ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
Ecriture d’un texte par la main de Guy (le channel) guidée par Véga :
 
Ne vous répétez point
Innovez
Retournez-vous : intuiri
Tu dis vrai
Agir
Il ne faut pas répéter mais trouver
 
Que pensez-vous de ce qui vient d’être écrit ?
 
(Georges) On n’a pas tout compris.
-          je le pense… c’est pour cela que je vous demande votre avis.
 
(Georges) Ne vous répétez point. Innovez. Retournez-vous.
-          Oui !
 
(Georges) Intuiri ? Je n’ai pas compris là !
-          je pense que j’ai inscrit ce dont vous venez de parler depuis déjà quelques instants… il est écrit en haut (très mal peut être… car je guide moins ce corps que je ne le voudrais) : ne vous répétez pas… ne vous répétez point.
 
(Georges) Ne vous répétez pas.
-          Innovez ! cela… je pense… se rapproche de « cherchez »… cela veut dire ne point se répéter.
Retournez-vous… tu as donné une image très précise de ce que cela peut vouloir dire.
Intuiri : à l’intérieur. Se retourner au sud… au nord… à l’est ou à l’ouest ne sert à rien.
De quel côté que tu regardes… tu ne regarderas toujours que le social[1]
« l’Etreté » te sera toujours inconnue. A l’intérieur donc… tu trouveras la vérité… si c’est cela que vous cherchez. Qu’est-il écrit ensuite ?
 
(Georges) Tu dis vrai…
-          Voilà… tu dis vrai… veut dire : lorsque tu émets une pensée sur l’Enseignement… elle est vraie mais incomplète… elle veut dire aussi qu’il faut dire vrai… pour cela ne point dissimuler… ne point se retourner car… lorsqu’on parle… nous parlons avec nos pensées passées… nos expériences avec ce que nous aimerions voir s’accomplir de l’avenir.
Le « parler vrai » est le parler instantané… sans ses expériences… sans ce que nous aurions aimé… sans ce que nous aimerions.
Cela est-il compris ? Qu’est-il écrit ensuite ?
 
(Georges) … Agir…
-          Voilà !
Lorsque nous parlons vrai…
Lorsque nous avons trouvé la voie… du moins une de ses parcelles…
 
 
 
Lorsque nous avons réussi à découvrir à travers celui qui parle… celui qui enseigne… ce que l’on a découvert au travers de lectures… au travers d’une discussion entre amis… comme tu l’as dit tout à l’heure… de ceux qui… dans un certain instant privilégié… arrivent à se réunir sur une pensée unique à l’Enseignement….
Eh bien ! Il ne faut point que ce soit lettre morte… ce que tu déplorais tout à l’heure. Pourquoi ne commences-tu point… toi… tout seul… à agir après sur ce qui est dit ? Qu’est-il écrit après ?
 
(Georges) … il ne faut pas répéter…
-          Il ne faut pas répéter… répéter toujours ce qui a été dit.
Répéter toujours ce qui est passé.
Répéter toujours les mêmes expériences.
Répéter toujours les mêmes erreurs ou les mêmes vérités.
Cela ne sert à rien. Il faut innover… il faut agir !
Mais pour agir… il faut innover… et pour innover… il ne faut pas se répéter.
Je pense que cela a déjà été dit deux fois.
Qu’est-il écrit après ?
 
(Georges) … mais trouver… il ne faut pas répéter mais trouver.
-          Mais trouver… oui… qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire.
 
(Denise) Trouver la vérité.
-          Oui
 
(Georges) Trouver des voies nouvelles, trouver des idées nouvelles.
-          Non !
 
(Georges) On a tendance à répéter parce qu’on piétine… on répète parce qu’on n’arrive pas à avancer… je crois.
-          oui !
 
(Denise) A faire un pas de plus.
-          Non !
 
(Georges) On répète parce qu’on tourne en rond.
-          Tout est inscrit. La réponse à ce que tu demandes est inscrite en cette page… en quelques mots.
 
(Georges) Il ne faut pas répéter mais trouver… agir.
-          Oui !
 
(Denise) Chercher.
 
(Georges) Intuiri
-          Oui. Pour ne point se répéter… il faut donc chercher.
 
 
 
(Denise) Chercher à l’intérieur de nous.
-          Voilà ! ai-je parlé de choses nouvelles ?
Je ne pense point. Rien n’est créé…
 
(Georges)… approfondir notre propre…
-          connaissance…
 
(Georges) Disséquer nos connaissances pour aller au-delà.
-          Non point ! commence donc par faire l’état de tes connaissances.
Cela déjà sera un travail suffisant pour les quelques années à venir.
Déjà ton sourire revient à tes lèvres… cela me complaît !
 
(Georges) Ce qui m’inquiète, c’est les quelques années à venir parce que c’est long !
-          mais au rythme où vous allez mes chers enfants… lorsque vous aurez simplement appliqué la première ligne d’écriture que j’ai si imparfaitement reproduite… vous aurez déjà gagné au moins 20 ans de votre vie.
Je ne suis pas en deçà de la vérité ni en delà !
Pour répondre à votre pensée immédiate sur mes paroles…il suffit… si vous voulez gagner du temps sur votre recherche… sur votre application… de ne point vous répéter.
Qu’est-ce qui vous intéresse maintenant ?
 
(Georges) Bonne question.
 
(Denise) Ce qui nous intéresse, c’est d’aller de l’avant, de trouver quelque vérité qui nous mettrait sur la voie…
-          oui !
 
(Denise) De pouvoir converser avec vous sur un sujet qui nous amènerait à aller plus loin.
-          des idées nouvelles pour aller plus loin : Tout est inscrit en cette page. Converser : c’est ce que nous faisons en ce moment même.
 
(Georges) Ce qui nous intéresse, c’est d’arriver à faire abstraction de notre vie actuelle… de notre vie sociale…
-          cela est fait en cet instant.
 
(Denise) C’est surtout d’aborder un sujet sur le point…
-          C’est ce que je vous demande…
 
(Denise) A ne pas se retourner : se retourner, ça sert à rien. Ce qui est passé est passé.
-          cela est une vérité !
 
(Denise) Mais aller à l’intérieur de soi…
-          Cela est inscrit.
 
(Denise) Voilà ce qui nous paraît compliqué.
-          Cela n’est point compliqué. Il suffit simplement d’appliquer.
 
(Denise) Je suis d’accord, vous nous avez donné un jour un exercice à faire : imaginez une pomme…
-          l’avez-vous fait ?
 
(Denise) Oui mais ça n’a jamais rien donné.
-          Oui mais.
 
(Denise) Non non ! Je ne dis pas « oui mais… »
-          Agir… cela est inscrit… j’attends un mot que je n’ai point inscrit et je partirai…
 
(Denise) Ah non ! On ne le dira pas, on ne veut pas que vous partiez.
-          Mais trouvez le donc ! cela pour vous serait une avancée extraordinaire… serait un retournement sur votre pensée… pour peu qu’ensuite vous ayez la constance d’agir. Cela est bien que vous enregistriez ces quelques paroles. Simplement parce qu’il a été lu ce qui a été écrit…. Et parce que vous ferez peut-être l’effort de trouver ce qui n’a pas été dit ni écrit.
 
(Denise) Vous ne voulez pas nous aider pour nous mettre sur la voie ?
-          Que fais-je en ce moment ?
 
(Denise) Agir avec notre cœur, cela n’a pas été dit…
-          Mais cela a été dit il y a bien longtemps. Nous n’allons pas nous répéter : 1ère phrase…
 
(Georges) Il faut « faire »…
-          Cela veut dire « agir »… ne nous répétons point mon jeune ami
 
(Georges) Ah ah ! On essaie de vous faire parler un peu plus.
-          Mais bien sûr… je l’ai bien entendu…
 
(Georges) Il faut avancer…
-          Ne vois-tu point toi ?
 
(Georges) C’est à toi qu’il parle…
-          Non ! je parle à vous trois… « voir »… que peut dire intrinsèquement[2] le mot « voir » ? qu’est-ce que cela peut faire résonner en votre cervelle ?
Ce n’est point le mot que j’attendais mais c’est déjà une prémisse[3] de cette recherche… « Voir »
 
(Denise) Voir les choses telles qu’elles sont.
-          oui !
 
(Denise) Sans mélanger
-          Cela va déjà trop loin !
 
(Georges) C’est voir avec les yeux du cœur et non pas de l’esprit.
-          Oui
 
(Georges) Voir en spectateur
-          Oui ! c’est un peu voir les choses telles qu’elles sont.
 
(Georges) Mais se voir soi-même !
-          Cela est déjà un bon exercice de spectateur.
 
(Guy) Moi, je pense que quand on a un guide, pour l’instant vous êtes notre guide.
-          Ne me mets point des points trop hauts de ce que je ne suis pas…
 
(Guy) Si, si, mais quand même nous avons besoin d’un guide parce que nous avons besoin d’apprendre, nous sommes des élèves. On essaie de voir à travers notre guide des choses qu’on veut savoir et on pose des questions, peut être souvent très innocentes, pour pousser notre guide dans ses derniers retranchements afin qu’il puisse nous dire des choses que peut être inconsciemment, nous savons mais que nous voudrions entendre dire.
-          Ne te fais pas plus innocent que tu ne peux l’être. Je t’en prie.
Je vois bien là où tu veux en venir.
Nous n’allons pas nous faire l’injure… tous les deux… d’essayer d’ignorer ce que nous savons. Je vous ai parlé de « voir » par rapport à ce qui est écrit qui est… de ne point vous répéter qui concerne la parole.
Trois actions ordinaires de votre vie qui… j’espère… sera extraordinaire.
Il est utile d’enregistrer… cela est vrai !
Nous nous comprenons donc…
 
(Georges) Nous sommes en plein désarroi…
-          En pleine interrogation… non point en plein désarroi… mon jeune ami.
 
(Georges) En désarroi moral, mental…
-          Que vas-tu me chercher encore…
 
(Georges) Nous sommes tous dans cette pièce…
-          Cela est vrai
 
(Georges) A la croisée des chemins…
-          cela est vrai.
 
(Georges) Confrontés à la vie matérielle et à la vie spirituelle et malheureusement, trop souvent, le matériel l’emporte sur le spirituel.
Donc, on aimerait bien avoir la possibilité, la formule qui nous permettrait de nous concentrer sur le spirituel, et ce n’est pas évident parce qu’il n’y a pas de formule. C’est nous-mêmes qui pouvons la trouver. Et disons, moi, je n’ai pas encore assez de maturité pour arriver à assez me concentrer sur ce côté spirituel.
 
…(Véga coupe avec un couteau le bloc de papier)
-          Que viens-je de faire ?
 
(Denise) Couper une poire en deux.
-          Non !
 
 
(Georges) Faire la part des choses ?
-          Non ! j’ai tranché. Cela répond-il à ta question ?
 
(Georges) Vous, vous avez tranché parce que vous êtes capable de trancher.
Est-ce que nous sommes, nous, capable de le faire ?
-          Lorsque tu ne répèteras pas toujours le même chose…
Lorsque tu auras décidé d’agir…
Lorsque tu auras décidé de prendre ta voie… tu auras tranché !
Cela ne sera pas une action à faire… ce sera une action faite.
Je crois d’ailleurs que… pour une bonne partie… cet acte est à moitié réalisé. Je ne veux point vous lancer des fleurs… tu en serais bien déçu toi aussi… quoique tu t’en décries et cela te ferait arrêter de sourire.
 
(Guy) Oui, mais là on tranche. Pour moi, entre le spirituel et le matériel, on a tranché : on est quand même plus versés du côté spirituel que matériel mais on est bien obligé d’avoir le matériel pour vivre.
-          Cela est évident… cela fait partie du choix.
 
(Georges) Nous sommes sur cette terre finalement pour faire la part des choses entre le matériel et le spirituel donc, nous vivons sur une terre matérielle et la difficulté provient de cet état.
-          qui n’est que magie… qui n’est qu’illusoire… qui ne fait donc partie que du choix. Tout est inscrit dans ce que je viens de trancher.
 
(Denise) Le choix que les terriens ont fait ou que chacun… ?
-          Les terriens doivent subir !
Vous avez été plongés dans l’ignorance… vous cherchez la connaissance.
Si vous ne la cherchiez point… nous ne serions pas là en train de discourir.
Je n’aurais point tranché ces quelques mots qui détiennent à eux seuls toute la Vérité.
 
(Denise) En fait, tous ces bouleversements qu’il y a sur Terre en ce moment, politiques…
-          sont le fait du choix des hommes.
 
(Denise) Un choix qui se tourne plus vers le spirituel que le matériel.
-          Non ! point pour l’instant. C’est pour cela qu’il y a rébellion car les moments sont venus de partir vers la spiritualité. Il est grand temps que cela se fasse !
 
(Denise) Donc cela va s’accentuer un moment jusqu’à ce que…
-          On n’est pas là pour devenir des devins.
 
(Georges) Et ce sur quoi nous devisions, avant votre arrivée, sur votre présence qui se faisait de plus en plus rare…
-          De plus en plus présente.
 
 
(Georges) Dans votre venue, vous êtes peut être présent mais pas par la voix en tous cas. Est-ce que ce que nous disions était bon, est-ce que votre présence s’est espacée depuis quelques mois parce que nous n’avons pas assez agi de notre côté ?
-          Bien sûr… la réponse est inscrite dans la 1ère ligne des écrits.
 
(Georges) … « Ne vous répétez point ! » C’était ça la première ligne…innovez, retournez-vous.
-          Oui !
 
(Georges) Donc je pense…
-          Voilà un premier pas de franchi pour vous tous.
 
(Georges)  « Retournez-vous », moi je ne le fais pas !
-          Une discussion intéressante
 
(Georges) Quand à nous répéter, effectivement, moi je me répète beaucoup.
-          Mais non, mais non…
 
(Georges) Hé hé ! On répète beaucoup les mêmes choses, c’est un acquis.
On a tendance du moment qu’on l’a, à le répéter, parce qu’on est bien content de l’avoir et on se repose un peu sur nos lauriers.
-          Bien sûr…
 
(Georges) Et en fait, on oublie de se retourner, d’innover[4].
-          Cela est vrai…
 
(Georges) … et ce que vous nous avez dit est très important parce que cela doit nous permettre d’agir.
-          je vous ai donné ce qu’un guide vous donnerait lorsque vous attendiez de lui le petit coup de pouce dans l’arrière train pour pouvoir avancer un peu plus.
 
(Georges) Très bien mais vous devriez mettre un peu plus….
-          Pourquoi « mais » … je dirai plutôt « de plus »…
 
(Georges) On a tendance finalement, en lisant votre message, je le comprends de mieux en mieux, c’est qu’on a tendance à nous reposer un peu sur nos lauriers : on se répète…
-          Tu es très fort scindé en deux et tu le comprends de plus en plus. Veux-tu que je le coupe en quatre pour que ta compréhension se multiplie… cela était de l’humour mon jeune ami… je t’écoute !
 
(Georges) Il faut souvent couper les cheveux en quatre pour mieux comprendre.
 
(Guy) Nous les humains, nous sommes comme ça.
-          Vous êtes très complexes… retournez-vous donc !
 
(Georges) C’est très bien ce que vous nous avez donné : c’est presque un mode d’emploi !
-          c’est une bible !
 
(Georges) Vous nous avez secoués un peu en nous disant…
-          Non point ! je vous remue.
 
(Georges) oui ! C’est très bien. Il faut agir et vous nous encouragez en disant que nous disions vrai. Ça veut dire que nous sommes quand même dans la droite pensée.
-          Oui
 
(Georges) Donc « il ne faut pas »… (C’est coupé, c’est mal écrit) « Il ne faut pas trop »… vous écrivez mal hé !
-          Oui ! tranche donc encore un peu !
 
(Georges) « Il ne faut pas… mais trouver...
-          Il ne faut point répéter mais trouver…
 
(Georges) Non, ce n’est pas « répéter »…  ??
De toutes façons, nous sommes d’accord… il faut trouver parce qu’en fait, on a tendance à stagner, dans la mesure où on n’agit pas et l’on se répète.
On n’avance pas.
Donc, effectivement, en agissant, on cherche ! Et en cherchant on va trouver !
Et ça va nous permettre de gravir quelques échelons.
On va encore se répéter mais à des échelons différents, supérieurs, et de ce fait, on va entraîner avec nous, parce que ce qui nous a troublés lors de votre dernier passage, c’était que vous nous aviez branchés avec toute une chaîne et ça… ça nous a responsabilisés énormément car en plus, c’était une chaîne très importante d’après ce que j’ai compris.
Il y a beaucoup d’êtres qui sont accrochés derrière nous et si nous stagnons, ils stagnent tous.
-          Oui !
 
(Georges) et cela nous donne une sorte de grande responsabilité
-          Oui ! cela ne vous a point remués encore assez jusque là.
Je pense que je n’ai point agi assez envers vous.
 
(Georges) ça ne nous a pas remués du tout justement.
Il faudrait peut être nous secouer plus. C’est vrai, on n’a pas assez écouté la cassette mais dans cette cassette…
-          … tu n’as point écouté aussi ton cœur… ton esprit… les gens autour de toi…  l’ oiseau qui chante… qui se repose ou qui vole.
 
(Georges) eh oui ! Je l’ai écouté à ma façon.
-          Oui !
 
(Georges) Ces messages sont assez troubles…
-          Il y en a deux de l’unité qui ne disent plus rien.
 
(Denise) non mais j’écoute
-          Pourtant, des milliers écoutent en même temps que vous…
 
(Denise) Ah oui !
-          Là est la chaîne ! voyez que votre travail pourra être important.
Heureusement que quelques uns ont bougé… il y a quelques instants.
Mais vous restez encore les responsables de cette chaîne !
Encore pour quelques années. Cela vous ennuie ?
 
(Georges) Non, au contraire, cela nous responsabilise encore plus. Cela nous effraie. Moi, ça m’effraie parce que…
-          Cela est bien… si cela pouvait te faire bouger !
 
(Denise) Pourquoi « dans quelques années » ?
Qu’est-ce que nous deviendrons dans quelques années ?
-          Nous ne sommes pas là pour faire de la voyance.
Commencez donc à bouger maintenant.
 
(Georges) ça peut vouloir dire que si l’on n’agit pas, on risque de perdre cet avantage.
-          Vous ai-je menacé de perdre quoi que ce soit ?
 
(Georges) Non non ! C’est moi qui pose la question…
-          Non ! bien sûr que non… quoique ?
 
(Georges) Ouais ! Quoique…
-          Si tu poses la question… cela voudra-t-il dire que tu es prêt à abandonner quelque chose de toi-même ?
 
(Georges) Pas du tout ! J’ai peur de…
-          Alors la question ne se pose pas !
 
(Georges) Ah bon ! C’est parfait !
 
(Denise) Vous avez dit que vous étiez de plus en plus présent…
-          Cela est vrai. Je vous écoute avec une attention redoublée depuis quelques temps et avec un intérêt accru.
Vos conversations deviennent parfois (vous pensez rarement… vous avez raison) assez intéressantes. Vous êtes en train de vous remettre sur les rails.
Voyez-vous ce que veut dire cette image ?...cela veut dire : arrêtez de dérailler !...
 
(Denise) Et nous avons la chance de pouvoir discuter avec plusieurs personnes différentes…
-          Vous aviez envie de discuter. Vous discutez tous les jours. Cela ne vous perturbe point… ne vous apporte rien… vous attendez toujours une discussion qui vous apportera toujours plus.
Profitez donc de cet instant… retournez-vous ! Je fais rapport à une discussion du début où la réponse a été donnée. Je n’insisterai donc point !
Dans quel sens doit-on se retourner ? Vous écouterez la cassette avec beaucoup d’attention.
 
(Georges) Non, mais on a compris là. On doit se retourner à l’intérieur de nous même. Et il ne s’agit par d’un retournement physique mais d’un retournement spirituel. Nous sommes d’accord !
-          Tu viens d’émettre toi-même la vérité avec des points d’exclamation.
 
(Georges) Absolument, il ne s’agit pas de regarder derrière nous mais de regarder en nous.
-          Je vais bientôt me poser dans la position de celui qui va te poser des questions. Mon appétit va être très grand !
 
(Georges) ah ! Ça me fait plaisir !
-          Mais pour toi aussi et pour toi aussi le silencieux
 
(Guy) Bien sûr…
-          Pourquoi bien sûr sans en être convaincu. Ce « bien sûr » n’a aucune conviction dans la voix. N’ai-je point de conviction dans la voix ?
 
(Georges) Si…
 
(Guy) Moi, je vais vous poser une question précise et claire.
C’est quand je fais de la guérison, j’ai beaucoup de réponses et en dehors de ça… ben « débrouille toi  tout seul ».
-          tu as donné toi-même la réponse à ta question. Tu n’as des réponses qu’à ce que tu « demandes ».
 
(Guy) je pose des questions pour les autres mais quand c’est pour moi : « débrouille toi tout seul ».
-          Crois-tu qu’aucune réponse ne vient à tes questions personnelles ? le crois-tu fermement ?
 
(Guy) je le crois. Pour les autres, ça tombe dans ma tête quoique des fois on me dise « cherche toi-même » car je suis un peu feignant.
-          Il est d’une modestie… par exemple, mon jeune ami… ce soir… en ce moment même… n’y a–t-il pas plusieurs réponses qui ont été données à des questions passées ?
 
(Guy) Si 
-          Cela pour te remettre dans le présent. Effectivement… tu dis « je demande pour ce qui m’intéresse… pour mon action de ce que je fais tous jours… il m’est donné mais ce n’est point pour moi puisque je demande pour les autres ». Alors je te remets sur votre bible à tous « créez des actions pour vous-mêmes » vous pourrez demander et les réponses vous seront données. Tu n’obtiens que pour l’action que tu mets en mouvement.
As-tu compris ? As-tu compris ? As-tu compris ?
Non ! Je ne vous ai point demandé de réponse…
Vous devenez bien coi tout à coup pour ceux qui voulaient bavarder.
Cela fait peut-être trop tout d’un coup ?
 
 
 
(Guy) Non
-          Le doigt… posé sur les évènements ou sur une blessure… effectivement… fait très mal.
Je voudrais que vous guérissiez.
Je voudrais que vous cicatrisiez vos blessures.
C'est-à-dire… que vous n’ayez plus de passé !
Ah ! Que va-t-il raconter encore ? … point de réponse… passez à autre chose !
 
(Denise)Non ! Mais le passé n’a aucun intérêt : c’est passé.
-          Cela est vrai !
 
(Georges) Mais en se retournant à l’intérieur de nous même, nous allons nous voir tels que nous sommes !
-          Oui !
 
(Georges) Le retournement intérieur est destiné à nous voir tels que nous sommes, à nous voir tels que nous avons été ou à voir notre Etre spirituel et non pas physique… là il y a un petit…
-          Cela est dévolu aux plus grands maîtres… est-ce simplement pour voir un paquet de chair ?
 
(Georges) Certainement pas
-          Cela est bien…
 
(Georges) mais ce retournement (parce que vous disiez de ne pas parler du passé) ce retournement va nous faire voir aussi notre passé.
-          Cela le sera dans une fraction de seconde car effectivement, il faut que pour « être »… la purification soit effective. Il va donc se passer dans une fraction de millième de seconde… le cumul de tout ce qui s’est passé… est passé… ainsi que tout ce qui est à venir et avenir… et… à cette condition là… la liberté sera acquise. Celle dont vous avez lu déjà le descriptif dans certains livres.
 
(Georges) Donc, ce retournement intérieur est destiné au présent.
-          Bien sûr ! à quel moment vis-tu ?
 
(Georges) Au présent en principe !
-          Bien ! demain vivras-tu ?
 
(Georges) Je l’espère bien !
-          Mais tu n’en sais rien
 
(Georges) Non
-          Hier, as-tu vécu ?
 
 
 
(Georges) Hum mm ? Oui, mais peut-être pas au présent !
-          donc tu n’as point vécu !
Que cherches tu dans l’Enseignement et dans ta voie ?
 
(Georges) Je cherche justement, je n’ai pas encore trouvé
-          Hum ! veux-tu mourir ?
 
(Georges) Peut-être… peut-être pas physiquement… peut-être certaines choses doivent mourir en nous.
-          Veux-tu vivre ?
 
(Georges) Oui… par l’esprit en tous cas…
-          Que dois-tu chercher.
 
(Georges) La Vérité !
-          Oui ! la mort ou la vie, la vérité ou le mensonge !
 
(Georges) La Vérité du spirituel et la mort… /…
-          Le passé ou le présent ? l’avenir que tu peux vivre ou le présent ? que veux-tu gâcher ?
 
(Georges) Je crois qu’il faut vivre le présent et avoir confiance au présent, l’avenir arrivera par la suite.
 
(Georges) donc… en vivant le présent…
-          Que condamnes-tu en moi ?
 
(Georges) Vos énigmes…
-          Que condamnes-tu en toi ?
 
(Georges) Mon aveuglement !
-          cela est identique !
 
(Georges) Non !mais je crois que j’ai compris au moins une chose… en vivant le présent, nous formons notre avenir.
-          Cela est bien mais tu le savais déjà.
 
(Georges) Oui mais je n’y pense pas.
-          Cela va bien plus loin que ça… c’est écrit…c’est même écrit deux fois !
 
(Georges) Il ne faut pas répéter mais trouver… c'est-à-dire… écoutez, vous nous avez donné pas mal là…
-          Je crois qu’il y a là… matière à certaine réflexion… entre ce qui a été écrit et ce qui est enregistré… pour peu que vous y preniez garde et quelque intérêt.
Vous avez quelques soirées devant vous avant que je ne revienne vous troubler dans votre quiétude[5].
 
 
(Georges) Mais nous vivons à la fois une vie (et je me répète, bien que vous disiez qu’il ne faut pas se répéter) mais, il ne faut pas oublier que nous sommes dans une vie matérielle.
-          Cela est vrai.
 
(Georges) Donc, nous devons assumer à la fois notre vie matérielle, notre vie spirituelle…
-          Cela est vrai… c’est ce que nous appelons le juste équilibre… il ne faut point être « en haut » ou être « en bas » ni à « droite » ou à « gauche ». il faut être au centre.
Celui qui est au centre appréhende toutes choses… autant sa vie sociale que sa vie spirituelle. Il ne faut point écarter l’un ou l’autre car en retranchant… tu ne feras plus partie de cette vie matérielle et encore moins de la vie présente. Tu te soucierais trop par rapport à ton passé… tu te soucierais de ton devenir. Il faut donc… effectivement… s’intéresser au social mais sachez bien que celui qui devient présent… déjoue tous les pièges du social.
Celui qui devient connaissant peut connaître chaque chose du social.
Celui qui ne se répète point peut « innover » et donc agir.
Celui qui « agit » est condamné à la réussite. Celui qui est condamné à la réussite obtient un passeport pour la vie spirituelle.
Dois-je continuer cet enchaînement qui passe de l’un à l’autre ?
 
(Georges) Non mais il coule de source, mais il n’est pas évident à notre niveau.
-          Il ne coule pas de source… il coule comme une source !
 
(Georges) C’est formidable
-          Il faut donc trouver la source !!
 
(Georges) On vous espérait. Quand on vous sait venu…
-          Pas autant que cela
 
(Georges) Si si, mais ça nous laisse encore plus perplexes qu’au début !
-          Mais c’est pour cela que je viens… pour vous rendre perplexes
 
(Denise) Vous avez dit que vous allez rester un moment sans venir nous voir.
-          Ce n’est point ce que j’ai dit.
 
(Denise) Ah bon !
-          Mais puisque vous réécouterez les cassettes très souvent… vous saurez ce que j’ai dit.
 
(Georges) Puisque vous nous écoutez vous aussi, il faut que vous sachiez que nous espérons toujours votre visite.
-          Cela est vrai.
 
(Georges) Parce que même si nous n’agissons pas comme vous l’espérez, nous avons quand même besoin de votre présence.
-          J’ai besoin de la vôtre aussi… cela vous fera peut-être un peu plus comprendre ce que veut dire « être liés ».
 
(Georges) Liés !
-          Tu pleurais tout à l’heure parce que tu étais lié à toute une chaîne mais sache… en conscience… que je fais partie de cette chaîne.
 
(Denise) Vous en êtes la tête
-          Ais-je dis cela ? ne me prenez point pour ce que je ne suis point ! je fais simplement partie de cette chaîne.
 
(Georges) Donc, nous vous aidons par notre action si nous agissons, nous vous aidons à votre évolution aussi ! Si toutefois nous agissons.
-          Si TOUTES FOIS vous agissez. J’espère bien que vous allez AGIR …
 
(Georges) En intervenant comme vous le faites, c’est votre « action ».
-          C’est ma PRIERE… mon action est toute autre
 
(Georges) Votre action dans la chaîne, je parle…
-          dans la chaîne… c’est mon désir… mon action est toute autre
 
(Denise) Et vous pouvez nous dire quelle est votre action ?
-          Lorsque vous aurez créé la vôtre… je vous dévoilerai la mienne !
 
(Denise) ah ouais !
-          C’est ce que l’on dit dans le plan social... donnant donnant !
 
(Guy) Ecris-moi, je te répondrai
-          c’est un peu cela ! c’est un peu une des seules choses qui vous fait avancer de quelques pas.
 
(Georges) Est-ce que vous avez dans votre milieu…
-          Beaucoup d’humour !
 
(Georges) Oui, une vie… mais c'est-à-dire que nous sommes confrontés à une vie matérielle et spirituelle donc nous sommes en quelque sorte handicapés…
-          nous aussi quoiqu’elle ne ressemble point à la vôtre.
 
(Georges) Donc, vous n’êtes pas plus favorisés que nous !
-          Mais non… mon jeune ami… ne crois pas que les autres soient toujours plus pistonnés que toi… j’ai mes problèmes.
 
(Guy) Vous avez quand même des possibilités… autres que les nôtres
-          Ils sont en mesure des problèmes.
 
(Denise) Sur votre planète vous avez aussi des problèmes ?
-          Oui… avec vous autres !
 
… ahh…
 
(Guy) Oui peut être, oui, d’accord !
 
 
(Denise) Mais si il n’y avait pas les terriens, vous n’auriez pas de problème.
-          Nous n’existerions point [6]!
 
… coupure de cassette…2ème face
 
(Denise) Nous allons recommencer cet exercice que vous nous aviez donné en fait, c’était l’un des premiers.
-          Vous avez commencé cet exercice…
 
(Georges) Quel exercice ?
(Denise) D’imaginer une pomme au dessus de la tête et qui tomberait en vous-mêmes…
-          C’est un très bon exercice !
 
(Denise) Une fois vous nous aviez dit que c’est un exercice qui réussissait obligatoirement !
-          obligatoirement
 
(Georges) C’est gros… une pomme
-          Par rapport à ton intelligence, mon ami… cela est un petit pois… serais-tu incapable d’imaginer une pomme
 
(Georges) Ah si ! Mais je ne la vois pas rentrer dans mon corps ! Ça fait mal !
-          Peux-tu imaginer une pomme ?
 
(Georges) Oui !
-          Peux-tu l’imaginer tomber ?
 
(Georges) Oui !
-          Peux-tu l’imaginer tomber sur ta tête ?
 
(Georges) Sur ma tête… je pense…
-          Peux-tu imaginer cette pomme immatérielle ne point te créer de choc sur le haut de ton crâne mais pénétrer à l’intérieur de toi comme une superposition d’images ?
 
(Georges) Oui, ça, ça sera peut être un peu plus difficile mais je le comprends mieux.
-          Peux-tu imaginer qu’une parcelle de ce qui est au-dessus de ton crâne soit entraîné par cette superposition d’image ?
 
(Georges) Oui !
-          Cela est bien complexe et pourtant l’exercice très facile ! eh bien ! la suite… vous l’apercevrez pour peu que vous vous attachiez à répéter et pour ce coup là je vous permettrai de le faire…
 
Je vous quitte les amis….
 
 


[1] La vie extérieure en général.
[2] En soi.
[3] Argument dont découle un raisonnement
[4] in = intérieur nover = le nouveau donc le nouveau est à l’intérieur de chacun.
[5] Le contact avec Véga a été rompu pendant 4ans et demi.
[6] Voir annexe 1
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