ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
 
Je serais venu bien plus tôt pour converser avec vous et je vous demande de me pardonner cette heure tardive mais votre conversation était si intéressante que j’ai trouvé inopportun de venir l’interrompre.
 
Car nombre d’idées que vous avez émises et sur lesquelles vous avez débattu étaient passionnantes et demanderont d’ailleurs, de nouvelles concertations de pensées et concertation de preuves. Mais, je vous fais confiance… vous reviendrez bien ensemble dans un endroit autour de la table pour en deviser longuement….
 
Vous êtes, à mon avis, en complète animosité… vous êtes « à mon à vie »… en manque de curiosité… vous devez toujours apaiser cette soif de connaissance et de réponses à vos questions et pourtant, si l’on vous regarde, si on regarde vos attitudes, vous « évitez » la plupart de vos centres d’intérêts qui ne sont que de quelques minutes… que de quelques heures. Il me semble qu’avoir la mémoire de pensée, d’écriture est le plus important de votre travail car il ne faut point passer sur une question… point passer sur une question…. Cela est important….
 
Vous souhaitiez avoir la conscience de vos vies antérieures… vous souhaitez connaître votre avenir…. Vous souhaitez toujours aller en deçà ou en delà de votre présente… il est tout de même bien curieux, pardonnez-moi, de m’étonner que vous ne preniez pas autant d’intérêt sur votre présent… car, en définitive, votre existence que l’idée encore débattue de moultes fois est sur le présent seul… vous vivez maintenant, vous avez vécu, vous ne vivrez que demain, par contre… c’est maintenant que vous vivez, que vous pensez, que vous bougez, que vous êtes.
 
Cela est important, la notion de l’instant… je complémente certaines conversations ou certaines pensées qui n’ont point été émises dans cette soirée et que pourtant, vous avez eues … ah ! Il y a encore dans la tête…. Je ne vais pas parler dans le vide… je vais attendre vos centres d’intérêts et vos questions.
 
Silence général…
 
Je vois qu’il y en a beaucoup, trop peut-être !
 
(Georges) Lors de notre dernière entrevue, vous avez parlé d’un évènement de mon passé et qui concernait une naissance… j’ai imaginé que c’était la naissance de ma fille mais cela peut-être celle de mon fils. J’ai eu beau chercher… je n’ai pas trouvé d’explication à vos paroles. Pouvez-vous m’éclairer un peu plus ?
-         Non point ! Non point ! car si j’ai donné un semblant d’explication sans plus m’étendre, c’est pour que tu aies là réflexion… mais je vais quand même te minimiser dans l’étendue de ta réflexion en te disant : c’est à la naissance de ta fille… Voilà… en écoutant ce que tu enregistres si consciemment et en alliant un petit peu les petites indications que je donne au fur et à mesure, peut-être arriveras-tu à faire ressurgir le souvenir car c’est cela… tu t’en doutes… qui m’intéresse en premier.
 
(Georges) ce n’est pas beaucoup !
-         c’est déjà beaucoup !
 
(Georges) j’ai imaginé au départ que c’était effectivement de ma fille qu’il s’agissait et je n’ai rien trouvé !
-         Ah !
 
(Georges) J’en ai même parlé à ma femme qui n’a rien trouvé non plus.
-         Oui ! mais je te dis ça sur la naissance de ta fille mais ne te centres pas sur ta fille… avez-vous d’autres questions ?
 
(Georges) Est-ce que le père de Guy s’est engagé en ce qui concerne cette…
-         Je pense que tout a été enregistré… je ne ferai point partie de votre pari étant donné que je ne peux point encore venir parmi vous boire le champagne… je vous laisse le soin de le boire sans moi….
 
(Georges) Y a-t-il longtemps que vous nous écoutez ?
-         il y a un certain temps… disons que je suis arrivé une demie heure en retard de votre rendez-vous.
 
(Georges) Vous êtes seul ?
-         Non !
 
(Georges) Vous êtes avec nous par la pensée, ou bien venu en…
-         Je suis bien là avec deux de mes frères…
 
(Désiré) Vous pourriez nous parler de certains passages de l’Evangile ?
-         Lesquels ?
 
(Désiré) Au hasard !
-         Au hasard… c’est une question bien vague… où est ton intérêt ?
 
(Désiré) Nous expliquer certaines choses que nous n’avons pas comprises…
-         Que n’as-tu point compris ? je ne peux point te donner en cette soirée et dans le temps qui nous est imparti… comme on dit chez vous… l’explication entière de la Bible… que t’intéresse-t-il d’entendre ?
 
(Claudine) On dit que le Christ a été marié. Pourquoi cela a été effacé car cela a du être cité par les Apôtres ?
-         Cela a été cité… il y a encore quelques traces dans les écrits qui sont sur passées inaperçues parce qu’elles étaient simplement allégoriques.                                     Si vous relisez bien, vous comprendrez, par rapport aux mœurs de l’époque… par rapport aux traditions…
 
 
 
 
 
Que… par exemple… aux Noces de Cana… un voyageur ne pouvait pas prendre autant d’importance comme le Christ la prit…
il fallait donc qu’il soit un personnage particulier, ayant une certaine importance par rapport aux autres.                         
Regardez le dialogue qu’il y a eu avec Jésus, Marie sa mère et ce qu’à répondu Jésus… regardez bien aussi ce que demande le père, donc le chef de cérémonie…
regardez bien la façon dont cela se passe et puis, parcourez encore les écrits des Apôtres… et vous y trouverez des notions de famille, de frère, de femme et peut-être, au fur et à mesure des écrits… qui sont, je l’avoue perdus maintenant en deçà et en delà… des explications…
Et cela vous montrera que le Christ a été marié bien sûr…
Pourquoi cela a-t-il été expurgé ? …parce qu’il a fallu détruire la notion de Christ et de lignée…
Il était bien plus important de montrer le Christ célibataire… qui n’ait pas de lignée… qui n’ait pas eu de suite car… en détruisant le côté physique de la lignée donc, la notion de descendance matérielle… on détruisait par le même coup, la notion de lignée de tradition donc, de descendance de tradition donc, d’une existence réelle de la tradition verbale que le Christ a laissé et qui a été perpétuée par la suite… voilà des deux côtés de cette explication…
 
(Désiré) Il y a donc une lignée ?
-         Oui ! Mais la lignée la plus importante est celle de tradition et de spiritualité.
 
(Georges) Vous-même, est-ce que vous êtes marié ?
-         Oui ! mais point au sens terrestre… mais je vis effectivement avec ce que tu appellerais une femme… oui, j’ai des enfants… j’en ai trois.
 
(Georges) Ils ont de prénoms ?
-         Oui ! mais je crois que ce sera intraduisible pour vous.
 
(Désiré) Ils naissent automatiquement dans le même état d’esprit spirituel que vous avez ?
-         Ils ont tout de même un apprentissage à faire qui est de Vie, de société, de spiritualité… qui, pour chez vous, s’imbriquent l’un dans l’autre et ne vont pas l’un sans l’autre.
Mais ils sont nés sur une planète donc, ont beaucoup appris et à apprendre, cela va de soi sinon, il n’y aurait point d’existence…
 
(Georges) Est-il exact que notre civilisation est en pleine décadence spirituelle ?
-         Oui ! mais dans le même temps… et c’est pour cela qu’une multiplicité de personnes s’intéressent, parlent, recherchent… et ils sont tout de même très peu nombreux par rapport à l’existence des hommes sur Terre.
 
 
 
 
Ce qui forme votre société…                                                                      qui est composée d’une multitude d’êtres et en même temps l’entité que forme votre société…                                                                                qui est composée de milliers de pensées qui se sont au fur et à mesure des siècles alimentées… qui ont alimenté cette entité…
Il est vrai que le peu de personnes qui s’intéressent… qui cherchent et qui regardent sur l’enseignement ne font que très peu dans la balance…
Mais le mouvement spiritualiste est en train de prendre de l’essor parmi votre société... et dans toutes les sociétés des divers pays qui composent votre Planète… donc, ces personnes se multiplient car n’y es-tu point venu ? D’autres après toi y viendront encore… donc, peut-être, dans quelques temps, la balance sera faite, et au fur et à mesure des temps qui se passeront, sachez que peut-être, cette ère du Verseau, remplira son office car l’Ere du Verseau est le temps de la spiritualité, de l’harmonie et de la compréhension…
bien sûr, également, l’Amour…
 
(Claudine) Beaucoup de personnes qui s’intéressent à l’ésotérisme tombent dans le piège des sectes où de personnes qui profitent de cette recherche.
-         Il est vrai qu’il y a des personnes qui profitent de cet état d’esprit… Il est vrai que bien des personnes essaient de tirer un bénéfice personnel de ces idées qui doivent te rendre service ainsi qu’à tes frères…
Il est vrai que ces personnes sont condamnables mais on doit leur pardonner car ils ont déjà leur récompense.
 
(Claudine) Mais c’est ennuyeux pour les personnes trompées car elles sont sincères dans leur recherche.
-         Je crois que ces personnes- là auront un jour la chance de se rendre compte et, ce qu’il faut… c’est non point mettre en garde les gens contre l’enseignement… mais les mettre en garde contre l’erreur qu’il fait naître…
Car dans toute idée… dans toute pensée… il y a toujours le bien et le mal.
Regardez les inventions de votre siècle… elles ne pouvaient servir qu’à votre bien et pourtant… avec cela… on a fait des armes de guerre qui tuent des millier de gens.
Dans cette notion… et dans chaque notion de pensée… et dans chaque notion de physique… vous pouvez prendre le bien et le mal.
Mettez en garde les gens autour de vous de ne point pencher vers le mal car ils perdraient leur temps… ils ne perdraient point leur vie car un jour ou l’autre, ils auront la chance de découvrir la vérité… mais ils perdraient un temps précieux.
Mais par là même occasion… en mettant les gens en garde… eh bien ! Mettez-vous en garde vous-même !
 
 
 
 
 
 
(Georges) Il y a des voyants qui ont vu la destruction presque totale des habitants de notre planète pour les voir remplacés par une race dite supérieurevoir parfaite.
-         Il est vrai que cela est inscrit mais je voudrais vous rassurer tout de même. C’est pour cela aussi que tous les Maîtres propagent cet éveil de conscience dont vous êtes une partie de la chaîne et non pas la plus basse… comme vous avez le plaisir, de temps en temps, de vous le dire…
Vous êtes l’une des plus hautes… ce qui vous marque d’autant plus de responsabilité. C’est vrai que cet éveil de conscience et ce travail sur la conscience proprement dit… de l’Amour… s’accentuent.
Pour éviter cela, il est vrai qu’une mutation doit se faire, mais les Maîtres souhaitent qu’elle se fasse dans beaucoup plus de sérénité et beaucoup plus de douceur qu’elle n’a été programmée à l’origine.
Elle n’a été programmée que par rapport à la notion de l’esprit humain.
Il est vrai que si vous refusez, cela s’accouchera dans la douleur… il est vrai que si vous acceptez, vous vous transmuerez au fur et à mesure des générations dans la douceur, l’harmonie et l’Amour.
Je crois que maintenant, les dès sont dans votre main… à vous de jouer !
 
(Georges) Mais nous sommes bien petits nous ! Pour arriver à faire quelque chose.
-         Oui ! Autant que nous et pourtant… tout ce qui est petit arrive à bouleverser ce qui est grand. Regarde par exemple, l’image d’une maladie… ce sont des microbes infiniment petits qui bouleversent votre organisme et qui peuvent même le détruire… regardez d’autres bactéries… d’autres produits qui sont infiniment petits et qui arrivent pourtant à tout inverser et à soigner votre organisme… ce qui vous permet de guérir… et tout cela se passe dans l’infiniment petit… ce n’est point à coups de massue qu’on soigne un mal de tête.
Plus vous serez petits… plus vous pourrez faire de choses actives !
 
(Georges) Je me pose beaucoup de questions… notamment celle de savoir si je suis sur la bonne voie…
-         je vais te dire la première preuve que tu es sur la bonne voie… c’est peut-être simplement le fait que tu te poses la question !
 
Silence….
 
-         Ah ! … ne pense point que j’aurais pu te fournir une autre question… c’est tout le sens de la recherche.
 
(Georges) On est bien seul ! je trouve qu’on est trop souvent seul en ce qui concerne les raisonnements. On fait les questions et les réponses nous-même sans avoir aucune idée de la véritable réponse.
-         La réponse t’a été donnée tout à l’heure je crois.
 
(Georges) Oui ! Mais j’aurais bien voulu avoir votre avis
-         c’est fait … Ah !
 
(Georges) Moi, je n’ose pas vous poser de question d’ordre personnel dans la mesure où cela paraîtrait égoïste et matérialiste.
-         Vas-y toujours… si cela ne m’intéresse pas… nous passerons à une autre question.
 
(Georges) La plus importante touche mes proches, ma fille notamment. Vous y avez répondu la dernière fois disant qu’elle finirait par guérir.
-         Oui !
 
(Georges) Qu’il ne fallait pas être pressé. La deuxième plus importante me touche au niveau professionnel. Est-ce que mes problèmes vont se résoudre sans trop de difficultés ?
-         La plupart de tes problèmes se résoudront, disons sereinement, par la notion d’évolution de ton avenir. Mais par contre, il y a un ou deux problèmes qui accoucheront dans la douleur… non point que cela te coûte mais cela coûtera…
 
(Georges) Oui ! à notre niveau… quand vous parlez d’accouchement dans la douleur, cela signifie douleur financière ?
-         Pas forcément, je dirais même que cela n’est pas obligatoire…
 
(Claudine) Eh bien ! Cela veut dire ce que cela veut dire !
-         Eh bien ! Vous re-écouterez la cassette puisqu’elle vous aide à cela !
 
(Georges) cela nous aide beaucoup en tout cas !
-         Vous êtes inattentifs sur l’instant. Cela vous aide beaucoup. Profitez-en !
 
(Georges) nous n’aurons pas le droit d’en profiter longtemps ?
-         Ce n’est point le droit… ce sera peut-être le service à vous rendre.
 
(Georges) d’accord !
-         Mais un jour où l’autre, vous pourrez reprendre vos engins de mémoire artificielle.
 
(Georges) En fait, ces engins nous aident à réfléchir longuement car, ce qu’on perçoit sur l’instant n’est pas toujours compris de la même façon après plusieurs auditions de la cassette.
-         Cela est vrai. Veux-tu le pourquoi ?
 
(Georges) Oui !
-         Vous n’êtes pas attentifs à ce que l’esprit demeure.
 
 
 
 
 
 
(Georges) Je ne pense pas que ce soit vraiment le fait qu’on ne soit pas attentifs. Je pense, qu’au contraire, on est trop attentif et qu’on analyse trop les choses.
C’est pour cela qu’on a plusieurs solutions.
-         Je pense aussi que vous réagissez par rapport au vécu de votre journée.
Il suffit que vous ayez de bonnes nouvelles et vous réagissez sereinement.
Il suffit que vous ayez eu pas mal de problèmes vécus tant sur votre société, sur des problèmes sociaux, qu’à votre entourage par les gens auxquels vous ayez eu contact… il suffit que des problèmes se soient multipliés et déjà vous avez une pensée beaucoup plus noire… vous ne voyez que l’expression de dangers, de mise en garde ou même de mon agressivité….
 
(Georges) Oui ! C’est pour cela que la cassette est bien utile car elle nous permet d’écouter à tête reposée et de réagir différemment.
-         Je préférerais que vous puissiez reposer votre tête.
 
(Georges) Pourquoi est-il difficile d’arriver à obtenir les exercices dont nous avons parlé tout à l’heure ?
-         Il n’est point difficile de les obtenir !
 Je ne pense point que c’est comme cela qu’il faut poser la question.
Pourquoi n’avons-nous pas l’accès immédiat aux résultats de cet exercice ? … Eh bien ! Dites-vous que si le champion du monde des haltérophiles (c’est une image que j’aime bien) venait vous expliquer qu’il est possible de soulever
600 kg… je crois que vous auriez bien des désagréments physiques si vous essayiez de le faire !...
Pour les exercices… il en est de même !
Il suffit toutefois de très peu d’entraînement et d’un peu de perspicacité… ce qui nous manque le plus souvent … pour arriver avec un minimum d’entraînement à obtenir de petits résultats qui déjà vous conforteraient.
Je dois remarquer tout de même, en vous regardant, que la perspicacité n’est pas votre bien… Et juste au moment d’obtenir certains résultats, vous choisissez ce moment précis pour abandonner et penser à autre chose.
Ce n’est peut- être pas très gentil ! Mais je pense que tout de même dans votre tête vous percevez la réalité et le réalisme.
 
(Georges) Oui ! … mais c’est un découragement tout simplement provoqué par le manque de résultat !
-         Et peut-être que le manque de résultat, inversement, est provoqué par le découragement. Je pense que si vous regardez tous vos problèmes sociaux… il en est de même. Mais vous vous étonnez beaucoup plus… que cela sur l’enseignement ne marche pas alors que sur les problèmes sociaux…
vous considérez cela comme évident.
 
(Désiré) Justement, j’ai des problèmes sociaux.
-         Tant mieux !
 
 
 
(Georges) Tous les problèmes qui nous assaillent sont-ils voulus ? Sont-ce des sortes d’épreuves qui nous soumises ?
-         Je pense que ces notions d’épreuves sont à transformer dans vos têtes.
Avant… c'est-à-dire, avant que vous ne commenciez à deviser sur les choses de l’Enseignement… vous aviez toujours ce même genre d’épreuve… mais vous n’en aviez point conscience… alors qu’à l’heure actuelle… vous le remarquez davantage… vous vous appesantissez sur elle…
Ce qui est d’ailleurs trop…
Mais disons que vous avez beaucoup plus conscience de la notion d’épreuve… alors vous les totalisez… d’ailleurs… vous les inscrivez bien plus, avec beaucoup plus de conscience, que les questions que vous avez à poser… qui sont pertinentes ! Enfin, cette prise de conscience est bien… mais il ne faut pas s’appesantir dessus.
Regardez plutôt dans votre futur et dès l’instant présent… le côté positif de ce que vous avez obtenu… et si vous en faites le total sur une feuille en traçant deux colonnes… vous vous apercevrez que le côté positif est bien plus rempli que le côté d’épreuves du côté négatif.
 
(Georges) Ce sont des détails très minimes qui, quand ils sont additionnés…
-         Il est bien plus intéressant de pleurer sur son sort…
 
(Georges) Oui ! … (Il rit)
-         Sinon, on n’aurait plus rien à dire …
 
(Georges) Non ! il y a peut-être plusieurs côté… le côté spirituel… le côté bien sûr… on trouve toujours plus malheureux que soi.
-         Hum !
 
(Georges) Mais là, il ne s’agit pas de malheur… il s’agit de…
-         Vous voyez, dans cette notion apparaît l’envie, l’orgueil, la jalousie.
Les autres disent : « nous sommes malheureux mais il y a plus malheureux que nous » et ceux-là, ils se rehaussent de leur malheur.
Mais s’ils regardaient un peu au-dessus, ils se diraient : « il y a plus heureux que nous-mêmes… si je faisais un temps soit peu d’effort…  peut-être arriverai-je à être plus heureux ».
Mais tout de même, le côté (je vais employer un mot grossier) « feignant » du personnage humain fait qu’il se dit : « il y a plus malheureux. Alors soyons tranquille… je n’ai pas besoin de faire d’effort puisqu’il y a plus malheureux ! »
Avez-vous des questions à poser pendant que l’appareil marche encore ?
 
 
 
 
 
 
 
 
(Georges) Dans un livre que je n’ai pas encore lu mais que ma femme a lu, il est question d’accès à cette espèce de vie après la mort et à ce vide que nous imaginons nous, comme un vide et qui en fait, n’en n’est pas un puisqu’il s’agit de personnes qui ont connu un grand bonheur et qui sont revenues après un coma.
Est-ce que ce genre de situation peut être obtenue sans passer par un coma… sans passer par la mort ?
-         Bien sûr ! c’est cela l’éveil de la conscience, la prise de la liberté.
L’état d’être cela vous donne accès, ici, à ce bonheur immense d’avoir pris contact et de faire Un avec le Père.
Ce n’est pas, bien sûr, cette « visite » dans l’appartement témoin d’un bel immeuble, comme ces gens qui ont connu le passage de l’autre côté… car ils n’ont connu qu’un stade très restreint de ce qui est dans l’autre stade d’existence. Et vous pourrez amener sur Terre cette joie et ce bonheur… cette harmonie et cet amour que vous ne connaissez pour certains, que lorsque vous passez de l’autre coté. Vivez- le maintenant !
Je ne ferais point comme ces prêtres qui, sur Terre diraient : « ne faites point ce qui est mal et vous connaîtrez le Paradis après votre mort ».
Je vous dis : «  faites tous les efforts pour le connaître maintenant car, si vous ne l’obtenez pas maintenant, vous ne l’aurez jamais après ».
 
(Georges) Est-ce que ce Paradis… vous y vivez ?
-         Non ! Le Paradis est une notion spirituelle… si tu parles d’une société et d’une planète harmonieuse, je ne pense pas que celle-là est la plus harmonieuse… mais je ne pense pas non plus que j’aie à me plaindre. Car, je fréquente les gens habitant dans des planètes vivant sur un stade supérieur de la pensée… qui n’est d’ailleurs plus physique et je dois dire que nous ne sommes point très, très, loin.
 
(Claudine) Mais plus physique !
-         Oui ! Voyez ici matière… là, le cœur…l’état vibratoire du cœur ayant surpassé la matière, la matière n’a plus aucun sens d’existence puisque tout sera esprit relié au cœur. Donc, ces gens là sont énergie pure et les percevons simplement pour vous, en nette lumière.
Ces gens là, par… simplement une volonté… un désir d’une prise de contact avec nous… diminuent simplement leur taux vibratoire et reprennent leur réalité dans le matériel ou dans le physique. Nous pouvons donc nous retrouver, et quand ils ont fini cette visite de courtoisie…
Eh bien ! Ils repartent dans leur « chez eux »
Je pense que j’ai donné une image très simpliste de ce qui se passe et qui correspond au plus près à la réalité.
 
(Désiré) L’état spirituel se matérialise seulement pour être en contact avec vous ?
-         Oui !
 
 
 
 
(Claudine) Vous parlez de Planète mais il semble que celle-ci ne soit pas matérielle donc ?
-         Mon amie… il est vrai qu’il est très difficile de se faire une idée… en prenant pour base la matérialité… de ce qu’est leur plan d’existence… mais sachez que bien loin de prendre l’équivalence… je pourrais presque dire que c’est à peu près pareil. Sauf… que leur plan d’existence est beaucoup plus vaste et n’est point limité comme la matière l’est… comme une planète l’est… et que, pourtant, ils ont des limites qu’ils peuvent cependant, à leur volonté… dépasser !
 
(Georges) Sont-ils venus sur Terre ?
-         Oui ! il en est venu sur Terre… très peu de temps bien sûr !
 
(Georges) Il faut une grande concentration pour sortir de son corps ?
-         Non ! cela demande une grande confiance.
 
(Georges) La dernière fois que vous êtes venu, nous avons eu un message écrit par Saint Bonnet qui disait : « que dans trois jours, nous aurions une réponse » or, il ne semble pas que cette réponse… on ait pu la vérifier… Pouvez-vous nous aider ?
-         Non point car les prédictions (vous remarquerez que je n’en fais que très peu) et je crois qu’il a pris la responsabilité de celle-là… et même si le déblocage de ce qu’il a prévu n’a pas été ressenti sur votre plan de perception, je pense que cette réponse là va être fournis… vous en avez eu tout de même un semblant sur lequel vous avez réfléchi un instant en vous disant… c’est peut-être cela…
Il est vrai que cette perception était très tenue.
Et, c’est vrai que le réel déblocage avec ce que vous attendez sera par la suite… là, je lui laisse tout de même la pérennité de sa pensée.
 
(Georges) Il est souvent avec vous ?
-         Disons que nous nous rencontrons quelques fois.
Et puis, regardez les personnes qui sont autour de vous… ce que vous attendiez… ce que vous espériez…
Je vous donne rendez-vous à une prochaine fois. Je sais que cela est bientôt… alors, je vous dis à bientôt !
 
 
 
 



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