L’AMI à Georges… très bien, assieds-toi et décontracte toi…
Votre conversation est très intéressante… des réflexions humaines et profondes.
Des solutions que vous avez expérimentées ou que vous allez expérimenter.
Vous avez dressé le tableau dans son intégralité mais vous vous perdez dans les détails. « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » : réfléchissez-y !
Il est dommage que vous ne vous soyez pas enregistrés au tout début…
Ce mal-être était vos diversions sur vos diversités de l’esprit.
Il faut que vous soyez recentrés… vous avez la matière pour… cette connaissance vous est donnée… vous avez eu le temps d’en débattre…
Et comme des enfants, vous ressassez les idées des premiers instants…
Replongez-vous sur votre connaissance : vous connaissez vos imperfections…
- vous avez la matière… vous êtes l’esprit
- vous êtes comme en haut… vous participez
Ne vous laissez point déborder par ce qui est en bas : la matière !
Vous avez la science et la connaissance… elles vous ont été données et apportées.
Je vous vois tous penseurs, je vous vois tous réfléchis.
Je vous perçois malheureux en vous, pour vous, par vous.
Il faut que vous vous ressaisissiez afin d’être moins dispersés.
Je vous vois enfin, par ces yeux matériels, tous autour de ma parole et pourtant extérieurs…Il faut que nous communiions !
Vous êtes mal dans votre diversité : vous n’êtes point vous !
Il faut que vous soyez recentrés, je vous le dis… et surtout reliés, recentrés en moi, par moi et pour moi. Soyez les suivants de Celui qui suis.
Ce message, vous l’attendiez avec impatience et pourtant il vous met mal-à-l’aise chaque fois… car vous êtes obligés de vous « rappeler » en une soirée, plutôt que chaque seconde…
Je voudrais que vous soyez mon rappel…Ne vous forcez point à être le votre…
Cela n’a point été donné dans l’enseignement.
Je vous le dis : « rappelez-vous à Moi » comme j’aimerais que vous vous rappeliez que « Je suis en vous »…
Vous êtes moi, tuez vous, vous est tu (du verbe taire)…
Ne tuez point, sauf le maître, celui qui est le plus grand en vous (l’ego, l’orgueil ?)…
Celui qui vous empêche d’être…
Ne vous fiez qu’à une chose : au Père qui est en vous !
Priez le Père, tout le temps et encore (en corps)… soyez UN avec LUI !
Vous lisez des livres fort scientifiques et perclus de connaissances.
Celui que j’appelais « Mon Père » était placé au-delà de Tout… l’Unicité de Tout.
- Celui d’où vous êtes sortis
- Celui qui vous amènera enfin vers la pièce où on immolera « l’Agneau » pour le plaisir de votre retour…
Je vous le dis, je vous aime et j’aimerais partager avec vous la Pâque, l’Agneau pascal, le plaisir de vos retrouvailles.
Ne pensez qu’à une chose, non point les intermédiaires, mais seulement Celui qui nous unit… nous sommes UN… frères jumeaux : nous ressentons les mêmes amours, les mêmes efforts, les mêmes peines… le même travail !
Vous êtes tous et toutes mes « frères ».
Vous êtes en moi, je suis en vous… et en cela : ce qui est en haut est comme ce qui est en bas…
Ne cherchez pas la différence… là n’est pas la question. Cherchez l’Unicité de l’UN.
Posez vous la question :
- Où est le Père dans ce qui est haut et ce qui est en bas ?
- Où se trouve le Un ?
- Dans votre amour qu’est-ce qui vous unit au prochain ?
Dans tous ces mots, tout finit par « UN » (prochain, proche UN).
Et vous me direz, vous qui avez l’esprit très vif… le malin (mal Un) aussi…
Tout est UN… tout est dans la position du UN…
Votre proch’UN, le mal’Un, que voulez-vous supprimer ?
Rappelez vous cette phrase : « vous êtes une dualité » :
- entre le proch’un et le mal un, qu’allez-vous choisir ?
Soyez purs, soyez purs, je vous en prie…
Je suis avez-vous, les mains jointes, le cœur ouvert et sans esprit d’iniquité…
Vous êtes UN… Je suis le UN…Le Père nous unifie en ce UN.
Vous êtes dispersés maintenant car la dualité a été incomprise…
Cette dualité qui vous oppose toujours… qui vous perd… et qui vous oppose…
Cette dualité qui vous amène d’une idée à une autre… qui vous pousse à penser UN et qui la seconde d’après, vous amène à l’opposé… Priez, je vous en prie !
Priez avec moi pour le Père.
Priez pour cet Amour incommensurable qui est en vous et que (seulement) cet Amour-là, (uni en le Père…car c’est la seule chose que vous puissiez partager avec LUI et entre vous…) vous unisse enfin en une seule chose unique : « Je suis la Voie ».
Relisez donc ce que vous devez être… ce que vous devez faire…
Relisez donc ce que vous devez faire pour être…
Je vous l’ai dit : l’Enseignement est simple !
Abandonnez l’illusion : ce qu’est votre vie, pour vous consacrer à l’Unité et à la puissance du Père… seul son Amour vous guidera…
Le mal-être disparaîtra… aussi vite qu’il est venu.
Vous étiez dispersés… vous étiez dispersés… il faut comprendre le message, mes amis. Il faut comprendre l’Enseignement.
Le message de l’Enseignement et l’enseignement du message…
Vous qui êtes friands de phrases et de mots à contre sens qui dévoilent toute la pureté et la nature de l’Enseignement – la Vérité mise à nue –
Tout est là, Je vous le dis...
Faites avec vos mains ce que vous faites avec vos pieds.
Faites avec votre esprit ce que vous faites avec votre âme.
Faites avec votre âme ce que vous pourriez faire, enfin avec votre cœur….
Ma puissance s’amenuise, la conscience de votre écoute aussi… je vous laisse avec votre Maître (Vega)… car je suis, pour ma part, un répétiteur…
Je vous vois encore tous attentifs comme vous devriez l’être chaque seconde…
Ma présence seule vous guide et pourtant vous êtes inconnaissants.
Vous avez la connaissance de ce qui est et vous n’écoutez point !
Arrêtez d’être des malvoyants et des malentendants.
Devenez donc enfin des connaissants.
Je vous regarde tous. Tous attentifs et dans quelques secondes très dispersés…
Je vous vois par ces yeux ouverts… je vous vois et je vous aime.
Et par cet Amour, je vous prie de vous unir à moi… tous, très attentifs, tous très attentifs… je n’ai point d’autre message que celui-ci…
N’en attendez point d’autre et je le répèterai à l’infini.
Vous voyez ! Vous entendez ! vous agissez enfin lorsque les deux verbes que je viens de prononcer seront enfin devenus réalité…
Je vous laisserai réentendre cette bande magnétique. D’ici quelques minutes, tout reprendra sa place comme vous en avez l’habitude… le malaise sera parti…
Tout ce que vous avez dit n’a point été enregistré et c’est fort dommage… vos idées poussent l’une… vos idées poussent l’autre…
L’autre rétablit l’une et fait grandir la seconde.
Apprenez-vous à être présents lorsque vous parlez…
Vous êtes encore bien dispersés mais, je ne veux point venir ce soir pour ensemencer en vous, encore un peu de mal-être.
Vous devez aimer, vous devez vous aimer.
Vous devez partager, partager encore (en corps,)
Je suis un fruit… que chacun en prenne le quart, une portion, et que cette vitamine vous nourrisse !
Je vous bénis !
VEGA en suite à l’AMI ce même soir.
Je sens en vous des milliers de questions… je sens en vous, pourtant, la certitude… je n’écouterai donc point les milliers de questions, mais m’appuierai sur cette certitude que vous ressentez… que vous recentrez !
Eh oui, l’habitude des jeux de mots ne m’a point quitté !
Mon ami, l’Ami, le UN, est passé avant moi pour vous situer, pour vous positionner dans cet Enseignement que vous aspirez à réaliser.
Eh ! bien, maintenant, je vous donne la réalisation de vos aspirations… il faudra que vous mettiez en œuvre ! Il vous l’a exprimé.
Vous avez réécouté en direct ou en différé ce message et vous avez compris ce qu’il fallait que vous fassiez… : il faut moins vous disperser….
Il vous l’a dit et enfin, pour une fois, une petite brèche s’est ouverte dans votre cœur… vous avez enfin compris qu’il fallait faire de votre travail courant, ou le courant de votre travail…l’Unicité du Père que vous partagez puisque vous êtes UN avec LUI.
Une phrase vous a choqué : « vous êtes mes frères jumeaux » et « jumeaux » est le mot qui vous a choqués…
Et pourtant, lorsqu’on est UN avec quelqu’«un », ce UN là veut dire que l’on partage tout… reprenez la définition terrestre de ce qui est en bas...de ce que vous entendez par gémellité, et vous comprendrez enfin, que vous partagez tous les sentiments connus par l’UN, vécus par l’autre !
Vous avez la potentialité. Vous avez l’Unicité.
Débarrassez-vous de votre ego, de votre orgueil, de votre grandeur, de votre personnalité. Arrêtez de jouer à l’acteur… arrêtez d’être l’acteur d’un jeu !
Prenez enfin le UN pour cible – soyez la cible du UN !
Car pour taper au centre d’une cible, il faut que cette cible soit visible par vous…
Et vous êtes la cible… le centre est votre cœur… le cœur doit être votre centre…
Votre centre d’intérêt (d’UN terré, d’UN de la terre… UN Terre est) car la Terre est.
Voyez que les jeux de mots, des fois, peuvent éclaircir bien des choses…
Encore un aspect que vous n’aviez point pensé… et pourtant, des ouvertures que vous aviez déjà créées !
« Vous êtes » puisque vous dites « Je suis présent »… « Je suis absent ».
Une phrase qui m’amuse beaucoup…
Le matin, vous dites : « Je suis réveillé » et si vous l’étiez enfin !
Et par contre, le soir, lorsque vous vous couchez, vous ne dites jamais : « Je suis endormi »… et pourtant, c’est une phrase que vous devriez dire dès le matin !
Ce serait un bon rappel de soi.
Note : que sont les « endormis » dans la journée ?
Ce sont tous ceux que G. St Bonnet appelle des « robots ».
Ceux qui ne font que réagir dans le courant de leur vie aux circonstances extérieures, juste la conscience de leur ego, de leur personnalité. Ils ne se relient pas à la Conscience Supérieure qui est en eux… le UN… qui leur permettrait non plus de réagir mais d’agir !
« Je vous laisse avec votre Maître » : cela vous a beaucoup impressionnés.
Pourtant, Dieu sait que malgré son humour, Il n’allait point dire :
- « Je vous laisse avec votre : senti maître ? (centi maître ? centimètre ?)
Il n’a point mesuré l’Amour qui est en vous puisque vous êtes tellement possesseurs que vous ne le redistribuez que très peu… il attend simplement que vous le rayonniez…et le rayonner, c’est le donner tous azimuts… tout le temps… à chaque seconde… à qui que ce soit.
Il ne faut point vous fourvoyer tout de même. Rayonner et donner suffit !
- C'est-à-dire : sans juger, sans émettre d’opinion, sans avoir de préjugés.
- C'est-à-dire : qu’avant de juger, il ne faut point déjà avoir d’opinion.
Le badge que porte votre ami me plaît beaucoup !
(Note : le badge dit : « oubliez vos idées reçues ».)
Vous devriez tous le porter mais beaucoup plus gros que cela… en pancarte, de haut en bas et de bas en haut !
Laissez donc tomber vos idées reçues et recevez donc, enfin, de bonnes idées !
Celles que depuis quelques années vous essayez de manier et d’écouter.
Celles que vous prenez les mains ouvertes et ramenez vers votre cœur.
Celles qui, par certains gestes de vos soirées, vous amènent à prendre du cœur et à distribuer autour de vous…
Mais seulement en une soirée, seulement par des gestes… j’attends de vous qu’ils soient refaits à chaque seconde ! À chaque seconde !
Je voudrais que vous me promettiez une chose !
Et ne répondez point, je vous en prie, vous allez encore vous fourvoyer !
Demain matin, lorsque vous vous réveillerez, vous direz en vous étirant les bras et en baillant d’une façon concupiscente : « Je suis enfin endormi ».
Je ne vous demande pas de me le promettre à haute voix puisque lorsque vous le faites… vous ne le faites point !
Et pourtant, cela est un exercice que je vous donne, qui peut-être, de par la présence de la conscience… si conscients que vous soyez présents… peut-être enfin arrêterez-vous d’être réveillés au moment où vous vous endormirez…
Note 1. En fait, la nuit, pendant le sommeil, la conscience de jour est endormie et permet un certain travail intérieur dont il reste parfois en mémoire des rêves ou des songes.
L’ego se tait, par force, la nuit.
Note 2. La tournure « de par » etc. paraît inappropriée dans le français correct mais, c’est probablement encore un jeu de mots de nos grands amis. Si « de » était le chiffre 2, cela s’éclaircit… moi et le UN…
J’aime bien mettre ce qui est en haut comme ce qui est en bas, surtout, lorsque par un jeu de miroirs, j’inverse toutes choses… et vous êtes le miroir.
Et je suis le singe qui devant, bouge beaucoup pour vous réveiller… que de grimaces suis-je obligé de faire ! Que de traits d’humour suis-je obligé d’utiliser !
Traits d’humour qui, entre parenthèses, vous plaisent beaucoup, mais qui ne restent pour vous qu’un trait de dialectique… qui vous sert à rire…
La dialectique, la dialectique… combien est-elle opposée à la parole du cœur !
Concevez « UN PEUT » !
Note : soyez conscients que le UN peut (faire… Tout)
Concevez « un peut » lorsque vous avez devant vous une âme flétrie, meurtrie, blessée…
Vous allez lui donner des phrases réconfortantes, vous allez parler avec elle pendant des heures entières et vous avez l’impression, en vous quittant, qu’elle va beaucoup mieux, simplement parce que l’hypnose de vos mots l’a endormie sur son mal…
Par contre, lorsque quelqu’un pleure devant vous, parce qu’il s’ouvre… parce qu’il ouvre son cœur et vous fait voir son mal, vous le prenez en vous, dans vos bras, vous le serrez sans rien dire… et que vous ayez un élan d’Amour, sans que votre esprit intervienne… vous le serrez, vous ouvrez votre cœur et vous prenez, vous emplissez votre coupe de cette douleur qui est devant vous… comme ceux qui ont participé par bien des fois, et de (2) par une Foi (fois) au partage de cette souffrance.
Note : Il est dit que Jésus Christ a bu la Coupe (de son cœur) jusqu’à la lie. Il a pris en son cœur par sa Foi en l’Amour du Père Eternel, toute notre humanité, même les pires d’entre les hommes : la lie de l’Humanité. Il n’a rejeté personne… deux : par lui (1) le Christ + l’Amour du Père (1).
Si vous partagez cette souffrance, que vous ouvrez votre cœur, que vous preniez quelqu’un en vous, simplement en ouvrant vos bras et en les refermant sur lui, sans rien dire… cette personne là s’en ira et ira bien mieux, parce qu’elle ne sera pas hypnotisée par des mots qui lui camoufleront sa douleur mais, elle repartira simplement soulagée de cette douleur que vous avez prise en vous, que vous avez partagée… je perds en des mots des notions bien essentielles !
Votre esprit est troublé et pourtant, je vous prie de remettre dans toutes ces phrases, trois mots d’affilée qui remettront la Vérité à sa place.
Vous avez la Connaissance et la Conscience nécessaires… non point pour partager mais pour agir et faire…
Les mains tendues vous gênent…
Une main tendue vous gêne…
Un cœur ouvert vous trouble…
Un amour sincère vous fait rougir…
(Nicole tousse)… une toux vous soulage…
Un amour partagé vous rend unique comme le Père.
Un taux d’attention comme vous l’avez en ce moment vous fatigue…
Et pourtant, par la légèreté de l’Esprit, votre cœur s’envole comme une colombe vers l’Amour du Père. Il faut partager… partager.
Il faut être attentif… attentif... non point dispersé… mais la dispersion vous l’avez abandonnée il y a quelques instants.
Je ne suis pas votre maître… ne le croyez pas !
Votre maître le plus pur, le plus dur, le plus grave, le plus entier : c’est vous-même !
Il n’y a point d’entité au dessus de vous que de (2) vous… de (2) vous-même… et dans vous-même, je mets M’AI… etc. (vous m’aime)
Apprenez-vous à vous aimer : vous, les uns, les autres et dans les UNS, il y a le Père… et dans les autres, il y a la multitude.
Comprenez-vous enfin que tous ces jeux de mots que je me plais à utiliser avec vous, vous font enfin comprendre ceux qui sont utilisés depuis des millénaires.
Cherchez dans les mots ce qu’il peut y avoir comme jeu…
Cherchez dans les jeux (je) ce qu’il peut y avoir comme mots (maux).
Cherchez dans un mot, l’unicité, enfin de ce qu’il veut dire…
Percevez par essence et, par connaissance, ce qu’il peut vous apporter… et ce que vous pourrez enfin, avec votre frère, partager… car quand vous aurez goûté, vous saurez enfin expliquer les couleurs, les goûts, le formes.
Qu’est-ce que l’Amour si vous n’avez jamais aimé ?
Qu’est-ce que l’amertume si vous n’avez jamais souffert ?
Qu’est-ce que le sucré si vous n’avez jamais souri ou été joyeux ?
Savez-vous qu’entre les goûts, les couleurs, les odeurs et les sons, il y a une unicité à toutes choses ?
Une unicité à votre esprit et aux expériences ?
Sachez passer des ponts entre tous ces évènements…
Sachez recentrer toutes ces notions et ces vies et ces sentiments… car, comme mon ami et mon maître l’a fait remarquer tout à l’heure… dans le mot sentiment, il y en a deux (celui qui sent –le UN- et celui qui ment –l’ego-).
Je vous l’ai dit… l’Amour est le contraire du mensonge !
Celui qui a senti doit donner et non point dire… car lorsqu’il dit, il trahit !
Apprenez à jouer avec les mots de votre langue si riche et si entière, et apprenez enfin à aimer, cœur ouvert et mains tendues !
Contrairement à ce que vous faites par habitude…
Je vous accorderai ce soir, bien pensées et bien centrées, quelques questions… quelques seulement…
Bien trop profondes sont ces pensées, bien enregistrées sur vos bandes… mais notre traductrice et notre répétitrice serait contrite de ne point utiliser beaucoup d’encre pour recentrer enfin cet enseignement…
(Nicole rit) Elle rit, je ris avec elle…
Il faudrait que vous puissiez étaler cette connaissance comme lorsque vous n’avez point assez de confiture, comme le disait mon ami Georges… et pourtant, Dieu sait que ce soir, vous n’avez point besoin d’étaler vu la consistance de ce qui vous a été donné…Je suis attentif à tout, même à l’humour de certaines phrases…
Des questions ?
(Georges) Compte tenu de l’importance des messages, on a l’air complètement ridicule avec nos questions !
- Oui !
(Georges) Voilà !
- Mais en as-tu tout de même une ?
(Georges) Oui…
- Ne cherche point trop, ne t’efforce pas…
(Georges) Non, mais…
- Laisse ton naturel aller…
(Georges) J’ai reçu, une nuit, à plusieurs reprises, le même prénom : « Jovanica »… avez-vous une idée de ce que c’est ?
Il me semble que c’était une femme qui était recherchée. Après qui on courrait ?
- Où est ta question ?
(Georges) Ben, je me demande pourquoi on m’a lancé ce nom.
- C’est une personne que tu vas connaître… Jovanica n’est pas un prénom actuel.
Note : ce passage fait référence aux réincarnations.
Bien souvent, dans notre vie actuelle, nous rencontrons des personnes que nous avons connues dans une ou plusieurs vies antérieures… pour compléter… améliorer des rapports antérieurs… pardonner ou se faire pardonner des erreurs.
Ici, Véga aborde ce sujet par le cas personnel de Georges et d’une ancienne collègue de travail. Cette personne a suivi un certain temps nos réunions puis a pris ses distances avec nous.
Elle se prénomme Véronique d’où Véro… dans ces pages.
C’est un prénom du passé. C’est une personne que tu connais… c’est une reconnaissance d’une personne du passé… une personne qui a beaucoup souffert, une personne qui attend de toi… une personne qui te posera beaucoup de questions et c’est déjà commencé… une personne qui attend beaucoup et à qui tu donneras beaucoup !
Une personne envers laquelle tu devras t’effacer car, plus tu répondras à ses questions, plus tu prendras d’importance…
Attention de ne pas être un maître, mais d’être un « milli maître ».
Donne ta connaissance mais laisse là libre de piocher par elle-même dans le Père, et par le Père, et pour le Père, la connaissance à laquelle elle aspire…
Une personne que tu côtoies à l’heure actuelle : Jovanica – Yovanica…
(Georges) Je la connais déjà ?
(Claudine) Véronique !
- Bien sûr !
(Claudine) C’est elle
(Georges) C’est Véronique, il a dit, « bien sûr »… Bravo Claudine… autrement dit, moi je reçois des messages et je suis incapable de les interpréter. Je me sens frustré !
- Il ne faut point être frustré… sais-tu que beaucoup de personnes aimeraient bien recevoir des messages, même sans comprendre ce qu’ils veulent dire ?
Tu as un avantage, mon jeune ami : tu cherches ce qu’ils veulent dire et quand tu ne sais pas, tu poses enfin la question… alors que beaucoup auraient reçu, écrit et enterré…
Ne te sous-estime point ! Ne te fais pas plus humble que tu ne l’es car tu as encore beaucoup de travail à fournir…
(Georges) Ben oui ! Je m’en doute, je ferai mais j’aime bien ça…
(Nicole) Justement, puisque notre amie Véro. n’est pas là, je pense que vous étiez présent au cours d’un après-midi où elle est venue me voir et où elle a beaucoup pleuré…
- Oui !
(Nicole) Et je voulais savoir si elle avait vidé effectivement une partie de son passé…
- Pas encore.
(Nicole) Pas tout… il lui en reste encore…
- Il lui en reste encore mais elle s’y accroche.
(Georges) s’y accroche ?
(Nicole) C'est-à-dire qu’elle n’arrive pas à tourner la page…
- Bien sûr ! et elle le sait très bien malgré qu’elle ait prié… y compris à moi… et que puis-je faire pour elle ?
Elle m’a prié pour que je l’exorcise enfin de toutes ces images passées, de toutes ces souffrances… je l’ai prise en moi cette souffrance…
Je lui ai proposé la dernière fois (le 23.8.97) de prendre sur moi sa croix… elle s’est avancée par des mots et a proposé par son cœur une autre…
Elle a beaucoup pleuré parce qu’il en restait encore…
Elle n’a pas été assez précise…
Il faut bien penser lorsque l’on extériorise une demande !
Il faut que cette demande soit la plus précise possible… mais elle aime encore souffrir de par le passé car cela lui prouve encore qu’elle existe…
Elle n’a point su, à l’heure actuelle, se reconstruire, en partie… entièrement… mais l’Amour lui apportera Seul tout cela… brique par brique…
Mais tu lui diras que le manque de Confiance est un atout qu’elle n’a point dans sa manche… il faut qu’elle fasse Confiance… et lorsque l’on aime, il n’y a point de suspicion possible : qu’elle aime !
Qu’elle n’ait point peur de souffrir pour son Amour !
Qu’elle aime purement ! Qu’elle donne purement… et si elle en souffre quand même après… eh bien ! tout ce qu’elle aura donné sera constitué comme un trésor… pour elle, par elle, en elle…. Pour Lui, en Lui, par Lui….
Dans le UN, pour le UN, par le UN !
Note : cela nous concerne tous, non ? Oublier les blessures du passé.
Savoir fermer le vieux livre et recommencer à zéro… Tout neuf…
(Nicole) J’ai compris.
- C’est ce qui unit enfin (comprendre = prendre avec soi)
L’amour en une tierce personne te rapproche du Père, sais-tu ?
Qu’elle n’ait point peur de souffrir, qu’elle se donne d’abord.
Si elle se retient, elle souffrira de ne point avoir aimé.
(Nicole) Elle se limite quelque part, par peur.
- Bien sûr et je la comprends.
(Nicole) Oh ! Je ne juge pas.
(Georges) qui a eu le pied enflé brusquement et une douleur très forte vers le talon… impossible de poser le pied par terre… sans cause apparente.
Cette douleur que j’ai éprouvée et dont on a parlé tout à l’heure, cette douleur que la médecine n’a pas comprise : c’est quoi ? Est-ce que c’est lié, moitié médical, moitié…
- Tout est lié mon jeune ami…
(Georges) Oui, je le sais mais est-ce que ça a une connotation spirituelle ?
- Tout est lié par le fait de faire un nœud à toutes choses.
Il y a une liaison à tout…
Ta souffrance, tes questions, toutes tes peurs, tes hantises, ton mal-être, par les expériences que tu as vécues et revécues une deuxième fois, dans ta famille et ta descendance.
Note : les naissances des deux petites filles de Georges et Nicole ont été très difficiles avec de gros soucis de santé. Rachel le 20.4.1996 et Estelle le 30.8.1977.
Tes pleurs, car lorsque personne ne te voyait, dans tes prières tu pleurais… c’était un manque de confiance….
Tu as demandé, Il t’a été donné et pourtant tu doutais encore…
On t’a dit, il y a quelques années que tu étais le médiateur : tu as demandé et Il t’a été donné et pourtant tu doutais encore…
Sais-tu que lorsqu’on dit à quelqu’un : « je te donne 100 francs et tu pourras les redonner à qui tu veux… » Et que quand tu les donnes, tu doutes encore de l’existence de ces 100 francs… il te sera tapé sur la main pour bien te faire voir que c’est celle-ci qui a donné…
Tes souffrances ne sont que le rappel de ton incroyance, de tes doutes, de tes peurs, de tes hantises. Sois Confiant… Aime la Foi… Aie confiance, sois UN !
Note : Il semblerait que le Doute, la moindre parcelle de doute, après avoir exprimé une demande, une prière, ait des conséquences négatives plus ou moins lourdes sur le résultat.
Le UN pour toi, en toi, par toi !
Ces derniers mots prennent toute leur importance : « PAR TOI ».
Le Père s’exprimera par Toi : par tes yeux, par ta bouche, par tes gestes, par ton Amour ! Tu seras celui qui devra être le reflet et le miroir…
Tu devras être en bas « Celui » qui est en haut !
Sens-tu enfin tout ce message sans qu’enfin, il n’y ait un seul doute qui s’immisce dans ton cœur et en ton esprit.
Je te rassure, même moi, parfois, j’ai des doutes…
Lorsque je souffre, je me rappelle et je dis :
"Tu me rappelles, enfin, que j’ai douté de TOI, Je te refais Confiance et j’agis !
–Je n’attends point que TU fasses- Je n’appelle point TA Clémence mais j’agis enfin puisque TU m’en as donné la possibilité.
Cadeau qui t’a été offert et que tu utilises très peu !
Il faut l’utiliser ! La médecine sera impuissante !
Lorsque tu tendras les mains, il suffira que cela soit fait pour que le Ciel soulage…Rappelle toi, il y a quelques années, de ce qui t’a été donné…
Te rappelles-tu ?
(Nicole) « Intercesseur »
- Intercesseur : Tu es la voix par celui qui, quand il aura exprimé, qui fera que le Père réalisera ce qui doit être et ce qui est.
Car tu as dit… « Ce qui doit être » et « ce que tu as dit »… notions qui se rejoignent et qui, pourtant, sont fondamentalement complémentaires.
Tu ne pourras point forcer le Père, sais-tu ?
(Georges) Oui.
- Et pourtant, lorsque cela te touche de près, tu doutes !
Tu as prié, tu as demandé, tu as agis, tu as poussé, tu as provoqué…
Le Père t’a répondu et pourtant tu as continué à douter…
Eh bien ! La douleur qui n’a point été posée sur tes proches, a été posée sur ton pied… puisque ton esprit, soi-disant, est si libre !
Note : « Soi-disant » le Soi, le mental de Georges a dit le doute…
A tes pieds !
Note : Ah ! Puissions-nous fouler aux pieds nos doutes.
(Nicole) Le poids du doute.
(Georges) Donc, le mal …/…
- …/… est (et) le doute pèse (pèsent) beaucoup.
(Georges) Le mal est encore là… c’est à moi de …/…
- …/… le mal est dans ton cœur et tu l’as comme un boulet autour de ta cheville…
Car sais-tu que pour emprisonner quelqu’un, dans le temps, on ne mettait point les chaînes autour du cœur mais autour de la cheville…
Pour freiner quelqu’un, il n’y avait rien de mieux, rien de plus efficace, rien de plus astreignant… rien de plus contondant… et pourtant !
Ouvre-toi, ouvre tes mains, fais le geste du prêtre devant l’autel.
Ouvre donc tes mais comme cela et offre…
Fais-le donc ! Offre ! Sens cette puissance en tes mains…
Sens ton cœur s’envoler dans cette triangulation que ton cœur fait avec ces (ses) mains. Sens la vibration dans tes pieds, sens ta tête portée vers les étoiles… sens ton Amour s’envoler !
Emets la moindre prière avec toutes ces forces, avec toutes ces sensations, avec toutes ces vibrations et cette prière sera entendue et sera enfin exaucée ! Tu es celui qui porte… tu es celui qui donne.
Mais puisque vous avez tous été attentifs ce soir, à m’écouter, je vous fais partager cette même chose, ce même pouvoir… je vous donne la possibilité d’intercéder… je vous donne la possibilité de prier… je vous donne la possibilité de vous ouvrir… je vous donne enfin la possibilité d’être sensibles à la souffrance de l’autre, de la porter en vous et de la donner au Père… de la soulager par là-même.
Je vous donne cette possibilité mais vous devrez la taire !
Vous devrez le faire sans le dire…
Vous devrez le dire sans le fer (sans la souffrance) sans le fer que vous ne porterez jamais à vos pieds, sans souffrance.
Sentez vibrer vos mains lorsque vous les tendez devant vous mais, je vous le dis, ne tendez jamais vos mains si vous n’aimez pas ce que vous avez demandé ou la personne pour qui vous le demandez…
Si vous n’avez pas envie de pleurer en étant sensible à la souffrance de l’autre… si vous n’avez pas une fibre… et une fibre qui vous fait vibrer… ne faites rien…
Mais je vous donne à tous la possibilité d’ouvrir vos mains… de sentir ce poids sur vos mains… cette chaleur qu’Y dégage cette sensation et cette vibration qui s’élève… et cette triangulation que vous faites avec le cœur et l’esprit par votre amour, en son Amour, ce que vous demanderez sera exaucé…
Ce n’est pas un don, c’est une responsabilité que je vous donne… vous l’appliquerez comme bien vous semble… comme bon vous semble…
J’ai dit comme bon et non point comme mauvais…
A chaque fois vous voulez un petit cadeau, eh bien ! Voilà qui est fait !!
Mais vous êtes responsables bien sûres… responsables !
… court silence…
Ton pied va-t-il mieux mon jeune ami ?
(Georges) Oui, je ne le sens plus…
- Très bien ! ton cœur est exalté ?
Non ! Ton esprit est surchauffé…
(Georges) Non, mais je suis plein de vibrations partout, donc je pense que …/…
- …/… et tes mains : comment vont-elles ?
(Georges) Elles ne picotent plus…
- Elles sont chaudes ?
(Georges) Elles ont bien piqué.
- Elles vibrent. Cela te fait plaisir ?
(Georges) Oui !
- Cela, penses-tu, te sera-t-il utile pour les autres ?
(Georges) Oui !
- Questionne donc les gens qui sont autour de toi sur les sensations qu’ils sentent ou ne ressent point…
(Georges) Alors, est-ce que vous avez ressenti quelque chose ?
(Hélène) Picotements.
(Nicole) Chaleur.
(Claudine) et le poids… chaleur…
(Georges) Déjà l’expérience est concluante.
- Très bien !
(À Georges) Tends ta main droite vers la main droite de chacun d’entre vous et tu la touches simplement quelques secondes… chacun à son tour… main droite pour main droite… quelques secondes… très bien
(Georges) C’est fait !
- Non ! tu en as oublié une !
Note : celle de Guitou, le canal par lequel Véga s’exprime.
(Georges) Oh! Pardon, pardon mon ami.
- Décontractez-vous chacun sur son siège… dans une position agréable…
Ce geste de votre ami vous a-t-il fait ressentir une certaine chaleur, ou en votre main, ou en votre cœur ?
Ne cherchez point le cœur pour l’instant, il est insensible…
Mais vous avez partagé, ce n’est point lui (Georges) qui vous a donné, j’ai bien dit « partagé »… vous avez partagé une sensation de ce don que je vous ai fait ce soir…
Soyez attentifs, chacun à votre tour, au moment de votre sommeil, à cette main que vous avez touchée… à cette sensation de frôlement… vous ressentirez encore chaleur et picotements…
Mais sachez que lorsque vous donnerez, lorsque vous partagerez, lorsque vous soulagerez, c’est avec les deux mains qu’il faudra le faire…
Lorsque vous offrirez une prière au Père…
Lorsque vous soulagerez une douleur et que vous l’offrirez au Père par prière… Il faudra que vous le fassiez avec les deux mains ouvertes, paumes vers le Ciel, vers le Père (main droite)… et que (seulement) ce Père qui est en vous (avec : par ce Père qui est en vous – main gauche)…en votre cœur…
La prière doit commencer par le prise de la douleur, par la prise de la conscience, de la connaissance de cette vie qui est auprès de vous, par l’Amour que vous avez enfin à lui offrir… et que cette prière, une fois que vous l’avez prise en vous… vous l’offrirez ouvertement… comme le prêtre le fait… comme le sacrifice…
Et sachez que tout ce geste là est, jusque là, depuis des millénaires oublié…
Vous vous dites « des » millénaires ? Il n’y en a que deux !
Non ! Il y en a beaucoup plus que ça !
Car tous les maîtres, les uns après les autres, sont venus expliquer quelle était la base de cet enseignement… quel était ce geste d’offrande…
N’offrez point votre propre souffrance car elle est votre ego !
Offrez la souffrance des autres car cela seul rendra le Père sensible !
Et soyez sensibles au Père en étant le frère et celui qui partagera la souffrance de ce frère… offrez ! Et laissez voler ! Ne prenez point en vous !
Si vous avez pris, je vous en prie, re-offrez-le !
Ne gardez jamais la souffrance des autres car la vôtre est bien assez lourde à porter…
Par contre, ce soir, les uns les autres, et par cette main qui vous a touchés, par ce partage que je vous ai donné…
Vous pourrez les uns les autres, partager et prendre les souffrances des uns pour les autres… sans jamais, bien sûr, oublier de les donner au Père…
Vous êtes une chaîne de joie, capable les uns les autres, de prendre vos peines et vos tracas, de prendre vos questions et vos soucis, de prendre vos interrogations et votre manque de Foi pour l’offrir au Père…
Vous êtes porteurs les uns des autres…
Souvenez-vous, il y a quelques dix ans, je vous ai dit : « je vous ai enchaînés comme sur une cordée, sur une montagne ».
Je ne vous ai point enchaînés ce soir.
Il a suffit d’une caresse sur votre main droite pour que vous soyez tous réunis en un seul et unique but : « vous aimer les uns les autres »…
Vous devez donc commencer par ce cercle restreint afin, enfin, de pouvoir le porter vers l’extérieur…
Comment pouvez vous concevoir de pleurer sur la misère d’un être cher (chair : de chair, incarné)… que vous détestez… c'est-à-dire : votre ennemi… qui est aussi cher (chair) ou qui devrait l’être autant que votre propre descendance ou vos propres amis…
Vous êtes là pour vous aider les uns les autres, faire chaîne…
Lorsque vous vous sentirez seul pour prier, même sur votre propre misère, faites appel les uns aux autres…
Celui qui omettra de le faire sera forcément exclu…
Vous êtes liés par votre travail, par vos aspirations, par votre amour, par vos peines, par vos joies…
Vous vous devez d’être présents les uns pour les autres… vous vous devez de faire appel lorsque vous ne serez plus présents, à l’intégralité du groupe.
J’ai bien dit « intégralité »… vous êtes bien plus liés que vous n’en aviez l’idée il y a dix ans… et pourtant, c’est la même chose… c'est-à-dire, puisque certains s’interrogent, je vais remettre cela sous un seul mot : vous vous devez assistance car vous êtes des assistants… mes assistants.
(Georges) Il va falloir nous en montrer dignes.
- Dignes et droits… droits et purs…
(Georges) Ca rappelle la maxime des mousquetaires …/…
- …/… Tous pour UN !
(Nicole) et l’UN pour Tous !
- Le Ciel sera pour tous… si vous faites UN !
Seulement et inconditionnellement si vous faites UN. M’avez-vous compris ?
Cela t’a rappelé une belle phrase que j’avais en tête déjà depuis bien longtemps… et si je vous l’avais dite, vous auriez enfin et encore pensé que je faisais de l’humour et du rapport d’idées cinématographiques alors que c’était une pensée unique et pure, vraie et droite.
Sachez, mes jeunes amis, que je vous ai fait toucher vos mains, par la droite « la main du cœur »… « La main du Père »…
Ça ne veut pas dire par cela qu’il faut ignorer systématiquement ce que fait la gauche car, cela voudrait dire que vous n’êtes point présents ni conscients…
Vous êtes « potentiellement » mes frères jumeaux… nous devons ressentir la même chose, le même amour, la même conscience, la même présence !
Vous êtes attentifs, silencieux et cois… et pourtant d’habitude, comme vous l’avez fait remarquer en début de soirée, vous multipliez les phrases…
vous vous coupez la parole, vous n’attendez point de savoir l’explication pour donner une réponse… à part la dernière fois où j’ai été outrecuidant et où je donnais les réponses bien avant que les questions soient formulées…
Sachez qu’il ne faut point m’imiter dans cette habitude !
Attendez ! Écoutez ! Soyez patients et compréhensifs !
C’est la seule façon de prendre !
Encore une seule question car il est temps que je vous laisse pour quelques minutes de discussion et de partage…. Silence…
Je vois qu’il y a beaucoup de partage et une multitude de questions !
(Georges) On réfléchit, là ! Il y a une question qui arrive.
- Tu me retiens, mon jeune ami et tu triches un peu… me crois-tu dupe ?
J’allais dire « niais » mais ce n’est point vrai…
(Nicole) La dernière fois, l’Ami avait dit « Attention, soyez prévisibles et en prévision, soyez attentif ! ».
- Oui ?
(Nicole) Cette tournure double n’est pas particulièrement claire dans ma compréhension…
- Elle ne sera claire que lorsque vous aurez appréhendé la totalité de l’Enseignement… cet Ami là, sachez le, vous donne des phrases pour vous faire penser et non point pour vous endormir… et, lorsque vous avez des difficultés à les décrypter, cela vous évite au moins de bailler…
(Nicole) On continuera à …/…
- …/… mais sois attentif, sois attentive… pour être présente.
Sois prévisible de (2) par l’attention que tu donneras !
Sais-tu, lorsque je te demande… lorsqu’Il te demande ou lorsque le Père te le demande… d’être le plus attentif (ive), présent(e) et conscient(e)…
Eh bien ! En cela tu es prévisible (il y a possibilité de contact)
Par contre, lorsque tu joues au « singe », lorsque tu changes tout le temps d’idées, de mentalité, de conscience… tu es imprévisible et en cela le Père ne peut point te saisir…
Comment peux-tu apporter de l’aide à quelqu’un qui, à un moment donné, va te tendre la main et puis l’enlèvera pour la tendre derrière au moment où une pièce lui sera donnée, puis la tendra à gauche et ensuite à droite ?
A quel moment cette personne là pourra enfin espérer obtenir de l’aide ?
Pour être prévisible… changement côté cassette…
…/… ma jeune amie, ceci n’est qu’un seul et unique aspect des trois que cette phrase voulait sous entendre…
(Nicole) Donc, il y a encore à …/…
- …/… mais ne compte point sur moi ce soir… à chacun sa part de labeur.
(Nicole) Ok !
(Georges) Lorsqu’il y a une dizaine d’années, vous m’aviez parlé d’être « intercesseur », je n’avais pas compris exactement ce que ça voulait dire…
- As-tu compris maintenant ?
(Georges) Oui !
- Non !
(Georges) Ca demande une attention de tous les instants !
- Oui !
(Georges) Et un effacement total de soi !
- Oui ! donc, tu as encore du travail à faire !
… rires…
(Nicole) Nous avons tous …/…
(Georges) Mais je vais m’y atteler
- Sachez que la part du cadeau que je vous ai fait est une part du travail que j’ai demandé à Georges… que ce cadeau que j’ai multiplié et partagé est simplement pour soulager sa tâche et son travail… vous êtes donc, maintenant, liés à lui et lui, bien sûr, est lié à vous…
Tu es content que je t’aie soulagé ?
(Georges) Oui ! (Rires)
- Mais tu n’en as pas moins de travail à fournir, mon jeune ami…
(Georges) Ben, je m’en doute, mais …/…
- …/… peut-être encore plus puisque vous êtes tous maintenant dépendants et responsables les uns des autres…
C’est un partage mais c’est une responsabilité…
Mais puisque tu dis qu’au bout de dix ans, tu as enfin compris ce que cela voulait dire, j’en suis fort aise et heureux au plus haut point…
J’avais dit, une question…. Cela fait déjà trois… peut être une petite dernière pour la route…
(Nicole) Note : je pense que Véga lit dans nos esprits car j’avais cette question en tête mais j’hésitais à la poser, alors j’ai osé.
Quand je suis… j’allais dire recentrée…
- Cela est déjà deux paroles de trop car quand « je suis »… je suis automatiquement « recentré ».
(Nicole) Voilà ! Quand « je suis », j’ai un doux sifflement dans la tête…
- Très bien !
(Nicole) Et je me sers, quand je m’échappe un peu ou comme vous disiez « je fais le singe », de ce sifflement pour, justement, si je puis dire, ne penser à rien et me concentrer dessus. C’est une manière de me recentrer… c’est juste ?
- C’est la notion et le bruit de la vibration du Père…
Tu as raison de te concentrer et de te centrer sur ce son qui te rend enfin sensible la présence du Père en toi !
Cette flamme qui vibre au dessus de ton cœur, c’est elle que tu entends par cette vibration unique, assez aigue et persistante, d’un ton monocorde et pourtant joyeuse…
Attentionne toi sur ce son ! Suis le ! Ton cœur deviendra enfin perceptible !
Note : Véga a décrit mieux que je n’aurai pu le faire la nature de ce sifflement.
(Nicole) Le but, c’est de ne plus quitter ce son.
- Le but, c’est de ne plus quitter ton cœur…
(Nicole) Voilà ! Puisqu’il représente mon cœur (de nature spirituelle et non pas l’organe physique).
- Peu importe le bruit qu’il va fournir, mais si c’est un bon rappel, eh bien ! continue à le pratiquer.
(Nicole) ok… c’est disons, un subterfuge…
- C’est une subtilité.
(Nicole) Pour me rappeler
- C’est une substitution très subtile…
(Nicole) Merci… j’ai terminé…
(Hélène : fille de Guitou le canal et de Claudine –environ 17 ans-)
Moi aussi, il m’arrive d’avoir des sifflements comme Nicole. Est-ce la même chose…
- Oui ! sauf que toi, tu n’es pas assez recentrée, ma jeune amie… tu es très dispersée mais ton âge, peut-être, étant la cause de cela…
Il faut que tu sois plus réfléchie, moins dispersée dans ta réflexion…
Tu vas te demander ce que cela veut dire mais Nicole, notre grande psychologue devant l’Eternel, te l’expliquera bien, après mon départ…
Recentre toi sur ta réflexion… réfléchis à ce que tu es, ce que tu fais, ce que tu penses et ce que tu donnes à l’extérieur… réfléchis ton image….
Aime toi comme le Père aimerait que tu sois… sois comme le Père aimerait qu tu LUI ressemble… réfléchis en toutes choses : socialement et spirituellement bien sûr… je le rajoute simplement parce que peut être cela t’aurait échappé…Y a-t-il d’autres questions ?
Je ne vous accorde encore que quelques instants…
… silence prolongé…
(À Nicole) Bien ! Où en es-tu de ton travail, ma jeune amie, de retranscription des questions essentielles avec des réponses bien pesées ?
Au tout début d’accord…
(Nicole reste silencieuse)
- Tu t’étais engagée… je m’intéresse à ce travail…
(Georges) Avec Véro. Vous deviez travailler.
(Nicole) Disons que Véro. En a tiré pour elle, beaucoup de réflexion…
Pour ma part, je reconnais que je n’ai pas trouvé le moyen de travailler sur ces textes. Je ne sais pas par quel bout les prendre.
Je ne le sens pas pour le moment, je suis honnête !
- Très bien ! puisque vous aviez une bonne intention et que cette intention doit rester, bien sûr… il faut que tu t’imagines prendre un livre sans connaître quoique ce soit de nos conversations…
(Nicole) Avec un esprit vierge, peut être…
- Avec un esprit vierge bien sûr… comment ressentirais-tu cette lecture lorsque tu auras dégagé les notions essentielles ?
Est-ce que cela te rendra perceptible au Père ?
Est-ce que cela te rendra admirative sur l’Enseignement qui est donné ?
Cela te dira-t-il en ton esprit : « Ils ont de la chance et j’aimerais avoir la même… » et de par là, susciter cette envie et cette course à la Connaissance …
Que seront, si tu étais « vierge d’Esprit », les idées qui se bousculeraient dans ta tête, à la suite de ce « livre » ou de ce chapitre…
Si ces idées sont positives et te poussent à la curiosité… continue !
Si ces idées te poussent à la dévotion… et à l’aveuglement… laisse tomber !
Mais tout est dans l’esprit que tu mettras, dans la substance que tu ressortiras de tout cet Enseignement… et de toutes ces phrases et toutes ces questions et de ces réponses… en sachant pertinemment que parfois, les réponses ne sont assujetties qu’à la question qui a été posée…
Que l’humour qui est développé en ces questions et ces réponses, surtout dans les réponses, n’est sensible qu’à celui qui la posait, cette question…
Donc, il faut peut être transformer un peu pour que celui à qui la réponse n’a pas été destinée puisse comprendre et « rire » aussi…
sache ne pas oublier l’humour, si un jour, tu écris pour publier pour la multitude…Ne sois jamais sérieuse !
(Nicole) Il faut que ce soit léger.
- Le suis-je « moi » sérieux ?
… rires…
(Georges) pas du tout !
- Toi par contre, tu ne l’es point assez !
(Georges) Ah bon ! Et je suis en train d’écrire… j’ai reçu des idées.
Mais là, cette fois ci, c’est bien parti car j’ai déjà fait une quinzaine de pages…
Est ce le bon départ ?
- C’est un départ, c’est le bon puisque c’est le tien…
Eh bien ! Tu feras juger le résultat par ton entourage puisque maintenant vous êtes un groupe… ils te donneront leurs idées…
(Georges) Très bien ça va être vite fait puisque je les ai là…
- Il te manque encore les 650 autres pages….
… rires…
(Georges) Ca ne sera pas aussi long que ça mais j’ai pas mal de chapitres qui vont s’intégrer… des chapitres que j’ai déjà écrit… donc…
- Tu veux que je te dise ?
Note : Dans tout ce passage, j’ai l’impression de Georges et Véga ne parlent pas exactement de la même chose… Georges parle simplement d’un écrit (livre) éventuel et Véga parle de la vie de Georges….
(Georges) Oui !
- Fais donc plusieurs petits livres…
(Nicole) Par thèmes …/…
- …/… comme tu le sens et comme tu le veux…
(Georges) Oui ! J’ai de la matière…
- Vois-tu le rictus que j’ai sur ce visage ?
Note : le visage de Guitou (le canal) forme un sourire bizarre assez amusant.
… rires…
(Hélène) Je l’ai fait remarquer à Nicole
- Je n’arrive point à recréer ce sourire qui est si naturel en vous
(Georges) C’est ironique, ça !
- Non, normalement, ça se veut tout amour…
Disons que c’est le sourire que j’aimerais souvent voir affiché du matin où vous êtes encore endormis jusqu’au soir où vous vous réveillez…
(Nicole) Etre dans la joie…
- Je sais que c’en est une pâle imitation.
… rires…
Cela vous met déjà de bonne humeur.
Je vais donc vous laisser sur ces dernières notes humoristiques et puis cette expression de joie…
Nous : Au revoir !