- Bien le bonsoir !
Bonsoir
Ma visite n’est pas in intéressée car vous m’avez appelé par votre réflexion.
Vous avez fait vôtres les clés principales de l’Enseignement.
Il faut encore y réfléchir… « Réfléchir » comme dans un miroir…
Vous avez perçu une des facettes essentielles, pour l’instant hors de portée du commun (comme UN ?)
Vous êtes ceux qui possèdent et j’espère que vous ne vous sentez pas flattés…
Bien souvent, vous voyez du « bleu » autour de vous… eh bien ! Je vais encore mettre un jeu de mots (pour ne point vous donner la solution bien sûr) : il faut que vous vous mettiez en « bleu » pour travailler (un ouvrier porte un bleu de travail). C’est la seule façon de ne point vous « salir »… (Bleu par rapport avec le chakra de la gorge représenté par la couleur bleue ?).
Les clés sont essentielles et vous les avez dénombrées ce soir…
Recopiez-les pour tous ceux qui sont autour de ce micro…
Faites les partager à tous ceux, de qui vous sentez une approche… mais ne jetez point les perles, je vous prie !
Il faut, au niveau d’étude où vous êtes, pour progresser maintenant d’une marche, impérativement « offrir et donner » et imposer la montée à celui qui est au devant de vous… j’ai bien dit « au devant », car on monte en reculant !
On ne monte pas les yeux au Ciel !
On inverse ! On monte en ayant conscience de ceux qui dont en dessous de soi… inverser toutes choses ! Vous avez commencé à le faire…
Jouez avec les mots et trouvez des mots qui sont des joies !
La clé, seule est là… et les clés essentielles vous seront offertes.
Effectivement, vous êtes de pas trop mauvais élèves… et je vous flatte enfin, pour finir par une tape sur votre derrière… animal que vous êtes !
La fierté est bien mauvaise conseillère… mais vous êtes de bons élèves tout de même… les clés s’ouvrent à vous et sur mon trousseau, il y en a encore à votre portée... à votre portée, si vous savez venir les prendre, car je ne vous les donnerai plus ! Je dois vous dire que je ne vous les ai jamais données.
(Georges) Mais vous nous avez bien, bien, aidés !
- Mumm... je vous ai émoustillés…
Il faudra quand même qu’un jour, vous continuiez par vous-même….
Mais relisez bien vos messages… vos messages !
Relisez bien vos traductions… vos traductions !
Relisez bien vos jeux de mots et vous savez que toutes les clés sont là !
Sur mon trousseau, bien nombreuses encore elles sont mais elles n’ouvriront peut-être forcément pas, la porte essentielle (la dernière clé, l’Ultime est en chacun de nous et celle-ci, Véga ne peut pas nous l’offrir. Toutes les autres clés doivent nous amener à celle-là) sur la voie de travail que vous vous êtes donnée.
Je vous dirais votre voie de travail la plus facile, la plus facile (celle que nous nous sommes donnée), il faut bien vous flatter un peu pour que vous avanciez !
La question essentielle est : quelle est la voie la plus difficile ?
Eh bien ! Pour vous flatter encore, je vous dirais celle que vous n’avez point empruntée… celle que vous vous refusez d’emprunter… celle ou de temps en temps, seulement (alors que ce devrait être chaque seconde) vous vous gardez d’emprunter.
Vous en avez conversé, donné le détail et fait le tour dans les quelques phrases qui ont précédé mon arrivée : « oubliez–vous vous-même » cette voie est longue ! prenez une voie rapide : celle de l’amour qui exclue l’individualité pour ne penser qu’au nombre (UN)… car de l’infini, seul l’Unique apparaît… car de l’Unique est né l’infini.
Ne partez pas dans le sens sur lequel vous étiez partis jusqu’à présent… foncez sur l’autre ! FONCEZ SUR L’AUTRE !
Retournez-vous complètement ! De toutes vos idées, faites l’inverse !
De toutes vos convictions : reniez-les ! De tout votre « savoir » : abolissez !
Car de la « PAR-A-BOL(e) » est né l’UN.
Les jeux de mots ! Les jeux tout courts.
L’humour, le rire… toutes ces notions, au fur et à mesure des siècles, données par quelques illuminés qui ont eu l’accès au SAVOIR, vous ont donné les clés essentielles du travail.
Et vous allez vous dire « j’ai mis bien du temps enfin pour comprendre – j’ai mis bien du temps enfin pour rire – j’ai mis bien du temps enfin, pour m’amuser ! »… car il faut vous amuser ! Ne soyez pas sérieux !
Sur toutes notions riez ! Sur tout problème faites fi ! Amusez-vous ! La Vie est Amour ! Amour ! Amuser ! Cela est bien proche !
Si vous prenez au sérieux, vous allez souffrir et pleurer.
Quand vous pleurez, rappelez-vous à moi… je me rappellerai à vous… je vous apporterai le rire et le sourire ! Sourire d’abord pour rire ensuite !
Le rire d’abord pour sourire toujours !
« Prenez l’inverse de toutes choses » ! cette notion là, dans vos premiers pas nous vous l’avions donnée. Et pourtant, vous ne l’aviez prise que d’une façon très légère en vous disant : « effectivement, il n’a pas tout à fait tort ».
Et lorsque vous y réfléchissez, comme toutes les notions que vous avez partagées, ce soir… inscrites sur un papier et que je vous recommande encore de partager pour relire, et relire encore, et bien s’en imprégner.
Etre empreint de chaque chose. Empreint pour donner.
« Jouez de toutes choses » ! Je vous le demande, cela est la seule règle qui, à partir de cette seconde, vous sera imposée !
Et lorsque vous aurez cessé de jouer, vous deviendrez sérieux et vous ne vous appartiendrez plus car je ne vous reconnaîtrai plus.
Cela vous paraît simple et pourtant vous allez voir que cela demande de la constance ! Car humour tout mis à part, il vaut mieux un contenant (con = avec) qu’un con tenu. Et je ne tiens pas à vous tenir, mais je tiens à vous appartenir…
Jouissez de la Vie ! Riez ! Car cela seul est le secret.
Il faut rire de Dieu, car LUI-MEME n’est pas sérieux.
Il n’est pas sérieux sinon IL ne serait point tout Amour.
L’idée propre de l’homme qui voit un Père austère grondant son Fils, cela est-il pour vous la représentation d’un Père aimant et attentif ? D’un Père donnant, aimant et allant jusqu’à l’abnégation ?
Le voyez-vous les moustaches en bas, toujours récriminant ? Le voyez-vous ainsi ? Vous avez tort, je vous le dis… IL est tout l’inverse !
Il faut que vous réfléchissiez, c'est-à-dire que vous preniez tout l’inverse de votre image, comme dans un miroir…réfléchi comme le miroir, calme comme sous le lac exempt de tous sentiments, exempts de (une légère hésitation puis il redit) tous sentiments !
J’allais encore vous donner une clé essentielle. J’allais bien trop vite en delà. Heureusement que je me rattrape de temps en temps.
Mais vous en êtes si proches… vous en êtes si proches… encore deux, trois pensées et c’est vous qui allez m’enseigner.
Oui, oui ! Ne riez point ! J’ai été très attentif à quelques phrases que vous avez lues, commentées et devisées ce soir !
Savez-vous qu’au moins 120 % (sans vin pour sang) des mortels sont loin des pensées que vous avez animées… même des grands penseurs, des grands philosophes ! Vous pourriez donner des leçons.
Vous vous sentez sur un piédestal ?
Il n’est fait que de beurre mon jeune ami… et je suis un soleil !
(Nicole) Qui fait fondre le beurre !
- et lorsque tu seras un soleil, tu pourras construire des piédestaux sous chacun des pas de tes amis, des fleurs, des pierres, des animaux, du ciel, de la terre, de l’Univers…
Tu pourras tout construire, tout faire fondre en une seule idée et vous l’avez dite, tout à l’heure… je ne la répéterai point car vous l’avez déjà acquise… et cela est déjà un bien lourd secret pour vous…
Bien lourd si vous ne l’appliquez point…
Bien léger si vous le faites vôtre…
Intuiri ! Vous avez réalisé une partie de l’Intuiri !
Mentanoya ! Une partie de ce qui doit être, tu dois prendre…
Mentanoya ! Vous avez réalisé cette partie en quelques secondes de « devise » « deux visent »…Visez donc plus haut, sur le UN.
Je vous l’ai dit… au début de ce message et cela ne vous flattera point : habillez –vous de « bleu » (la couleur bleu symbolise –sur les personnages du Tarot- la réceptivité afin de recueillir les impressions reçues du dehors) pour travailler !
L’ANCIEN
Je viens… peu de temps…
parce que, comme votre amie (Claudine), je suis très fatigué ;
pour vous préciser une petite chose… « Aimez vous les uns, les autres »…
Ça à l’air très simple à dire comme cela et pourtant, c’est une des clés que je vais vous expliquer…
Allez, par un petit jeu de mots, parce que je n’ai pas trop de temps et parce que vous aimez bien réfléchir… vous aimez bien réfléchir ?
(Georges) oui !
Mais j’aimerai que vous soyez toute réflexion…
Vous serez Dieu d’ici quelques temps !
Vous serez tout amour quand vous « direz eux »
(Nicole) Dit eux : Dieu !
« Dit/eux » il y en a certains qui suivent…
Cela est agréable de jouer avec vous !
… rires…
J’aime jouer… lorsqu’on me renvoie la balle…
…sinon je suis comme un chien qui court dans tous les sens…
Prêt à donner mon Amour et personne ne me renvoie la balle…
…parce que personne n’est (naît) à l’existence.
Regardez comme le chien vous aime, vous regarde… et je suis comme lui...
Eh bien ! Je vais vous dire une chose… un petit secret qui m’appartient seul…
Ne soyez pas la main qui jette la balle…
Soyez la balle qui va jouer avec le chien !