ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
 
(Véga)
Merci d’être tous, ce soir, attentifs aux paroles qui vont suivre.
 
(L’Ami)
Vous avez devisé entre vous de notions bien importantes d’où mon ton grave qui, je vous rassure, ne durera point.
Pour répondre à toutes vos interrogations, je formulerai un vœux : je souhaiterais que vous soyez les foyers rayonnants de vos idées !
Non point, être perméables ou imperméables à certaines idées, mais bien les maîtriser et les redonner autour de vous !
Vous êtes des transmetteurs, cela est dit, cela est établi… cela sera ou ne sera pas !
Cette idée, je crois, fait en vous un certain chemin. Il faut que ce chemin se fasse !
Fi, des dispersions. Fi des idées saugrenues. Fi, de la dispersion !
Je vais vous recentrer : il faut que vous soyez centrés !
Au centre de toutes choses, vous pouvez percevoir et être utiles et donner !
 
Au centre de toutes choses, il faut que vous soyez.
Au centre de toutes choses, je vous place !
Vous acceptez ou pouvez refuser.
 
Il faudra que vous co-naissiez… cela est indivisible…
Il faudra que vous perceviez… cela est toute l’attention qui vous est demandée.
Attention ! Soyez prévisibles… en prévision : soyez attentifs !
 
Il faut que cet enseignement soit en vous…
Vous êtes, ce soir, par les paroles que vous avez échangées, perméables à ces idées… vous avez échangé assez de matière pour pouvoir appréhender toute la notion qui vous est donnée !
La dualité de cet enseignement, puisque nous sommes deux ce soir, doit être toute l’unité de votre diversion.
Vous êtes divisés et pourtant UN. Vous êtes multiples et tout l’enseignement vous a appris qu’il fallait que vous vous réunifiiez.
 
L’unification ne se fait que par l’Amour : il faut que vous aimiez et surtout que vous soyez attentifs.
 
Que vous soyez attentifs à aimer… je vous le dis !
C’est ce qu’il vous manque le plus… vous êtes dispersés par rapport à l’Amour.
 
Vous n’êtes pas assez attentifs à l’Amour… cela est ce qu’il vous manque.
Cette division d’enseignement est un électrochoc que nous vous donnons.
Il faut que cette dualité qui est en vous, soit réunifiée par l’Amour, ce à quoi vous êtes moins perceptibles.
 
Faites donc un effort pour écouter !
 
Faites donc un effort pour être attentifs !
 
 Faites donc un effort pour entendre !
 
Je vous le dis, faites donc un effort pour voir !
 
 Vous avez entendu bien des fois, mais vous n’avez jamais vu !
 
La vision est ce que vous vivez tous les jours et que vous n’entendez point
Vous entendez tous les jours et pourtant, vous ne voyez point l’enseignement !
Le trait d’union, je vous le dis, je vous le redis, je vous l’ai dit : il n’est qu’UN !
 
Il faut qu’enfin, vous soyez attentifs, mes jeunes amis. Bien des questions ont été posées ce soir et bien des réponses vous ont été données !
 
Elles étaient toutes réelles et guidées par ma voix.
 
Vous n’en posez point assez à chaque fois que vous vous rencontrez…
 
Et pourtant, que d’échange vous est donné… que d’idées vous sont insufflées… que de vérités passent par vos paroles. Vous êtes la Vérité !
Il faut que vous y soyez attentifs… la question vous est posée ! (En vérité : qui suis-je ? et qui est-il celui-là ?)
 
La réponse forcément vous est donnée.
Nous sommes deux, ce soir, en présence…
 
… et pourtant qu’un seul, je vous le dis…
 
Nos deux voix ne sont qu’Une, et pourtant multiples.
Cela vous déstabilise bien sûr, je le sens en vos cœurs et en vos esprits.
 
Et pourtant, je vous aime et cela devrait vous rejoindre et vous unifier entre vous… bien des voix ensemble sont multiples entre vous… et pourtant, vous parlez de la même chose… : de l’Amour…
 
Cet amour que bien des fois je sous tends, j’explique, je rayonne…
 
Eh bien ! Sur cette dernière phrase, je voudrais dire que cela va vous être, maintenant, à partir de cette seconde, demandé : de rayonner…
 
Et non point d’expliquer !
Fi des phrases et des mots ! Fi des livres et des idées… il faut que maintenant, vous soyez la démonstration.
 
Je compte sur vous… je compte sur vous…
 
Je sens que vous êtes frustrés de ne point poser de questions.
Vous nous accorderez quelques secondes et peut-être serai-je à votre disposition…
 
Je le serai toujours pour peu que votre cœur soit pur… que vos idées soient saines… il faut que vos questions puissent porter à l’évolution !
Demandez-moi ! Je serai toujours présent !
 
Accordez-moi quelques secondes et je serai toujours à vous…
 
La béatitude n’est point portée à celui qui, ne point, la conçoit… la béatitude est portée et apportée à celui qui l’appelle.
 
Levez à plus haut la réflexion… mes amis, posez donc des questions… rien ne vous sera donné… attirez à vous…
 
Si vous avez de l’appétit, je vous donnerai toutes les réponses… « Tendez »… demandez !
 
(Véro.) Moi, j’aurais une question à vous poser sur la « chaîne » qui est une notion que vous évoquez souvent dans vos textes… et vous parlez de cette chaîne qui doit être bouclée pour que l’évolution puisse se faire… je ne comprends pas très bien : « que cette chaîne soit bouclée… » Et ce que l’on peut… nous…
-          Tu es celle que l’on attend, ma jeune amie, pour boucler cette chaîne d’unités… voudras-tu faire UN avec tous ceux qui sont autour de toi ?
Cette chaîne est mondiale ! Et pourtant, tu es le représentant unique… le maillon que l’on attendait…
Veux-tu te mettre en chemin toi qui a été mise sur la voie ?
Veux-tu enfin être dessus, sur cette voie, et te porter en avant, et tendre les mains afin d’appréhender celui qui est à côté de toi ?
La réponse a été donnée, je pense, avant que je te déverse ces quelques mots. Tu attendais une confirmation, elle t’a été donnée…
Tu es le maillon que nous attendions !
Efforce-toi ! Donne toi ! Sois en quelque lieu que ce soit… à quelque moment que ce soit !
 
En un mot : sois l’Amour !
 
(Georges) Vous êtes toujours deux en ce moment, ou vous êtes seul ?
-          Je suis toujours UN !
 
(Nicole) C’est merveilleux ! Ils sont deux et une voix !
-          Nous sommes l’enseignement ! celui que vous attendiez…
 
(Georges) C’est l’Ami ?
-          Avez-vous des questions à poser ?
 
(Véro.) Euh… depuis à peu près, un mois et demi …/…
-          …/… ouais 
 
(Véro.) J’ai mon pied droit qui est enflé et je n’arrive pas à faire passer cela.
-          Attentionne-toi à ton pied gauche, ma jeune amie… oublie donc ce qui peut être une source de malheur pour toi… attentionne toi au malheur des autres !
Omets[1] ta vie et tes soucis !
Omets tes douleurs et tes oppressions !
 
Ouvre toi aux autres ! Mais je te le dis pour te rassurer, ton pied droit n’y est pour rien dans les soucis du pied gauche.
Tout cela se remettra bien à temps… je te le conçois. Soigne-toi un peu... tu ne t’écoutes point assez…
Dans l’enseignement, nous faisons de la médecine et de la médecine, nous faisons de l’enseignement…
 
A toi de voir la polarité de deux choses : deux en UN et UN dans TOUT.
 
(Nicole) TOUT est sujet à « enseignement ».
Même votre pied droit ou votre pied gauche.
Même votre main droite ou votre main gauche…
Même votre esprit tourné dans tous les sens !
 
(Véro.) Et je suppose que ma conjonctivite à l’œil droit, c’est la même chose !
-          Tu as trouvé le palliatif à tes larmes (Véro met des gouttes…). Sois donc plus sensible… tu éviteras l’achat de bouteilles…
 
… rires…
Je crois que dans un avenir passé, tu as quelque peu souffert… le bien être actuel t’est trop d’un doux repos… faudra-t-il que je te fasse souffrir un peu ? Mais non… tu trouverais bien assez de raisons par toi-même pour que j’interfère encore quelque peu, sur ton devenir…
Sois beaucoup plus calme, détendue !
Sois comme un lac… sois le « miroir »…
Cela souvent, vous a été répété : soyez le miroir…
Arrêtez de diverger : reflétez-vous…
As-tu d’autres questions à poser ma jeune amie ?
 
(Véro) Oui ! Je crois que j’en ai une, mais ça doit me concerner aussi…
-          Une seule ?
 
(Véro.) Disons une importante. Pourquoi suis-je confrontée actuellement au problème de boisson de Jack ?
Puisque, en fait, c’est mon souci, enfin disons, c’est la raison de mes colères…
-          Tu dois te sentir concernée par les autres.
Tu ne dois pas faire que ta vie soit essentiellement accaparée par l’autre.
Une chose t’exècre au plus haut point et tu es accaparée par cela en ce moment. Ne te polarise pas sur ce qui t’ennuie : Polarise-toi sur ce qui te soucie… tu sens un mal être en ce moment et tu sais la solution pour en sortir… ne t’énerve point, sois donc calme !
Ne choisis point pour les autres, mais choisis pour toi !
Tu ne décides point, puisque seul Celui qui est au-dessus de nous décidera pour toi ! Comment veux-tu décider pour les autres ? Sois donc tolérante !
Mais ne crois pas que par ta seule volonté, tu plieras à ton amour ceux qui sont autour de toi ! Plie toi, toi, à l’Amour de ceux qui sont au-dessus de toi ! Fais-toi humble, fais-toi petite, accepte l’Amour… accepte l’Ame !
Ne fais point plier mais plie ! Ne fais point prier mais prie !
Une seule lettre sépare ces deux mots mais pourtant essentielle et pourtant oubliée.
Aime… et fais toi aimer ! Ne fais point plier l’Amour devant toi mais suscite l’Amour… tu es femme… tu es maîtresse de l’Amour… ne cherche point à comprendre… prends avec toi –ne cherche point à appréhender mais rayonne- ne cherche point à appréhender mais donne ! Cela est ton unique but, femme d’Amour !
Comprends-tu ce que cela veut enfin dire cette unification entre une dualité ?
Tu es le pôle d’Amour : tu dois attirer et non point prendre.
Je te donne mais tu ne dois point attirer à toi… comprends-tu enfin ?
Ne répond point ! Tu réécouteras ces quelques paroles.
Et tu les méditeras… car sais-tu, pour ceux là, tous… qui t’écoutent autour de toi... là est le secret de la Vie.
 
Je vous écoute.
Cela est déstabilisant d’avoir deux personnes qui, sur un même sujet, parlent en même temps… comme vous le faites bien des fois…
Vous n’êtes point attentifs les uns aux paroles de l’autre.
Et pourtant, vous dites des vérités profondes…
Vous émanez, entre vous, l’Amour que je suscite au dessus de vous
Et si cette dualité, si elle était respectée, si vous étiez aussi attentifs que vous l’êtes maintenant …/…
…/… serait porteuse au plus haut point.
Nous avons choisi ce jeu pour vous faire comprendre enfin l’essentiel !
Et je crois que maintenant, je peux enfin reprendre le jeu des choix et des questions…
Mais je laisserai toujours la parole à mon très cher et estimé Ami…
 
(Georges)… je suis très troublé par votre dualité…
(Nicole) Unité !
(Georges) Unité double… (Rires) c’est très agréable !
N’est-ce point ?
 
(Georges) Tout à fait ! Tout à l’heure, j’ai senti comme une pression sur moi… c’est quelqu’un…
Oui
 
(Georges) C’est quelqu’un qui essayait de communiquer ?
Oui ! Simplement moi qui était sur toi, car tu l’as souhaité bien des fois…
J’étais prêt enfin à jouer de cette dualité en deux personnes plutôt qu’en une… il faut que tu apprennes à te détendre mon jeune ami… car souhaiter ne suffit pas, il faut accepter…
 
(Nicole) Tu l’as dit tout à l’heure…
-          « Accepter » mon jeune ami, cela a été dit souvent et tu es bien rébarbatif à la nouveauté…
… rires…
 
(Véro.) Tu as eu peur ?
(Georges) Je vais accepter… oui
-          Il ne le dira point, mais oui…
 
(Georges) C’est nouveau donc effectivement, tout ce qui nouveau est un petit peu…
-          … eh ben, ça fait peur !
 
(Georges) Voilà, j’ai manqué de confiance !
Et pourtant, que de béatitude aurais-tu ressenti !
 
(Georges) ça, je n’en doute pas… c’est bien dommage !
-          Mais je ne crois pas en ta sincérité.
 
(Georges) Oh ! … rires…
-          J’y croirai lorsque tu auras accepté.
 
(Georges) Très bien !
-          Ah ! c’est un pari que tu me donnes ! je le prends
 
(Georges) Tout à fait, tout à fait…
-          Tant pis pour toi ! c’est noté
… rires…
 
(Georges) On est passé par quelques épisodes assez inquiétants avec notre petite Estelle (Estelle est la deuxième petite fille de Georges et Nicole).
-          Eh ! que le sais-je ! j’étais là tous les jours mon jeune ami.
 
(Georges) Ah ! La prédiction que nous avait faite Père Guy.
-          Fais fi !
 
(Georges) Mais il y avait quand même quelque chose…
-          et fais fi !
... rires…
 
(Véro.) Confiance !
(Nicole) Oui, mais justement elle est valable en ce sens, c'est-à-dire …/…
(Georges) …/… il y avait quand même une menace et le fait d’en être avertis
-          Il y a toujours une menace, de t’en être averti ne t’a point aidé
 
(Georges) Si ! Ça nous a mis en …/…
-          …/… non ! cela t’a fait prier
 
(Nicole) Voilà !
-          Mais tu ne l’aurais point fait sinon !
 
(Georges) Eh ! Je ne sais pas…
-          et manque de Foi !
 
(Georges) Nous avons prié plus qu’à l’accoutumé, en tous cas !
-          A chaque nouveauté, tu dois prier… que ce soit un petit d’homme, un petit homme ou un petit d’esprit ou une nouveauté d’esprit ou une création nouvelle. Enfin, tout ce qui est nouveau quoi !
Je n’arriverai point à en faire le tour ! Prie toujours !
Quelque chose te déplaît ! Prie !
Quelque chose te sied ! Prie !
Tu oublies tout le temps mon jeune ami…
Tu le disais tout à l’heure : il n’y a que lorsque cela va mal que l’on pense à la prière…eh bien, il reste 99% du travail !
 
(Georges) Très bien
-          non ! non ! pas très bien ! tu as bien saisi
 
(Georges) Je suis d’accord.
-          Eh ben oui, comme d’habitude…
… rires…
            Mais j’attends que cela se traduise par des faits et des fêtes…
 
(Georges) Vous allez être surpris, moi je vous le dis, vous allez être surpris !
-          Mais je prends note… tant pis pour toi… attention, je me rappellerai à toi…
 
(Georges) Je m’engage, je m’engage…
-          Très bien !
 
(Georges) Officiel !
-          A partir de cette seconde.
 
(Georges) Tout à fait.
-          As-tu prié maintenant ?
 
(Georges) Ah ! eh !
… rires…
(Georges) Je suis avec vous en ce moment. Je ne peux pas tout faire à la fois !
-          cela est une belle prière ! sois avec moi chaque seconde, cela est encore une plus belle prière !
 
(Georges) Permanence !
En permanence avec moi aussi !
 
(Georges) C’est formidable ! Il faut y arriver ! C’est ça qu’il faut !
-          Il faut que tu sois avec plusieurs personnes à la fois… déjà tu commences à reculer devant la difficulté…
 
(Georges) Mais non, je pense que l’Unité …/…
-          …/… mais nous sommes UN, mon jeune ami !
 
(Georges) Voilà… donc, je pense que je n’ai pas…
-          … mais oui ! TOUT dans LE PERE !
Eh bien ! Tu as enfin compris ! TOUT A FAIT, mon jeune ami !
Avez-vous quelques questions à poser ? Intéressantes et pernicieuses… ou intéressantes et fructifieuses… ou enfin, bien déterminées sur ce que vous voulez apprendre ?
 
(Georges) Parmi ces messages que je reçois, il y en a certains que je n’arrive pas à déchiffrer…
-          Oui ! tu n’es pas assez attentif. Ils sont donnés au moment voulu de ta pensée, à l’expérience vécue du moment. Ils ont toujours un rapport avec le moment donné… ils sont toujours donnés à un moment voulu.
 
(Georges) Tout à fait.
-          Tout à fait… il manque quelques notes enfin à tes messages : à quel moment cela est-il donné ? pourquoi cela est-il donné ? à quel rapport cela est-il donné ? à quelle expérience cela est-il dû ? mais heureusement, tes conversations avec « ton jeune ami » éclairent bien des fois ces lacunes…
 
(Georges) Oui, tout à fait !
-          Tout à fait…
 
(Georges) J’ai un tic… je dis toujours : tout à fait !
Et quand on me dit « j’ai 40 ans de différence » ?
-          cela veut dire que tu es bien jeune.
 
(Georges) Mais qui c’est « ma chérie », moi ?
-          40 ans de plus !
 
(Georges) 40 ans de plus ? Ah ! Quelqu’un qui a 40 ans de plus que moi ! Donc, ce n’est pas moi ?
-          Ah ! tu n’avais point saisi cette image dans ce sens… cela était déstabilisant, n’est-ce pas ?
 
(Georges) Non ! C’est donc quelqu’un qui a beaucoup plus d’expérience !
-          Ah ! effectivement…
 
(Georges) Mais qui c’est : « ma chérie » ? C’est moi qu’on appelle ?
-          Non ! ce n’est pas « toi » dont il s’agit… peu importe ! sois attentif et écoute. Les messages suivront, tu le sais bien. L’éclaircissement arrive toujours à point nommé… oui, oui, cela ne vous satisfait point…
 
(Georges) J’aurais voulu tout savoir maintenant…
-          Ah ! bien sûr, cela est bien dans ton caractère d’être pressé ! mais quand tu es pressé, tu ne perçois pas toujours… tu es une mauvaise éponge à mon avis. Lorsque tu es bien plein, tu laisses déborder tout ce qui arrive de neuf…
Vide ta coupe… sois le Graal : emplis du sang que de Christ…
Vide, afin d’y mettre ton sang propre !
Vide, afin d’y mettre le sang du Christ !
Vide, afin d’y mettre ton sang propre…
Partage toi entre l’Enseignement et ta pauvre vie… ta pauvre vie et l’Enseignement… Fais que l’UN apporte à l’autre… toujours.
 
(Georges) Le geste que vous avez fait la dernière fois …/..
-          …/… de la coupe ?
 
 
(Georges) de la coupe ! C’était un geste qui était double en quelque sorte…
-          Bien …
 
(Georges) Le premier geste consistait à donner notre amour
-          Vider !
 
(Georges) Vider notre cœur de notre amour…
-          Oui…
 
(Georges) Ensuite appeler l’Amour du Christ, l’Amour du Ciel …/…
-          …/… du divin !
 
(Georges) du divin, afin de nous purifier, afin de donner encore
-          Très bien ! vide… rempli… vide… rempli…
Je viens de le dire, il y a quelques secondes… mais as-tu refait ce geste ?
 
(Georges) Oui
-          A chaque seconde ?
Non ! Je sentais en toi une certaine rétention…
 
(Georges) « Rétention »… ah ! Et oui ! Si on ne le fait pas, on garde…
-          Bien sûr ! et pourtant tu disais « je ne vais pas tout à fait lui dire… ce que je fais ».
Ne me mens point ! C’était une rétention !
Lorsque l’on donne, on ne retient point ! « Rétention » tu as bien saisi le sens dans lequel je voulais insister… sur l’action que tu devais fournir… et je voudrais insister aussi « à » tous ceux qui m’écoutent autour… ce que vous deviez fournir : l’avez-vous fait à chaque seconde ? mummmm…. Rétention !
 
(Georges) Dès l’instant où on est responsabilisé, il nous appartient de « faire ».
-          Vous devez faire ! il vous est donné… vous devez donner.
Voilà… videz votre coupe…
 
(Georges) Vous nous tendez des pièges en permanence !
-          Non point ! vous avez demandé… on vous donne !
Vous ne voulez point ! Je m’en vais !
J’ai bien compris votre idée, et pourtant, Dieu sait que l’humour de mon jeune ami est là avec vous ! Vous êtes des enfants incorrigibles ! Il vous connaît bien ! Il vous pardonne et moi aussi.
N’essayez pas de détourner son attention. Elle est toujours unique et bien dirigée…
Voyez ! Lui-même Il le dit !
N’essayez point de me tromper !
Vous avez voulu, je vous ai donné… que voulez vous d’autre ?
 
(Georges) Est-ce bien celui que nous appelons …/…
-          …/… c’est un choix ! que voulez-vous d’autre ? vous devez faire un choix !
 
(Georges) Choisir, c’est abandonner.
-          Oh ! tu commences à utiliser des phrases intelligentes. Que t’arrive-t-il ?
 
… rires…
            Ferais-tu enfin de l’enseignement ? Mais à quoi vais-je servir ?
… rires…
            Alors, que vas-tu abandonner ? Maintenant !
 
(Georges) maintenant ?
-          A quoi t’engages-tu ?
 
(Georges) A l’instant même…
-          Maintenant ! ici, … je t’écoute !
De ta main droite ou de ta main gauche ? De ta rancœur ou de ton esprit ?
De tes critiques ou de ton malheur ?
 
(Georges) Il y en a tellement à abandonner !
-          Choisis en une ou un… trop tard !
 
(Georges)… l’ego…
-          Qui veut abandonner quelque chose que je prenne sur moi ?
 
(Véro.) Moi, je veux bien abandonner mon manque de disponibilité aux autres…
-          Tu m’offres un gros travail tout d’un coup ! et toi Georges, choisis donc ! Claudine, as-tu quelque chose à dire ?
 
(Claudine) Oui, mais c’est quand même important… donc…
-          Hélène, as-tu choisi ?
 
(Hélène) J’aimerais abandonner mon esprit critique.
-          Cela rejoint ce qu’a dit ta jeune amie… Nicole ?
 
(Nicole) Moi, mon manque d’Amour, tout rejoint à ça !
-          Tu veux abandonner ton manque d’Amour ? es-tu sûre ?
 
(Georges) Non, ce n’est pas ça…
(Nicole) j’exprime mal
(Georges) Tout à fait !
-          il faut bien exprimer car je vais prendre. Mais je te laisse quelques moments de réflexion… eh bien ! ma jeune amie (Claudine), as-tu enfin redisposé quelques mots par rapport à tes idées ? allons-y que veux tu abandonner ?
 
(Claudine) de ne pas être présente.
-          Très bien !... Véronique ?
 
(Véro.) C’est ce que j’ai dit …/…
-          Il faut s’engager alors, répète le en des termes bien précis et bien simples… et clairs.
 
(Véro.) Euh…
-          Ca commence mal !
 
 
(Véro.) Mon manque de disponibilité … euh…
-          …/… très bien… tu vois, je te coupe lorsque c’est précis et clair.
Il ne faut point en surajouter. Je pense que ce qui te définit, tiens en ces deux mots « manque de disponibilité »… pourquoi, envers les autres ? Est-ce que tu es toujours disponible envers toi ? Peut-être pas… mais je ne peux pas tout prendre. Donc, je choisirai envers les autres, puisque c’est d’abord et avant tout l’altruisme qui m’intéresse en cette soirée ! Ah ! Piège ! Hum ! Georges ?
 
(Georges) L’orgueil !
-          Non ! cela est trop compliqué !
… rires…
Et pourtant, tu as des choses bien plus simples à éliminer d’abord !
Oh ! Tu as le choix !
Ne choisis donc point des choses aussi élaborées… tu ne sais point !
 
(Georges) La colère.
-          La colère ! très bonne conseillère… la colère surtout lorsqu’elle est malvenue ! vais-je accepter de prendre cela ? eh bien ! pourquoi pas ?
Hélène : as-tu redéfini ?
 
(Hélène) Ma peur peut-être…
-          Tout à l’heure, je l’ai dit « j’acceptais », mais tu n’as pas redonné la même définition à ton inspiration…
 
(Georges) Tu as dit « la critique » tout à l’heure…
-          Très bien Georges ! tu suis mieux les paroles des autres que la tienne propre.
… rires…
            J’en prends note.
 
(Georges) Je suis attentif.
-          très bien !
 
(Claudine) Il faut qu’Hélène reformule.
-          Non, non, la première était très bonne « à éliminer son sens critique »
Qui n’avait point défini encore au juste sa parole ?
J’ai été très attentif : Nicole ?
 
(Nicole) moi, peut être, le manque de confiance… au Père.
Pas en moi mais au Père : le manque de Confiance !
-          Lequel ? en toi ou au Père ?
 
(Nicole) Ne pas m’abandonner assez en confiance …/…
-          …/… donc au Père ! parce que si tu t’abandonnais à toi-même, ça serait grave… ça l’est déjà ! donc, abandonne toi au Père… je prendrai peut être une seule petite part quand même.
Je ne peux point me substituer au Père, ma jeune amie…
Eh oui ! Eh oui ! La prochaine fois que je poserai la question, d’ici quelques siècles… réfléchis bien !
… rires…
            Bien ! Claudine, puisqu’il faut finir, bien définir…
 
(Claudine) Non, je pense qu’en fait, si nous étions présents, nous serions… et nous serions dans l’Amour donc, ça suffirait à tout.
-          C’est la définition complète et entière !
 
(Claudine) Il n’y aurait pas de futilité, il n’y aurait pas de sens critique…
-          … donc, que dois-je prendre sur moi, d’un problème qui te pose problème ?
 
(Nicole) Un des obstacles qui t’empêche d’être…
-          Un seul ! non point toute une définition… les définitions, c’est moi qui les donne.
 
(Claudine) Pas être présente.
-          Très bien ! c’est tout ?
 
(Nicole) Le rappel de soi…
-          (à Nicole) je ne t’ai point demandé !
 
(Véro.) Perdez l’habitude de répondre pour les autres…
-          Bien ! tendez vos mains, tous, vers la table centrale, en déposant ce don que vous avez formulé.
Vous avez tous votre problème entre vos mains puisque les deux sont tendues bien sûr. Il vous pèse sur les mains…
Vous l’avez sur vos mains bien tendues, vers la table centrale…
Vous sentez enfin, le poids de ce que vous avez et qui pèse de vos iniquités. Vous allez vous libérer enfin puisque je prends sur moi…
Je prends sur moi ce que vous avez demandé… vous avez prié enfin, d’une façon non concentrée mais prédéterminée…
Cette chose glisse de vos mains vers la table centrale.
Vous sentez vos mains s’alléger… elles deviennent légères.
Tout s’amasse en une seule boule, cette boule-là grossit, s’amplifie, et je la récupère, elle vient à moi, elle se colle.
Vous reprenez vos mains et les mettez sur votre cœur.
Elles sont légères enfin, pour cette seule chose que vous avez prise… cette boule là, je la prends pour vous en unité.
Il faudra que vous réfléchissiez bien que l’effort vous est demandé quand même que tout ce qui a été pris… de ne point le re-créer.
Avez-vous bien compris cette phrase ? Vous êtes libérés… ne re-créez point ! Ne faites point œuvre du prince… soyez dans le Père !
Vous êtes allégés. Ne pesez plus sur cette béquille qui vous a été retirée.
 
J’accepte cette idée d’alléger quelques uns de vos maux.
J’accepte de vous aimer un peu plus à partir du moment où vous rayonnez un peu plus d’Amour.
Seul l’Enseignement sera porteur pour vous…
Libérez-vous de toutes illusions…Libérez-vous de toutes contraintes…
Aimez-vous les Uns les Autres enfin…
 
 
Cette béquille de moins vous permettra de mieux accepter cette dernière phrase… mais je vous en supplie, acceptez l’Amour entre vous !
Vos mains sur le cœur… mains tendues… partagez enfin, entre tous, cette chose unique que le Père vous a donnée, que j’ai symbolisée, que j’ai sacrifiée afin de mieux la répandre…
Combien d’images ont été données ? Combien de notions ont été dispensées ? Combien de paroles avez-vous échangées ? Afin de percevoir, un peu, ce geste d’humilité, qui ressemblait enfin à l’Amour plein !
 
… silence…
Ne vous endormez pas ! Je sentais déjà une larme poindre au coin de vos yeux ! Ces paroles vraies doivent être encrées et heureusement qu’elles sont enregistrées… vous avez toujours les mains sur vos cœurs ?
Non, … certains les ont déjà laissées tomber… et pourtant, si vous preniez enfin, puisque vous aviez pris sur vos cœurs, si vous preniez enfin pour tendre et partager… donner, refaire ce geste d’il y a quelques mois… que nous avions fait à deux mains mais que nous pouvons reproduire dans l’unité…
 
Savez-vous que vous participez à une chose unique, que vous pouvez reproduire vous-même tous les jours… savez-vous que le Père en vous ne demande qu’une seule chose : c’est rayonner…
Savez-vous que le Père en vous ne demande qu’une seule chose : c’est Prendre ! Mais rayonner quoi ? Et prendre quoi ?
Bien sûr, il y a une antinomie entre les deux… il y a une notion inverse qu’il faut choisir… il faut prendre quoi ? Et rayonner quoi ?
Faites-vous l’homologue du Père ! Faites vous UN avec LUI : élevez votre esprit ! Je ne vous donnerai point la solution, mais vous l’avez déjà trouvée…
 
(Georges) C’est l’Amour !
-          Je ne t’ai point demandé de réponse mais, par contre, je te demande quelques questions à poser… je t’écoute mon jeune ami…
 
… silence…
            Ah ! Ça casse…
 
(Georges) Je suis troublé moi, c’est très beau ce que vous nous dites…
-          Bien sûr !
 
(Georges) C’est gentil !
-          Ce n’est pas gentil, cela est vrai…
 
(Georges) La brillance dont il est question dans mon petit message « sauve té par brillance »… est-ce que c’est le reflet de ce que vous venez de nous dire… cet amour qu’il faut…
-          Il ne faut point être un… mummmm…
Je change d’idée… cela était trop…
Il faut que tu sois un miroir… tu sais, ce fameux miroir, ce lac dont je parlais il y a quelques mois… eh bien !
Je reprends donc ces idées et tu verras que cette sur brillance, cette brillance a toute la réponse dans cette idée propre et pure…
 
(Georges) « Et vibre tes paroles » (suite du message reçu par Georges)
-          Ah ! si tu pouvais vibrer enfin des paroles que tu comprennes.
 
(Georges) Je sens que ça commence à vibrer, là…
-          Eh bien ! parle encore un peu plus… tu ne vibres point assez.
La vibration vient de la Parole.
 
(Nicole) Parler juste…
-          Parler juste, bien sûr… mais lorsque tu feras vrai, tu verras que tu vibreras au plus haut point… en Unité avec le Père… lorsque ta bouche se taira mais que ta main fera… vous en avez devisé pendant le repas.
Pour te nourrir, il faut porter ta main à ta bouche mais il faut surtout aussi agir d’une façon vraie… vibre, mon jeune ami, vibre ! Cette vibration est là, autour de toi. Lorsque tu vivras en unité, tu participeras enfin de l’UN !
Tu seras nourri de l’UN…Le UN te nourrira…
 
(Nicole) C’est la phrase « nous sommes dans le Père et le Père est en nous ».
-          Très bien ! on vole haut ce soir… oh !
 
(Georges) Notre ami Guitou par lequel vous vous exprimez n’a pas pu « lui » vous demander de prendre, d’abandonner quelque chose.
-          Il l’a demandé, ne t’inquiète point !
 
(Georges) Ah ?
-          Parce que je l’ai interrogé aussi
 
(Georges) Très bien, ça me rassure.
-          Ce serait dommage quand même de l’excepter du Tout…
 
(Georges) Eh oui !
-          Surtout des grandes choses ! surtout l’allégement !
 
(Georges) Il en a besoin aussi, de vous à moi…
-          Il a pris quelques poids …/… (changement côté cassette)
Avez-vous d’autres questions ?
 
(Véro.) C’est quelque chose que vous avez abordé il y a quelques années !
-          Oui …/…
 
(Véro.) Et aucun de nous n’a su déterminer ce que vous aviez voulu dire en parlant de ce troisième sens (la question de Véro. Se rapportait à « dans l’Apocalypse, il y a trois sens… un littéral, un symbolique et un troisième qui contient le secret de toute connaissance…)
-          Eh bien ! tu as encore quelque chemin à faire… sache que, si à cette époque là, je ne l’ai point révélé, ce n’est point maintenant que je vais le faire… les temps ne sont pas encore venus. Lorsque cette phrase est donnée (et qui vous agace au plus haut point), elle est positionnée à juste raison… on ne peut point devancer les évènements… on ne peut point devancer vos vies… faites, faites, faites… je vous en prie… cela seul pourra reculer la Parole…
Faites ! Vous êtes redevables et responsables !
 
(Georges) Alors, en avançant, on recevra…
-          Bien sûr ! et en donnant, vous reculerez… (Reculerez les échéances afin de donner plus temps à « homme » pour alléger ses dettes…)
 
(Georges) Mon ami Francis m’a téléphoné pour un problème relationnel avec son neveu…
-          Oui…
 
(Georges) J’ai l’impression que j’ai raté quelque chose.
-          Bien sûr ! tu l’as senti… tu n’as point su mettre en exergue l’amour qu’il avait pour lui… il faut enfin que tu le pousses à s’exprimer… il y a un amour entre les deux qui reste végétatif.
 
(Nicole) Il faut l’arroser…
-          il faut l’arroser effectivement.
Il faut qu’ils s’ouvrent l’un à l’autre… un va très mal, le plus jeune bien sûr !
 
(Nicole) Mais l’autre est capable de lui apporter.
-          Il est tout à fait capable, bien sûr, le seul capable… à part mon jeune ami bien sûr ! mon ami est là pour veiller puisque tu as attiré son attention…
Mais ce que tu as loupé, c’est l’union de ces deux êtres qui essayent en ce moment de s’entre-déchirer : l’un essaie de ne pas comprendre, accaparé par ses activités sociales : il est trop occupé soi-disant et, pourtant, bien du temps libre lui est donné… l’autre attend, ouvre les bras…
Amène les l’un à l’autre…
 
(Georges) je vais le faire dès demain.
-          Et puis, il faut que toi aussi, de temps en temps, même si tu n’ouvres pas les bras, tu poses la main sur l’épaule de l’autre. Que cette main soit compatissante… que cette main soit toute aimante… que tu sois le grand frère si tu n’es pas « l’amant » ou « l’amante », que tu sois le grand frère qui enfin partage et donne, surtout donne !... rayonne quoi !
 
(Georges) je donne !
-          Tout à fait « Ah ! ah ! ah »
 
(Georges) J’ai tout à fait compris…
-          J’ai très bien saisi ce que tu voulais dire et pourtant, je ne le pense point… pas complètement… mais si tu as déjà compris, c’est déjà bien… avez-vous des questions à poser ?
 
(Nicole) Nous sommes un petit peu perdus…
-          « un peu » ? tes paroles sont douces à mes oreilles…je vous ai perturbés car je suis facétieux.
 
(Georges) C’est ce duo qui nous a un petit peu surpris…
-          Eh oui ! mais dans le duo : l’Unité… et cet Ami vous écoute toujours.
Et cet Ami vous a troublé.
Et cet Ami vous troublera encore ! Car Il parle vrai !
Moins que moi et beaucoup plus juste… mais cela, vous n’êtes pas encore prêts à le supporter… vous avez besoin de verbiage… de pied de nez et de fessées aussi.
 
(À Georges) Tu souris !
Et pourtant combien de fois tu omets de te remettre dans tes rails ?
N’est-ce point ? Et dans ces rails-là, il est dur d’y rester des fois, et pourtant c’est un bon pluriel car par jeu de mots, on dit : un train…des rails – déraille…
 
… rires…
(Georges) J’ai lu Maître Philippe et dans un des livres qui rapportent ses paroles : il dit « que chaque naissance …/…
(Nicole) …/… appelle une mort…
-          Il y a une interchangeabilité de notion animique… mais qu’est-ce qui t’interpelle dans cette notion ?
 
(Georges) Eh bien ! Cette phrase a été prononcée il y a une cinquantaine d’années…
-          …/…Et elle est toujours valable…
 
(Georges) Oui, mais à cette époque, il y avait beaucoup moins d’habitants sur la terre donc, je ne comprends pas !
-          Ah ! sempiternelle question…
Le système, sais-tu mon jeune ami, c’est que plus il y a de monde sur terre, plus il y a de morts ! As-tu suivi, ce nombre de catastrophes terrestres ?
que cette petite boule qui vous supporte, se secoue de jours en jours… et puis, sais-tu aussi, que cette part animique, qui se partage entre tous… cette notion de survivance, dans la passation en « esprit » dans un véhicule, dans un autre… est effectivement limitée.
Car, comme l’a dit le Christ, déjà, il y a deux mille ans, et vous l’avez dit, tout à l’heure, et vous l’avez re-souligné : « il sera retiré à celui qui n’a pas pour donner à celui qui a ».
Efforce toi d’être sur la voie… efforce toi de posséder… d’engranger dans ce coffre qui est inviolable… toute la multitude des « choses-don » que tu es prêt à donner, par Amour bien sûr… et engranger, à faire fructifier… en cela seul, tu auras la chance de faire survivre ton âme…
Car, si tu ne fais pas, ce pas, (et tu l’avais déjà fait il y a quelques centaines d’années) si, tu ne faisais pas ce pas : il te sera retiré pour donner à celui qui « a ».
Sache que ce n’est pas la multitude de pas que tu as fourni qui te mettra en sauvegarde de ce qui pourrait t’être retiré. Il faut qu’au jour le jour, tu t’efforces… car si un jour tu t’arrêtes, je ne pourrai plus rien !
Tu es le seul maître de ton devenir.
 
Tu es « celui qui redonnera » s’il ne sait quoi en faire !
 
(Nicole) Le surplus quoi…
-          On ne te vole pas… tu es responsable…
 
(Véro.) Mais ce qui est un peu choquant, c’est qu’en fait, ça voudrait dire que tous les hommes ne pourraient pas avoir une évolution spirituelle. Il semblerait qu’il n’y ait pas…
-          …/… eh bien non ! celui qui refuse ne peut pas obtenir… si je te tends un cadeau et que tu tends les mains en disant : « non, non, non, mon jeune ami, je ne veux point »… eh bien ! je le donnerai à celui de droite qui est prêt entièrement à accepter… et tu n’es pas obligé de sourire parce que tu es à droite…
 
(Nicole) L’offre est offerte à tous…
-          Mais certains refusent et d’autres acceptent… tu es responsable !
 
(Nicole) C’est le libre arbitre qui nous a été donné.
(Georges) C’est un peu ce qui est dit dans la Bible lorsque l’on y parle de la Géhenne ou la Guéhenne…
-          Très bien ! … « seront jetés à la Géhenne… » c'est-à-dire, dans le monde de ceux qui refusent…
 
(Nicole) L’âme se détruit elle-même… c'est-à-dire, par le manque de nourriture demandée…/…
(Georges) Spirituelle
(Nicole) Voilà, c’est cela… où elle se croît quelque part …/…
-          …/… eh bien ! très bien. Ce mot est un jeu de mots bien souvent utilisé : croître et croire… sont deux mots qui certainement, conjugués d’une certaine manière, se ressemblent et s’écrivent sensiblement pareil…
 
(Nicole) Ils expriment le même mouvement.
-          Très bien !
 
(Georges) Il y a eu très, très récemment, en Amazonie (je l’ai entendu à la radio) un immense serpent qui a été vu par six cents personnes… il faisait 40 m de long et 5 m de large avec des sortes d’oreilles… et il s’est ensuite jeté dans le fleuve Amazone…
-          …/… il y a une notion, sais-tu, dans cette image qui est entièrement re-créée !
L’image même de cette déité femelle mise en la tête des indiens… et cette survivance de pensée a fait se re-matérialiser cette idée…
Ce n’était point une matérialisation réelle… et pourtant, une survivance d’un esprit, bien sûr !
Car cette déité qui a existé pendant des siècles a une existence réelle…. Elle est capable de tout détruire ou de tout créer…
Elle a détruit des arbres et pourtant elle se matérialise sans qu’une seule notion physique puisse l’expliquer au milieu d’un stade… et s’en va se jeter dans un fleuve, et pourtant elle détruit sur son passage…
 
Sache que toute notion, sache que toute foi que tu mettras en une chose réelle et souhaitée, aimée et attendue, telle que la guérison, la création, l’annihilation d’une chose, d’une maladie, d’un être, d’une matière… de l’esprit… sera selon la foi que tu y auras mis…
Ressemble et rassemble la foi de tous ces peuples qui, au fur et à mesure des millénaires, ont cru…et cela apparaîtra.
Rassemble en toi cette Foi, cette Volonté, cet Amour qu’a eu le Christ à retransmettre son message, en une seule et unique chose que tu souhaites à un moment donné et cela sera !
 
Le Christ l’a dit : « Vous ferez mieux que moi, plus que moi, pour peu que votre prière soit par moi, en moi et pour le Père ! ».
Il suffit simplement de réunifier une Trinité…
Vous avez déjà réunifié une dualité, ce soir, grâce à une présence, à une compréhension, à une discussion… il vous suffit de vous fondre dans le Père.
Ne pensez pas que cela soit difficile…
Cela est presque fait… Tout est dans l’action que vous mettez dans cette résolution… dès maintenant et non point demain !
 
(Georges) Ce que je voulais conclure, c’est que la légende de ce peuple dit que lorsque ce monstre apparaîtra, ce sera pour le jugement dernier, pour purifier…
-          Allez ! je vais te faire plaisir…
Cette légende du Serpent « Père et Mère de toutes choses » fait simplement rapport à la présence et à l’existence parmi vous, il y a quelques millénaires, des Fils du Serpent, qui étaient simplement semblables à vous – race extra terrestre vivant au milieu de vous-.
Eh bien ! effectivement, cette présence, cette connaissance, cette science qu’ils ont étalés autour d’eux… ces «Fils du Serpent puisque fils de Lumière (les fils de « Lucifer » - Lucifer veut dire Lumière) n’ont gardé de survivance dans la tradition, que par le serpent qui représente, simplement l’appellation de cette famille qui se donnait pour Totem le Serpent… mais qui était simplement la représentation de la connaissance physique et terrestre… puisque le serpent se mordant la queue, ils étaient les fils du Serpent : ceux qui ont réunifié la connaissance avec l’esprit…
Comprends-tu ce symbolisme du serpent qui se mord la queue ?
Il en reste quelque chose.
Dans ces tribus primitives, le serpent se manifeste en plein stade…
 
Regardez un peu l’aspect que l’on peut donner à cette représentation spirituelle… : Il s’en va se jeter dans le fleuve parce qu’effrayé de ce qui se passe… en ce lieu qui doit partager tant de choses... Et qui, pourtant, est la représentation inverse de ce qui devrait y naître…
Mais enfin, je laisse cela, ces cogitations bien extravagantes de représentation des siècles et des millénaires, et que j’essaie de coller à nos jours et qui pourtant n’ont rien à voir… vous êtes bien au-dessus de la mêlée.
La Conscience, la Connaissance, l’Amour, sont bien établis entre vous.
Vous n’avez donc plus rien à rayonner, ni à prouver autour de vous… votre travail est fait.
 
(Georges) Humour !
-          HUMOUR !
Je sens les questions que vous aviez à poser, du moins celles qui étaient intéressantes, s’achèvent…
Et je vais donc vous laisser méditer sur toutes ces paroles qui se sont accumulées au bout de cette bande magnétique… vous avez enfin de la matière…
 
(Georges) Ah oui !
-          Nicole souhaitait de la nouveauté, elle en a eu…
 
(Nicole) C’est vrai…
-          Comment relancer un peu cette platitude de conversation dans l’intérêt nouveau qui pourra ainsi enfin être suscité pour le lecteur ? voilà qui est fait !
 
Et ce n’est point pour te faire plaisir que je suis venu ce soir… c’était par nécessité ! 
… silence…
            Il me prie de vous dire à bientôt !
 
XXX. Bonsoir, merci !
-          Merci à vous d’avoir été aussi attentifs… quelque peu, par certains moments, un peu de vague à l’âme… mais enfin, attentifs tout de même…
 
Je crois que, pour répondre à certaines des pensées d’entre vous, la prochaine fois, j’essaierai de venir moins tard… mais ma pensée est toujours avec vous !
 
Je souhaiterais simplement que vous soyez toujours aussi attentifs afin de la percevoir… à midi comme à minuit…
L’Ami… et la mienne aussi, chaque seconde…
 
(L’Ancien)….
Eh bien, il ne vous reste plus qu’à travailler sous mon œil attentif… vous les vieillards que vous êtes : incroyants au possible !
 


[1] Prendre « omettre » dans le sens de remettre sa vie et ses soucis en haut, au Père, en toute confiance.
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