ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
Soirée dispersée… peu d’unité entre nous quatre (Georges, Nicole, Claudine et Guy)
Puis, très tard dans la soirée, Claudine étant partie se coucher vers 0h30, donc le 17.10.98 : intervention de l’Ancien.
 
Pour réponse, je viens vous poser une question…
A quoi cela sert-il de forcer le passage… vous qui l’êtes ?
Eh oui ! Encore des jeux d’Esprit !
Vous avez posé toutes les questions….
J’aimerais que vous réfléchissiez aux réponses, vous, mes « sages ».
Alors, sachez que si cette soirée s’est faite sans moi ou sans mes amis, c’est qu’il y a une raison ! Une raison qui est la vôtre !
 
Vous parliez tout à l’heure de battant ! (Le battant qui fait résonner la cloche !)
Je crois qu’il faut que je vous donne simplement un conseil.
Un seul conseil que j’ai mis bien du temps à appliquer. Appliquer !
Ne point théoriser (quoique cela ait de l’importance) mais appliquer !
Voyez comme je suis courbé ! Voyez comme je suis courbé…
Eh bien ! Je vous dis, en Vérité, appliquez et vous serez re-dressés.
Aimez droitement toutes choses !
Forcez le pas sage et vous serez sages ! Vous êtes de vilains garnements !
Mummmm ! Garnements !
Mais c’est comme cela que la voie sera ouverte !
 
C’est en étant des enfants indisciplinés que vous êtes mes meilleurs disciples.
Alors, je vous dis pour vous rassurer, continuez !
Mais surtout arrêtez d’oublier d’appliquer !
Appliquez, appliquez encore et encore…
Efforcez-vous encore et encore…
Donnez encore et encore de vous, dans une application juste et pure.
Donnez une fois, cent fois… jusqu’à épuisement… ce sera votre richesse !
Vous voulez encore obtenir davantage ? Vous n’êtes point encore rassasiés ?
Comme je vous comprends…
 
Mais mon grand ami (Véga) vous l’a déjà dit : si vous ne videz votre coupe… si vous ne videz votre coupe, comment voulez-vous qu’on vous la remplisse ?
Alors, la seule façon de la vider : c’est de donner !
La seule façon de DONNER, c’est d’APPLIQUER avec CONSTANCE et comme vous l’avez souligné, avec PERMANENCE…
Pour peu que vous arriviez vraiment à donner toute la portée de ce « verbe ».
 
J’ai de la peine pour me déplier… pliez-vous donc à ma peine…
 
VEGA :
mummm ! mummm ! Voilà, vous avez obtenu ce que vous vouliez : j’ai grondé !
 
Hum ! Vous m’étonnez ! En réfléchissant, vous m’étonnez !
 



Créer un site
Créer un site