Bonsoir ! Vous vous sentiez abandonnés… dites-vous ?
Je crois plutôt que vous vous êtes retranchés !
Ce n’est point parce que je viens pas au milieu de vous… pour bavarder… pour parler… que je ne suis point avec vous… que je ne suis pas votre évolution.
Je crois seulement que vous vous montrez assez peu attentifs aux évènements intérieurs de votre évolution.
Vous avez l’impression… cela est vrai…. comme moi… que vous n’évoluez pas assez vite dans le sens que vous désirez.
Je vous le dis et je vous le répète :
- « l’évolution intérieure… votre évolution… votre chemin sur la voie suit seule… de l’impulsion primaire et primordiale que vous avez donnée… le jour où vous avez désiré vous brancher sur cette « entité » et marcher sur cette voie de l’UN… de l’UNIQUE ».
Il est vrai que vous avez assez peu d’expérience… de repères pour jauger… mesurer…ce qui se passe… ce qui évolue… ce qui bouge…ce qui trace en vous l’évolution vers le but que vous espérez.
Je vous l’ai dit : - « ne craignez point ! »
Je vous l’ai dit aussi : - « ne perdez point la FOI… l’ESPOIR ! »
La Foi… l’espoir… font de vous des êtres charitables… qui arrivent à pardonner et à comprendre ce qui arrive en vous et ce qui arrive autour de vous.
Ne vous faites point de soucis de ce qui arrive pour vous… cela ne sont… la plupart du temps… que des expériences qui sont placées au milieu de votre chemin… pour que vous puissiez apprécier vous-même… le pas en avant que vous avez fait la veille et que vous n’avez point réalisé… sur lequel vous ne vous étiez point arrêtés… dont vous ne vous êtes même pas aperçu.
Vous vous posez de moult questions et cela est très intéressant !
Vous n’en obtenez que rarement les réponses car vous ne vous arrêtez point assez dessus... et vous n’avez point assez l’esprit d’analyse que vous devriez avoir avec l’expérience que vous avez déjà acquise.
Vous vous dites déjà en vous :
- « tellement peu d’expérience que comment voulez-vous que j’arrive à comprendre la moindre chose ? »
Je vous dis : - « même si votre expérience est toute petite… même si votre esprit n’a point encore sondé l’immensité qui se dresse devant lui… vous avez quand même assez de connaissance pour pouvoir arriver… avec la seule force de votre doigt et de votre esprit… à tourner la page du livre et de lire la suite. »
L’Evolution de votre esprit et de votre intérieur… de votre « Moi »… comme vous dites… ne se fera pas… par pas de géant… cela est très mauvais… cela ne pourrait être que néfaste pour vous… mais cela se fera par petits pas… effectivement.
Nous avons et vous avez des difficultés à les mesurer… mais peu importe… cette mesure… peu importe le chemin parcouru… le tout et… l’important… le primordial… c’est que ce chemin soit parcouru.
Peu importe la rapidité…
Peu importe la vitesse de l’évolution de chacun…
Le tout… c’est que cette évolution se fasse toujours dans le sens positif…
En cette là… autour de moi… un plus est marqué sur vos fronts… n’oubliez point cela… ne perdez point courage !
Dans les questions que vous avez posées tout au long de la soirée… les premières étaient les plus intéressantes. Je vais donc demander de vous en souvenir quoique cela m’étonnerait fort car votre esprit…. à partir du moment où je suis parmi vous… a toujours l’attirance à l’amnésie.
Cela… je ne vous le reproche point… c’est une constatation !
Voyez… je ne suis point venu ce soir pour vous tancer… comme vous dites… mais simplement… pour être parmi vous car vous avez sollicité… vous avez imploré.. vous avez pleuré et vous n’avez point cru à ma visite prochaine.
Je vous dis… votre manque de Foi est… ce soir…écrasé au plus plat de votre esprit.
Ce n’est point en cette soirée que je donnerai de grandes phrases d’Enseignement… que vous espérez… quoique les premières paroles peuvent être déjà à méditer.
Je crois que vous apprendriez déjà beaucoup… surtout sur ce que vous avez déjà parcouru et ce… sur quoi vous parcourrez encore… les prochaines évolutions et surtout… les prochains petits obstacles que vous rencontrerez sur votre route.
Je n’ai point dit les murs qui se dresseront devant vous… je vous rattrape tout de suite dans votre propension à l’énormité… mais les petits obstacles.
Vous en avez déjà vécu quelques uns… vous allez en vivre d’autres.
Cela mesure simplement… à votre FOI… à votre mesure… votre pugnacité à l’Enseignement… votre pugnacité à la Voie.
C’est cela qu’il ne faut pas oublier !
Vous avez dans vos mains… les livres nécessaires à la compréhension !
Vous avez entre vous le dialogue nécessaire à l’évolution !
Vous ne l’utilisez point assez !
Avez-vous des questions à poser ou une discussion à entamer ?
(Guy) Les différentes races atterries sur la Terre… d’où viennent-elles ? (Les noirs, les blancs, les jaunes… ce n’est pas issu de la terre)
- bien sûr que non !
(Denise) Ces personnes de différentes races ont accepté de venir peupler la terre ?
- Elles ont été transplantées.
(Denise) Mais avec leur accord ou…
- Pas forcément !
(Guy) Est-ce qu’il en est qui ont été transplantées en une sorte de punition ?
- Oui !
(Guy) Vous n’êtes pas très loquace. Donnez-nous plus de détails.
- Ces détails-là coulent de source mes amis !
Je vous signale que je ne vous ai pas répondu.
C’est vous qui faites l’histoire… je ne fais qu’acquiescer.
Je n’ai rien à vous apprendre… vous connaissez déjà… même par intuition… à peu près tout ce que je pourrais vous dire.
(Denise) Tout à l’heure, nous parlions de Jésus et nous disions que dans le fond, on connaissait très peu sa vie.
- Effectivement.
(Denise) Vous pourriez nous en parler, non ?
- Bien sûr ! que voudriez-vous savoir ?
(Denise) Oh ! Il y a tellement de choses à apprendre.
- Par rapport à quoi ?
(Guy) Sa jeunesse par exemple.
- Par exemple… sa jeunesse ! c’est que cela représente déjà un grand livre qui ne pourrait pas tenir… selon le nombre de volumes… dans votre pièce.
Sa jeunesse… dans les premières années de sa vie… a été… quoique particulière… vu l’ampleur et la profondeur du personnage… disons normale.
A sa sixième année… une évolution et une révolution se fit dans son esprit car la communion… déjà à cet âge… était réalisée à la 7ème année !
Il avait déjà fait la synthèse de toute la connaissance.
A sa 12ème année…. Il avait fait la synthèse des, et des connaissances.
Dès la 7ème année… comme vous l’avez inscrit dans un de vos livres… dans « le livre »… il commençait à enseigner.
Il enseigna d’abord… ce qui lui parut le plus plausible… à ces soi-disant savants car… eux seuls étaient à même de comprendre qu’enfin une nouvelle ère était ouverte… une révolution sociale et spirituelle devait arriver.
Il les enseigna.
Il leur expliqua.
Il leur décortiqua les textes.
Il leur démontra leurs erreurs.
Il leur prouva « la Vérité ».
Il leur démontra les phrases… et malgré cela… ils ne comprirent point.
Le Christ… par là… pêchait par ignorance… non point qu’Il ignorait ce qu’Il enseignait… mais Il ignorait la façon dont il fallait l’enseigner.
Les années qui suivirent furent… pour lui… l’apprentissage de l’esprit humain.
Il comprit qu’il ne fallait point donner les secrets… tout de go… en expliquant de A à Z et en démontrant la Vérité toute nue.
Il vit qu’il fallait plutôt amener l’homme à comprendre ces vérités.
C’est là où se dessina pour lui… à sa 7ème année… l’image du Guide et du Berger.
Il comprit la nécessité de sa 7ème à sa 12ème année… Il médita beaucoup.
Il parla plus avec la nature… avec les animaux et les hommes simples… Je ne veux point dire les idiots… je veux dire ceux qui n’étaient point docteurs de la loi… de la foi ou de la science.
Ces gens là… Il s’aperçut qu’ils comprenaient bien mieux les choses simples qu’Il expliquait parce qu’ils n’avaient point de préjugés de leurs connaissances.
Car les préjugés de la Connaissance sont un obstacle définitif à l’évolution.
Dans sa 12ème année… Il finit par rencontrer les possesseurs de l’Enseignement… de la Gnose… comme vous dites… les Initiés.
Il apprit beaucoup d’eux.
Il leur apprit encore plus que ce qu’ils pouvaient lui apprendre.
Ils s’enseignèrent donc mutuellement.
Le Christ leur apprit le secret Vital… le secret au dessus de la Connaissance… c’est-à-dire… la synthèse de leur connaissance… de leur voie… de la multiplicité des enseignements.
De là à sa 12ème année… il comprit la nécessité d’enseigner l’unité d’une voie car les diverses écoles se combattaient… pensaient détenir « La Vérité » et pour cela se haïssaient.
A sa 12ème année… la notion d’Amour qu’il avait vécue jusque là mais point comprise… puisqu’elle faisait partie de son Etre… se fit jour par son manque sur la Terre.
Il l’a compris et comprit aussi le pourquoi Il était venu… non point pour révéler les mystères… non point pour apprendre l’Enseignement… mais pour apprendre l’Unité de l’Amour.
De la 12ème à la 15ème année… Il fit les expériences terriennes de son âge sans pour cela… bien sûr… quitter d’un moindre millimètre sa Voie... sa démarche. C’était un personnage très retiré… qui méditait beaucoup car Il avait beaucoup à apprendre afin d’enseigner ce qui était utile et juste.
Jamais… Il n’a enseigné par la suite de ses 15 ans… plus qu’Il ne devait le faire quoiqu’Il ait été souvent tenté de donner davantage à ceux qui ouvraient leur bec pour tirer les vers en suffisance afin de se repaître.
Il nous a dit à ce moment-là… qu’au fond de chacun de nous… coulait une source qui permettrait à jamais de ne plus avoir soif.
Il dit qu’au fond de chacun de nous… la nourriture existait qui nous permettrait de ne plus jamais avoir faim.
Il dit enfin que… seule la Vérité de l’Enseignement d’un Amour Unique permettait de trouver la Voie principale qui nous dégagerait des contingences matérielles.
Vous avez trouvé… et vu et entendu… les applications décrites dans « La Vie des Maîtres ».
Ce ne sont simplement que les applications extérieures qui ont été montrées et démontrées pour prouver la Vérité.
Cela… bien sûr… n’est simplement que des démonstrations.
Le Christ lui-même comprit que sans démonstration… il n’arrivait point à faire passer dans l’esprit des gens simples ou savants ces notions essentielles de l’Unité et de l’Amour.
Cette synthèse de toute sa jeunesse (et je passe, bien sûr, sur les détails au fur et à mesure des questions intelligentes que vous aurez à poser… nous pourrons y revenir)... Il comprit enfin la nécessité d’apporter certaines preuves…certaines preuves flagrantes de la Vérité de ses paroles.
(Denise) Alors de 12 à 15 ans, il vivait comme tout le monde, comme…
- Il se retira souvent oui !
Il eut une vie publique (comment dire très sporadique. Le début de sa vie publique fut le début… comment dire…. je vais être très prosaïque
[1] et irrespectueux) ce fut le début d’un certain « cirque ».
Il fallut démontrer… par des tours de magie et des passe-passe… que les paroles qu’Il avait données à certains… en petits comités… en petits groupes… étaient bien réelles.
Que ce qu’Il enseignait… que cette évolution qu’Il avait tant expliquée à force de mots… était réelle… qu’elle permettait de faire et d’agir.
Il passa donc trois années de sa vie… à démontrer à une multitude… grâce à des miracles… à une multiplicité de miracles… dont vous n’avez plus que quelques uns et non pas des meilleurs d’ailleurs… dans vos livres sacrés…
Il passa trois années de sa vie à se donner en spectacle pour prouver que sa parole était vraie.
La demie année supplémentaire dont vous parliez tout à l’heure… celle qui était la plus intéressante…. c’est parce qu’au bout de ces trois années de vie publique… il comprit que seul le spectacle intéressait les gens.
Que la Parole Primordiale n’était point entendue et que peu de personnes… un petit nombre très restreint… quelques personnes qui se comptaient sur les doigts de la main… avaient compris ce qu’il fallait faire et se mettaient enfin à l’appliquer.
Les six mois qu’Il lui restait à vivre avant le sacrifice… il les passa avec quelques personnes seulement… à ne plus montrer de spectacles… à ne plus avoir de paroles pleines d’ambages
[2] ou avec des secrets ou des images ou des allégories
[3].
Il parla simplement… il parla vrai à trois personnes afin que cet enseignement soit enfin compris et qu’il puisse être retransmis jusqu’à la fin des temps.
Grâce à ces trois personnes… grâce à l’expérience de sa Vie… à ce qu’il avait fait dans l’antérieur… son Enseignement n’est point mort car ces trois personnes là ont compris.
Ces trois personnes là ne sont pas mortes bien sûr… elles vivent toujours. Elles perpétuent l’Initiation dans divers cercles... les poussant d’un côté ou de l’autre… mais jamais au grand jamais… elles n’ont trahi la promesse qu’elles ont donné au Christ… c'est-à-dire… de dévoiler en clair les six mois d’Enseignement qu’elles avaient reçus. Ils supprimeraient à jamais le bénéfice… le droit et l’ouverture à la compréhension de toute l’Humanité !
(Denise) Et ces trois personnes étaient parmi ses apôtres ?
- Un faisait partie de ses apôtres.
(Guy) C’était St Jean ?
- Oui !
(Guy) Est-ce que St Jean était celui qu’on appelle le disciple qu’Il aimait ?
- C’était le Bien Aimé (c’est celui qui savait bien aimer)
(Denise) Et qui était son cousin comme on le dit ?
- Il faisait partie d’une famille mais cette famille n’est point génétique.
(Georges) Et qui étaient les deux autres ?
- Deux personnes qui l’ont toujours suivi dans l’ombre… les trois ans de sa vie publique et qui lui ont souvent posé la question :
- « Pourquoi… pourquoi montrez-vous tout cela à des gens qui ne comprennent pas ? ».
Ces gens-là (les deux) n’ont point demandé de miracles… n’ont point demandé la guérison de leurs maladies.
Ils voulaient simplement comprendre pourquoi le sens de la Vie… pourquoi leur But… et comprendre ces paroles énigmatiques :
- « vous ne savez pas d’où vous venez… où vous êtes… et où vous allez ! Seul le vent qui vous a poussé connaît un semblant de réponse ! ».
Ces gens-là… grâce à la ténacité qu’ils ont montré… grâce à la Foi inébranlable qu’ils avaient car ils sentaient bien que ce « docteur là » connaissait la Loi… ils l’ont suivi… toujours… ne l’ont point trahi… sont restés toujours et encore dans l’ombre mais ont obtenu les réponses aux questions… aux quelques questions qu’ils avaient réussi… pendant les années antérieures… à raffiner
[4].
Ils ont posé donc ces questions essentielles et obtenu les réponses… et grâce à ces quelques réponses… ont reconstitué toute la Voie… toute l’Unité… la Vérité même en trois voies différentes… en trois courants initiatiques différents… en trois écoles car il fallait morceler cette Vérité qui ne pouvait être assénée
[5].
Ils ont fait en sorte que cette Voie… cet Enseignement… soit dans son intégralité… arrivé jusqu’à nous.
Nous devons dans les années futures recréer cette Unité afin que l’unité sociale et spirituelle soit enfin réalisée.
(Georges) Cette unité existe déjà ailleurs que sur Terre ?
- Oui.
(Georges) Donc, sa mission consistait à essayer de la créer sur Terre.
- Oui.
(Georges) Mais pourquoi avoir parlé avec tant d’énigmes ?
C’était plus facile d’expliquer plus simplement.
- Tu réécouteras la cassette.
Je viens de l’expliquer mon jeune ami… c’est vrai que j’ai été certainement confus… rires…mais en détaillant les phrases… tu pourras comprendre cette question… la réponse est inscrite.
Ce n’est point que je ne veuille point répondre.
(Georges) On l’écoutera.
- Merci ! je ne voudrais point vous lasser en répétant tout le temps la même chose.
(Georges) Bon, nous vous reprochions de ne pas venir assez souvent.
Pourquoi espacez-vous autant vos visites ?
- C’est une grande question.
Vous disiez… tout à l’heure… en me prenant un peu pour innocent en disant… « Il fixe un temps mais il ne doit point avoir la même montre que nous ». Elle doit être divisée au moins en 72 parties au lieu de 12.
Je vous dis… nos rendez-vous sont fixés lorsque je vous dis à tant de temps… Logiquement… ma venue est programmée pour ce temps car… dans chaque visite que je vous fais… je vous incite à effectuer un certain travail.
Je vous donne les moyens de méditer et de réfléchir.
Logiquement… chacun de mes rendez vous fixe le temps nécessaire pour que vous puissiez les appréhender… les assimiler et surtout… les appliquer.
Si ce temps de visite se repousse… c’est que vous avez été bien longs à le comprendre.
Mais… sachez tout de même que je suis magnanime car je viens toujours avant que ces idées-là puissent être en vous… absorbées… comprises et appliquées.
Il ne faut point trop vous bousculer… je l’ai appris aussi !
(Georges) Etes-vous satisfait de nous ?
- Oui.
(Georges…rit) C’est gentil !
- Oui !
(Georges) On a l’impression qu’on ne progresse pas… on a l’impression de stagner dans notre cheminement de pensée…
- Oui… j’ai disserté déjà au début de la cassette plus d’un quart d’heure dessus.
(Georges) Mmm… mais on a besoin… on est un petit peu comme des enfants.
- Vous avez besoin d’être rassurés.
(Georges) De bons points de temps en temps.
- Voilà ! je vous en ai donnés ! je vous fais des compliments.
Je vous dis que je suis satisfait de vous.
N’est ce pas le meilleur des bons points que je pouvais vous donner ?
(Georges) Non, non maintenant ça c’est très bien.
Il faudrait maintenant nous donner un peu de travail.
- Oui.
(Georges) Qu’est-ce qu’on pourrait faire ?
- Déjà appliquer ce que vous auriez du déjà faire depuis longtemps.
Ah ! ah ! oui ! mais donnez-nous autre chose !
Mais savez-vous que lorsque vous avez appris un jeu de carte… vous courrez déjà vers autre chose. Votre connaissance est insatiable mais vous n’attendez jamais de connaître bien à fond une chose.
C’est le caractère de l’homme… ce n’est pas le vôtre en propre.
Ce que j’attends pour vous et ce que j’attends de vous… c’est que vous alliez au fond de l’application des quelques règles de l’Enseignement… du peu de règles de l’Enseignement que vous connaissiez.
J’aimerais qu’un jour… vous ayez assez de ténacité et de courage pour ouvrir un cahier et marquer dedans tous les exercices que vous connaissez… les notions d’Enseignement que vous devez appliquer… du moins ce dont on a parlé… de ceux que vous avez pu comprendre par la suite et enfin… de marquer toutes les questions qui découleront de cette application… toutes les difficultés de ces applications… je vous le dis… n’achetez pas de petit cahier !
(Georges) C’est une très bonne idée.
- Tu demandais un exercice. Je te donne tout un travail.
(Georges) Oui ! Mais là, il faudra rester très longtemps avec nous pour qu’on puisse lire le cahier.
- Oui, ne t’inquiète pas !
(Georges) J’ai fait écouter plusieurs cassettes à une petite jeune fille.
- Oui !
(Georges) qui s’appelle Sandrine.
- Oui.
(Georges) Et qui, depuis qu’elle les a écoutées, a toujours l’impression qu’elle vous connaît, a toujours l’impression qu’elle va vous voir.
- Quel âge a-t-elle ?
(Georges) 17 ans.
- Oui, oui … elle a l’impression qu’elle me connaît.
Disons qu’elle a la faculté dans son sommeil de venir à moi.
Certainement plus de facilité…. (Coupure cassette)
(Georges) Les apparitions de la Vierge qu’il y a eu dans le Morbihan ou je ne sais pas trop où. Est-ce vrai ou…
- Les apparitions sont vraies.
(Denise) Donc, ces prêtres du « Frechou » sont honnêtes dans leurs idées ?
- Je n’ai pas dit cela.
(Georges) Pourquoi est-ce que la Vierge apparaît ?
- Je n’ai pas dit que c’était la Vierge !
(Georges) Ah bon ! Ce sont des apparitions ?
(Denise) Pouvez-vous nous dire qui apparaît ?
- C’est une Sainte.
(Denise) Et les gens la confondent avec la Vierge.
- Ils ne la confondent pas. Une seule personne la voit.
(Denise) Alors, c’est cette personne qui la confond.
-
Oui, parce qu’elle voit d’une façon très ténue
[6]. A travers toutes les brumes de son esprit. C’est une Vierge Noire.
C’est la Dame qui… au fur et à mesure des siècles… est là pour relancer la Foi à travers l’Enseignement… Elle ne donne pas d’enseignement… Elle donne seulement le coup de pouce à la Foi : c’est la gardienne de la Foi… Ils en mésusent
[7].
(Georges) Et nous, il ne nous est pas donné de voir.
- Peut-être une jour… à un endroit voulu et à un moment voulu… mais si tu loupes cet endroit… ce moment… tu ne verras point !
(Georges) Oui mais encore faudrait-il …
- le savoir ! veux-tu que je te tienne la main ?
(Denise) Ce serait bien.
- C’est un peu trop demander.
(Denise) Mais vous êtes sûr que ça nous arrivera ?
- Ca peut vous arriver ! s’il y a utilité… en userez-vous convenablement ?
En êtes-vous persuadés ?
(Denise) oh oui ! On aimerait déjà vous rencontrer ! Depuis le temps qu’on attend… avouez quand même !
- … vous êtes patients !
(Denise) Oh ! Ce n’est pas de la patience. Bon eh ! bien on se fait une raison.
- C’est bien.
(Georges) Mais est-ce que vous avez (je ne vous défie pas, là)… est-ce que vous avez la possibilité de vous montrer à nous ? Cela vous est donné ?
- As-tu la possibilité de monter avec tes deux jambes dans ta voiture ?
(Georges) Ben oui !
- Ton corps matériel… l’emmènes-tu en vacances lorsque tu y pars ou le laisses-tu chez toi… à la maison pour faire la vaisselle ?
(Georges) Je le laisse à la maison (rires) non, non, je l’emmène avec moi.
- Je peux donc emmener mon corps je crois… lorsque je le désire… en n’importe quel endroit. Je pense avoir la possibilité de le faire.
(Georges) Nous ne sommes pas dignes de vous voir.
- Mais si… mais si…
(Denise) Non, mais ça impose tout un tas de choses avant de vous rencontrer.
- Effectivement, beaucoup de mise en œuvre technologiques et spirituelles.
Je n’ai pas dit que cela peut être impossible… tout est possible… mais il y a des choses réalisables et d’autres qui ne le sont point… et vous avez parfois des supérieurs qui ne sont pas toujours d’accord avec vos envies.
(Georges) Des supérieurs à nous ou à vous ?
- A nous.
(Denise) Aux deux.
(Georges) Donc, vous avez des comptes à rendre vous aussi !
- je ne rends pas de comptes.
Je suis dans une voie mais je ne suis point le maître ni le plus élevé.
De toutes façons… Dieu est tout de même au dessus !
(Denise) Enfin, nous ne sommes quand même pas dignes de vous rencontrer encore.
- Ce n’est pas cela… J’ai dit tout à l’heure : « mais oui ! mais oui !». je n’ai point dit que vous n’étiez point dignes.
- Là n’est point la question du tout… Là est mon problème !
(Georges) Vous avez des limites. Nous non semble-t-il ?
- Oui.
(Georges) Cela est du à notre évolution qui est différente ?
- Effectivement ! nous vivons dans un contexte physique… avec des lois physiques matérielles qui sont… par certains côtés…complètement opposées.
Il manque (comment dire) un travail réalisable mais excessivement compliqué et que « tout ?»… en divers points (je ne parle point matériel… ni d’argent car chez nous… ça n’existe point) à effectuer pour rendre possible certaines choses… nous ne faisons pas n’importe quoi… n’importe comment… gratuitement… nous ne déplaçons pas les énergies pour aller simplement boire un Ricard… Il n’y a point d’utilité !
J’aurais beaucoup de plaisir à ne point vous confondre avec un apéritif quelconque car je vous aime beaucoup mais tant qu’il n’y a pas d’utilité et que nos rencontres peuvent s’effectuer autrement… la dépense d’énergie est bien inférieure… ce qui permet de l’utiliser à d’autres tâches plus essentielles et beaucoup plus urgentes sur le moment présent.
(Georges) Comment est-ce que nous pouvons travailler. Notre évolution peut se faire comment ? Tout à l’heure… on disait qu’on avait l’impression de stagner… on en parlait au début de la cassette… vous en avez parlé aussi ! Comment est-ce qu’on peut encore évoluer. Quel genre de travail ?
- la FOI ! Tu sais, mon jeune ami… tu vas avoir l’impression… avec moi… de tourner bien souvent en rond.
Je vais revenir sur les mêmes mots… sur les mêmes notions... jusqu’à ce que tu aies compris ce qu’elles renferment… car pour toi… ce sont des mots vides et creux… c’est un livre que l’on ouvre… les pages sont blanches.
Pour moi… ce sont des tomes entiers… des pages… des kilos d’écriture.
Ces mots là commencent un peu à représenter quelque chose pour vous… à force de vous les répéter… vous les comprendrez.
Votre marche… même timide et à petits pas… vous permettra petit à petit d’appréhender la notion qu’elle représente.
(Georges) Moi, je souhaite souvent d’avoir la possibilité de voir l’aura des gens… de sentir si les gens qui me parlent sont sincères ou mentent mais ce souhait, je ne souhaite pas l’acquérir en permanence.
D’ailleurs, je pense que ce ne serait pas possible… mais comment pourrait-on…
- C’est déjà (pardonne-moi de te couper) une parole de trop.
Ce n’est pas impossible ! Sais-tu ?
(Georges) Pour vous montrer que je ne suis pas si exigeant que ça !
- oui, mais tu es beaucoup limité… du moins tu te fixes toi-même tes propres limitations… Comment veux-tu un jour aller au-delà ?
Tu te rebuteras sur un mur d’autant plus indestructible que tu seras le seul à pouvoir le démolir puisque tu as été le seul à le construire et que tu le trouveras si solidement construit que tu ne pourras rien faire pour passer au travers.
Ne vous fixez point de limitations et surtout… pour tous ceux qui sont réunis là… faites attention à ne point perdre confiance par moment.
(Georges) Il faut continuer à demander ?
- Oui, voilà un excellent exercice.
Je ne voulais point y revenir pour ne pas vous lasser.
(Denise) Mais la confiance, en fait, on l’a même si on ronchonne, on a quand même confiance !
- Ouais !
(Denise) Ben oui ! Parce qu’il me semble que si l’on n’avait pas confiance, on ne chercherait pas d’abord à vous voir et à vous entendre.
- Cela vous redonne confiance !
(Georges) Si on a tellement confiance, en fait, que lorsqu’on traverse des épreuves qui auraient été perçues dans le passé comme des épreuves très dures, on les considère comme des petites étapes.
- Oui, il faut donc qu’on vous envoie des épreuves un peu plus fortes alors ?
(Georges) Non, on les considérera toujours comme des étapes ! C’est pas la peine !
… rires…
- d’accord, d’accord !
(Denise) Non, de toutes façons, les épreuves, c’est changeant donc ça nous surprend.
- Oui, on ne s’ennuie pas !
(Denise) si on veut !
(Guy) En parlant d’épreuves, pouvez-vous me dire pourquoi les deux épreuves que j’ai eues (mes petits stages à la clinique) alors que je n’ai rien du tout dans le fond ! Qu’est-ce que cela veut dire ?
-
Mon jeune ami, cela refrène
[8] un peu ta velléité
[9].
Souvent, on t’a donné le conseil… pour évoluer encore plus… toi qui es admiré par certains pour avoir certains pouvoirs comme ils pensent… tu ne fais point tellement d’efforts sur ta vie de tous les jours… et sur ton langage… et sur ta pensée… et sur ta parole.
Tu voulais savoir pourquoi quelques petites épreuves qui te font peur à toi autant qu’à ton entourage ?
Eh bien ! Dis-toi bien que si tu es porté à bout de bras… il faut faire très attention à ne pas gigoter de l’esprit comme tu le fais tous les jours afin de ne pas épuiser ces bras qui te portent et qui…un jour… peuvent très bien décider de ne plus te porter.
Aussi, un ou deux petites stages… tes épreuves et ces rappels à l’ordre… du moins… c’est comme cela qu’ils étaient pensés… étaient à même de te provoquer un petit retour sur toi-même.
Améliores toi donc… je pense que tu retireras de ta route ces soins intensifs qui te blessent autant !
(Denise) Même quand il est calme comme hier et aujourd’hui…
- Il râle intérieurement… le moindre bruit… la moindre poussière qui passe au moment qui ne lui plaît point… le fait bondir hors de sa chaise… hors de ses yeux… hors de son langage.
Il est gêné par les gens qui viennent le voir et lorsqu’il n’en a pas… il s’ennuie. Ce n’est pas bien grave… cela nous fait souvent sourire… mais il ne faut pas que le jeu devienne une habitude.
Et puis… il n’est point dégagé des efforts que je demande aux autres.
Il est là pour écouter… il est donc là pour prendre… pour appliquer et pour s’efforcer.
Ah ! …. Si j’avais su… (C’est ce qu’il pense !)
(Georges) Il m’arrive de vous solliciter en qualité d’intercesseur.
- Oui ! souvent.
(Georges) Est-ce que vous percevez mes messages ?
- Oui !
(Georges) Mais vous ne pouvez pas toujours me venir en aide…
- Je ne suis pas le Maître qui décide de bousculer le devenir de chaque être et de chaque mouvement… de chaque instant.
Je ne peux que favoriser. Je ne peux ni créer ni transformer.
(Georges) D’accord ! Vous appuyez, vous me pistonnez un peu mais vous faites ce que vous pouvez.
- On peut formuler ça de cette façon !
(Georges) D’accord ! Ce qui était essentiel pour moi, c’était de savoir si…
- le téléphone n’est point coupé… tant que tu paies ta dette…
(Guy) Moi, je voudrais savoir si nos conversations comme celle qu’on a en ce moment, si dans votre univers, tout ça est enregistré ?
- Oui !
(Denise) Vous les réécoutez ?
- Oui ! mais au-delà des mots… vos intentions… vos pensées et vos mouvements intérieurs sont enregistrés !
(Georges) Nous sommes épiés ?
- Non ! vous êtes aidés !
Vous savez vous déguiser tant de choses avec vos mots qu’il faut bien aller un peu au-delà pour arriver à vous suivre et à vous comprendre.
(Georges) Ouais ! Nous ne sommes que des humains.
- Moi aussi quoique je ne fasse pas partie de la même race mais nous ne faisons pas comme on dit… de ségrégation… nous sommes frères d’abord et avant tout !
(Denise) Oui mais dans le fond, on préférerait faire partie de votre race.
- vous savez… vous avez des défauts qui ne sont point les miens.
J’en ai qui ne sont point les vôtres.
La perfection… seul Dieu est capable de l’émaner !
(Denise) On dit qu’elle n’existe pas
- Si !
(Denise) Mais pas sur Terre
- Qui sait ? regarde-toi !
(Georges) Hé ! Hé ! Et nous. Oui oui justement, c’est pour ça que je dis ça !
- J’ai aimé le demi éclat de rire.
(Guy) on sait que dans la hiérarchie des Planètes, la Terre est la dernière. Il y en a sept au dessus de nous et chaque fois que la Terre gravira un échelon, il y en aura une qui viendra au-dessous de nous. Mais quand la Terre atteindra la perfection, est-ce qu’elle disparaîtra ?
- Non ! elle changera de zone d’Univers.
(Denise) c’est intéressant à savoir l’Univers !
- C’est tout un processus. Pour l’instant… c’est bien trop ardu à comprendre et encore plus à expliquer. Votre physique (la science)… dans les 20 ans, allez… je vais vous raccourcir le temps… dans les 5 ans à venir… va faire une découverte capitale sur la notion d’espace qui vous amènera… un peu… à saisir déjà… les quelques paroles que j’ai prononcé sur cette notion.
(Guy) Est-ce que Einstein savait cela ?
- Einstein connaissait les prolongements… les résultats… mai il ne connaissait pas « pourquoi »… il ne connaissait pas la totalité de la question.
Il avait… de par certaines vues… certaines entrevues sur la question…. Il avait un esprit très créatif et très abstrait qui lui permettait d’aller au-delà de la compréhension matérielle admise par l’homme.
C’est pour cela qu’il n’a point été compris.
Il était bien au dessus par la pensée.
Vous savez… je vais vous dire une chose avant de vous quitter.
Ce soir… vous vous êtes réunis… même si vous n’en avez pas beaucoup parlé de ce fameux enseignement… car ce n’est point le temps… la quantité… mais c’est la qualité qui compte d’abord et avant tout.
Il a toujours été dit… cette parole a été prononcée il y a quelques siècles et elle est toujours valables :
« Lorsque vous vous réunirez en mon Nom… je serai au milieu de vous ! »
Lorsque vous parlerez donc d’une manière qualitative de l’Enseignement… je serai donc présent… non point que je viendrai vous perturber à chaque fois et vous ennuyer par mes paroles… sachez que je viendrai certainement un peu plus souvent que ce que je fais à l’heure actuelle et que vous déplorez.
Mais cela ne veut point dire que je viendrai très souvent.
Il faut laisser chacun à sa liberté et laisser sa liberté à chacun.
Cela serait très ennuyeux que je vienne d’une façon prédestinée et déterminée. Je préfère de beaucoup la visite impromptue car la visite impromptue d’un ami est toujours la bienvenue.
On la reçoit les bras ouverts et avec le sourire. Quelqu’un qui s’impose d’une façon cyclique et rapprochée finit par vous ennuyer.
(Denise) Non, car à chacune de vos visites, on apprend quelque chose !
- ça va et vous apprendrez encore beaucoup… je l’espère !
(Denise) Justement, alors, il faut en profiter pour venir plus souvent.
- Tiens… je vais vous donner un petit exercice.
Vous savez… depuis le début de votre discussion sur l’Enseignement… depuis que vous êtes assis autour de cette table… vous aviez au moins posé dix questions intéressantes. Nous avons répondu à cinq. Les cinq autres bien sûr ont été oubliées.
Ne faites point d’effort… elles ne reviendront pas. Vous les retrouverez au fur et à mesure des discussions futures.
Prenez donc l’habitude de ce que je vous ai demandé il y a déjà deux ans… marquez donc les questions intéressantes… cela vous évitera de vous en vouloir de les avoir oubliées.
Vous avez une mémoire limitée.
Vous passez d’une chose à l’autre… « du coq à l’âne » comme on dit.
Faites donc l’effort un peu… d’écrire... même en quelques mots… la question qui vous semble essentielle à poser car trente secondes après… vous aurez parlé d’autre chose… d’une autre notion tout aussi intéressante qui vous aura fait oublier la première.
Voilà un très bon exercice. J’espère que vous l’appliquerez un tout petit peu !
A bientôt mes amis, la Paix soit avec vous !
(Georges) Ce qu’il a dit en parlant de Sandrine (nous avons été coupé).
Il a dit :
- Elle a un très bon passé donc… ça sous-entend que dans une vie antérieure, elle a été très évoluée.
Elle a beaucoup de possibilités mais ne lui en dit pas trop.
Elle va beaucoup t’apporter par ses questions.
Attends ses questions… ne vas pas au-delà des questions qu’elle te posera. Elle aura besoin de toi pour évoluer. Laisse là venir à toi.
Elle va te poser des questions auxquelles tu n’avais pas pensé et qui vont te permettre de réfléchir. Tu pourras beaucoup l’aider par les réponses.
Mais surtout laisse-là venir… elle peut aller très loin.
[2] (Sans ambages)Sans détours ni faux-fuyant : franchement.
[3] Expression d’une idée par une histoire imagée.
[4] Rendre plus fines, plus délicates. Rechercher une subtilité excessive.
[5] Porter un coup violent.
[6] Très mince, très fin.
[9] Intention peu ferme, qui ne suit aucune action.