ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
Vous avez mis le doigt sur l’essentiel[1] !
Vous avez partagé entre vous la solution…
Vous avez donné, enfin, la recette essentielle de la réussite…
Vous avez enfin communié d’un même esprit, même si cela n’était que par des expériences divergentes, référentes à votre passé…
Vous êtes depuis quelques minutes des hommes neufs ou des femmes nouvelles…
Vous êtes enfin perceptibles à cette notion de naissance, de par le jeu de mots que j’ai entendu juste avant mon arrivée : cela est le secret !
Note : Il faut naître ou il faut n’être (jeu de mots qui nous a été inspiré car, après avoir tous parlé chacun de nos vies, nos rencontres conjugales, amicales, etc., acceptant tous l’idée que nos vies avaient été guidées, nous en étions arrivés à la conclusion « spirituelle » qu’il fallait tourner les pages du passé et naître au nouveau et être présent à l’instant présent… naître = n’être (que cela) que maintenant.
 
Vous vous dites : chaque fois, il dit : « cela est le secret ! »
Et pourtant, c’est un même secret et vous en percevez des facettes différentes… recollez tous les morceaux…
Dans votre écriture, faites un chapitre spécial à cela. De cette pierre à 6 faces, décrivez le cube pour en percevoir l’Unité qui est au Centre.
Ce n’est point un secret… ce n’est point de moi… vous le savez déjà… je ne vous ai rien révélé ! Vous vous êtes révélé les plus grands arcanes[2] de votre recherche…
 
Je n’aurai donc, ce soir, rien à rajouter à part que de vous dire et de vous répéter que vous avez eu bien tort de ne point prendre note et de ne point vous être enregistrés. Vous étiez bien plus intéressants que je ne pourrais l’être !
 
Ma présence ne se justifiant plus, je vais rester quand même un peu parmi vous, simplement pour partager le bonheur d’idées justes et précises, portant vers l’Amour enfin ! Et puis, parce que vous avez préparé sempiternellement des questions…
Vont-elles m’intéresser ? Je m’appliquerai quand même à y donner les réponses…
Avant cela, sachez que l’Enseignement est entre mes mains et je l’ai mis depuis bien longtemps entre les vôtres…
Dans ces mains tendues qui, maintenant, s’échauffent et frissonnent…
Cet Enseignement que vous portez sur vos mains, vous l’avez en vos cœurs et en votre esprit…Il faut qu’il y ait unité entre ces trois choses…
L’Unité mes jeunes amis…
C’est pourquoi, le geste des mains arrivant au Cœur a une grande importance quand l’esprit, cessant d’être le lieu du mental, se retrouve dans le cœur…
L’Unité, là, seule, doit se faire… (Un second geste mental suivi du geste physique)
Tiens ! Une idée nouvelle ? Un arcane nouveau ?
 
Il ne nous en avait point parlé jusque là ! Quel cachottier est-il !
Je pensais que cela était assez simple pour que vous l’ayez compris…
Je ne vous gronde point puisque vous l’aviez déjà compris !
Mais je dois vous fustiger un peu parce que, lorsque je vous demande un geste, vous le faites sans réfléchir… vous êtes de bons répétiteurs.
 
Je vous mets un doigt dans une « flamme » en vous disant : « tu ne sens pas ! »
Eh bien ! Vous ne sentirez pas !
Quelle est la réflexion que ce geste doit impliquer en votre esprit ?
Eh bien, mes amis, je vous le dis, il est temps d’y penser un peu !
Je ne vais pas faire tout le travail, je vous en laisse un peu…
J’aurai trop de déplaisir à avoir tout le mérite !
 
Cette juste phrase qui dit et qui vous a été redonnée :
-          « Revérifiez toutes choses… soyez circonspects… Revérifiez »…
Cette autre phrase, merveilleuse de mon Maître dont vous avez perçu la finalité et toute la rondeur « d’incroyants au Possible ! »… eh bien ! Je vous le dis : tout l’Enseignement de cette soirée, c’est qu’il va falloir que vous soyez perceptibles et enfin ouverts à tout ce qui est possible…
Et je vous le dis, il n’y a point de frontière, de barrière.
Il n’y a point de limite lorsque vous serez « tout Amour »…
 
L’Univers est à votre portée : un doigt sur une personne ou sur une maladie… lorsque vous demanderez l’état d’harmonie… il viendra du fin fond de l’Univers… c'est-à-dire, de Celui qui est à l’origine de Toutes choses… LE PERE EST LA… VOTRE PERE EST LA… vous êtes une filiation directe, même si vous avez eu plusieurs pères entre deux…
Ne pensez point à votre corps… pensez à votre âme !
Pensez à l’Amour… vous êtes une filiation directe en ce sens…
-          Pointez le doigt sur quelqu’un ! dites qu’il meure et cela sera !
-          Pointez la main sur un malade, dites qu’il guérisse et cela sera !
-          Pointez la main sur un grabataire, dites qu’il retrouve sa jeunesse et cela sera !
-          Pointez la main sur un homme mort, appelez la vie en lui de par le Père et cela sera !
Votre Foi ne doit point être une « croyance » ! Votre FOI doit être « possible » !
 
Vous vous débattez souvent avec les mots et vous commencez à bien jouer avec eux ! Vous avez sorti des jeux de mots qui m’intéressaient au plus haut point, en cette soirée… vous ne les avez point notés…
Il vous en reste quelques uns en mémoire… ne les perdez point !
Amusez-vous, jouez et retournez ! la Vérité se cache derrière eux.
Lorsque vous verrez plusieurs facettes sous un même verbe ou un même adjectif… la Vérité se cache sous ces multiples facettes…
tournez et retournez la Vérité surgira.
 
La Vérité n’est jamais entière, elle se perçoit mais elle est unique !
Vous ne voyez que des images… la Vérité surgira…
Appliquez vous à deviner… appliquez vous à retourner votre champ afin que la graine plantée puisse enfin germer et surgir.
 
Toutes les philosophies sont en vous dans cet Enseignement !
Toute la diversité des esprits et des écrits se trouvent dans l’Unité du Père !...
Ne croyez point qu’un livre dise l’inverse d’un autre, ils se complètent… ce sont des facettes différentes… les guerres naissent de cette non-reconnaissance !
 
Sachez que tous les prophètes ont parlé d’une même voix ?
D’un même esprit, d’un même élan, d’un même amour !
Ce sont ceux qui l’ont reçu qui l’ont différencié !
 
Ne soyez point de ceux-là ! Gardez l’Universalité de cet Esprit, l’Universalité de cet amour, l’Universalité de cette compréhension !
Sachez enfin jouer des mots et jouer avec les mots afin que la Vérité plantée en votre Esprit, dans cette terre qui devient petit à petit fertile, car bien arrosée par le Verbe, puisse enfin voir surgir cette plante qui nourrira les hommes.
Vous êtes de la chaîne, ceux que j’attends !
(À Véro.) Tiens ! Tu n’es plus toute seule ? Et pourtant tu es la dernière que j’attendais… si je ne l’avais point dit, cela t’aurait beaucoup étonnée…
 
Pour compléter cet Enseignement, je pense que vous avez quelques idées à me soumettre et non point enfin, de questions que je ne saurais entendre ce soir… je vous écoute !
 
(Georges) Pourquoi pas de questions ?
-          Parce que j’attends des idées… tu sais très bien que je ne donne jamais de réponse (Georges heurte la table)
Ne casse rien mon jeune ami, sois attentif !
 
(Georges) Pour revenir (bafouillages, rires)… la dernière fois, lorsqu’on disait « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »…/…
-          …/… tout à fait : « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut »
(Note : Véga vient d’inverser la phrase)
Tu finis cette soirée comme tu l’as commencée.
 
(Georges) Bon, alors …/…
-          …/… bon, répète tranquillement cette idée « je suis en haut… »
 
(Georges) Vous êtes en haut.
-          Tu es en bas.
 
(Georges) Nous sommes en bas
-          Erreur !
 
(Georges) Vous avez été en bas vous aussi… comment…
-          Nous sommes sur le même plan, mon jeune ami…
 
(Georges) Oui, mais, quand je dis « vous êtes en haut », je parle… euh… spirituellement… vous allez… et euh….
-          …/… tu en bafouilles (encore un jeu de mots : tu fouilles en bas…)
Encore et pourtant je te dis « nous en sommes au même point »
 
(Georges) On ne peut pas discuter alors !
-          Mais si ! je n’attends que cela ! Je suis en haut ! tu es en bas !
 
(Georges) Non, non…
-          Vas-tu me demander où est l’échelle ?
… rires…
            Où est le bouton de l’ascenseur ?
 
(Georges) Eh bien ! Tout simplement, on peut arriver à votre niveau tout en restant en bas ?
-          Il n’y a pas de niveau, nous en sommes au même puisque c’est comme
 
(Georges) Très bien.
-          Ce mot là …/…
 
(Georges) …/… ici, nous pouvons être en haut …/…
-          …/… non ! …/…
 
(Georges) …/… tant que nous vivons le vie que nous vivons actuellement.
-          Fais un petit effort, mon jeune ami, pour être en union avec mon esprit… calme-toi un peu, détends-toi… je te dis que la clé, c’est « COMME », unique en action… communication…. (comme unique action)
 
(Nicole – Véro) Ah ! Ah oui !
(Nicole) c'est-à-dire, il n’y a pas de haut et de bas…
-          Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.
Lorsque tu seras en action, il n’y aura plus de différence, me comprends-tu ?
 
(Georges) Tout à fait !
-          C’est clair ?
 
(Georges) Oui ! Mais justement…
-          Eh ben ! …/…
 
(Claudine) C'est-à-dire : à mesure qu’on se met en mouvement à ce moment là, on se met en harmonie « avec »… ce qui fait qu’on est en haut aussi…
-          Vous serez comme.
 
(Georges) L’image veut qu’en haut : c’est le ciel. En haut, c’est la pureté. En haut, c’est l’Amour… nous vivons actuellement, je mets entre guillemets, « en bas », c'est-à-dire « dans la matière », mais nous pouvons tout à fait, dans notre vie actuelle « être en haut » par l’Esprit et la Conscience.
-          Tu veux que je te délivre un grand secret ? tu es déjà au Ciel ! tu te fais toi-même ton purgatoire. Tout ça est une illusion que l’on vous a donnée au départ. C’est une hypnose à laquelle vous croyez dur comme fer…
C’est pour cela que je disais qu’il n’y a point de différence d’étages d’esprit.
Tu vis ton ciel, ne vis point ton purgatoire ! Croit ! Aies la Foi !
Je te tiens la main ! tu es à mes côtés : mon cœur, le tien… nous sommes l’un contre l’autre et l’un dans l’autre… et c’est pour cela que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ! (L’Unicité dans le UN)
Ce n’est point pour partager « un haut », « un bas » ! Une droite, une gauche !
C’est simplement pour participer de l’Unité ! Crois-tu que lorsque l’on dit que « nous sommes UN », on pourrait se diviser avec autant de distance incommensurable que tu l’as dans ton esprit ?
C’est une facette (jeu de mots : une face du 7… les 7 énergies ou vibrations constituantes de la Création).
C’est une image que l’on t’a donnée… c’est une distorsion que l’on t’a fait croire… remets cela au plus juste des mots et du jeu que tu pourras en faire…
C’est pour cela (ceux qui sont là… ceux qui sont las « fatigués » et qui cherchent à comprendre) que je vous appelais à jouer avec les mots…
Soyons comme une unique action puisque nous communiquons[3].
 
(Claudine) Alors, c’est appliqué à quoi ce « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ?? Aux personnes ?
-          Cela veut dire que c’est pareil : « comme »
 
(John) En fait, si ce qui est en haut « est » comme ce qui est en bas, il n’y a ni de haut, ni de bas…
-          Bien ! mon jeune ami ! eh bien ! j’attendais surtout de ta part (du 7… de ton Tout) que tu dises « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut »…
 
(Nicole) Pour combler « la distance », il faut prendre la phrase dans les deux sens et à ce moment là, il n’y a plus de distance.
-          Jouez et retournez… je vous l’ai dit tout à l’heure !
Regardez toutes les facettes, là est le secret !
Mon ami Georges pense « oui, mais… » (À Georges) je t’écoute !.... silence
 
(Nicole) Il boude !
-          Non ! il n’oserait point …
 
(Georges) Alors, lors de votre dernière venue, vous avez nommé, vous avez élevé au rang « d’intercesseur » toutes les personnes qui étaient ici …/…
-          …/… oui !
 
(Georges) Il n’y avait pas ici, Véro, Guy, Denise (sa femme)… donc, est-ce qu’on peut considérer qu’ils n’étaient pas intercesseur ? Ou bien, est-ce qu’on peut considérer au contraire, que tout le monde peut être… est… intercesseur ?
-          Tout le monde est intercesseur de celui qui LE choisit
Je ne vous ai point nommé ou donné quelque chose… vous L’aviez choisi.
Par contre, je vais te nommer « Prieur » !
 
 
 
(Georges) Donc, là, vous me dégradez !
… rires…
-          Eh non ! je ne te rétrograde point !
 
(Claudine) Etre intercesseur, c’est aussi, Etre Prieur !
-          « Etre intercesseur » c’est écouter, entendre… être une interface.
« Etre prieur » est celui qui sera en charge de retransmettre toutes prières, en étant soi-même sempiternellement en état de prière…mais il l’a déjà sous entendu à ma dernière visite. Il a dit qu’il ne priait point assez.
 
(Claudine) Mais tous aussi …/…
-          Mais les autres ne l’ont pas dit, même si ils l’ont pensé très fort !
 
(Georges) Donc, lorsque lors de votre dernière visite, lorsque vous avez nommé « intercesseurs » toutes les personnes qui étaient présentes, j’ai considéré, personnellement que c’était une sorte de renfort que vous m’apportiez parce que je n’avais pas été à la hauteur de ma tâche.
-          Faux !
 
(Georges) Faux ? Tant mieux…
-          Il se croyait à ce moment là dégradé… c’est bien pour ça que je te mets des galons supplémentaires… il ne fallait point que tu te sentes sous estimé… tu vois que ce n’est pas le cas puisque maintenant, tu te sens surestimé !
 
(Georges) Oh ! Je suis très « con » surtout… je me sens très con !
-          Oui ! mais il est temps, donc tu es con-tent !... rires
 
(Georges) Je suis content !
-          Oui ! ou comme tu le dis très bien en retournant les mots : il est temps d’être « con » (préfixe latin signifiant « avec ») donc en clair : il est temps d’être avec Ton temps ! … rires… (sans réelle compréhension)
 
(Georges) Vous nous avez dit, le matin lorsque vous vous réveillez, dites : « Mon Dieu, je suis content d’être enfin endormi ».
-          Oh oui !
 
(Georges) Et je l’ai fait une fois ou deux et je ne suis plus d’accord de le faire.
-          Une fois ou deux seulement ?
 
(Georges) ouais ! Parce que je ne suis pas d’accord sur cette ironie… parce qu’en fait, c’est nous sous-estimer que de vouloir dire …/…
-          …/… eh non ! j’essayais seulement d’attirer votre attention sur un état de fait… cette phrase dite et qui te gênait beaucoup, te faisait prendre conscience qu’il fallait enfin te réveiller…
En disant, « je suis endormi », cela veut dire…
de prendre conscience et de ne point faire comme tout le monde : de se réveiller, d’éteindre son réveil, d’aller boire son café, de s’habiller et puis d’aller à ses affaires « SANS Y PENSER »… il fallait enfin devenir acteur !
 
Lorsque tu dis « je suis endormi », déjà, je te réveille un peu puisque cela t’a dérangé. Je t’ai donc éveillé juste le temps que tu sois dérangé…
Il fallait donc continuer, mon jeune ami, toute la journée et tout ton sommeil !
C’est pas le tout de vouloir du galon… il faut le mériter !
 
(Georges) Eh bien ! On va s’y atteler !
-          s’y atteler, c’est bien ! il faut suivre les chevaux !
Je t’en mets douze maintenant devant ton attelage…
 
(Georges) 12 ?
-          Eh oui ! tu avais peur que je te laisse dans une petite voiture style « 2cv »… eh bien ! maintenant, 12 devant toi à galoper ! (rires)
 
(Nicole) Tu vas pouvoir courir !
-          Prends ton souffle mon jeune ami, prends ton souffle…
 
(Georges) Ce n’est pas par hasard, ce chiffre que vous donnez…
-          Non bien sur ! 12 comme les 12 travaux d’Hercule, comme les 12 mois de l’année, comme les 12 bonnes intentions que tu vas te donner.
Note : les hommes incarnés subissent les influences des astres, des 12 constellations. Un système de forces stellaires difficiles à interpréter, le zodiaque, les Eres, une science pratiquement perdue…)
J’attends simplement que tu en appliques UNE !
Mais vraiment ! Tout le temps !
 
(Nicole) Mais justement, si on en choisit une et qu’on la fait comme vous le dites réellement et tout le temps …/…
-          …/… eh bien, je vous en appliquerai 12 !
 
(Nicole) …/… on fait tout en même temps ! On fait Tout ! On est ! C’est Tout !
-          Vous ne faites pas tout. Tu dis : « on est » c’est tout !
C’est Tout en même temps puisque ETRE, c’est TOUT !
C’est tout, il suffit d’ÊTRE !
 
(Georges) Conscience en permanence.
(Nicole) Oui ! Voilà !
(Georges) Et, dites moi …/…
-          Oui, mon jeune ami ?
 
(Georges)Ce message, ce long et beau message (ci-joint)…/…
(Reçu de nuit par Georges)
-          …/… tu es bien aimable tout d’un coup ! … rires …
 
(Georges) … sur lequel nous avons devisé tout à l’heure. Etait-ce vous ?
-          Oui !
 
(Nicole) Bien sûr, son nom y était… c’était pour attirer ton attention.
(Georges) C’est gentil ! En fait, vous avez résumé ce que vous nous avez déjà dit. Vous avez un peu plus martelé… hein ? C’est très bien !
-          Tu es heureux ?
 
(Georges) Oui.
 
(Nicole) Est-ce qu’il a bien capté et retranscrit ?
-          A peu près !
 
(Nicole) A peu près ?
-          Il faut toujours que je casse une patte au canard.
 
(Nicole) Non, mais on demande confirmation…
-          Oui…
 
(Nicole) L’essentiel y est !
-          Oui !
 
(Georges) Les dernières phrases concernant Stéphane (Fils de Georges et Nicole) et Sandrine (épouse de Stéphane).
Je ne les ai pas bien assimilées ou alors, elles ne sont pas complètes.
-          Elles sont incomplètes car déjà ton état de pensée a perturbé ce que tu entendais. Ton émotionnel est rentré dans le côté attentif que tu aurais du conserver…Mais vous avez bien complété dans vos conversations ce que je voulais y faire passer… ce que tu avais demandé…
 
(Georges) Oui !
-          Sache, mon jeune ami, que je ne te donnerai que ce que tu demande… et je te donne ce conseil suivant : ne limite point tes demandes…
Tu as une soif de connaissance qui te reste toujours en travers de la gorge, lorsque je ne te donne point assez à boire…
Ne limite point et ne laisse point l’émotionnel rentrer dans ton esprit lorsque tu es sur l’Enseignement. Mais, c’est vrai, qu’à ton corps défendant, il s’agissait de ton fils et je le comprends fort… lorsqu’il s’agit de toi, je réagis de la même façon lorsque l’on m’interpelle et qu’on me pose des questions.
 
(Nicole) C’est excusable parce que notre émotionnel est pour notre fils…
(Georges) Et lorsqu’on me dit « Il a eu une attaque, il faut qu’il réfléchisse » je n’ai pas pu mettre « il » sur une personne particulière….
-          Cette attaque là, c’est ton refus de comprendre, c’est un refus d’une situation que tu n’aurais point aimé vivre…tu pensais que ton fils allait être la ligne droite de ta vie. Il ne peut point être cela…
Il doit subir des expériences qui ne seront point les tiennes…
Tu as subi des expériences qui ne seront jamais les siennes…
Tu souffriras des siennes car tu ne pourras jamais les maîtriser…
Il ignorera ces souffrances car il n’aura jamais vécu les tiennes…
Tu vis par rapport à lui dans un futur… il ne vit pas ta vie car elle est passée…
 
Votre phrase d’il y a quelques instants qui dit qu’il faut naître/n’être qu’à partir de cet instant… il faut n’être/naître que maintenant et ETRE REEL.
Avec ton fils, sois avec lui maintenant pour demain.
Soutiens-le, épaule-le, mais ne pleure jamais avec lui. Ne t’apitoie point sur son sort… comme tu aurais tendance à le faire sur le tien…
Sois fort ! Sois maître ! Maître (mettre le Père) en toutes choses, même si tu ignores… Maître, car on sera toujours derrière toi quand tu en auras besoin…
Mais ne te crois point, jamais, au-dessus, car tu ne seras jamais « comme » en bas. Appelle toujours lorsque tu ignores et sache que tu ignores toujours ! Donc, appelle tout le temps.
Etre présent, c’est être présent à toutes choses, surtout celles qui viennent de l’extérieur…. Etre présent à tout ce que tu ignores, pour mieux aider ceux que tu aimes. Sois attentif ! Sois maître ! Tu le seras ! C’est ton devoir !
 
(Georges) Ca concerne tout le monde ça… hein ?
-          Chacun d’entre vous ! Y compris moi !
 
(Nicole) Oui ! C’est tous nos rapports avec les autres.
-          Du plus âgé au plus jeune… réfléchis ! il faut être réfléchi… il faut réfléchir !
 
(Véro.) Le miroir.
 
(Nicole) Donc, il faut se simplifier l’existence, si je puis dire.
-          Il faut « être »… oublie le mot « simple ».
 
(Georges) Je reviens encore sur …/…
-          …/… reviens-y mon jeune ami !
 
(Georges) Sur cette notion d’intercesseur.
Vous aviez dit que nous devions, passer…il y avait une petite phrase « que nous devions intercéder les uns envers les autres… »
-          Ah ! cela n’a toujours pas été aboli.
Cela n’est point aboli… cela a toujours cours.
 
(Georges) Mais, c'est-à-dire que je ne comprends pas, l’intercession se fait entre nous ? Je ne comprends pas. Pourquoi est-ce qu’il faut passer entre nous ?
-          Vous avez besoin d’aide.
Vous partagez la même chose, le même Enseignement.
Vous êtes sur une voie unique… les uns, vous verrez, faibliront parfois…
Vous devez être « intercesseur » car, même si vous n’êtes point présent, les uns en face des autres, vous ressentirez parfois ces faiblesses… de par un manque de FOI, par un manque de ténacité, de pugnacité…
Sachez que les autres ressentiront la même chose… ou c’est parce qu’ils la vivent que vous la ressentez… en cela… vous êtes interdépendants… d’où cette notion d’intercesseur… une faiblesse parfois, n’est que le reflet de la faiblesse des autres. Je vous ai liés.
 
(Nicole) On fait des échanges…
(Georges) Mais on n’est pas toujours …/…
(Nicole) …/… mais même si on n’est pas en présence physique…
-          Eh bien ! si tu fais un effort, tu le feras pour le groupe… si tu te sens mal, en faisant un effort, le groupe le ressentira effectivement (note : un égrégore, un ensemble de forces mentales spirituelles s’est formé par notre petit groupe et, l’état d’esprit de chacun, modifie la qualité de cet égrégore se répandant sur chaque membre… ceci sans aucun rapport avec notre monde physique… à chaque membre de renforcer en positif la qualité de cet ensemble vibratoire…) et ce mal être que l’un de la chaîne a vécu mais n’aura point le courage de surpasser, eh bien ! Ce sera à toi de le faire…
 
Vous avez donc tous la responsabilité d’agir sans attendre que l’autre le fasse puisque vous ne saurez jamais « qui » aura ressenti et « qui » fera…
(Note : le devoir de chacun n’est que de rester ferme dans notre foi, notre confiance, quelques soient les problèmes qui peuvent nous assaillir…)
C’est un petit piège que je vous ai tendu, mais je le trouve bien sympathique !
 
Vous êtes donc des « intercesseurs » : chacun fera pour l’autre sans savoir à qui cela profite… quel altruisme ai-je donné là ! Il est génial ! Non ?
(Note : Véga est le transmetteur d’idées, de pensées, qu’il reçoit de plus haut… comme nous-mêmes pouvons recevoir ces influences… ces intuitions venant de plus haut…)
 
(Nicole) Ce que vous demandez là, sur ce petit groupe est faisable, faisable partout !
-          Oh ! tu vas bien plus loin que ce que je ne l’espérais…
Commencez donc par vous-même !
(Note : Aimons-nous les uns les autres donc : ne jugeons plus !
Ceux qui nous sont proches par l’Enseignement « ce petit groupe » ; ou autres… balayons devant notre porte avant de vouloir balayer ou pousser les autres à balayer devant leurs portes.
Si nous continuons à juger, à critiquer sur quelque point que ce soit, nos proches, amis, famille, etc. nous ne sommes pas des transmetteurs purs…
Je réécris ces lignes de l’enseignement donné en 1997… en ce jour de 2007 et pendant 10 ans, moi Nicole, je constate que mes coups de balai devant ma porte de compréhension et du non jugement, ont laissé bien des poussières !!!)
 
(Georges) Commencez donc par vous-même.
-          Déjà, vous n’êtes qu’un (par l’Enseignement) et pourtant plusieurs puisqu’un groupe ! n’est-ce pas « Prieur » !
 
(Georges) … humm ! oui, chef !
-          Tu me fais sourire…
 
(Georges) Tout à l’heure, j’ai regardé -ça s’est passé ici et puis à table- j’avais l’impression de voir mes amis avec un autre œil. J’ai l’impression qu’ils sortaient de…
-          …/… oui !
 
(Georges) …/… dans un relief différent…
-          Oui !
 
(Georges) C’est quoi ça ?
-          Tu commences à percevoir une autre vision… tu commences à percevoir ce qu’un jour, tu appelleras la Vérité… tu percevras enfin, d’un œil nouveau, l’image débarrassée de « l’illusion »…et tu me fais sourire encore…
 
(Georges) rit… pourquoi je n’arrive pas à recevoir comme mon ami Guy (le canal)
-          Tu es un peu tendu et lui, il a l’habitude… il laisse aller, tranquille…
Tu ne l’es point assez. Tu attends, attentif : tu es au guet mais tu n’es point patient… tu n’es point détendu !
Celui qui est au guet a l’œil attentif, trop mobile, toujours en mouvement et il faut être comme un lac… l’acceptation est tranquille, calme…
Pendant un temps, c’est vrai qu’il m’a repoussé et me dirigeait sur toi… tu étais trop dispersé… mais je ne désespère point ! Cela viendra ! Je suis patient ! J’y arriverai !
 
(Georges) Super !
(Véro.) Est-ce que vous pouvez être sur n’importe lequel d’entre nous ?
-          Puisque tu te désignes, tu seras donc ma prochaine victime.
… rires…
 
(Nicole) Il n’y a pas d’impossibilité !
-          Bien sûr ! n’oubliez pas la voix de mon Maître ! (l’Ancien 23.8.97) qui, en cette phrase : « vous êtes incroyants au possible », a fini le dernier dialogue que vous avez eu…il était d’une justesse précise…
Vous avez bien perçu son jeu de mots et vous avez bien entendu ce qu’en trois mots, il a écrit. Il y a tout un livre, qu’on pourrait faire, effectivement, à chaque phrase qu’il émet !
Vous savez que j’apprends beaucoup de lui.
Je ne suis point aussi juste : je donne trop de phrases pour une seule idée. Lui, il met cent idées dans une phrase.
 
(Nicole) C’est concis !
-          C’est précis !
 
(Nicole) Et c’est vrai !
-          Ah ! ça ! je n’osais point le dire !
c’est à lui d’en juger, c’est à vous de le revérifier…
 
(Nicole) C’est ça finalement… c’est ça, dire « que le haut et le bas n’existent pas ». C’est croire au possible !
-          mummm ! commenceriez-vous à percevoir l’étendue de l’Enseignement ?
Ne dites pas oui… je vous flatte !
 
… rires…
(Nicole) Non, non ! « Commencer »… j’ai retenu le mot !
-          Ah ! tu as donc perçu… il ne te manque plus que l’enseignement !
Commencer à percevoir l’Enseignement : ça fait beaucoup ! Non ?
Il suffirait d’être  l’Enseignement. Je pense que cela suffirait à tout !
Je pense que c’est une réflexion tout à fait personnelle qui n’est que pour moi, qui ne vous intéresse point !
 
(Georges) Un aparté !
-          Petit aparté pour moi, il m’arrive de vieillir et de parler tout seul !
 
… rires…
            Re riez vous parfois (là est la question que je me suis posée) en réécoutant les cassettes ? Percevez vous un peu plus, votre humour à travers mes phrases.
… silence…
           
 
 
Vous ne re riez point et c’est bien dommage !
(Note : je ne pense pas qu’il faut prendre « rire » au sens humain du mot.
Pour moi, rire, c’est le plaisir, la joie de sentir que j’ai compris, assimilé quelques notions supplémentaires de l’Enseignement… et cela me fait rire de ma lenteur de compréhension).
Et sachez que ma question était tout à fait pertinente. Je n’attendais point de réponse. Vous savez ce qu’il vous manque lorsque vous réécoutez les messages ? La spontanéité…
 
(Georges) Naturel… il faut être naturel…
-          Très spontané[4] ! vous éclatez de rire et pourtant, Dieu sait, il y a quelques années, jamais vous ne vous le seriez permis en m’écoutant pérorer !
Vous étiez bien coincés dans vos petits gilets ! bien peureux de me couper la parole… et maintenant, vous n’hésitez plus.
Je ne me laisse point déborder pour autant !
Je suis toujours avec la même unité d’esprit mais vous êtes bien plus détendus, donc, beaucoup plus perméables à certaines idées.
Cela fait son chemin, c’est ainsi que je m’en rends compte…
 
Donc, je vais vous demander de compléter le mot « présence » par le mot « spontanéité ». Gardez cette même fraîcheur ! Cette même spontanéité !
Un pied de nez que je vous fais souvent (sous le vent de l’Esprit) doit toujours vous faire rire puisqu’il a rapport à une pensée profonde et toujours éclairée…
La réécoute éclaire la profondeur des pensées…
Soyez donc spontanées et re riez encore…
 
(Nicole) Il y a une dimension qu’on oublie : c’est la Joie ! Justement …/…
-          …/… mummm… cela me met en appétit !
 
(Nicole) parce que c’est une notion qu’on devrait absolument lier à la confiance…
-          mummm
 
… rires…
(Nicole) C’est vrai, si l’on était confiant, vraiment, réellement, profondément, totalement, on ne pourrait être que gais, heureux et joyeux !
-          mummm…
 
(Véro.) On se prend trop au sérieux !
-          mummm…
 
(Nicole) L’Enseignement, il ne faut pas le prendre au sérieux avec le sérieux avec lequel on le prend !
-          mummm…
 
… rires…
Tu vois Georges, ce n’est pas compliqué d’avoir des messages.
Il suffit de laisser parler les autres !
 
… rires…
            Mumm… j’en apprends beaucoup, enfin, par votre bouche !
 
(Nicole) Mais en plus, cette prise de conscience me met en joie… je me sens…
-          mummm et moi donc (DON[5]) je me mets à planer !
… rires…
      Tant de mots justes en une seule phrase !
      Mumm… c’est génial ! Pour vous !
 
(Georges) Dans ce message …/…
-          …/… oui Georges ?
 
(Georges) Dans ce message que vous m’avez fait passer, vous disiez : « regardez l’Ame »
-          Oui !
 
(Georges) Bien ! Alors, nous en avons parlé et nous sommes d’accord pour dire : il y a des êtres humains qui vivent en même temps que nous là. On en côtoie sans doute certains qui n’ont pas d’âmes ! Est-ce que c’est possible ?
-          Oui !
 
(Nicole) Ca, il n’arrive pas à le saisir…
-          Il y a des êtres humains et des êtres divins. Choisis ton camp !
 
(Nicole) L’âme n’est pas le principe vital du physique… tu comprends ?
 
(Georges)Si on en rencontre, de toutes façons, puisqu’on n’a pas à juger, notre rôle est de traiter tout le monde indifféremment quand on est dans l’Amour !
-          Bien sûr ! ne juge point !
 
(Georges) Est-ce que cela signifie que quelqu’un qui n’a pas d’âme peut basculer dans le bon côté…
-          Tu dois aimer. Tu dois partager… tu dois donner l’Amour.
Si cet « être » est perméable, il partagera, il s’unira… il s’enrichira !
S’il est imperméable, il restera pauvre en Esprit…
Tu n’as point à savoir ce qu’il adviendra de ton DON : DONNE !
Rayonne… cela seul importe ! Sur ces seules actions tu seras jugé.
Non point, sur ce qu’il est advenu, mais sur ce que tu agis !
 
(Véro.) C’est ce qu’on disait tout à l’heure : sème.
 
(Georges) et ne cherche pas à comprendre…
-          sème car il suffit de s’aimer !
 
(Nicole) Lorsque tout à l’heure, vous disiez au début, en croyant, en ayant la Foi, on pourrait tendre le doigt et par exemple, vous avez dit « tuer une personne » par Amour, on peut sauver la Vie d’une âme !
-          Tu peux tout sauver… bien… « en tuant », tu peux donner la Vie !
Une action à l’extrême peut en produire une autre !
Et par contre, en cela « ce qui est en haut est, comme ce qui est en bas ».
(Note : ce terme « tuer » est choquant mais il ne s’agit pas d’une action provoquée par la volonté humaine… mais par ce qui est en haut…
les hommes ne sont que les instruments de la Volonté divine et la mort du corps physique peut libérer une âme vers la Vie éternelle… donc, en Vérité, tuer un corps peut donner la Vie, la vraie ! Ce soir là, je n’avais pas compris !)
 
 
(Nicole) Je n’ai pas tout compris.
-          Il n’y a pas d’extrême… tout est pareil !
 
(Nicole) Ah oui ! Je comprends : naître ou mourir… c’est…
-          L’odeur de la rose[6] est essentielle à la Vie.
La mauvaise odeur en est sa conséquence (Véga se pince le nez).
Ne pas respirer n’est pas une action licite pour différencier l’une de l’autre… ce qui EST en haut est comme ce qui EST en bas…
 
(Nicole) Donc, on unifie en les traitant pareillement !
-          Gardez le juste milieu. N’acceptez jamais « d’être » aux extrêmes… sachez seulement que cela existe…
 
(Nicole) Oui, il n’y aurait par de bonne ou de mauvaise odeur s’il n’y avait pas l’inverse… c’est ce qui nous permet d’ÊTRE !
C’est la différence entre les deux. Nous, on se situe au centre !
 
(Véro.) En fait, est-ce que ça peut vouloir dire que toute matière contient sa part d’esprit ? Est-ce que cela veut dire que si l’on est très présent, il y a union de la matière et de l’Esprit et qu’à ce moment là, le haut et le bas se rejoignent complètement ?
-          mumm…
 
(Véro.) Lorsqu’on est conscient et dans l’Amour, finalement, c’est la Lumière …/…
-          mumm
 
(Véro.) …/… qui permet d’agir !
-          mummm… que ces mots me plaisent au plus haut degré. Enfin, la Lumière apparaît ! mumm ! heureusement, vos questions sont enregistrées.
Ce qui est un avantage pour vous ! mumm… oui ! « Les prières » !
 
(Georges nommé « Prieur ») répond : Je suis toute ouie !
(Véro.) C’est vrai que ça rejoint ce qu’on disait avec Nicole : que plus on est présent dans l’Amour ! Moins le Père est extérieur à nous et on ne dit plus « moi, je suis en bas et le Père est en haut ! »
-          Moins vous OUBLIEZ le Père ! car le Père ne vous oublie jamais !
C’est vous qui n’avez point le Père à la mémoire.
C’est vous qui êtes loin de LUI.
Il attend simplement que vous rejoigniez ses appartements…
 
(Nicole) Il y a une chose qui m’a interpellée ce soir :
Vous avez dit : « un jour, il faudra tuer le Père »
-          Je parlais d’une autre image : peut-être de moi ?
 
(Nicole) Ah !
-          L’image de « celui qui donne » ! car, pour que vous deveniez enfin des maîtres (ou mettre), il faudra que je devienne un senti m’être/maître/mettre (ouah ! quel jeu de mot ! qui est le maître absolu de la Vie ? le Père ou quelqu’un d’autre ? qui est notre maître enseignant ? Véga ! et qu’a-t-il fait sinon mettre en nos esprits, entre nos mains, les messages).
Il faudra que je disparaisse enfin sinon, vous attendrez toujours que ce soit moi qui fasse le premier pas…
Vous direz : j’attends que le maître le fasse …/…
 
(Nicole) pour suivre
-          Mais si je meurs, il faudra bien vous mettre au devant de vos responsabilités… il faudra bien que vous soyez prêts…
 
(Nicole) Il faut se tenir prêt…
 
(Georges) On est tellement habitués à vous qu’on va faire exprès de ne pas progresser pour vous garder !
 
(Nicole) Oh ! Chantage…
-          J’espère, mon jeune ami, que tu ne me crois pas naïf à ce point là !
 
… changement de côté cassette… (il manque un peu du dialogue)
 
            (à Véro) mais je reviendrai !
 
(Georges) Bien sûr !
-          Au moins une fois ! peut-être qu’une fois !
 
(Claudine) Après, c’est nous qui irons vous voir !
 
(Georges) Si vous ne venez pas, on ira vous voir…
-          Chiche !
 
(Georges) Ce serait super !
-          Tu vois, tu mets déjà du conditionnel…
 
… rires…
 
(Véro.) Incroyant au possible !
-          Et, je n’osais point le répéter car cette phrase était donnée par mon Maître… mais elle était au bord de mes lèvres…
 
(Nicole) Mais c’est quelque chose qu’il faut qu’on se martèle…
-          Mais pourquoi « marteler » ? vous êtes donc si… sympathique à la douleur ?
Comment dites-vous chez vous ? Masochistes ?
 
(Nicole) Non, non, je veux rester dans la joie maintenant…
-          Marteler la joie, cela est bien plus doux ! forgez votre métal à coups de joie !
 
… silence…
            Je vous écoute
 
(Georges) pourquoi mettez-vous vos mains comme ça ? (Véga pose tantôt une main, tantôt l’autre sur son cœur)
-          Cela me fait plaisir…
 
(Georges) Napoléon mettait sa main un peu plus bas…
-          Parce qu’il avait mal à l’estomac…
Moi, c’est le cœur que je désire faire rayonner.
C’est en mettant ma main sur le cœur que je prends conscience enfin de sa Présence. Et de temps en temps, dans la journée, je fais simplement ce geste pour me rappeler…
Mais ce n’était point pour vous… c’est simplement pour moi, pour me rappeler que j’ai un cœur !
 
(Nicole) tout à l’heure, justement, les mains, c’est le symbole de ce que l’on donne… vous avez dit de les ramener sur le cœur …/…
-          …/… eh oui ! parce que lorsque les mains sont sur le cœur, elles ne pensent point à prendre.
 
(Nicole) Voilà, et de descendre notre mental, volontairement, au niveau aussi du coeur… donc, c’est ce que j’ai tenté d’appliquer au début de votre intervention… et c’est vrai… que c’est la façon… c’est le centre de l’Unification !
-          Oui !
 
(Nicole) Et c’est toujours comme ça que nous devrions être…
-          Et sais-tu que lorsqu’une main a été sur le cœur et puis l’autre, en les rejoignant, dans ce geste de prière, on ne fait que symboliser le cœur… qui palpite enfin… et qui s’ouvre, pour donner.
Quelle belle odeur, que l’odeur du cœur… qui est au centre de toutes choses…
 
… silence…
Bien ! je crois que j’ai encore une fois, abusé un peu trop de votre temps et je sens tout de même un regret en vous… de n’avoir été que l’unique interlocuteur… mais il faudra vous y faire… nous ne serons pas toujours multitude…
 
(Georges) On n’est pas déçu !
 
(Nicole/Claudine/Véro.) Non ! Non !
-          Vous êtes fort aimables… j’en suis fort aise… cela me met presque en joie…
 
(Nicole) Non, parce que finalement, Il est là, malgré tout… toujours !
 
L’AMI : Bien sûr qu’IL est là… toujours avec vous, en communion parfaite et prêt à donner… j’ai prié avec vous ! J’aimerais que vous priiez avec moi….
Vous n’êtes point oubliés…
 
L’ANCIEN :
Eh bien ! Cela vous obligera à croire un peu plus !
Cela vous obligera à l’Unité !
UN CROYANT ! CELA EST POSSIBLE ! TOUS ENSEMBLE !
 
Véga à Georges : message reçu par intuition (mi-octobre 1997)
 
« Suivez moi, vous ne le regretterez pas (Véga : le)
Vous n’êtes pas responsable de la misère du monde
Il est temps de partir en croisade… pacifique bien sûr…
Rayonnez pour attirer… attirez pour rayonner…
Il n’est d’injustice que celle des hommes.
Ne jugez pas ! ne culpabilisez pas ! Avancez !
Le tri sera fait.
Ne vous embarrassez pas, avancez et aimez.
« Confiance » n’est pas fatalisme mais Espoir (1)       Foi (2)             Amour (3)
                                                               Donnez,             donnez,             donnez
Le Christ a donné le premier pain et le premier poisson et la masse s’est mise en marche : La confiance ne l’a jamais quitté.
Vous recevez en donnant, en donnant, vous recevez…
Foin de lamentation ou de doute… le temps est proche
Foin de question, de tracas, de problème… avancez ! et semez !
La récolte ne vous importe pas, les graines germent toujours, bonnes ou mauvaises.
Vous êtes tous concernés. Ne rejetez pas !
Amour aveugle en bas, Amour conscient en haut !
Aimer n’est pas disséquer !
Soyez les miroirs qui reflètent l’Amour sans réfléchir.
Intercession entre le Ciel et vous.
Vous êtes tous des intercesseurs quand vous demandez pour les autres.
En demandant pour vous, vous devez accepter de recevoir ce que vous méritez.
Si vous avez Confiance, vous ne demandez pas car on vous donne toujours ce dont vous avez besoin.
SOYEZ ATTENTIFS ! Regardez mieux, écoutez mieux EN PERMANENCE
Foin des détails : AVANCEZ !
(Stéphane/Sandrine) Tu les as unis par la Vierge.
Ils sont unis par l’Amour mais ils ne le savent pas.
C’est sans doute trop tôt… au dessus de ses forces… tu crois ?
Etre dans l’Amour, c’est accepter ses souffrances comme un clin d’œil divin et non comme une punition…
 Complément sur ton envoi : extrait de la Kabbale 
 
 
Les trois mondes.
 
Les chrétiens la traduisent en sainte Trinité, et les philosophes en thèse, antithèse et synthèse. Cet aspect ternaire dérive de l’unité primordiale dont il possède en fait le pouvoir créateur ; mais chacun de ces éléments relève également d’un caractère particulier qui dépend du sexe ou du plan d’action.
 
Il y a trois plans d’action qui correspondent aux trois sexes ésotériques : le masculin, le féminin et l’androgyne. Ces trois plans sont appelés les trois mondes.
Un kabbaliste affirme que chaque lettre de l’alphabet sacré est une « créature intellectuelle » - cette créature contient les trois mondes, comme le corps de l’homme est une création physique qui contient les trois mondes lui aussi, symbolisés par la tête, la poitrine et le ventre –
Les francs-maçons ont retrouvé cette tradition puisqu’ils demandent à l’apprenti de saisir les forces qui traversent son ventre, au compagnon celles de sa poitrine et au maître celles de sa tête. Les initiés maçons ont des signes précis qui symbolisent tout cela.
 
Les trois mondes se divisent en monde supérieur, médian (ou intermédiaire) et monde inférieur.
 Dans l’homme :
 Le monde supérieur correspond à l’esprit immortel, celui auquel accèdent les humains qui ont achevé leur périple après leur mort ; sa base est le système nerveux conscient ou sympathique.
Le plan médian correspond à la vie ou à ce que les anciens appelaient l’âme et il utilise le système nerveux parasympathique.
 Le plan inférieur correspond au corps, mais dans cette infériorité, il ne faut rien voir de péjoratif. Il ne s’agit que d’une fonction.
 
Chaque monde a cependant dans l’autre monde, le supérieur par rapport à lui et l’inférieur par rapport à lui, une représentation de lui-même. Quoique gouverné par la tête (le cerveau), le système nerveux central a des émanations aussi bien dans la poitrine que dans le ventre.
Les kabbalistes et les ésotéristes ont adopté deux points extrêmes : l’Etre et le Néant (la lumière et l’obscurité) et pour l’homme :
-         au plan supérieur, l’Esprit est localisé, la Vie y est reflétée ainsi que le corps
-         au plan intermédiaire (la poitrine), la Vie s’y localise, l’Esprit s’y reflète et le corps également,
-         au plan inférieur, l’Esprit et la Vie s’y reflètent et le corps y est localisé.
 
L’Esprit représente le Principe créateur (Dieu), le médian (la Vie) symbolise le sentiments et le corps représente l’instinct.
 
 


[1] Prononcez le mot à haute voix… qu’entendez-vous ? Essence ciel.
« L’essence » du ciel : ce qui constitue le fond d’une substance sans tenir compte des modifications superficielles pouvant l’affecter…
[2] Secrets, mystères.
[3] Le langage de l’Enseignement (ici écrit) s’appuie sur des symboles universels, pouvant être compris et assimilés hors races, hors langues étrangères. Pour un chinois comme un africain ou un sud-américain… un carré, un cercle, un cube, une sphère, « un point »… dessinés sur un papier ou sur du sable, parlent à l’Esprit des hommes. On a nommé le créateur universel : le « Grand Architecte ». Que fait un architecte ? Il trace des lignes, des schémas mesurés, donc en se servant de chiffres, de nombres, pour créer son projet…
 
Revenons au jeu sur les facettes. Regardons un dé à jouer marqué de 1 à 6 points. La face 2 opposée ou complétée par 5 et la face 3 dito au 4… chaque fois, la somme est égale à 7. « Ce 7 » que l’on pourrait placer au centre du dé. Nous jouons tous avec ce « dé ». Ces 6 énergies qui nous animent… comment créer l’équilibre ? Nous le laissons à votre réflexion, à votre désir de comprendre.
Imaginez que ce cube, ce dé, représente un être humain jouant dans cette vie ici bas ? Ou ici haut ? Ou ICI tout simplement… le 7 au centre… la 7ème énergie ou vibration contenant toutes les autres : la synthèse, l’Union…
[4] Que l’on fait librement, volontairement, sans y être contraint).
[5] La Joie rend le DON d’Amour léger, libre de s’épendre.
[6] (Note : La rose est un symbole ésotérique très important. Bien souvent, elle représente le Cœur mystique. Il a été rapporté certains faits comme (entre autres) que certains corps (physiques) de « saint » ou de « sainte » dégageaient après la mort un parfum de roses… et certains cadavres restés incorruptibles, c’est ce que sous-entend l’expression « mourir en odeur de sainteté ».
Il a été rapporté également l’apparition de roses blanches dans la chambre de Sainte Thérèse de Lisieux, lors de son décès... roses matérialisées puis dématérialisées.
 
 
 
 
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