ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
Bien le bonsoir !
 
XXX. Bonsoir ! (Personnes présentes : Claudine, Georges, Nicole)
-          Nous sommes une équipe restreinte et cela, de temps en temps, n’est pas si mal quoique je doute que les questions fusent autant que je le désirerais, mais nous verrons bien par la suite…
L’idée importante que vous avez développée, ce sont les regroupements de fidèles (je voudrais faire un petit aparté : ce n’est pas forcément regroupement de Foi !). Ne vous attardez point à donner des explications sur tel phénomène catastrophique, sur des regroupements à des dates données de fêtes religieuses. La Foi, pour vous, vos fêtes religieuses entre vous, dans ce cercle restreint, n’est pas à chacune de nos visites, mais tous les jours qu’il vous sera donné d’ouvrir les yeux, de respirer, de penser et de vous centrer sur le pardon…
 
Il est bien sûr déplorable qu’il y ait des centaines de personnes qui, par élan de Foi, se déplacent et meurent.
Il est d’autant plus déplorable que ces centaines de morts le soient parfois, sans qu’il y ait de jugement de valeur, par hasard (je le répète encore, il ne faut point émettre de jugement de valeur)… les lieux saints n’auront d’importance pour vous que quand ils ne seront pas placés « loin » mais au centre de vous-même.
Soyez les pèlerins de votre cœur, non point à dates fixes, une fois par an ou une fois par décade, mais tous les jours, mais non point à heures fixes mais à chaque heure : donc à tous moments.
… Il faut que votre cœur soit votre temple !
… Il faut que ce temple soit votre cœur !
… Il faut que votre raison soit votre « oraison » !
… Il faut que votre mouvement soit votre Foi !
… Il faut que votre main tendue soit votre façon de prendre !
… Il faut que votre façon de prendre soit votre main tendue pour donner !
 
J’ai retransmis là, à peu près quelques années de messages et de verbiage, pour recentrer simplement sur une notion qui vous touchait bien au plus profond de votre cœur, de votre êtreté !
Je vous le dis, il n’y a point de « religions », il n’y a point de Fois multiples… il n’y a que le UN… recentrez-vous ! Placez-vous, vous, dans la Vérité !
Sans jamais l’imposer aux l’autre… aux autres… à l’autre…
J’ai retransmis en un mot, par une faute de syntaxe, deux notions essentielles.
… Il faut que vous soyez l’exemple… je vous l’ai dit et redit de multiples fois : « soyez l’exemple ».
… Il faut qu’autour de vous, la multiplicité de l’image que vous donnez soit l’image de l’Unité du Père.
… Soyez l’exemple de cette charge et cette responsabilité qui vous ont été données de vivre depuis déjà quelques années et que vous avez retransmise avec plus ou moins de bonheur, il faut l’avouer ! mais qui, à partir d’aujourd’hui, j’en suis sûr, dans vos cœurs ainsi que dans votre âme, a pris l’attitude certaine et sûre d’être développée.
Vous vous dites : « Oui, à partir d’aujourd’hui, il n’y a pas de problème, je ferai le mouvement nécessaire ! »
Je ne juge point des non mouvements effectués car je pourrais vous dire que vous n’avez pas beaucoup bougé.
Je vais vous flatter au contraire, ce soir, en vous disant que vous avez déjà beaucoup évolué. Cette évolution, ne vous en flattez point, ne vous grandissez point de ce que vous avez déjà produit… imaginez tout ce qui vous reste à produire. Tout ce que vous n’avez point encore parcouru.
Voyez qu’après la carotte, je manie fort bien le bâton, mais cela vous le saviez déjà. Je ne parle point de carotte, ni de bâton, je parle simplement du chemin qu’il vous reste à parcourir…. Il est très court, très très court !
Il suffit simplement d’exercer votre sagacité et votre pugnacité sur le chemin à parcourir… vous connaissez les règles établies afin de jalonner ce chemin….
 
Des questions se bousculent, des questions arrivant très peu à s’unifier, pour arriver à en sortir une, deux, ou trois intéressantes pour cette soirée… je vais donc continuer encore à parler un peu puisque je me suis aperçu que les introductions fort longues étaient propices de temps en temps, lorsque vous relisiez ces messages, à la réflexion opportune.
 
… quelques instants de silence…
Ce silence pour que vous puissiez méditer…
 
Ce groupe restreint n’est point forcément un avantage pour vous car il vous soustrait de la multiplicité des questions, toutes venantes, qui parfois vous semblent bénignes ou inopportunes et qui pourtant, amènent des réponses qui profitent à tous.
Mais je me réjouis tout de même, de temps en temps, de cette intimité.
Je ne voulais point vous brosser dans le bon sens du poil afin que vous ne puissiez point vous grandir… vous l’êtes déjà bien trop !
 
… Pensez à votre action,
… pensez à vos gestes de tous les jours,
… pensez à vos réactions qui sont déplaisantes au plus haut point ! (Ces   réactions voulais-je dire !)
… Pensez à votre mouvement de don,
… pensez à votre mouvement de partage par l’Amour qui est la préhension.
 
Combien de fois par jour l’appliquez-vous ?
Combien de fois par jour vous endormez-vous ?
Ou plutôt, devrais je dire, combien de fois par jour vous réveillez-vous ? Combien de fois par jour êtes-vous conscients ?
 
C’est parce que nous sommes entre amis que je me permets d’élever un peu la voix… vous êtes, depuis quelques années, des auditeurs fidèles.
Il faudrait qu’enfin, nous partagions ensemble ce que je vous ai donné !
Car donner à quelqu’un de quoi manger en suffisance sans qu’il ne touche jamais au plat, je ne vois pas à quoi sert ce cuisinier qui élabore, avec patience et amour, ces plats que jamais personne ne veut toucher !
Quelle est son utilité ?
 
Après avoir manié le bâton, je voudrais manier la carotte !
… pourquoi croyez-vous que vous avez cette chance de vous rencontrer afin de m’écouter et non point d’être ensemble pour m’écouter ?
… pourquoi croyez-vous que vous avez cette chance de former un couple même lorsque vous êtes une multitude ?
Vous êtes un partage entre vous de vos expériences de vie que j’aimerais amener à un plus haut degré.
Vous avez, chacun d’entre vous, je l’admets, créé certains efforts d’amélioration. J’aimerais maintenant que vous amélioriez enfin vos efforts. Puisque nous sommes entre amis, nous pouvons donc parler librement, n’est-ce pas ?
 
XX. Oui !
-          Vous avez du mal en ce moment à parler, alors que vous aviez un verbiage d’un certain niveau tout à l’heure… un flot ininterrompu qui, pourtant, n’était point inintéressant.
Je me suis appliqué à vous écouter et à me dire que vous étiez parfois bien au dessus des phrases que je pouvais interpréter par ce support.
Votre cassette pourra être intéressante pour peu, comme je l’ai dit dans le dernier message, que vous le réécoutiez au moins une fois !
Appliquez-vous ! Appliquez-vous à entreprendre un certain travail qui vous amènera à l’Unité de l’Amour.
Heureusement, comme vous le pensez, cette phrase est enregistrée !
Les mots sont importants, la démarche l’est d’autant plus ! Appliquez-vous !
 
Le deuxième mot que j’aimerais répéter, une nouvelle fois, en cette soirée et simplement qu’entre nous, c’est : l’Attention !
J’aimerais que vous soyez attentifs à vous-même d’abord, car vous êtes multiples plutôt que d’être UN.
J’aimerais que vous vous recentriez sur l’Unité :
- soyez attentifs à ce qui vient du dehors, sur les personnes qui vous parlent, sur les évènements qui vous agressent, sur les phénomènes qui viennent au devant de vous et qui vous rendent multiples… approchez-vous de l’Unité !
- Soyez attentifs, sachez par quel côté vous êtes piégés ! Cela déjà, la plupart d’entre vous l’ont déjà « subodoré » et, comme je pourrais utiliser certains mots de votre langue française très élaborée, vous l’avez déjà pressenti pourrais-je dire pour d’autres… je voudrais que vous ameniez un peu plus loin votre attention afin que, plutôt que de le pressentir, vous puissiez enfin le vivre. Ne vous laissez point entraîner par les actions qui viennent au devant de vous et qui amènent à des réactions. Je n’aimerais plus vous voir réagir, mais vous voir AGIR… tout simplement et tout amoureusement !
 
C’est un message que j’ai déjà élaboré il y a quelques années et que je remets peut être d’une façon un peu plus ponctuelle et plus juste par des mots bien sentis et j’espère à des cœurs et des esprits plus ouverts.
En parlant de Cœur et d’Esprit, j’aimerais bien que vous m’accordiez enfin un peu plus d’unité entre les deux, que vous n’ayez point d’une part, l’esprit qui agisse, certes fort justement parfois, et le cœur qui enfin réfléchisse.
J’aimerais que vous réfléchissiez avec le Cœur et qu’enfin vous agissiez avec l’esprit ! C’est-à-dire, tout l’inverse quoi !
Cela est très important !
Cela est une démarche que maintenant à cette heure, j’attends de vous !
Je vous engage, je ne vous demande plus, je ne vous impose point… ne vous sentez pas piégés ! et je vous engage, après avoir entendu ces mots, cette inversion d’idées, cette compréhension immédiate que vous avez pu avoir ou que vous aurez peut être, une fois la fatigue passée de la réédition de ce message ou de cette cassette, j’aimerais que vous soyez engagés sur ce chemin !
 
Ce n’est plus une philosophie que je vous propose mais un travail que je vous donne… auquel je vous prédestine.
A partir d’aujourd’hui, il ne s’agit point de philosopher mais il s’agit de faire.
Vous êtes à la croisées de ce qui est essentiel dans votre chemin philosophique, spirituel. Cette croisée là n’ira pas sans ce démarrage, sans ce starting bloc indépendant ou dépendant de votre volonté qui vous mènera à l’étage supérieur. Vous êtes indépendants de toutes mes phrases, de tous mes mots, de toutes mes idées, mais vous êtes dépendants tout de même de toute la démarche de ce que vous avez entamé depuis quelques années.
 
Il faudra enfin comprendre, prendre, pour faire et agir.
Je ne vous demande point d’acquiescer, il faudra que vous réécriviez, que vous relisiez et que enfin, réentendiez. Vous vous dites : « et bien ! Ce soir mon dieu, qu’est-il venu pour nous dire tout cela ! S’il était resté tranquillement chez lui, nous aurions gagné bien de la tranquillité ! »
Et bien ! Je ne veux point que vous soyez tranquilles !
Je veux que vous soyez dérangés pour être enfin arrangés !
Je veux que vous vous arrangiez en vous dérangeant !
Je veux qu’en étant dérangés, vous puissiez prendre conscience !
Je veux un certain arrangement entre nous… enfin… pourrais-je dire !!
Voyez que les jeux de mots, parfois, ne sont pas forcément ironiques et ne prêtent point à sourire.
Mais je pense avoir été bien long, avoir péroré encore bien trop longtemps pour vos esprits bien inattentifs et avoir été bien trop sévère pour des esprits qui étaient tout prêts à entendre bien des caresses plutôt que des coups de pieds aux fesses comme vous le disiez il y a quelques…/…
 
(Nicole) Instants !
-          Instants, merci ma jeune amie de m’aider dans mon discours bien long !
Quelques questions, j’en suis sûr, viendront compléter toutes ces phrases… et ces péroraisons parfois (par Foi) et surtout bien utiles à vos esprits bien désordonnés !
Eh bien ! Je vous écoute ! Voilà le moment attendu est arrivé !
Avez-vous des questions à poser ?
 
(Nicole) C’est un pacte moral, ce soir, par moral mais de cœur…
-          Ce n’est point un pacte moral.
C’est un engagement que nous prenons ensemble.
Je m’engage en même temps que, j’espère, vous vous engagerez, à prendre cette démarche d’une façon juste, sincère et d’une façon sévère avec votre esprit ou plutôt votre mental. Nous ferons le travail ensemble.
Ce qui veut dire qu’au moment où vous vous sentirez chuter, vous pourrez appeler au secours et je serai présent. L’Ami le sera aussi si vous le demandez. N’a-t-Il point prouvé, même au fin fond du monde Sa Présence ?
 
(Nicole) Vous faites allusion à Bornéo ?
-          Je ne fais aucune allusion, je fais simplement appel à des réalités.
Elle vous a choqué et pourtant elle était réelle !
 
(Nicole) Cela nous a saisi…
-          Il se rappelle à vous ! rappelez-vous à Lui tout simplement… allez, déjà quelques questions « foutues en l’air ».
 
(Georges) C'est-à-dire que votre introduction étant tellement élevée, tellement forte, elle amène nos questions à des dérisions …/…
-          …/… elle les amène à des niveaux supérieurs. Laissez tomber vos questions dérisoires, passons à un système un peu plus rapide, mon jeune ami !
 
(Georges) Cette eau de Dozulé que j’ai mise dans mes yeux… j’ai deux questions à vous poser :
-          une concernant cette eau de Dozulé
-          l’autre concernant mes yeux
Pourquoi est-ce que j’ai eu ce problème d’yeux… en revenant de Bornéo.
Est-ce que je suis passé à côté de quelque chose ?
-          Tu as eu un problème d’yeux mais tu mets l’apostrophe là où il ne le faut pas (note : d’yeux/Dieu)… tu réécouteras cette cassette, peu importe, c’était un jeu de mots, je te le concède… bien vulgaire…
Il y a une relation entre l’eau de Dozulé et tes yeux.
Relis donc Maître Philippe qui parle de certains lieux qui ont une corrélation avec le corps. Tu es en harmonie avec ce lieu ou plutôt cette eau, elle a une vibration qui te manque à l’heure actuelle, c’est pourquoi, tu ne vois point.
Si tu élevais ta vibration bien inférieure à celle de cette eau, purifiée par une certaine apparition, tu aurais une élévation qui te permettrait de te guérir toi-même de ta cécité.
Utilise donc cette eau pour l’instant !
Et si tu le peux, élève ta vibration corporelle à celle de cette eau purifiée par cette apparition. Tu n’auras donc plus besoin de subterfuge « d’eau », de « terre », de « poussière », de « vent », de « prières »… tu seras enfin !
Mais je te l’ai dit au tout début de cette phrase : utilise.
 
Tu as pour toi l’expérience, la véracité d’une preuve incontournable : celle de tes yeux. Car sais-tu que celui qui voit ne peut plus douter… reproduis donc pour voir ! Vois donc pour reproduire !
Élève donc ton esprit, élève donc cette vibration de ton cœur à ton esprit. L’ouverture que tu peux avoir de ton esprit n’aura jamais de commune mesure avec l’ouverture de ton cœur.
Ouvre donc ton cœur et élève le, tu verras que tu y verras bien mieux !
Mais reproduis cette expérience, je te le conseille, je t’implore même de le faire et tu verras que bien des lunettes sont parfois, bien inutiles vis-à-vis de la Foi que l’on peut placer en hauteur.
Le Père, le Fils et comme tu le disais, il y a quelques instants, le Saint Esprit, sont bien au dessus de toutes les contingences, même fussent-elles une application de l’optique physique.
La deuxième question étant incluse dans celle-ci, j’attends que tu la poses pour pouvoir t’y répondre…
… tu m’as dit j’ai deux questions… tu en as posé une !
 
(Georges) L’une, c’était Dozulé, l’autre, c’était les yeux. Donc, c’est la même…
-          Et j’ai tout répondu en une seule… bougre suis-je !
 
(Georges) Non, c’était parfait
-          Parfait, je ne sais point… forcément incomplet.
 
(Nicole) Je voulais vous dire, parce que ça m’a touchée justement au cœur : ma fille, avant qu’on vienne ici, m’a souhaité une bonne soirée en votre compagnie.
-          Oui !
 
(Nicole) et elle m’a dit « que même loin, j’espère que je fais un peu partie de votre groupe… »
-          Pourquoi, un peu ?
 
(Nicole) Alors, justement, je vous demande de lui dire qu’elle fait partie de notre groupe …/…
-          Eh bien ! Je ne vais point lui dire mais vous vous chargerez de lui mimer cet amour que j’ai au devant d’elle.
Que vous ayez sur vos lèvres ces mots qui pourront retransmettre enfin son appartenance à une Unité de laquelle elle n’a jamais été exclue, elle, ses proches et sa progéniture bien sûr.
Elle recrée l’Unité par la multiplicité de son être.
 
Dites lui que, par la lecture de tous ces messages que vous écrivez, qu’elle n’a été à aucun moment exclue, oubliée ou même encore plus excommuniée ! Mais, qu’un peu plus de tolérance, de patience et de calme lui permettrait bien souvent d’entendre enfin, non point votre voix, mais la mienne !
Bien souvent, je l’ai mise en garde avec beaucoup moins de temps et de phrases et de mots que j’en utilise avec vous – mais bien souvent, j’ai essayé de la mettre en garde en disant ces simples mots : « attention, prends garde, concentre toi, calme-toi ! ». Elle est bien désordonnée votre fille !
Apprenez lui, enfin, que je ne suis pas loin d’elle et qu’elle a ses oreilles bien loin de ma parole. Il n’y a point de surdité dans la sagesse et dans l’Esprit mais simplement une attention et une volonté qui font que nous sommes tous en liaison. Je le suis avec elle. Et, ce soir, ses oreilles ont sifflé, ce sera pour elle enfin, peut-être, l’appréhension ou la préhension de la véracité de ces phrases. Mais rassurez-la simplement par un geste : bien souvent, mes mains sont posées sur ses épaules pour la guider.
 
 
(Nicole) Je crois que, dans la mesure où elle a exprimé ça, il y a eu un pas de fait !
-          Ce pas a été fait dans les deux sens : à partir du moment où vous exprimez le désir, un appel, un « au secours »… jamais rien de ce côté-ci de la barrière n’est voué à la surdité et à la cécité. Il n’y a pas de handicap chez nous.
Vous êtes les êtres que nous aimons serrer sur notre cœur lorsque vous nous ouvrez les bras. Il suffit de ce simple geste « ouvrez nous les bras !
Aimez-nous ! » Je vous assure que nous vous aimons.
L’Amour est un échange, l’Amour est un partage, l’Amour est un don !
Trois mots qui pourtant ne se ressemblent pas et qui sont pourtant l’Unité même du Père !
 
(Nicole) Bien sûr, il faut qu’on vous demande !
-          Vous me demandez ! je donne !
Posez-moi des questions !
Je réponds !
 
(Georges) Dans l’avion qui nous emmenait vers notre lieu de vacances, j’ai vu à un moment… il m’a semblé apercevoir un être, un chérubin habillé de clair, de blanc. C’était un petit garçon qui me souriait. Ai-je bien vu ou était-ce une illusion ?
-          … je mets un peu de temps car je n’étais point présent donc, je n’ai point perçu… je fais appel au temps, à cette compression, plutôt au non temps que je ne connais point mais que vous mesurez… et qui me permet enfin de répondre.
Ce chérubin, mon jeune ami, par retour sur toi-même, c’était toi dans ton enfance. Ce sourire, c’est celui que tu aimes donner à l’heure actuelle et que tu n’as pas beaucoup reçu dans ton enfance.
C’est ton image que tu as perçue car tu étais élevé au-dessus de la Terre et tu avais enfin le temps, bien trop long peut être à ton goût, pour te replonger sur toi-même. Ce chérubin, c’est ton amour perdu, c’est ton amour attendu, c’est ton amour retrouvé. Ce n’est point une illusion, c’est un retour sur toi-même car tu es parti à un moment et tu es arrivé bien avant de partir… tu as fait comme cela, en un voyage, un retour sur toi-même, une compression du temps qui t’a ramené pour quelques instants sur le moment que tu as apprécié le plus et que tu aurais aimé qu’il se prolonge à l’infini, cet infini là, tu l’as perçu… car quand on pense un moment de souffrance, ou un moment de bonheur et que l’on aimerait qu’ils soient gravés à jamais, qu’ils ne partent point afin qu’ils restent toujours un rappel pour nous, sachez que ce choix-là, ce choix est !
Votre marque est pour vous, comme pour tous ceux qui s’attacheront un jour à cette même expérience, ils vivront, verront, ressentiront ce que vous avez marqué à ce moment-là.
Tu as eu, par ce chérubin, une expérience que j’espère ne pas être unique car tu aimes bien retourner en arrière, alors que je voudrais te fixer dans le présent.
 
 
(Nicole) J’ai quelquefois l’impression qu’il y a des parts de moi qui vivent dans d’autres personnes. Je ne sais pas comment vous expliquer ça, par exemple, à Bornéo, j’ai trouvé cette femme, j’ai eu un lien d’affection comme si c’était une part de moi-même. Comment l’expliquer ?
-          Très bien ! n’explique point plus. Cela est très bien.
Vous n’etes pas une entité unique enfermée dans une seule enveloppe vouée à la pourriture ou au pourrissement.
Vous êtes une multitude, vous êtes le UN, vous êtes une émanation du UN. Le UN n’est pas seulement en toi-même, ma jeune amie, mais en une multitude aussi.
Ce UN étant partagé ensuite en de plusieurs entités qui se repartagent encore et, l’homéopathie est une très bonne image de ce que vous êtes à l’heure actuelle. C’est pour cela que Maître Philippe a dit que vous avez une participation filiale ou familiale de votre Unité avec le minéral, le végétal ou l’animal.
Dans le milieu supérieur humain, vous êtes une multitude en contact permanent avec le UN et pourtant Unique lorsque vous vous réunissez.
Vous ressentez donc, par expérience induite, immédiate, une attirance envers une personne plus qu’avec une autre, c'est-à-dire, en cela, lorsque tu la ressens d’une façon ponctuelle immédiate, sans réflexion, cela te fait comprendre que tu participes de la même unité animique… je n’ai pas dit la même âme… mais j’ai dit la même unité animique.
Cette personne là aimera donc, et tu t’en rendras compte, le même style de musique, le même style de paysage, les mêmes répulsions minérales, végétales ou animales ou les mêmes attirances, peu importe, vous partagez parce que vous êtes UN.
 
Tout votre travail, je vous l’ai dit et je vous ai sommé enfin de le faire ce soir, c’est de travailler à vous réunifier tous !
Tous, toutes ces unités dispersées, afin de revenir vers le UN.
Il est facile d’aimer ses amis, votre travail maintenant consiste à aimer ceux envers lesquels vous n’avez point d’attirance et pourtant, à partager avec eux les mêmes goûts, c'est-à-dire, à vous unifier, à vous élargir, à vous amplifier, à vous étendre, à devenir le UN enfin !
Tu vois, de cette réponse, je me suis ramené à ma fonction première, de la première phrase que j’ai enfin « fustigée » en cette soirée… je cherchais le mot le plus approprié, je ne l’ai point trouvé…
 
(Nicole) Dans un autre sujet qui touche aussi aux relations d’amour : mon fils est mal dans son couple avec sa jeune femme…
-          Oui ! cela fait déjà quelques moments…
 
(Nicole) Oui et je suis très perturbée parce que je peux prendre, purifier et rendre pur mais il a besoin d’exprimer son mal être et donc, j’ai besoin de lui donner des conseils ou supposés tels… et je ne vois pas du tout.
Il m’a demandé, il a dit de vous poser la question « que doit-il faire dans cette situation ? Est-ce qu’il y a une solution soit par la séparation ? Est-ce qu’il doit essayer de l’aimer plus que …/….
-          Surtout, qu’il ne fasse rien ! tous ses essais sont vains !
Depuis déjà plusieurs années, il est diversifié.
Quand il s’attache à quelque chose, il prend tellement d’importance à ce qui n’est pas qu’il oublie ce qui est !
Il a fondé un couple sans avoir la conscience de ce que c’était ce couple : ce qu’il devait y apporter, ce qu’il devait en prendre. Surtout qu’il ne fasse rien, s’il n’est point capable de donner et de prendre, il faut qu’il s’arrête de suite.
Il marche à l’envers et sur la tête, sur les mains plutôt que les pieds.
Il ne comprend pas enfin : donner ce n’est pas prendre et prendre ce n’est pas donner.
Il faut qu’il arrête de vouloir aimer, c'est-à-dire, d’imposer, pour enfin aimer afin de prendre.
Aimer, il faut qu’il comprenne enfin que c’est un partage. Il ne faut pas qu’il veuille tout apporter et que l’autre ait un plateau pour tout prendre et que cette image soit enfin inversée pour lui.
Tout ce qu’il déteste en sa femme, il ne perçoit que cela. Il ne prend d’importance que le négatif qu’il perçoit de l’image qu’il a des autres… non point seulement de sa femme, mais de tout son entourage.
Sa femme, ce n’est point sa propriété, ça devrait être son unité, ça devrait être la personne avec laquelle il devrait s’unifier enfin, avec laquelle il devrait s’ouvrir d’un cœur large, les mains ouvertes prêtes à prendre et à donner mais d’une façon altruiste. Non point, à imposer ou à se faire imposer…il faudrait qu’il arrête de regarder tout ce qui est noir pour voir tout ce qui est blanc.
Il faudrait qu’il arrive à ne plus voir enfin tout ce qui le dérange mais ce qui l’arrange. A voir ce qu’il peut aimer plutôt que ce qu’il peut détester.
Il faut qu’enfin, dans l’autre, il ne soit plus le miroir et que l’autre ne soit plus le miroir de lui-même ni de son âme.
Il faut qu’il s’élève un petit peu, qu’il arrive à donner ce qu’il voudrait recevoir et recevoir ce qu’il voudrait donner. Son couple ne marchera pas plus lorsqu’il sera partagé ou séparé ou uni avec une autre entité plutôt qu’avec celle-ci.
 
Il faut qu’il recrée enfin l’Amour et l’Unité en lui-même, qu’il donne et qu’il partage sans qu’il y ait de différence entre ces deux mots.
Le travail, c’est à lui de le fournir et je reprendrai une phrase qui n’est point de moi mais qui est pourtant bien utile et bien appropriée à ce qu’il vit à l’heure actuelle et à ce qu’il réclame à cors et à cris : « Aime ton épouse comme tu souhaiterais qu’elle soit, dans l’Amour et la Pureté du Christ et dans le désir de la déité, elle deviendra comme ton Amour le désire ».
Cette phrase est bien plus complète que vous ne pourrez la lire nulle part ailleurs dans quelque texte que ce soit, mais elle s’applique d’une façon précise, incisive et chirurgicale à son cas.
S’il ne s’applique point à cela, je le lui dis d’une façon sincère, il a perdu.
 
(Nicole) Je lui ferai …/…
-          vous lui ferez entendre, par écrit et par audition, pour qu’il ait enfin le ton, une fois et une seule, et l’écrit… pour qu’il puisse y revenir autant de fois qu’il le veut… cela est important.
 
(Nicole) C’est vrai qu’il a un côté très négatif. Il met en exergue toujours ou presque, le noir au lieu du blanc.
-          Voilà !
 
(Nicole) Et il ne s’aperçoit pas des parties blanches…
(Georges) Les problèmes de digestions que j’ai sont eux aussi dans le pur reflet de ce qu’on a dit tout à l’heure.
-          Dans le pur reflet de ton esprit, mon jeune ami.
Sache que les circonvolutions intestinales qui te font souffrir sont l’image propre et identique des circonvolutions cérébrales.
Soigne ton esprit, soigne ton ventre… l’un guérira l’autre !
 
(Georges) Je suis à la croisée des chemins…
-          Tu as une certaine digestion que tu n’arrives pas enfin à effectuer, certains gaz sont là pour te gêner, certaines indispositions sont là pour te bloquer.
Il y a une relation, une intercommunication entre la première image que j’ai donnée de tes intestins et de ton cerveau, tu es comme tu pourrais le dire à « une croisée du chemin » mais ces mots ne me plaisent pas car dans ton esprit, ils ont une notion tout à fait différente de la mienne.
Je pourrais te dire, pour l’instant, tu es en période d’indigestion, en période de maladie non pas cérébrale mais intestinale. Digère, mon jeune ami, digère !
Il faut que tu te reposes de temps en temps, un certain régime est utile … régime, cela ne veut point dire : moins prendre par l’esprit mais mieux prendre par l’esprit. D’une façon plus juste, d’une façon plus ciblée, d’une façon moins… (Eh bien ! je ne trouve pas le mot)…/…
 
(Georges) Générale,
-          Non point ! laisse moi quelques instants et tu vas voir que ça va venir… attends de mon esprit critique qu’il retrouve enfin un peu de conscience.
Que tu t’impliques moins, que tu sois beaucoup plus attentif, que tu sois beaucoup plus observateur et si cela se peut, beaucoup plus critique vis-à-vis de toi-même, de tes actes et de tes paroles.
Peut être, là est ta tâche, mais je sais que tu peux le faire….aussi, je n’ai point hésité à bien réfléchir pour trouver le mot juste « tu ne l’as point demandé… du moins t’interpeller un petit peu… » tes intestins, ne t’inquiètes pas… irons beaucoup mieux après cette soirée…. Ton esprit va se reposer.
Il faut qu’à l’indigestion, tu trouves enfin un remède spirituel.
 
(Georges) Mais j’ai trouvé un remède spirituel en lisant Maître Philippe.
-          Parfait, maintenant que tu as lu, re-applique toi à relire, et je te dis, la prochaine étape, applique toi à comprendre.. très bonne et très saine lecture…
 
(Georges) ok
-          Mais à lire et à relire…
 
(Georges) A relire, oui, tout à fait.
-          de multiples questions naîtront, tu verras, de tes relectures.
Je te dis, je te fais confiance, note-les !
 
 
 
(Nicole) notre amie Véro voulait vous demander… nous avons l’intention de reprendre tout votre enseignement… d’en tirer la substance essentielle et… est-ce que d’abord, vous nous en donnez l’autorisation ?
-          Si vous en tirez vraiment la substance, pourquoi pas !
Si vous ne la détournez point, mon acceptation vous avez !
 
(Nicole) la crainte que nous avons toutes les deux, c’est qu’on ne veut pas détourner. Donc, transformer vos pensées ou votre enseignement.
Alors, je demande votre aide, j’espère que vous nous inspirerez.
-          Vous avez écrit pour cela mais vous aurez aussi mon aide si vous le souhaitez…
Je sais ce qu’elles veulent faire… elles auront mon aide à condition, bien sûr, qu’il y ait cette nécessaire condition que Nicole a posé en préalable…
 
(Nicole) Pas transformer… c’est ça ?
-          Et surtout de ne pas compiler…
 
(Nicole) Attendez, je ne comprends pas.
-          Tu réfléchiras.
 
(Nicole) Oui, je chercherai… d’accord !
… (Nicole) dans la deuxième question de Véro, vous aviez déjà donné la réponse, c’était au sujet de la crémation et j’ai retrouvé justement dans votre enseignement.
-          Très bien !
 
(Nicole) Ce n’est pas la peine. J’ai compris ce qui avait été expliqué. Oui. De toutes façons : soyons déjà présents et puis, on verra bien après, ce n’est pas la peine de projeter…
-          Voilà : vivons l’instant présent, ni avant, ni après, ni plus tard, ni notre mort.
Etes vous morts ?
 
(Nicole) Non
-          Etes vous vivants ?
 
(Nicole) Essayons !
-          Vivez ! ne comprenez pas votre vie. Vivez ! maintenant, de suite ! peut être dans une seconde tout aura changé donc, peu importe… soyez philosophes, mes jeunes amis « Carpe Diem », cela est une expression que j’avais utilisée il y a quelques temps et que les latins, dans un lointain passé, avaient utilisée et pourtant phrase toujours omniprésente. Jouissez de l’instant présent !!!
 
(Georges) Ce matin, j’ai eu une petite phrase, j’en ai de moins en moins d’ailleurs… je ne suis pas abandonné… je ne sais pas…
-          tu dis ça avec une ironie que je sous-entends sous ta voix mais ce n’est pas amer, il a un petit sourire ironique qui me plaît beaucoup.
Tu t’épures mon jeune ami, tu t’épures ! L’important n’est point dans la quantité mais dans la qualité, tu le sais très bien mais le verbiage et la quantité reviendront tu le sais bien.
Ton cœur est beaucoup plus multiple que tu le souhaiterais, ni que je le souhaiterais. Mais le travail, comme je l’ai donné au début de ce message…
 
… changement de côté de la cassette….
 
(Georges) oui, je pense…
-          si tu penses, donc tu es…
 
(Georges) Je vous suis.
-          Moi, je te suis très bien.
 
(Georges) Ah ah ! Ça, j’en suis sûr… “On ne peut plus avoir l’esprit au devenir aussi haut place” ? (1ère note message Georges)
-          Le devenir ne peut plus être aussi haut placé car tu ES !
Devenir n’est point présent, je viens juste d’en parler mon jeune ami : tu ES ! Ne te place pas dans l’amélioration !
Tu es déjà bien placé, tu es déjà la vie en entier, tu es déjà « Dieu ».
Ne recherchez point demain ce que vous pourrez faire enfin avec l’Unité : vous êtes l’Unité. Toute la séparation est dans l’impossibilité que vous y mettez par l’esprit et par le verbe. Je vous l’ai dit, cessez de dire non !
Cessez de dire c’est impossible ! Remplacez par : cela est ! Je suis !
Je suis cette divinité, je suis UN !
Je suis enfin calme, je suis enfin présent, je suis enfin tout amour et tout cela sera ! Car tout est en cet instant présent en haut ! Donc, cessons de placer à demain ! Deuxième question ?
 
(Georges) « La stratégie de l’intouchable » qu’est-ce que c’est ?
-          Deviens l’intouchable, mon jeune ami, que représente-t-il pour toi ?
 
(Georges) l’intouchable ? C’est le Père
-          Bien… c’est aussi celui qui est incompris… celui qui est différent, celui qui est pestiféré par certains ! et ton esprit deviendra l’esprit d’un pestiféré pour ceux qui sont intransigeants « celui qui sera incompréhensible, celui qui sera borné, celui qui sera fixé, celui qui sera sur hier il y a quelques années ou celui qui sera demain, sur ce qu’il voudra être ».
Deviens l’intouchable, deviens l’incommensurable, deviens celui qui sera enfin l’unité de tout, qui sera l’incontournable… d’intouchable, tu sais, cela veut dire bien des choses et cela veut dire une seule chose : sois heureux de l’Etre, je te le dis !
 
(Georges) Ok !
-          Oui, tu reliras cette phrase, bien des fois !
Mais je pense qu’il a commencé à percevoir en son cœur une certaine ouverture que son esprit commence à percevoir.
 
(Nicole) depuis que vous êtes arrivé…
-          Oui…
 
(Nicole) J’ai un point ici, là, au niveau de la gorge… c’est votre action ?
-          Ce n’est point de mon action, c’est de la tienne ma jeune amie.
Tu as demandé certaines perceptions, que certaines choses s’ouvrent en toi.
Il suffit simplement que ton désir soit … réalisé, simplement par ma présence, car tu émets encore bien des choses à mon acquis que toi seule pourrais donner.
Vous vous attendez à ce que je vous donne un peu plus, vous attendez que je fasse pour vous, pendant que vous pourriez faire tout seuls. Tu nécessitais, par ta demande, l’action d’un moment précis, tu avais fixé ce moment, il est arrivé ! Je n’y suis malheureusement pour rien, quoiqu’en étant l’acteur bien précis de ton âme et de ton cœur.
 
(Nicole) Vous voulez dire que j’ai fixé les règles …/…
-          Eh oui !
 
(Nicole) Voilà du jeu… quelque part !
-          Vous fixez les règles et les moments.
Et à partir du moment où vous les avez fixés, ils sont incontournables.
 
(Nicole) On se limite !
-          Ne vous limitez plus ! faites tout maintenant.
Il suffit de le faire avec la même Foi, avec la même certitude et tout cela marche aussi bien, moi je te le dis, je les ai expérimentées !
 
(Nicole) Vous êtes la preuve.
-          J’ai mis quelques siècles à le comprendre, alors que je n’avais point une entité ni un ami comme vous l’avez, qui venait vous saouler avec les mêmes phrases et les mêmes répétitions.
Il a fallu que je fasse tout ce chemin seul quoique, avec l’aide quand même, de l’Ami, du Fils et du Père. Mais, puisque vous m’avez comme répétiteur, profitez-en ! Vous gagnerez quelques siècles, je vous le dis !
Mais continuez à fixer des moments, mais faites le d’une façon bien courte, je vous le demande par pitié…
 
(Nicole) Que notre Foi soit pure…
-          Ouais
 
(Nicole) Pas de verbiage
-          Ouais
 
(Georges) Il faut garder la confiance
-          Très bien ! EDICTEZ EN REGLE VOTRE CONFIANCE !
N’attendez pas que je vous la donne.
Vous savez que déjà, il y a bien longtemps, je l’ai mise dans votre poche.
 
(Georges) … (Dit quelque chose pas bien enregistrée)
-          Mumm… j’aime ce mot. Répète le bien plus fort qu’il soit bien enregistré ! allez !
 
(Georges) La FOI !
-          Non
 
 
(Nicole/Georges) En permanence !
-          Non pas en permanence !
 
(Nicole) Permanence.
-          Permanence tout court. Bien plus fort que cela soit bien ancré (encré) sur votre bande magnétique… il ne le dira point le bougre !
 
(Georges) Je l’ai dit !
-          Non !
 
(Georges) PERMANENCE !!
-          Voilà ! d’une voix claire et intelligible, là, j’ai bien entendu.
 
(Georges) C’est génial !
-          C’est pas génial : cela est !
Répète le encore une fois pour me faire plaisir !
 
(Georges) PERMANENCE !!
-          Très bien ! je crois que tu ne le répèteras jamais assez, que vous ne le répèterez jamais assez !
 
(Nicole) ça s’inscrit …/…
(Georges) C’est se battre contre le doute en permanence !
-          Très bien ! restez-en là !
Je pense que nous allons nous quitter car nous n’avons plus rien à dire.
Cela suffit à tout : tu es mon maître mon jeune ami
 
(Nicole) Tu te méfies de ces mots.
(Georges) Non, non, je me méfie, je ne suis pas votre maître. J’aimerais être petit, vraiment petit.
-          Encore plus que cela… cela s’appellerait enfin l’humilité.
 
(Georges) Ouais
-          … en permanence !
 
(Georges) en permanence
(Nicole) Juste un dernier point : le désir …/…
-          …/… en permanence.
 
(Nicole) c’est ce qui part du cœur !
-          …/… en permanence
 
(Nicole) en permanence
-          Le désir ne peut point partir de l’esprit qui est assujetti au mental…
 
(Nicole) Le désir part du Cœur !
-          Bien sûr… en permanence !
 
(Nicole) C’est pour ça qu’il est licite…
 
(Georges) en permanence
-          Vous avez trouvé, vous savez, ce soir la baguette magique : ce vers quoi, j’espérais vous amener enfin ! vous avez trouvé cette baguette magique, à vous de l’appliquer par contre : « en permanence ».
 
(Georges) on va l’appliquer. Vous allez être fier de nous.
-          Ah ! mais de cela, je le suis déjà !
 
(Nicole) non, vous devez répéter toujours.
-          Comme toujours, comme toujours des petits enfants qui ont besoin de découvrir au travers du paquet, de l’effet du ruban, enfin ce qu’il y avait à l’intérieur. Et pourtant, l’enfant s’attache beaucoup plus à la couleur du papier, à l’effet que va faire le ruban qu’au cadeau qu’il y a à l’intérieur.
Et pourtant ce cadeau… depuis le temps que je l’ai dans les mains, tendues au devant de vous !
Vous commencez enfin à percevoir ce qu’il y a d’Unique, dans le Père, dans le permanent…simplement par un effort de tous les instants… vous vous dites : un mot de plus ? …. Une idée supplémentaire ?
Je vous dis une idée unique, un mot commun.
 
(Georges) Confiance !... Foi…
-          Ca commence à venir…
 
(Georges) Union ? … un mot commun ?
(Claudine) Permanence
(Georges) permanence !
-          Très bien !
 
(Nicole à Claudine) Tu n’as pas beaucoup parlé mais tu as dit le bon mot !
(Georges) A chaque instant, ne pas perdre le fil, rester présent à chaque instant.
-          Mais vous savez, mon jeune ami, qu’en quelques mots, vous venez de retracer quelques années d’enseignement ?
Tu vois, lorsque tu voulais ne point trahir ma pensée, je te donnais la finalité avant ton introduction, de la parole de l’auteur…
 
(Georges) Vous nous avez apporté beaucoup ce soir.
-          Non, si peu, une chose unique et permanente !
 
(Nicole) C’est entré ici, c’est compris en nos cœurs.
(Georges) maintenant, il faut agir
-          Il faut prendre avec vous.
Répétez le à tous ceux qui ont l’habitude d’être bien attentifs et pourtant si distraits en vos soirées communes.
Vous pouvez aussi le dire sous le sceau du secret d’une façon bien discrète, à tous ceux qui seront prêts à l’entendre bien sûr.
Il n’y a point à vous forcer ni à provoquer le péché d’iniquité.
Il n’y a point de secret qui doit être dévoilé, seulement, je vous le dis, ne jetez point les perles aux pourceaux.
Cela ne veut point dire qu’il faille vous prendre pour des êtres détenteurs d’un trésor « inique[1] » et unique.
Il faut simplement faire attention à la façon dont vous allez le redonner et le retransmettre car vous devez le donner et le retransmettre !
Le tout va être dans votre responsabilité et la façon de le faire. Vous devez faire très attention dans la façon de le transmettre.
 
Vous avez vu tous ces mots importants et ce n’est point fini pour en arriver à ce mot qui enfin « tilt[2] » en vous une certaine résonance… dans la cloche du haut de cette église qu’est votre cœur, qui se met à vibrer enfin.
Ce n’est point la première fois qu’il vibre, car plus cela va, plus avec des images qui vous tentent et des mots assortis, une certaine résonance s’effectue en votre cœur et non point en votre esprit.
Il faut que vous soyez attentifs en redonnant cet enseignement, à faire résonner le cœur et non point l’esprit.
Il ne faut point que le mental se saisisse de ces mots, ni en fasse des puzzles : et des images qui puissent monter en épingle, en volume et en surface, et enfin s’épandre pour ne plus pouvoir rien dire mais, soient bien ciblés pour qu’enfin les gens disent « ah ! Mais c’est le mot que vous nous aviez caché depuis … X années… et qui enfin nous fait comprendre Tout ! ».
 
Je vous rappelle que ce mot affine davantage l’esprit de la lettre qui nous a guidé jusque là mais que vous avez déjà résonné en vos cœurs et je m’en réjouis de multiples fois, au fur et à mesure de mes messages, sur des idée précises. L’idée à laquelle il faut que vous vous attachiez à l’heure actuelle, le travail unique que je vous demande maintenant réside en ce mot car votre chemin en est arrivé à cette croisée (= fenêtre).
Ne cherchez point le complexe dans ces mots, il suffit de la permanence.
Je vous assure qu’elle suffit à tout ! 
Bien sûr, avec Amour mais cela, il était inutile de le préciser !
Vous savez qu’il faut bien des mots pour vous amener à prononcer un seul terme qui pourra, d’un coup de pichenette sur votre nez, vous faire tourner d’un quart de tour votre esprit afin que votre cœur, plein de vie, sourit.
Que de pieds de nez dois-je vous faire ?
 
(Nicole) Pourquoi un mot percute mieux qu’un autre ?
-          A ce moment là, parce que vous êtes présents maintenant !
Ni hier, ni demain, mais permanent, présents et infinis, c’est permanent ! Pourquoi ce mot-là ? Eh bien, parce qu’aujourd’hui, cela vous fait percevoir ce à quoi je voulais vous amener.
Hier ou demain, qui n’est point maintenant, aurait été tout autre… et aurait été perdu puisqu’il n’était point maintenant…
Mais cela sont des images bien complexes. Je m’égare et je philosophe, alors que je ne suis pas là pour ça ! La philosophie de plus est une chose qui ne m’intéresse absolument pas ! J’en fais bien trop avec vous !
 
(Georges) C’est le cœur qui est important.
-          Bien sûr !
 
(Georges) La philosophie, c’est pour le cerveau.
-          C’est l’esprit ! la philosophie c’est l’esprit de la lettre.
Le cœur c’est lettre de l’esprit.
 
(Georges) C’est joli
-          Oui … et c’est pour cela, que dans la lettre, il y a une permanence.
C’est l’unicité… mine de rien, je vous pousse à faire de la philosophie.
 
(Claudine) Mais c’est ce qu’il me semblait …/…
-          Comme quoi, tout de même, lorsque je veux, j’arrive à vous pervertir… et vous vous laissez faire …. !
 
(Nicole) et on ne proteste pas.
(Claudine) mais moi, je n’ai rien dit mais il me semblait que quand même, les deux étaient liés parce que la philosophie, elle élève l’être, pas seulement par son esprit mais par rapport à son cœur…
-          très bien de mettre le « l’ » (apostrophe) alors, tu reliras et re-entendra cette phrase qui t’amènera encore plus loin mais… l’avoir mise, cette apostrophe amène une autre dimension et une autre pensée de cette phrase.
Pensez justement sur ces jeux de mots dont je suis bien friand, parfois, pour en détourner la lettre… pour en arriver à l’être.
Ne vous appliquez pas qu’à ce mot, il y a bien des fois où je vous ai …/…
 
(Nicole) Détournés ?
-          Fourvoyés, détournés, amusés, avec ce genre d’idées dont vous savez que je suis très friand et qui pourtant, ont une pensée très miroitante… miroitante bien sûr, dans l’idée que j’ai du miroir ! Quand je donne l’image, il faut toujours penser à bientôt voir son inverse pour enfin voir la réalité.
J’aime bien utiliser ce genre de choses vous savez. Je suis un coquin… !
 
(Nicole) La caverne de Platon : pas l’ombre mais l’objet !
-          A partir du moment où vous pouvez retrouver la lumière, non point l’objet. L’objet n’est point important, ma jeune amie… l’ombre est provoquée par l’objet mais ce qui est important, c’est l’ombre, c’est donc la lumière qui va provoquer l’ombre.
L’objet, lui, n’est simplement mis sur le trajet que pour vous faire prendre conscience de la réalité… pardon, j’en bafouille tellement…. J’en suis convaincu ! L’objet, lui, n’a point d’importance : l’aiguille… le foin… peu importe de trouver l’un dans l’autre !
Il y a encore un pied de nez la dedans mais il n’était point philosophique comme vous pouvez le penser …/…silence….
 
Je crois qu’il va falloir à tout cela une bonne digestion… je crois que vos circonvolutions vont se tordre enfin en espérant qu’elles ne « pètent » point ! Voyez que sur les traits d’humour, je peux être aussi « salace » que vous !
 
… rires…
 
Par contre, j’aimerais que cette soirée se finisse par un geste commun : nous allons tous participer à une réunion, un réunion d’un groupe de quatre qui est, non point de la bande (note : d’amis) mais l’Ami.
Nous allons réunir entre nous les mains pour quelques instants seulement (nous nous tenons par les mains en cercle) et j’aimerais que vous ayez dans votre esprit, dans votre cœur, la permanence de cet instant, comme la vibration que vous ressentez dans vos doigts en cet instant car je la fais circuler… la ressentez-vous ?
 
X. oui…
- Une légère électricité qui passe… en vos mains.
Si vous ne la sentez point, détendez-vous !
…/…
J’aimerais que cette réunion de vos êtres, de vos cœurs, et non point de vos esprits… vous en saisissiez la permanence ! Et quand vos mains se seront relâchées que vous soyez par de là ce geste unis !! Car j’unifie aujourd’hui, entre vous, l’attitude et la démarche de votre cœur et de votre esprit, j’amène à un cran au-dessus votre devoir… simplement par le « simple mot » que vous avez perçu ce soir et sur lequel vous avez bien percuté et vibré.
Cette vibration s’inscrit en ce moment et par moi en vos cœurs, et ils seront d’une douceur infinie… je vous l’assure…
Bien le bonsoir mes jeunes amis.
 
XXX. Bonsoir…
-          Et à bientôt bien sûr !
 
Petites notes explicatives :
  1. A Dozulé, sur la butte des apparitions de la Croix Glorieuse, en participant au pèlerinage quotidien, Georges a lu parfaitement (sans ses lunettes) le livret remis aux participants. Nous, (Nicole, Denise et Guy) avons assisté au « miracle » qui s’est poursuivi un temps assez long… 2h environ.
  2. La fille de Georges et Nicole est sourde à 95% de naissance.                     Bien rééduquée, elle lit très bien sur les lèvres et parle très correctement.    Les questions posées à Véga sur elle par Georges et Nicole concernent souvent sa santé car Laurence est devenue diabétique –insulinodépendante à l’âge de 12ans-
  3. En voyage à Bornéo en visite dans une « tribu » d’anciens coupeurs de tête (les Ibans) dans une case, Georges et Nicole ont eu la surprise de voir, bien exposée, une grande représentation photographique du « Sacré Cœur ».     Ce portrait du christ les a profondément émus.
  4. Enfin, de retour de Bornéo… dans l’avion, Georges a commencé à avoir une grosse inflammation aux yeux…
Nicole et Georges avaient rapporté environ ½ litre d’eau du bassin construit à Dozulé. Georges a lavé ses yeux avec cette eau et le mal est parti… très vite (bonne « inspiration » non ?)
  1. Pièce jointe : les infos … : apprentissage de la Sagesse en liaison directe avec le texte précédent notamment pages 5-6
 
En rapport avec les pages 5.6
Les médias –les infos –
Quel fabuleux exercice vers la Sagesse
 
Vous écoutez la radio, vous regardez la TV, vous lisez les journaux, vous regardez votre entourage, vous écoutez vos proches…
Que de prétextes pour vous amener à vous enflammer et à juger.
Et ceci, selon vos propres critères, votre propre « morale » de ce qui est à vos sens… à votre mental… juste ou pas !
 
Etre « spectateur », un spectateur calme comme un lac…
Comme il nous est demandé, c’est tout autre chose… il nous faut
 
-          Humblement accepter que nous ne connaissons pas vraiment toutes les causes et les conséquences des « images » que nous regardons ou nous écoutons !
 
-          Voir et entendre cela est tout différent :
o        voir par le Cœur et l’Esprit ou
o        voir par l’Esprit et le Cœur
C’est la voie de la Sagesse.
 
-          Etre humble, c’est comprendre que dans notre mental et notre « capacité » humaine de donner de l’amour, cela sera toujours un choix de notre personnalité, de notre jugement personnel (comme 90 % de l’humanité) d’où les affrontements en pensées, en discours, en guerres
o        si nous ne rattachons pas à l’Amour du Père…
o        si nous n’exprimons pas cet Amour dont nous sommes porteurs en effaçant nos perceptions humaines, tous nos actes restent vains.
 
Voir ! C’est voir que le Père est en chacun d’entre nos frères humains
Entendre, c’est entendre l’Appel du Père en chacun d’eux.
 
Attention : les tentations, pour un « EGO » un peu réveillé, de juger,
sont énormes.
 
-          A chaque fois que quelques propos, situations, images, lectures vous heurtent, il nous faut faire ce geste éternel … (reproduit par Jésus…) :
Prendre en son cœur et accepter…
 
-          Accepter, c’est élever… renvoyer au « Ciel », au Père pour qu’Il purifie… donc qu’IL mette Son Ordre dans cette « pagaille ».
C’est attirer par nous la « Lumière » pour nettoyer « l’Ombre ».
 
-          Alors, « nous », un peu plus « éclairés » que la multitude, ne réagissons plus en prenant partie pour ceci ou cela…
 
-          Notre seul parti doit être celui du pardon pour tous
« Père, pardonne leur, Ils ne savent pas ce qu’ils font ».
-          Simplement, demandons-nous si nous désirons participer au tourbillon fatal en jetant quelques cailloux supplémentaires dans la mare où nage notre humanité.
 
-          Ou bien participer de l’action du Père en émanant, rayonnant l’Amour, le Tout Amour qu’IL nous envoie.
 
-          Et ceci, avec patience, compréhension.
 
Quel exercice pour notre EGO !
 


[1] Gravement injuste. (Voulant dire par là : injuste de le détenir par rapport aux autres)
[2] Faire comprendre brusquement.
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