
(Désiré) On dit alors, même si on essaie de réaliser telle expérience dans tel ou tel sujet, on dit qu’on n’est pas prêt, que ça peut être dangereux.
- Il est bien de parler… il est bien d’écouter… il serait mieux de faire.
Cherchez moins donc d’excuses pour retarder toujours vos actions ou les efforts que vous devez produire.
Vous vous rassurez… vous vous éloignez du but que vous devez atteindre alors qu’il est là… devant vous !
Mais journées après journées… vous êtes de ces enfants de la rue qui mettez le pied sur la boîte de conserve pour la repousser un peu plus loin jusqu’à tant que le bonheur lui amène un de ses amis pour jouer avec.
Vous êtes cet ami… venez donc à votre rencontre et vous vous retrouverez tous… liés… soudés… incommensurablement UN… autour de cette table…et
vous ferez le véritable groupe… d’où le travail UN… essentiel et concomitant avec tous les autres… pourra commencer.
J’ai été bien plus loin… je n’en ai que trop dévoilé… il ne peut pas être compréhensible pour l’instant…ce travail dont je viens de parler.
(Guy) Je voudrais vous demander. Officiellement, on connaît 7 chakras et officieusement et d’après moi, les 12 apôtres du Christ ne représentent-ils pas 12 chakras ?
- Non !
(Guy) Parce qu’en vérité, il y a plus de 7 chakras. Il y en a au moins 2 de plus.
- Oui ! il y a deux annexes qui n’ont que moins d’importances.
Il y en a surtout un primordial… ce primordial vous fait découvrir les deux annexes… ce qui vous fera travailler les « 12 ».
(Georges) Quel est ce primordial ?
(…) près de la tête
- Bien sûr
(Denise) En fait, le travail est simple : trouver la Paix, annuler les peurs et…
- Cela suffit !
(Georges) Il faut avoir une bonne santé aussi !
- La santé viendra de par la Paix.
(Georges) Non, mais pour la méditation, pour essayer de se concentrer… il faut un corps sain parce que si on est mal foutu (ne serait-ce que de l’aérophagie)…
… rires …
(Georges) Non, mais je ne plaisante pas. C’est vrai, ça perturbe…
- Pour avoir un corps sain… il faut s’être libéré l’esprit.
Comment veux-tu méditer sans avoir bien sûr un corps sain… sans être et par delà… t’être libéré l’esprit.
Peut-on méditer avec un esprit encombré ?
Peut-on mettre une goutte d’eau dans un verre déjà plein au ras bord ?
(Georges) Chaque fois que j’essaie de me concentrer, pour méditer, automatiquement j’émets des bruits, surtout des bruits d’estomac, des gargouillis que je n’émettais pas avant.
- C’est pour toi le gage du rééquilibre qui s’obtient grâce à ta méditation.
Il faut le laisser aller… le laisser faire jusqu’au bout (le corps physique).
(Georges) J’ai l’impression que c’est une réponse de mon organisme à mon esprit.
- C’est une relaxation de ton organisme par rapport à l’élévation de ton esprit.
(Georges) C’est une bonne voie, ça ?
- C’est une ré harmonisation de ton esprit corporel.
(Désiré) Quand Georges dit que quand il se relaxe, il s’endort, il fait une super relaxation alors ?
- Oui !
(Désiré) Donc, si je n’y arrive pas du tout, c’est une grande nervosité ! Je ne peux pas m’endormir…
(Georges) Je ne veux par m’endormir.
(Désiré) Le physique est lié mais pas dans l’esprit.
- J’espère que lorsque tu dis ça… tu souris…
(Guy) Dans ce que Georges vient de dire, quand on regarde la vie de Bouddha, malgré qu’il était très malade, il est arrivé à la Révélation.
(Désiré) Je n’ai jamais réussi à faire une super relaxation sauf de très rares fois… ça ne m’est pratiquement jamais arrivé.
(Denise) Parce que tu n’es pas fait comme nous.
(Georges) On a quand même des tempéraments et des caractères différents.
- Parce que vous êtes tous à certains niveaux mais en vous complémentant dedans… et cela vous fait plaisir un peu de mauvaise foi… ce qui peut alimenter pour vous, la conversation.
Vous êtes tellement satisfaits d’être contradictoires… vous cherchez le détail… comment dites-vous… le « pinaillement ».
(Georges) Le pinaillage… labourage et pinaillage…
- Sont les deux mamelles de la conversation entre amis.
(Denise) L’autre fois, vous nous avez dit :
- « Vous avez eu une conversation intéressante. Vous ne vous en rappelez plus pour pouvoir m’en parler maintenant ».
Et le lendemain, je me suis rappelée que Georges parlait avec Guy et qu’il lui disait :
- « Je ne comprends pas comment les personnes qui ont vécu avant nous, nous attendent quand on meurt pour nous montrer le chemin ».
Bon, mais il y a la Réincarnation !
- La première conversation n’était point celle-là… mais je vais tout de même répondre (si c’était la seule chose que vous compreniez pas… vous seriez déjà bien élevés !).
Maintenant… pour répondre à votre question… je vais simplement vous dire qu’effectivement… ceux qui vous ont précédé dans l’intériorité… les sept générations présentes et à venir… vous accueillent !
Vous trouvez entièrement naturel que ce soit vos parents… grands-parents… et je remonte dans le passé… qui vous accueillent.
Même si ceux-ci se sont réincarnés et vivent consciemment ou inconsciemment… ils seront tout de même là… de par leur image… leur consistance… leur vibration sur le plan de l’esprit… pour vous accueillir en tant qu’esprit. Ce qui ne les empêche point de vivre dans la matière !
Ce que je peux vous dire aussi… c’est que vos descendants vous accueilleront aussi… sur le plan de l’esprit bien sûr.
Cela est une notion bien compliquée… réfléchissez !
Vous y comprendrez tout …de même un peu des notions que j’ai voulu vous amener à toucher du doigt.
(Georges) Oui, mais puisqu’on dit qu’on à l’âme « chevillée au corps » je ne vois point comment l’esprit d’un être vivant pourrait se dématérialiser pour aller voir un esprit…
- Mais tu sais… nous avons des visseuses… perceuses dévisseuses… bien plus évoluées que vous en avez sur Terre.
« Votre âme est chevillée au corps »… pourtant votre corps… vous le laissez… pour bien dire que nous arrivons à dévisser ce qui est indévissable pour vous.
(Georges) Oui, mais quand on est vivant ! Je ne comprends pas !
- « La famille » a une notion bien plus étendue que celle que vous avez limité sur Terre. Vous faites autour de cette table partie de la même famille.
(Désiré) Là d’accord, sur un plan vibratoire.
(Georges) Oui, d’accord mais dans un état antérieur !
- Notion spirituelle et vibratoire ensuite !
(Désiré) C’est donc ça… la famille matérielle ne veut rien dire en fin de compte.
- C’est une notion vibratoire de la cellule.
(Désiré) Et automatiquement, on n’est pas obligé de se retrouver de l’autre côté.
- Pas obligatoirement…. C’est ce que tu voulais comprendre… non point voir.
(Désiré) Mais quand même, s’il y a une erreur dans une famille matérielle qu’on a choisie, on choisit de payer pour cette famille là.
- On choisit sa famille.
(Georges) On choisit sa famille, mais chaque membre a choisi comment ?
C’est très compliqué cette notion.
- Vous avez une notion de venue sur un plan matériel sur la Terre… cela détermine votre famille cellulaire.
Moi… je parle d’une toute autre famille… donc là… il n’y a plus qui a choisi quoi et qui… et que ceci et que cela… et quels détails allons-nous chercher encore !
(Georges) On essaie de comprendre.
- Je vous parle d’une famille beaucoup plus étendue… non point sur le plan vibratoire cellulaire… mais sur le plan vibratoire spirituel.
(Désiré) Dont vous faites partie.
- Bien sûr, sinon je ne serais point là.
(Georges) Vous êtes notre grand-oncle !
- Je ne m’occupe que de ma famille et je suis bien « copain » avec les autres !
(Denise) Je vais poser une question tout à fait matérielle.
Que pensez-vous de la pommade qu’a donnée Guy à son fils ?
- Elle est bien.
(Denise) Mais il manque quelque chose.
- Bien sûr ! Vous attendiez cela… il manque un petit quelque chose.
(Denise) Et vous ne pouvez pas nous aider…
- Non parce qu’il le sait déjà.
(Denise) Qui ? Le sait déjà.
- Le préparateur.
(Denise) Oh ! Il est « gonflé ». Tu le sais déjà !
- Ne le houspillez pas… il ne l’a trouvé que ce matin.
Il en a eu comme il dit : « le flash ».
(Georges) Et pourquoi vous ne l’aidez pas en disant ce que c’est … ça serait plus simple !
- Pourquoi perdrais-je de la salive comme vous avez l’habitude de le faire puisqu’il le sait déjà ?
(Denise) Il n’en a pas l’air…
- Mais si… mais si…
(Denise) Et ce petit quelque chose pourra s’ajouter à la pommade ?
- Bien sûr !
(Georges) Puisqu’on parle de santé. Laurence a des problèmes actuellement avec son diabète, c'est-à-dire qu’il augmente.
- Elle est angoissée.
(Georges) Elle l’est toujours !
- Non… mais elle est angoissée… elle a peur de ce qu’elle va découvrir sentimentalement… elle est angoissée… il faut la rassurer… papa !
(Georges) Oui, mon fils… mais comment ?
(Désiré) En discutant.
- Il faut être auprès d’elle… il ne faut pas être à côté d’elle.
(Georges)Encore faut-il qu’elle accepte question de dialogue.
- Eh oui ! encore et toujours ce problème.
(Georges) Mais finalement, on le repousse l’un et l’autre, le dialogue.
- Oui… c’est vrai… il suffit que l’un des deux arrête et le dialogue naîtra.
Peut-être pas à la première fois… ni à la deuxième…. ni à la troisième « main tendue » mais… peut-être au bout du compte… ces mains ne seront point décriées.
Tu disais toi-même que cette question avait été écrite !
Si elle t’a intéressée et que tu l’as posée… c’est que tu voulais une réponse… elle t’a été donnée tout à l’heure.
Peut-être qu’elle tend des mains maladroites que tu ne vois pas.
Essaie… puisque tu es l’ancêtre…d’être plus sage et de recommencer encore ce qui a été fait déjà mille fois ! Et de recommencer encore ce qui a été fait déjà mille fois !... Tu as la sagesse de la vie pour la guider sentimentalement.
Tu en as étalé tout à l’heure… toute la sagesse et la science… utilise là donc pour ta fille ! Elle en a besoin parce qu’elle a peur… elle crie vers toi.
Même si elle te repousse de temps en temps et même… si tu as l’impression qu’elle n’a pas envie que tu l’aides… il faut savoir… même lorsqu’on est père… avoir du tact ! Tu as du déjà le remarquer avec ta fille !
(Georges) J’ai beaucoup plus de tact avec les étrangers qu’avec ma fille.
- C’est vrai ! comme quoi… on n’est jamais prophète parmi les siens !
(Georges) Nul n’est jamais prophète en son pays. Ca se vérifie chaque jour.
- N’est-ce pas !
(Guy) Je vais vous poser une question idiote.
Pourquoi toutes les armes blanches sont en forme de croix ?
Et pourquoi… à l’état métaphysique, les armes à feu sont en forme de croix ?
- Parce que tout principe de douleur revêt la même forme.
Tout principe de mort revêt la même forme.
Tout principe de destruction revêt la même forme.
Le croix ou la croix… c’est le signe du barrage… de fin… de mort.
(Guy) C’est pour ça qu’après le départ physique du Christ, on a crucifié sur différentes formes de croix, les chrétiens ?
- Deux formes seulement… la forme de la torture et de la négation…
Avant de vous quitter… la plante que tu cherches… mon jeune ami… que tu n’as pas l’air de te rappeler (mais c’est certainement la fatigue) et je vais jouer un petit rebus avec toi qui aime tant réfléchir là-dessus :
C’est une plante… (tu es en train de penser « qu’est-ce qu’il va me sortir ? ») C’est une plante dont le nom s’apparente à une couleur….
Voilà… tout est dit !
Ce matin en sortant de chez toi… tu y as pensé !
[3] Génie de la mythologie scandinave symbolisant les forces de la nature.
[5] De même religion qu’un autre. En équivalence dans le texte « de même espèce »
[6] L’étincelle aux deux vents : à la fois le souffle de la matière et le souffle divin.
[7] Qui accompagne une chose, un fait simultanément.
[8] Nicole a des problèmes relationnels avec sa fille Laurence.