L’idée : les regroupements de fidèles La Foi, c’est tous les jours qu’il vous sera donné d’ouvrir les yeux, de respirer, de penser et de vous centrer sur le pardon…
Les lieux saints n’auront d’importance pour vous que quand ils ne seront pas placés « loin » mais au centre de vous-même.
Soyez les pèlerins de votre cœur, non point à dates fixes, une fois par an ou une fois par décade, mais tous les jours,: donc à tous moments.
… Il faut que votre cœur soit votre temple !
… Il faut que ce temple soit votre cœur !
… Il faut que votre raison soit votre « oraison » !
… Il faut que votre mouvement soit votre Foi !
… Il faut que votre main tendue soit votre façon de prendre !
… Il faut que votre façon de prendre soit votre main tendue pour donner !
Je vous le dis, il n’y a point de « religions », il n’y a point de Fois multiples… il n’y a que le UN… recentrez-vous ! Placez-vous, vous, dans la Vérité !
Sans jamais l’imposer aux l’autre… aux autres… à l’autre…
… Il faut que vous soyez l’exemple…: « soyez l’exemple ».
… Il faut qu’autour de vous, la multiplicité de l’image que vous donnez soit l’image de l’Unité du Père.
… Pensez à votre action,
… pensez à vos gestes de tous les jours,
… pensez à vos réactions qui sont déplaisantes au plus haut point ! (Ces réactions voulais-je dire !)
… Pensez à votre mouvement de don,
… pensez à votre mouvement de partage par l’Amour qui est la préhension.
Appliquez-vous à entreprendre un certain travail qui vous amènera à l’Unité de l’Amour. Les mots sont importants, la démarche l’est d’autant plus !
Le deuxième mot c’est : l’Attention !
J’aimerais que vous soyez attentifs à vous-même d’abord, car vous êtes multiples plutôt que d’être UN. J’aimerais que vous vous recentriez sur l’Unité :
- soyez attentifs à ce qui vient du dehors, sur les personnes qui vous parlent, sur les évènements qui vous agressent, sur les phénomènes qui vous rendent multiples… approchez-vous de l’Unité !
- Soyez attentifs, Je voudrais que vous ameniez un peu plus loin votre attention afin que, plutôt que de le pressentir, vous puissiez enfin le vivre. Ne vous laissez point entraîner par les actions qui viennent au devant de vous et qui amènent à des réactions. Je n’aimerais plus vous voir réagir, mais vous voir AGIR… tout simplement et tout amoureusement !
En parlant de Cœur et d’Esprit, j’aimerais bien que vous m’accordiez enfin un peu plus d’unité entre les deux, que vous n’ayez point d’une part, l’esprit qui agisse, certes fort justement parfois, et le cœur qui enfin réfléchisse.
J’aimerais que vous réfléchissiez avec le Cœur et qu’enfin vous agissiez avec l’esprit ! C’est-à-dire, tout l’inverse quoi ! Je vous engage, sur ce chemin !
Ce n’est plus une philosophie que je vous propose mais un travail que je vous donne… auquel je vous prédestine.
A partir d’aujourd’hui, il ne s’agit point de philosopher mais il s’agit de faire.
Vous êtes indépendants de toutes mes phrases, de tous mes mots, de toutes mes idées, mais vous êtes dépendants tout de même de toute la démarche.
Il faudra enfin comprendre, prendre, pour faire et agir.
Sais-tu que celui qui voit ne peut plus douter… reproduis donc pour voir ! Vois donc pour reproduire !
Élève donc ton esprit, élève donc cette vibration de ton cœur à ton esprit.
L’ouverture que tu peux avoir de ton esprit n’aura jamais de commune mesure avec l’ouverture de ton cœur.
Ouvre donc ton cœur et élève le, tu verras que tu y verras bien mieux !
Retransmettez l’appartenance à une Unité de laquelle personne n’est exclu, le personne, ses proches et sa progéniture bien sûr.
Elle recrée l’Unité par la multiplicité de son être.
Qu’un peu plus de tolérance, de patience et de calme permettrait bien souvent d’entendre, ma voix !
Bien souvent, j’ai essayé de mettre en garde en disant ces simples mots : « attention, prends garde, concentre toi, calme-toi ! ».
Il n’y a point de surdité dans la sagesse et dans l’Esprit mais simplement une attention et une volonté qui font que nous sommes tous en liaison.
Jamais rien de ce côté-ci de la barrière n’est voué à la surdité et à la cécité. I
l n’y a pas de handicap chez nous.
L’Amour est un échange, l’Amour est un partage, l’Amour est un don !
Trois mots qui sont l’Unité même du Père !
Vous n’etes pas une entité unique enfermée dans une seule enveloppe vouée à la pourriture ou au pourrissement.
Vous êtes une multitude, vous êtes le UN, vous êtes une émanation du UN.
Le UN n’est pas seulement en toi-même, mais en une multitude aussi.
Ce UN étant partagé ensuite en de plusieurs entités qui se repartagent encore et, l’homéopathie est une très bonne image de ce que vous êtes à l’heure actuelle.
C’est pour cela que Maître Philippe a dit que vous avez une participation filiale ou familiale de votre Unité avec le minéral, le végétal ou l’animal.
Dans le milieu supérieur humain, vous êtes une multitude en contact permanent avec le UN et pourtant Unique lorsque vous vous réunissez.
Vous ressentez donc, par expérience induite, immédiate, une attirance envers une personne plus qu’avec une autre, c'est-à-dire, d’une façon ponctuelle immédiate, sans réflexion, cela te fait comprendre que tu participes de la même unité animique… je n’ai pas dit la même âme… mais j’ai dit la même unité animique.
Cette personne aimera ce que tu aimes :vous partagez parce que vous êtes UN.
Tout votre travail, c’est de travailler à vous réunifier tous !
Tous, toutes ces unités dispersées, afin de revenir vers le UN.
Il est facile d’aimer ses amis, votre travail maintenant consiste à aimer ceux envers lesquels vous n’avez point d’attirance et pourtant, à partager avec eux les mêmes goûts, c'est-à-dire, à vous unifier, à vous élargir, à vous amplifier, à vous étendre, à devenir le UN enfin !
Il faut comprendre : donner ce n’est pas prendre et prendre ce n’est pas donner.
Il faut arrêter de vouloir aimer, c'est-à-dire, d’imposer, pour enfin aimer afin de prendre. Aimer, c’est un partage !
Il ne faut pas vouloir tout apporter et que l’autre puisse tout prendre et que cette image soit enfin inversée.
Prend d’importance que le négatif perçut dans l’image des autres…
Sa femme, ce n’est point sa propriété, ça devrait être son unité, ça devrait être la personne avec laquelle il devrait s’unifier enfin, avec laquelle il devrait s’ouvrir d’un cœur large, les mains ouvertes prêtes à prendre et à donner mais d’une façon altruiste. Non point, à imposer ou à se faire imposer…il faudrait qu’il arrête de regarder tout ce qui est noir pour voir tout ce qui est blanc.
Il faudrait qu’il arrive à ne plus voir enfin tout ce qui le dérange mais ce qui l’arrange. A voir ce qu’il peut aimer plutôt que ce qu’il peut détester.
Il faut qu’enfin, dans l’autre, il ne soit plus le miroir et que l’autre ne soit plus le miroir de lui-même ni de son âme.
Il faut qu’il arrive à donner ce qu’il voudrait recevoir et recevoir ce qu’il voudrait donner.
Il faut qu’il recrée enfin l’Amour et l’Unité en lui-même, qu’il donne et qu’il partage sans qu’il y ait de différence entre ces deux mots.
Vivez ! Ne comprenez pas votre vie. Vivez ! Maintenant, de suite !
Peut être dans une seconde tout aura changé donc, peu importe… « Carpe Diem » Jouissez de l’instant présent !!!
Le devenir ne peut plus être aussi haut placé car tu ES !
Devenir n’est point présent, je viens juste d’en parler mon jeune ami : tu ES !
Ne te place pas dans l’amélioration !
Tu es déjà bien placé, tu es déjà la vie en entier, tu es déjà « Dieu ».
Ne recherchez point demain ce que vous pourrez faire enfin avec l’Unité : vous êtes l’Unité. Toute la séparation est dans l’impossibilité que vous y mettez par l’esprit et par le verbe. Je vous l’ai dit, cessez de dire non !
Cessez de dire c’est impossible ! Remplacez par : cela est ! Je suis !
Je suis cette divinité, je suis UN !
Je suis enfin calme, je suis enfin présent, je suis enfin tout amour et tout cela sera ! Car tout est en cet instant présent en haut ! Donc, cessons de placer à demain !
« La stratégie de l’intouchable »
C’est aussi celui qui est incompris… celui qui est différent, celui qui est pestiféré par certains ! et ton esprit deviendra l’esprit d’un pestiféré pour ceux qui sont intransigeants « celui qui sera incompréhensible, celui qui sera borné, celui qui sera fixé, celui qui sera sur hier il y a quelques années ou celui qui sera demain, sur ce qu’il voudra être ».
Deviens l’intouchable, deviens l’incommensurable, deviens celui qui sera enfin l’unité de tout, qui sera l’incontournable… d’intouchable, tu sais, cela veut dire bien des choses et cela veut dire une seule chose : sois heureux de l’Etre !
Il faut garder la confiance en permanence !
Non pas en permanence ! Permanence tout court
C’est se battre contre le doute en permanence !
Juste un dernier point : le désir …/…c’est ce qui part du cœur !en permanence
Le désir ne peut point partir de l’esprit qui est assujetti au mental…
Le désir part du Cœur !
Comme toujours, comme toujours des petits enfants qui ont besoin de découvrir au travers du paquet, de l’effet du ruban, enfin ce qu’il y avait à l’intérieur. Et pourtant, l’enfant s’attache beaucoup plus à la couleur du papier, à l’effet que va faire le ruban qu’au cadeau qu’il y a à l’intérieur.
Et pourtant ce cadeau… depuis le temps que je l’ai dans les mains, tendues au devant de vous !
Vous commencez enfin à percevoir ce qu’il y a d’Unique, dans le Père, dans le permanent…simplement par un effort de tous les instants… vous vous dites : un mot de plus ? …. Une idée supplémentaire ?
Je vous dis une idée unique, un mot commun.
A propos de votre enseignement…
Si vous en tirez vraiment la substance,
Si vous ne la détournez point, mon acceptation vous avez !
Vous avez écrit pour cela mais vous aurez aussi mon aide si vous le souhaitez…
Et surtout de ne pas compiler… Il faut prendre avec vous.
Vous pouvez aussi le dire sous le sceau du secret d’une façon bien discrète, à tous ceux qui seront prêts à l’entendre bien sûr.
Il n’y a point de secret qui doit être dévoilé, seulement, je vous le dis, ne jetez point les perles aux pourceaux.
Cela ne veut point dire qu’il faille vous prendre pour des êtres détenteurs d’un trésor « inique
[1] » et unique.
Il faut simplement faire attention à la façon dont vous allez le redonner et le retransmettre car vous devez le donner et le retransmettre !
Le tout va être dans votre responsabilité et la façon de le faire.
Vous devez faire très attention dans la façon de le transmettre.
Vous avez vu tous ces mots importants et ce n’est point fini pour en arriver à ce mot qui enfin « tilt
[2] » en vous une certaine résonance… dans la cloche du haut de cette église qu’est votre cœur, qui se met à vibrer enfin.
Ce n’est point la première fois qu’il vibre, une certaine résonance s’effectue en votre cœur et non point en votre esprit.
Il faut que vous soyez attentifs en redonnant cet enseignement, à faire résonner le cœur et non point l’esprit.
Il ne faut point que le mental se saisisse de ces mots, ni en fasse des puzzles : et des images qui puissent monter en épingle, en volume et en surface, et enfin s’épandre pour ne plus pouvoir rien dire mais, soient bien ciblés pour qu’enfin les gens disent « ah ! Mais c’est le mot qui enfin nous fait comprendre Tout ! ».
L’idée à laquelle il faut que vous vous attachiez à l’heure actuelle, le travail unique que je vous demande maintenant :
Ne cherchez point le complexe dans ces mots, il suffit de la permanence.
Je vous assure qu’elle suffit à tout !
Bien sûr, avec Amour mais cela, il était inutile de le préciser !
Pourquoi un mot percute mieux qu’un autre ?
A ce moment là, parce que vous êtes présents maintenant !
Ni hier, ni demain, mais permanent, présents et infinis, c’est permanent !
C’est le cœur qui est important. La philosophie, c’est pour le cerveau.
C’est l’esprit ! La philosophie c’est l’esprit de la lettre.
Le cœur c’est lettre de l’esprit.
… et c’est pour cela, que dans la lettre, il y a une permanence. C’est l’unicité…
Il me semblait que quand même, les deux étaient liés parce que la philosophie, elle élève l’être, pas seulement par son esprit mais par rapport à son cœur…
L’avoir mise, cette apostrophe amène une autre dimension et une autre pensée de cette phrase.
« Pensées » justement sur ces jeux de mots dont je suis bien friand, parfois, pour en détourner la lettre… pour en arriver à l’être.
Ne vous appliquez pas qu’à ce mot, il y a bien des fois où je vous ai fourvoyés, détournés, amusés, avec ce genre d’idées qui ont une pensée très miroitante… miroitante dans l’idée que j’ai du miroir ! Car je donne l’image, il faut toujours penser à bientôt voir son inverse pour enfin voir la réalité.
La caverne de Platon : pas l’ombre mais l’objet !
A partir du moment où vous pouvez retrouver la lumière, non point l’objet.
L’objet n’est point important, ma jeune amie… l’ombre est provoquée par l’objet mais ce qui est important, c’est l’ombre, c’est donc la lumière qui va provoquer l’ombre.
L’objet, lui, n’est simplement mis sur le trajet que pour vous faire prendre conscience de la réalité…! L’objet, lui, n’a point d’importance : l’aiguille… le foin… peu importe de trouver l’un dans l’autre !
Quel fabuleux exercice vers la Sagesse
Vous écoutez la radio, vous regardez votre entourage, vous écoutez vos proches…
Que de prétextes pour vous amener à vous enflammer et à juger.
Etre « spectateur », un spectateur calme comme un lac… il nous est demandé tout autre chose…
Humblement accepter que nous ne connaissons pas vraiment toutes les causes et les conséquences des « images » que nous regardons ou nous écoutons !
Voir et entendre cela est tout différent :
o voir par le Cœur et l’Esprit ou
o voir par l’Esprit et le Cœur
C’est la voie de la Sagesse.
Etre humble, c’est comprendre que dans notre mental et notre « capacité » humaine de donner de l’amour, cela sera toujours un choix de notre personnalité, de notre jugement personnel (comme 90 % de l’humanité) d’où les affrontements en pensées, en discours, en guerres
o si nous ne rattachons pas à l’Amour du Père…
o si nous n’exprimons pas cet Amour dont nous sommes porteurs en effaçant nos perceptions humaines, tous nos actes restent vains.
Voir ! C’est voir que le Père est en chacun d’entre nos frères humains
Entendre, c’est entendre l’Appel du Père en chacun d’eux.
Attention : les tentations, pour un « EGO » un peu réveillé, de juger,sont énormes.
A chaque fois que quelques propos, situations, images, lectures vous heurtent, il nous faut faire ce geste éternel … Prendre en son cœur et accepter…
Accepter, c’est élever… renvoyer au « Ciel », au Père pour qu’Il purifie… donc qu’IL mette Son Ordre dans cette « pagaille ».
C’est attirer par nous la « Lumière » pour nettoyer « l’Ombre ».
Alors, « nous », un peu plus « éclairés » que la multitude, ne réagissons plus en prenant partie pour ceci ou cela…
Notre seul parti doit être celui du pardon pour tous…
« Père, pardonne leur, Ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Simplement, demandons-nous si nous désirons participer au tourbillon fatal en jetant quelques cailloux supplémentaires dans la mare où nage notre humanité.
Ou bien participer de l’action du Père en émanant, rayonnant l’Amour, le Tout Amour qu’IL nous envoie.
Et ceci, avec patience, compréhension.
Quel exercice pour notre EGO !
[1] Gravement injuste. (Voulant dire par là : injuste de le détenir par rapport aux autres)
[2] Faire comprendre brusquement.