Je viens en cette soirée car vous l’avez demandé ! Devrais-je dire imploré !
En l’écrit qui ne me ressemble point… bien sûr « écrit »… cela ne se ressemble point à certaines paroles… pourtant le message était clair :
- « votre cœur que vous ne faites point assez travailler… l’organe important… et vice versa (et la Vie… c’est vers Ca) »…
Vous demandez toujours plus de notions… toujours plus de pensées… toujours plus d’astuces… de trucs… ou d’autres amalgames permettant un travail beaucoup plus lointain… mais plus vous en demandez et moins vous pratiquez !
Je ne passe que très peu de temps ce soir… simplement … pour vous dire que si je ne suis point venu depuis quelques mois… c’est parce que vous n’avez point assez écouté ou relu le dernier message.
J’aimerais… à l’avenir… que nos conversations communes ne soient point vaines.
Ce que j’écoute venant de votre bouche… de votre cœur… reste gravé en moi et j’en fais graver mon profit…
Ce que je déplore le plus c’est qu’il n’y a point de réciprocité.
Je ne vous ai demandé pourtant qu’une chose… une seule et unique.
L’avez-vous appliquée ?
Rappelez-vous (seulement l’avez-vous encore en mémoire ?)… je suis sûr que la phrase simple et unique… en une heure de conversation à ma dernière visite…. n’est déjà simplement …quelques heures après… n’est déjà plus gravée en vos mémoires.
Avez-vous retenu l’Enseignement ?
Le Un que je vous ai donné ? Le truc… (Comme vous dites qui va me permettre d’aller plus loin ou de m’élever davantage)…
L’avez-vous retenu ? NON !
L’avez-vous appliqué ? Encore moins !
Que souhaitez-vous davantage ?
Que voulez-vous encore que je vous dise ?
Quelles astuces voulez-vous encore que je vous donne pour mettre en mouvement ce cœur qui… pour l’instant… s’est mis en arrière dans la pensée ?
Votre esprit surplombe (alourdit) ce qui doit passer UN avant tout.
Peut-être se passera-t-il encore quelques mois sans que je vienne ou peut être quelques jours !
Je veux simplement vous signifier… puisque vous ne l’avez point compris… les quelques paroles que j’avais données à chaque fin de message… et cela dépendra de vous dorénavant… lorsque vous souhaitez des réponses, je vous le dis, seulement, il faut avoir des questions à poser.
Pourquoi voulez-vous que je vienne parler comme ce soir dans le désert… dans le vide… si vous n’avez aucune aspiration… si vous n’avez aucun but ni aucun goût ni aucun désir ? Car cela seul est important !
J’aimerai que vous en ayez davantage !
Le rire est bien !
La volonté est bien !
Le Désir est mieux ! Cela ne m’empêche point de plaisanter.
Je vous écoute depuis un certain moment.
Je me suis bien amusé… ça je dois le dire ! N’est-ce pas ? N’est-ce pas ?
Mais lorsque vous souhaitez ma venue…
Lorsque vous souhaitez une invitation…
Lorsque vous souhaitez être l’hôte… il faut parer quelque chose… il faut préparer quelque chose.
L’avez-vous fait par rapport à ma dernière visite ? Je n’en suis point sûr ! Vous non plus d’ailleurs n’est-ce pas ? Et je ne regarde plus seulement deux personnes y compris celui qui ferme les yeux… je vous regarde tous et je me regarde moi-même !
Ai-je été assez explicite ?
Ai-je appuyé solennellement sur l’exercice qu’il fallait pratiquer ?
Il est écrit dans le message d’une façon beaucoup plus symbolique mais que vous avez certainement saisie maintenant… après ces quelques mots… je vous ai demandé une chose : « c’est de demander ! »
Vous avez demandé ma venue… je suis venu !
Vous avez souhaité des rires… je vous ai apporté l’inverse !
Je voudrais que vous soyez francs et honnêtes avec vous-mêmes ! Vous l’aviez tout de même bien mérité !
La période de vacances pour vous est terminée… préparez donc vos vacances d’hiver… cela veut dire : un peu votre hibernation… votre replis sur vous-mêmes qui… au-delà de l’esprit… va pourvoir faire travailler votre cœur simplement en retournant vos yeux, votre ouie, votre odorat, vos paroles et votre goût vers l’intérieur.
Soyez donc l’inverse… ramassez-vous sur vous-mêmes car c’est ainsi que vous trouverez le point unique du cœur.
De plus, puisque sur le plan matériel, beaucoup de pensées semblent vous agiter, je peux vous dire qu’il n’y aura point de danger pour vous car, comme je vous l’ai déjà dit, quoique vos inquiétudes se fassent de plus en plus grandissantes au fur et à mesure où je ne répète point ces paroles, « je suis avec vous et je vous protège ! ».
Rien ne peut arriver sauf quelques épreuves tout de même car il ne faut point trop demander ! Voulez-vous être oubliés de Dieu comme disait un certain personnage.
Je prie pour qu’il n’en soit point ainsi !
Vous aurez donc des algarades
[1]… vous aurez donc des choses qui vous opposeront à votre prochain… simplement pour tester maintenant une chose… non point d’épreuves proprement dites ou pour vous éprouver… simplement pour mesurer votre état de pardon.
Serez-vous assez apte pour pardonner à celui qui vous a offensé ?
Puisque vous avez prié plusieurs fois en ce sens, nous attendons maintenant que ce soit vous qui mettiez en pratique ces paroles. Il vous sera donc pardonné comme vous pardonnerez… n’est-ce pas ! Vous connaissez la suite !
Je ne répondrai point à des questions ce soir. La plupart d’entre elles étaient comprises en les quelques paroles que je vous ai données.
Tant qu’à vos problèmes matériels… pour l’instant, il ne me regarde point ! Demandez : ils seront résolus ! Cela suffit à tout !
Gravez bien cela en vos mémoires… en vos cœurs… en vos ventres car j’ai l’impression que quand je fais appel à votre cœur, c’est les deux autres qui réagissent.
Voilà une troisième notion que, jusqu’à présent, je n’avais point effleurée.
Je vous la livre… je vous la donne… faites-en ce que vous voulez… A bientôt !
(Il est parti et les assistants ont manifesté leur mécontentement, vexés de l’attaque verbale de Véga)
Deuxième partie. (retour de Véga)
Je viens dire que je n’ai point contre vous un esprit acerbe ou en colère !
Tout cela pour vous dire que si je n’étais point venu depuis un moment, c’est que vous saviez. Je suis journalièrement avec vous en observation… et surtout pour vous aider… mais vous n’avez point fait beaucoup appel.
Alors, comme j’ai ressenti dans vos pensées, certaines récriminations ou envie de discuter sur le message que vous venez de re-écouter, je suis donc revenu pour vous écouter et vous répondre.
(Désiré) Par exemple, quand je demandais à une époque, je devais mal demander parce que la maladie est quand même arrivée ?
- On ne demande pas bien ! on ne demande pas mal ! on demande !
(Désiré) J’ai arrêté de demander.
- Voilà ! Quelle cause peut empêcher de demander sinon le sommeil et encore !
(Georges) Justement, il m’arrive souvent de demander lorsque je suis couché et je m’endors presque instantanément donc, je ne peux pas demander.
- Ta demande est déjà effectuée ! La suite se fait dans ton sommeil. Le dommage est que tu n’aies point de persistance à tes expériences.
Il est rassurant de dire « je m’endors donc j’arrête, ça ne sert à rien ! »
Je te dis, le sommeil pour toi est deux fois plus profitable qu’un sommeil sans demande. Les rêves seraient deux fois plus profitables si tu mettais en pratique un exercice qui t’a été donné depuis déjà plus de deux ans.
Ecris-donc tes rêves !
(Georges) Je ne me rappelle jamais mes rêves.
- Parce que quand tu te réveilles, tu ne notes point !
Il te semble parfois te rappeler de quelque chose tout à fait vague et cela est arrivé il n’y a que deux ou trois nuits mais tu t’es rendormi en te disant : « demain matin, pour le seul rêve que j’ai eu, je m’en rappellerai bien ! ».
Et lorsque tu t’es réveillé effectivement le matin, tu ne te souvenais plus de rien. Et pourtant, tu as eu cette légère impression de te dire « cette nuit, quelque chose s’est passé » : vrai ou faux ?
(Georges) Peut-être ! Oui !
- Donc, la prochaine fois, la nuit, éveille-toi complètement au lieu de te rendormir sur ton douillet oreiller et mets donc en pratique cet exercice qui t’a été donné et que tu as enfin mémorisé. Peut-être vas-tu enfin l’appliquer !
(Georges) Oui !
(Désiré) Tout à l’heure, j’ai vu un reflet mauve sur le coin de la vitre.
Qu’est-ce que c’était ?
- Le reflet de l’exercice de la contraction oculaire que tu as eue tout à l’heure.
(Désiré) D’accord.
(Georges) On a souhaité, en fait, depuis plusieurs semaines, plusieurs mois, vous avoir. C’est tout simplement pour avoir l’impression qu’on n’était pas abandonné.
- Mais vous ne l’êtes point, vous savez bien !
(Georges) Oui ! Ça fait tellement longtemps qu’on vous attend. Vous arrivez, vous nous engueulez, c’est pas très agréable !
- Je ne vous ai point engueulés… je vous ai caressé l’échine et je ne l’ai point fait à rebrousse poils heureusement pour vous !
(Georges) Qui aime bien châtie bien ! Quoi !
- Oui ! je ne trouve pas que le châtiment ait été vraiment extrême !
(Georges) Eh ! C’est vexant quand même.
- Ce n’est point vexant, vous l’avez demandé. Une non application est déjà une demande. Cela fait déjà plusieurs fois que tu souhaites ma venue.
Ta visite dans cette soirée, dans quelques pensées, n’est point passée inaperçue… ah… tu en discuteras avec Denise tout à l’heure… ah… ah….
(Denise) Vous l’intimidez beaucoup !
- Tant pis ! Lui aussi dans les débuts ! Maintenant, il est un peu trop décontracté. Il n’arrive pas à demander parce qu’il a mal, le pauvre ! Par contre, s’il demandait, peut-être le pauvre ne souffrirait plus !
D’ailleurs, cela commence, mais il a fallu un traitement pour remettre son esprit en mouvement ah… oui ! oui !
(Georges) Souvent, quand vous venez, vous dites que vous souhaitez une question de notre part.
- Elle n’est pas toujours venue !
(Georges) Oui, mais puisque vous la connaissez, pourquoi vous n’y répondez pas ?
- Ce serait trop facile ! la réponse ne vous serait plus d’aucun profit.
(Georges) Il vous est arrivé pourtant de répondre à des questions qu’on n’avait pas posées.
- Oui ! parce qu’elles étaient déjà formulées un tant soit peu en vous. Celle-là ne l’est point encore. J’attends donc qu’elle le soit afin que la réponse puisse être perméable à votre esprit.
Vous n’en êtes pas loin, je vous en ai déjà donné un petit bout d’explication dans ma précédente venue et il y a quelques instants… ce fut le dernier point de mon message.
Une trilogie, une mise en application très importante pour vous.
La question que j’attends ne vient point de là mais peut-être surgira-t-elle de ce petit point de précision.
(Désiré) On avait été choqué à une certaine époque par un livre de J. GUIEU
- Il a été répandu tout de même : il a été édité sous sa signature.
Avant que de partir car je vais maintenant m’éclipser pour vous retrouver peut-être dans quelques temps…. Avez-vous une pensée à me donner ? Avez-vous une pensée à m’offrir sur laquelle je puisse méditer ?
J’aimerais que la prépariez pour ma prochaine visite.
Bonsoir !
[1] Querelles, altercations.