Entre nous, étude du message :
Puis Véga par Guy (le Chanel) demande de souligner certains mots du message… ce sera la base du travail quand il interviendra…
En attendant, Nicole a cherché à retrouver un passage du dernier enseignement (11.7.98) : ceci en vain.
Voici à posteriori le passage en question :
- vos douleurs (doux leurres) seront votre bonheur (bonne heure)
- votre bonheur (bonne heure) ne sera que votre bonheur
VEGA
- Ne cherche plus car je vais te donner la solution. j’ai horreur de tout ce qui finit en « heure » car je vous ai demandé « d’être en permanence ».
Il n’est point temps de fixer l’heure, puisqu’il n’y a point de temps dans la permanence… « Tout ce qui est » était et sera… seul le Présent compte !
Bannissez les heures, les minutes et les secondes… pour Etre enfin !
Il n’est point de calcul sur le moment, puisque au moment, il faut être…
Vous avez bien compris, enfin, la notion essentielle du « verbe » car, je vais vous enjoindre de reprendre votre texte… et de relire ce qui est surligné, en me laissant, bien sûr, sur le moment, l’agrément d’y faire quelques commentaires.
Vous avez bien étudié, tout ce qui vous a été donné !
Tout ce qui vous a été donné permettra (Père mettra) d’étudier !
L’action que vous émettez, en ressortant certains traits importants des textes qui vous ont été donnés, me permettra enfin quelques explications !
Je vous écoute, mon jeune ami ?
(Georges) « Etre humble », c’est s’effacer. C’est accepter de vivre par être interposé. Nous avons souligné …/…
- …/… stop ! relis donc, dans cette phrase, simplement que les verbes.
(Georges) Etre interposé !
- Ta phrase était beaucoup plus longue, mon jeune ami !
(Georges) Alors : Etre, c’est s’effacer, c’est accepter de vivre, être interposé.
-
Y a-t-il dans cette fioriture
[1] de verbes, la notion d’A/voir.
(Georges) Non !
- « Alors », comment peut-on « être »…
(encore un jeu de mots « A »-voir car « A » l’OR de l’Amour du non jugement…
Rappel « A » la première voyelle représente l’Origine… le Père Eternel… le Créateur… le Grand Architecte… voir (A-voir) l’OR de ce que le Père, la Vie, nous offre…)
(Nicole) Sans Avoir ?
(Georges) Eh bien ! Je suppose que c’est sous-entendu, que pour « être », il faut « avoir »… Etre humble « l’humilité »…
Etre humble : c’est s’effacer, c’est accepter de vivre en recevant !
- S’effacer ne veut pas dire « avoir ». S’effacer veut dire s’oublier !
Comment peut-on AVOIR en s’oubliant ?
Un message aujourd’hui tout fait de questions ! J’attends donc des réponses !
(Georges) Lorsqu’on s’efface, on laisse agir le Père !
- Très bien ! qui a ?
(Georges) On accepte…
- Qui a ?
(Georges) Le Père !
- Et toi, dans tout cela ?
(Georges) Et moi, je m’efface pour laisser agir le Père qui est en moi !
- Qui agit donc ?
(Georges) Le Père !
- Et qui va faire ?
(Georges) Toujours le Père !
- Et qui sait !
(Georges reste sans réponde)
- Et qui sait ?... continuons…
(Georges) Alors : ce n’est plus toi …/…
- Surligné !
(Georges) Attention !
- Vous avez fait un travail intéressant, alors ne nous centrons que sur cela !
(Georges) Donc : attention est souligné, ensuite c’est « tu as »
(Quand tu sentiras que tu as, tu ne demanderas plus car tu seras).
- Donc, il y a deux verbes importants : c’est le verbe être et le verbe avoir…
(Georges) Oui, ils y sont tous les deux !
- ils y sont tous les deux ! comment définirais-tu « Attention » ?
…. Silence général…
Avoir une certaine tension !
(Georges) oui ! « Avoir une certaine tension » !
- Cela est intéressant dans la phrase, non ?
Relis donc la phrase avec une certaine tension.
(Georges) Quand tu sentiras que tu as …/…
- …/… « tension » !
(Georges) A/tension !!! (Tendre son esprit vers LUI : le Père)
Ah ! D’accord… (Et l’accord du « A » sera…) (Nous ne réalisons pas les mots que nous prononçons)
(Georges) Tu ne demanderas plus car tu seras donc …/…
- …/… quand tu seras attentif, tu n’auras plus de questions à poser puisque tu auras… et quand, tu auras… tu sauras .../…
(Georges) …/… tu sauras …/…
- …/… et tu seras !
(Nicole) tu seras
- Et tu seras !
(Georges) Très bien… l’attention… est…
- …/… avec une certaine « aura »
(Georges) Ah !...
(Nicole) le rayonnement
- « Aura » ! ne vous êtes-vous jamais interpellés sur la définition de ce mot ?
Car celui qui « A » c’est celui qui rayonne… c’est celui dont on perçoit au premier coup d’œil qu’il « a », donc, qu’il « est » capable de donner… qu’il peut donc enfin partager… donner une part de ce qu’il « a », en forme de verbe… continue donc, mon jeune ami !
(Georges) « Pas de condition » souligné… pas de condition
- Effectivement, pour blague, on dit toujours « con » en forme de … ? ma jeune amie ?
(Nicole) silence… manque d’Attention, de présence
- Avec… posséder une bonne diction.
C’est une des conditions… (con/diction)… continue mon jeune ami…
(Georges) Alors… « Accepte ce que tu reçois, tu le donneras sans compter, en permanence… »
- Sans compter… cela n’est point mathématique, c’est sans rétention !
(Georges) Sans « conter », c’est sans raconter ?
- Là aussi est une autre façon de voir cette phrase… sans raconter de fadaises… sans conter… très bien de l’avoir saisi au vol !
C’était une de mes futures explications, mais tu m’as devancé, en cela nous nous entendons bien ! Enfin, nous pouvons avancer sans conter (compter) !
(Georges) Donc, en permanence et ensuite c’est très simple, nous rejoignons la simplicité là !
- En Permanence !
(Nicole) Dans la présence du Père
- Très bien !
(Nicole) Immanence[2] – Permanence[3]… sont de la même famille !
- C’est « immanent »
(Nicole) C’est « dans le Père »
- C’est très important ! j’ai commencé par cela je crois !
Vous êtes bien attentifs dans le « père/manence » de mon enseignement… qui n’est pas le mien d’ailleurs, mais toujours « être »…
Assez, je ne connais point. Continue, mon jeune ami…
(Georges) Alors : c’est très simple, donc c’est ce que nous venons d’expliquer…
Ensuite : puis l’éducation (spirituelle) arrive et il régresse.
- Il redevient comme un tout petit enfant. Il arrête enfin d’intellectualiser, il arrête enfin de remplir des pages… il redevient enfin humble !
Celui qui est en UN perçoit enfin de suite ce qui lui est expliqué.
Je vous aime lorsque vous dites « Bon Dieu ! Mais c’est bien sûr ! »
Le petit enfant dit de suite « Mais oui, c’est cela que je voulais dire… j’ai tout compris de suite »…mais vous, il vous faut du temps… il vous faut de la réflexion… il vous faut réfléchir… vous vous courbez encore pour dire « Bon Dieu, mais c’est bien sûr ! Je suis sûr que c’est le Bon Dieu ! ».
Continue donc…
(Georges) Les voies du ciel sont impénétrables pour qui veut les comprendre.
- Elles sont en effet impénétrables !
Lorsqu’on veut pénétrer : on pousse. Pénétration veut dire « viol ».
Par contre, quelle était la deuxième portion de ta phrase ?
(Georges) Les ténèbres ne les ont pas comprises.
- « Prises avec soi » : mouvement d’attirer… il n’y a plus « viol » donc par/don du Tribunal…
(Nicole) Le mouvement se fait soit en violant, soit en attirant.
- Eh oui ! il n’y a qu’un manichéisme dans votre com/préhension, forme de vie, matérialité… vous vivez sur « 3 notions » (lesquelles ? corps : plan physique (1) âme : plan émotionnel (2) et esprit : plan mental (3)) triptyque de préhension, et pourtant, il en existe sept.
La violence s’excepte, la violence s’ex-sept, est exceptée des trois premières que vous vivez et dont seules vous avez la pèr/ception (comment écrire ces mots entendus ? voici pourquoi l’écrit trahit la pensée… plusieurs niveaux de compréhension existent… Ah ! Ne pas prendre tout au pied de la lettre !)
(Je vais encore ajouter en parlant du mot « notion »… on peut comprendre « note » du I...ON : 3 notes –la gamme des 7 notes- do ré mi et on peut faire correspondre les 3 premiers chakras et les 3 premières couleurs…
I : ah ! Le « I » - 3ème voyelle… A représentant le Père.
E ou É : le fils et I : l’Esprit, petit i notre esprit… grand I : l’Esprit Divin.
Enfin ON : ce pronom indéfini qui représente ce que chacun peut faire en positif ou négatif selon l’esprit, ou l’Esprit que nous désirons mettre en action.)
L’Amour vous fera être perméable et non pas pénétré de ces autres notions.
Il faut prendre avec vous, notion essentielle de compréhension.
L’acte enfin se comprend… la femme seule perçoit l’acte… l’homme ne prendra sa divinité que lorsqu’il aura enfin rétabli l’équilibre entre le masculin et le féminin…N’avez-vous point entendu cela déjà ?
Voilà qui peut être une petite ampoule sur le boisseau qui éclaire votre compréhension sur ces phrases multimillénaires. C’est de l’intellectualisation, je vous l’accorde mais cela doit tendre à votre perfection par l’action !
Continue mon jeune ami…
(Georges) Le cœur a ses raisons… que la raison ignore !
- Ben oui ! j’ai dit jusqu’à présent que cela était de l’intellectualisation…du raisonnement. Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas car votre raisonnement, jamais, n’arrive à « préhender » la plénitude de l’Amour et la plénitude du Cœur ! laissez donc votre raison…
Laissez donc votre vibration simplement s’exprimer par l’Amour !
Vibration, raison, cloche, résonner… intellectualiser… « Aimer » cela suffit à tout ! Cela est une vibration extraordinaire, car elle approche enfin de l’UN !
Le battant qui, au milieu de la cloche, à lui tout seul, arrive à faire vibrer les milliers d’âmes. La cloche est une représentation dont la société philosophique et religieuse s’est emparée… et pourtant, tout un savoir faire pour apprendre à vous faire vibrer… vibrer !
Lorsque la cloche sonne la naissance ou la mort, qu’elle est un glas ou qu’elle est une joie, elle vous fera vibrer et ressentir une émotion hors mots, hors réflexion et pourtant, toute sensation : l’Essence de l’Action.
Une larme enfin, coule de votre œil et coule de votre cœur…
La sensation, hors réflexion, simplement en action ! Une ré/action, sans réflexion… je m’arrête là et pourtant il y aurait beaucoup à dire encore…
Mais continue donc !
(Georges) Alors… « Qu’attendez-vous ? »
- Oui ! Il faut « tendre vers ». Qu’attends-tu ? Vers quoi tends-tu ?
(Georges) Vers le Père !
- Ah ! tu tends vers le Père ?
Quand te mets-tu en mouvement ? Quel pas vas-tu faire ? Vers quoi vas-tu tendre ? Es-tu tendre ? Continue donc, mon jeune ami !
(Georges) « Fermez les yeux » « fermez les oreilles »
- Ferme et é ? est ?
(Nicole) Sois ferme en étant, c’est ça ?
- Deux choses : fermez …/…
(Georges) …/… pour être !
- Fermez tout ce que vous avez appris…. Fermez tout ce que vous avez tendance à être… pour ETRE seulement.
Fermez les yeux pour enfin « voir ».
Fermez les oreilles pour enfin « entendre »…
Fermez vos mains pour enfin donner…
Fermer est action de prendre… Tout cela sont des antinomies
[4] !
On vous apprend, du moins par le verbe, à faire l’inverse de tout ce que vous avez l’habitude de faire.
Vos actions, votre éducation vous ont appris des choses qu’il faut abandonner. Soyez comme un petit enfant, celui que la société n’a pas encore déformé, celui que les parents n’ont pas encore formé.
Ne fermez plus le poing mais ouvrez-le…n’essayez pas d’ouvrir les yeux pour juger mais fermez-les et ressentez !
De par la parole, n’entendez pas simplement le superficiel mais fermez vos oreilles pour enfin écouter, et tendre, entendre ce qui vous est dit.
Un geste d’amour, un mot d’amour, un geste d’amour, tout est sujet à jugement. Ne jugez point ! Vivez !
Etre… être… c’est être les yeux fermés, les oreilles fermées, les bras repliés sur votre cœur, pour enfin, un jour, ressembler au Christ !
Inversez toutes choses ! Être enfin, les bras ouverts, les yeux bien ouverts, les oreilles bien ouvertes… pour comprendre ce qu’est la Vérité…
Par le Père, Pour le Père, En le Père et que, Par, Pour et En le Père !
Pour l’instant, vous faites tout l’inverse. Donc, il faut inverser chaque chose pour ressembler au Christ ! Méditez, et je t’enjoins de continuer !
(Georges) Et justement : Prière et méditation… non attendez avant …/…
- …/… j’attends ! je tends à entendre…
(Georges) Pourquoi ne pas donner ce que vous avez ?
- Ah oui ! pourquoi ? je t’enjoins de donner ce que tu as ! la question …/…
(Georges) est : as-tu ? C’est ça la question !
- Non ! la question ! c’est pourquoi ne donnes-tu pas ce que tu as ?
C’est essentiel ! Tout simple !
On vous dit de vous simplifier : tu as et tu ne donnes pas !
Pourquoi ne donnes-tu pas ce que tu as ?
Car seule cette action te permettra d’obtenir !
Créer un vide dans la coupe afin de la remplir, c’est simplement vouloir dire :
Puisque tu as eu, qu’on t’a donné : donne autour de toi pour obtenir plus, afin de donner encore plus, et d’obtenir encore plus, pour donner encore plus !!
C’est une pompe amorcée… cette image ne vous rappelle-t-elle rien ?
La première question donc donnée, c’est : pourquoi donc n’amorces-tu pas cette pompe ? Pourquoi ne donnes-tu pas ce que tu as ?
Pour l’instant, vous êtes des égoïstes ! Vous avez obtenu et vous ne donnez pas ! Sans parler… sans juger… sans jauger… gratuitement !
C’est-à-dire : avec Amour !
Jugez-vous ! Jaugez-vous ! Afin d’établir l’équilibre entre le manichéïsme…
Mais puisque vous avez, je vous enjoins et, comme le Christ le dirait, je vous commande de donner. Continue donc après ces phrases si graves, mon jeune ami !
(Georges) Prière et méditation .
- Ah oui ! « Prière » est une chose qu’on oublie tout le temps !
« méditation » sauf coupé entre deux mots que l’on n’oublie pas : « médire en action ». Inversez donc encore toutes choses.
« Prière » : je vous enjoins ou encore je vous commande !
« Méditation » : c’est faire un vide !
Et pour faire un vide de la coupe, il faut la verser donc « donner » !
On en revient, seul, aux choses importantes que sont les verbes, le reste c’est du remplissage, de la théorie, de la théosophie !
Choses importantes sont les verbes car, seules les actions sont posées dans les verbes. Prier, donner, être, faire, avoir… qu’a-t-on surligné encore ?
(Georges) « Il agit »
- Ah ! je l’avais oublié celui-là ! Oui ?
(Georges) « Il sait »
- Ah ! celui-là aussi, je l’avais oublié !
A quel moment en étions-nous de notre conversation ?
(Nicole) Etre, faire, agir
(Georges) Voir
(Nicole) Savoir
- C’est/S’est: C’ apostrophe… S’ apostrophe
(À haute voix : C : est (sous entendu ce qui est) et S : est-ce (les questions, le doute) et apostrophe ou apostropher : appeler, interpeller quelqu’un ici, tout est résumé.)
C’est tout ce qui m’importe ! On continue…
(Georges) « Comment expliquer ? »
- Ah oui ! alors ça, je ne sais pas !
(Georges) « Comment expliquer le jour, la nuit, le soleil, l’Amour » ?
- Très très bien ! ah ça ! ce sont des choses qui me plaisent.
Le jour, la nuit, l’Amour, la haine, comment expliquer tout cela ?
Je dois avouer que je suis comme vous, un éternel apprenti.
Comment pourrais-je un jour, pénétrer cette conscience d’être qui me permettrait enfin d’expliquer… d’être celui que l’on écoute et don(t) on attend, dont on perçoit,toutes les notions essentielles dans les jeux de mots, les inverses et les contraires… dans les verbes, les apostrophes, les traits d’union…comment pourrais-je enfin, un jour expliquer ?
Continue donc, cela peut-il m’éclairer ?
(Georges) « Christ est venu, vous l’avez vu, vous l’avez entendu.
Il était comme vous ! »
- Eh oui ! « Il était » et je le refais vivre chaque jour afin « qu’Il soit » et « qu’Il sera » peut être (« être » peut faire) si un jour vous arrivez dans le présent à communier !
« Communier » : ça veut dire « être comme UN », « être comme LUI » « être comme UN » ou « comme un des mortels ».
(Nicole) Qui pourront tous « être »
- Très bien ! mais seul le présent m’intéresse, sais-tu ?
(Georges) Il faut être !
- Hum…
(Georges) « Etre maintenant ! Depuis 2000 ans, on réfléchit »
- Mummm ! depuis 2000 ans !
On est « maintenant » et maintenant, va-t-on enfin faire quelque chose qui pourra me permettre « d’avoir » et de « donner » pour enfin « prendre » et « être » avec…enfin, doux comme la soie, car j’aimerais que ce soit enfin mon « moi » comme soie pourrait l’être le sien, maintenant et non pas dans 2000 ans. « On est » en un juste équilibre.
Mais j’ai fait encore beaucoup de vers à soi(e). (Vers exprime ici le mouvement la direction) comprendre : vers le Père (A) qui est en soi). Ensuite ?
(Georges) « Cette réflexion intellectuelle » …
- (Cette) Sept ! N’en avons-nous pas fait qu’UNE SEULE ?
(Georges) Ah !
(Nicole) C’est le nombre « sept » là !
(Georges) Intellectuel : UN
(Rappel de la symbolique des 3 premières voyelles :
A : Le Père E ou avec accents É È Ê … le Fils et I : l’Esprit Saint…)
I : la Conscience du UN ! De l’Unité entre les 3 et entre tous)
Mais seul notre « intellect », notre capacité de com/préhension peut, par le « I » l’Esprit Saint, en faisant appel à cet Esprit supérieur, nous aider à Pèr/mettre…
Je vais être « vulgaire » : il faut mettre le Père « à toutes les sauces » dans les multiples aléas de nos vies personnelles… c’est le BUT (enfin le commencement).
Abandonner toutes luttes, toutes volontés de convaincre par nos choix et sans penser que le chemin des autres, de tous ceux qui nous interpellent, que nous « aimons », peut être modifié par nous. Qu’en savons-nous ? Avons-nous la vision de ce qu’il leur faut ?? Rappelez-vous : l’Enfer est pavé de bonnes intentions !
Comprenons que seul l’Amour plein, aveugle, sourd… cet Amour que nous, « personnellement », ne sommes pas capable d’émettre…
Mais s’effacer, ne pas juger, faire taire notre « éducation » : ceci est bien, ceci est mal et moi je sais ce qui leur faut car Je connais leurs destinées… soyons humbles car, je l’affirme, nous-même ne savons pas où les circonstances de nos vies nous mènent… et que faire pour soulager nos peurs, nos peines etc.…
Faire Confiance à cette petite voix due à l’Esprit Saint (le I des symboles) qui nous guide et nous aide à la Compréhension du Père qui, Lui, est l’Amour véritable et qui seul, nous soulagera.
L’acte : c’est aussi la Confiance en LUI. IL sait et IL nous aime tous car nous sommes ses enfants. IL nous laisse jouer avec nos vies pour apprendre et choisir entre notre petit jeu intellectuel et LUI.
Au bout des déboires, des illusions et des désillusions, nous finissons par « jeter l’éponge du combat » et on finit par abandonner la lutte. L’orgueil s’éteint et on se met à prier.A LE Prier !
Et nous appréhendons le E É È Ê… celui qui E(st) : « le Fils » puisque nous « LE » Re/connaissons comme notre Père à tous…
Alors viennent la Paix de notre esprit et de notre cœur !
Pas par égoïsme « je me fous des autres »… par la compréhension et la compassion…
Désirer que tous trouvent leur chemin vers LUI.
-« UN tel » quoi ? Actuel ?
(Georges) « C’est votre frein »
- C’est votre douleur
(Georges) Et c’est votre faire « un » aussi, peut-être non ?
- Hum… tel est votre chemin !
(Georges) Cette (sept) réflexion aussi… pourquoi « sept » ?
- Sept ! car vous êtes multiples et guidés par ce chiffre (7 vibrations en chaque humain du corps physique à l’esprit en passant par les 7 chakras jusqu’au sommet des énergies : le UN les unifiant toutes vers le Père)
Songez que vous ne percevez encore que peu de ce sept.
Mais sept, vous permettra d’être… c’est l’Etre enfin. N’essayez pas d’intellectualiser jusqu’au bout, comme l’ont fait certains de vos ancêtres, tels les Egyptiens. La maîtrise du savoir ne peut pas vous permettre d’être.
(Ici, une mise en garde de la manipulation de ces 7 énergies par des exercices spécifiques uniquement guidés par la technicité de notre savoir, et beaucoup de livres donnent des recettes… c’est possible mais dangereux pour notre équilibre.)
Savoir, avoir, ne « permet » pas d’être.
Seule l’action de don/ner LE Père met (le permet)
(Alors, je continue : le « DON NÉ »
Quand « l’enfant » humain reconnaît SON Père, il est né. Il redevient le Fils (comme le Christ venu ici montrer l’exemple d’un fils du Père). Le Fils est né et Il met le Père en Action, « à toutes les sauces » dans toutes les circonstances, à chaque instant… car l’enfant L’accepte comme le Guide de sa Vie.)
Inversez toutes choses, donnez seulement, n’intellectualisez pas… car le verbe « être » est le milieu, mais aussi la potentialité de Tout ce don (que) vous devez tendre… Tout ce que « vers vous devez tendre ».
J’ai réfléchi pour employer les bons verbes au bon moment.
Il faut que vous inversiez ! Encore « l’UN » qui revient !
(Nicole) UN verse
(Georges) Le Père : on le verse
- Et en plusieurs « Vers c’est » ! vous devez trouver la solution !
Le verbe seulement… le verbe seulement ! Tout le reste n’est que remplissage. Tout le reste n’est que « rempli que de sages » qui verbiagent afin de vous perdre…
(Nicole) Et « âge » : c’est le temps qui passe pour rien…
- Agé…. Le verbe « être » est déjà au passé, car l’âge vous renvoie vers votre jeunesse que vous fixez irrémédiablement derrière, alors que votre jeunesse est immanquablement devant.
Vous avez une notion de fluctuation que vous n’avez point saisie.
La relativité ! Repensez à un de vos mathématiciens génial, qui a trouvé la relativité ! Relativité ! Il avait défini enfin une chose essentielle, ni dans le passé, ni dans le futur, mais relativement dans « le présent ».
Eh bien ! Je vous le dis, Dieu n’est pas relatif, mais Présent, tout court !
(Nicole) IL est en ! C’est tout !
(Georges) IL est près
- EN fin !
(Georges) Tout près
- IL n’est pas tout près… « IL EST »
(Georges) IL est en… IL est en nous.
- En toi mon jeune ami… encore ? (en corps)
(Georges) Regardez ! re/gardez-vous !
- Mummm ! regardez-moi !
c’est une bonne action car cela veut dire : regarde-toi !
Tu m’as regardé… donc, tu t’es vu.
(Nicole) Voir le Père partout, c’est cela ? LE voir chez l’autre, en l’autre !
- Te voir toi partout ! seule façon d’appréhender le Père…
Sais-tu qui est le Père ? Sais-tu à quoi IL ressemble ? Perçois-tu enfin tout son Amour ? Ne dis pas oui ! Tu me fâcherais !
Par contre, toi, j’espère que tu te connais un peu !
Que tu sais quelle est ton odeur, ta couleur, et ton humeur « HU MEUR »… si tu perçois bien cela en toi, et que tu le perçois enfin chez ton voisin « la petite insignifiance que je suis »… enfin, percevras-tu peut-être un jour ce qu’est l’Amour du Père puisque tu arriveras à un moment donné, présent, à m’aimer autant que tu t’aimes !
Eh bien ! Ce jour là, l’Amour Universel sera né ! Et non pas suranné
[5].
(À Georges) Encore ! J’aime lorsque tu lis et tu parles !
(Georges) Fermez les yeux et vous verrez (aussi vous irez vers… est)
Avez-vous le Don du Don de Dieu ?
- Avez-vous enfin compris qu’il faut donner ce qui vous a été donné ?
Avez-vous enfin compris qu’il faut prendre ce qui vous est donné ?
Avez-vous enfin compris qu’il faut donner ce que vous avez pris ?
Avez-vous compris qu’il y a interactivité entre toutes ces actions ?
Que toutes ces actions tendent à une seule Unité : celle du don car Don est une forme d’Etre…
C’est un verbe autant qu’un adjectif dans une pluralité de langues.
(Nicole) Je n’ai pas suivi… pardon… pardon…
- eh bien ! déjà, si tu le fais par DON, c’est bien ! mais comme cela a été enregistré, il te sera beaucoup donné…
(Georges poursuit la lecture) « On ne te donne rien, on te prête »
- mummm…. Et oui ! simplement pour ouvrir cette notion : qu’il te sera tout retiré si tu n’as point donné.
« Prêter » veut dire que rien n’est à toi d’une façon éternelle !
IL t’est prêté… que vas-tu en faire ?
On donne des « talents » à trois de Ses serviteurs et je ne vous ferez pas l’affront de vous ré/expliquer ce que le Christ a donné en parabole !
« Don » c’est un prêt. C’est un prêt qui est un Don et Don c’est un prêt !
C’est une boucle ! On te prête : c'est-à-dire : on te donne !
Mais dans le mot « prêt », cela veut dire que ça ne t’appartient pas.
Ça veut dire que tu dois le redonner… et que, si tu ne fais pas cette action essentielle et incontournable, IL te sera repris… et tu seras jeté à la Géhenne puisque annihilé, annulé.
(Nicole) Ramené à zéro… on te reprend… Il ne reste rien !
(Georges continue) « C’est un prêt sans intérêt »
- Mais par contre, tu as intérêt …/…
(Nicole) …/… à donner
- Mumm ! verbe ! verbe !
(Nicole) Il y a « est » (é)… dedans intérêt… « être »
- Il y a un intéressement à être… il y a une interactivité à être… il y a UN sur la Terre à être…
(Georges) Ah oui !
- Il y a « UN TERRE EST À RESSUSCITER » (UN est sur la terre pour faire renaître l’Amour)
L’inverse « d’EN TERRÉ » (d’enterrer)
Je vous laisse enfin faire tous les jeux de mots que vous pouvez, enfin, faire surgir à la suite de ceux que j’ai suscités en vous et sur lesquels vous avez frappé dans vos deux mains mentales, en disant « Bon Dieu, mais c’est bien sûr ! »(À Georges) mais encore ?
(Georges) Tu t’effaces !
- mumm ! que j’aime jouer avec les mots ! c’est jouissif, ne trouvez-vous pas ?
(Georges) Oui !
- Oui ! sur ta face ! que vas-tu être ? aux yeux de tous ! car sur ta face, tout est inscrit, surtout à mes yeux… « Tu es face au Père » ! « Ta face est le Père » ! parce que c’est toujours en retournant les choses que vous m’intéressez le plus, ne l’oubliez pas ! ne condamnons pas toujours, inversons et nous trouvons la Vérité… mais vous l’oubliez souvent ça, d’inverser les choses… heureusement que j’arrive de temps en temps avec ma grosse cavalerie et ma grosse voix. Et vous écrivez ! et vous oubliez ! et je reviens pour être face à vous ! mais encore ?....
(Georges) « Ce n’est pas facile… c’est simple »
- mummm ! que j’aime l’antinomie de ces deux mots… encore une face
(Nicole) A « IL »
- à « IL », alors qu’il faudrait « être je »
(Nicole) et oui ! Il est extérieur.
- et ? est ? facile ! et quoi déjà ?
(Georges) c’est simple
- mummm ! une chose m’a bien plu, c’est d’entendre le mot « UN ».
(Georges) S’Un/ple
- et oui car, quand on est UN, on est sain (pur)
(Georges) Oh la la ! oui !
- Et quand on est sain… on est humble, UN/ble, Sain/ple
(Georges) Simplet… Sain/plait
- Simplet : c’est toi mon jeune ami !
… rires…
Mais dans ce mot il y a une chose essentielle et intéressante, car le simplet ne se prend pas la tête et n’intellectualise pas.
Il est comme le petit enfant que je prends sur mon cœur, que j’affectionne… vous êtes le simplet que j’affectionne… vous êtes le
(Nicole) Pas de pluriel ?
- Ca passe toujours inaperçu… et je l’ai dit bien souvent
(Nicole) C'est-à-dire que le pluriel se réduit à UN
- Bien sûr ! vous êtes tous en mon cœur, sur votre face, l’expression de l’Unité du Père.
Facette, Face… ça, c’est l’humilité, entre parenthèses…
Que pourrions-nous trouver encore comme jeux de mots sur « face » ? Mais non, ne me le dites pas ! Nous ne sommes pas là pour jouer… continuons !
(Georges) C’est évident !
- Ah !
(Nicole) « Vider »
- Oui ! mais en Toi !
(Georges) c’est ça faire le vide en soi : E/vide/en, et vide en soi pour faire.
- Bon Dieu ! mais c’est bien sûr !
Bon Dieu ! Mais c’est bien sûr ! C’est évident… et tu vis en cette Foi !
(Nicole) En vidant ! Tu vis en !
- Et tu as envie d’en mordre… d’en vivre… d’en comprendre la substance…
En fin, tu vis dans le Père ! ES : vie dans l’UN ! ES : vie dans LUI ! ES : vie dans TOI ! ES : vie dans NOUS ! ES : vie dans TOUT !
Et vis dans (é/vi/dent) : coi !
(Nicole) Il n’y a plus à mettre les autres mots après.
(Georges) D’en, dans…
(Nicole) Ca suffit.
- Sois mort dans… pas mordre mais mort dans.
(Nicole) Mort !
- Pour vivre enfin… car seul vivra celui qui, et je ne vous ferai pas l’affront de continuer : il faut tuer le vieil homme…etc. et si l’on continuait !
J’ai tant soif ! J’ai une soif de t’entendre parler…
(Georges) « Transformez vos obligations en volontariat »
- mummm ! il n’y a point d’obligation…
On t’a demandé la gentillesse et le bon vouloir de bien, enfin, te mettre en mouvement, de comprendre, de te …
(Georges) …/… bénévolat ! béné/bien
- Bénévolat ! c’est bien : vouloir, gentiment, sans attendre en retour, te mettre enfin dans la position du don car, le bénévole donne sans attendre en retour. Comme le Père qui est le Premier Bénévole de notre Univers.
Combien de leçons, les êtres humains ont à prendre de cette notion de bénévolat du Père ?
Celui qui donne et qui aime sans attendre en retour.
Sans attendre de substance, ni de matière, ni d’argent…
Celui qui sera, enfin, capable de se mettre en mouvement simplement en pleurant par un sentiment pur et sincère sur la souffrance et le malheur des autres… celui qui donnera enfin une caresse, une tendresse à celui qui le regarde, plein d’amour car content de sa présence enfin, Présence, Présence… (Changement de cassette)
…/… faire de Ta déité une notion essentielle d’Amour… faites-vous souvent des caresses sur la joue ou sur l’arrière de la tête en vous disant « Tu vois, je te sens heureux et je partage ton bonheur ; je te sens triste et je prends ta peine. Tu aimes et je te donne. Tu souffres et je prends ».
Cela veut dire : je partage !
Je partage : je prends une part de l’action que tu as en toi : « souffrance » je t’allège comme le Christ l’a fait ! « Aimant » je te donne, parce que plus légère sera la croix que tu portes, en amour !
Concevez bien que tout est inversé dans l’Enseignement.
o une peine : je la prends pour l’alléger
o un amour, j’en rajoute car ce sera encore plus léger !
Tout ce que vous avez l’habitude de faire n’est pas dans la Voie ni dans le sens qui est bon !
Continue donc avant que je galèje un peu plus loin et que je ne fasse intellectualiser un peu plus ce qu’est l’Enseignement…
(Georges) Ce qu’il faut faire : faites le (fête le)
- mum… Eh ben ! ce qu’il faut faire : fête donc…le champagne
Ce qu’il faut faire, il faut « Fêter » il faut être heureux de le faire…
Ce qu’IL FAUT FAIRE… Faites vous une fête d’enfin le concrétiser par l’action car, tant que vous n’aurez pas « fêté » votre action… l’action ne sera pas en mouvement. Ce sera donc par définition un immobilisme : non être.
(Georges) Joie ! Joue à…
- mum… Jouons donc tous ces jeux de mots qui me font donc tant plaisir puisqu’ils vont enfin vous permettre de percevoir cette vérité…
Puisqu’ils vont enfin vous permettre de percevoir cette vérité intrinsèque
[6]… cachée derrière les mots.
Qu’il est donc compliqué, cette façon de voir intellectuellement alors qu’il est si simple d’aimer enfin, en nous, un Père qui est tout autour de nous…
Vous le sentez vibrer et respirer tout autour…
Tu partages la même chose en cet instant présent entre vos trois personnes.
IL est là… IL s’enfle et IL vibre à travers les mots et les phrases que je prononce. Vous êtes UN seul et même cœur, car, en ce moment même, vos cœurs battent à l’Unisson !
C'est-à-dire qu’ils ne produisent qu’un seul son, un seul la (la : note et là : la présence). Si enfin le la m’était contée…
Ne comptez pas… vibrer cela suffit à tout !
Car la vibration est la seule notion d’Amour connue par le Père !
Cette vibration vous permettra d’être re/connus par le Père… Nu dans un re/corps… nu encore dans votre corps…
Vibrez simplement par l’Amour, sans efficacité, sans déguiser, sans vous camoufler, sans vous transformer ! En étant coi ! Tout simplement…
Il faut que le Père sache connaître et reconnaître et naître en vous !
La seule clé, est celle que je viens de citer… oui ?
(Georges) « Lucidité »
- As-tu lu ?
(Georges) Lu… cidité…
- Si tu es !
(Georges) Lu ci di té
(Nicole) Pour lire, il faut la lumière
- Lucifer ! Lucidité ! effectivement, tu as perçu la chose essentielle qui est « lumière » car tu as mis « en lumière » ce qui était caché sous le boisseau depuis quelques siècles enfin ! en fin est mis « en Lumière », l’Enseignement essentiel. Lucidité et Permanence : deux mots que je veux vous voir, en aucun cas, oublier… et puis ?
(Georges) Les mauvaises ondes n’existent pas !
- Ah non ! sans commentaires !
(Georges) J’enseigne d’enseigner – pour enseigner IL a saigné !
- Vous avez, bien avant que la cassette soit mise en mouvement, répondu à cela… vous avez eu l’air de plaisanter et pourtant vous avez énoncé les Vérités…
Dans tous les jeux de mots, dans tous les sens, avec les apostrophes et sans apostrophe, Tout est vrai ! Tout est vrai !
Rejouez donc aux jeux de mots, et complétez donc cette cassette avant que vous ne puissiez enfin vous permettre de l’oublier parce que demain…. (ou deux mains)
(Georges) Est un autre jour
- Oui ! et deux n’est pas l’UN… et à deux mains, on n’a qu’un cœur !
(Nicole) Oui, en les joignant !
- en les joignant, on peut enfin battre et partager, et donner, et vibrer… communier. Donner ! sang partagé et uniquement donné…
(Nicole) Le contenu de la Coupe
- Très bien ! très bien ! vous avez perçu que cette coupe ressemblait à votre cœur, qu’il était équivalent au St Graal, qu’il était équivalent à cette recherche qui depuis des siècles fait courir bien des milliers de gens.
Qu’il suffit simplement de vider et que, pour vider, vous revenez au début de cette cassette pour obtenir la formule.
Et qu’étant vie, le Père se permet (le Père se met lui-même) et se fait un devoir, de remplir à ras bord.
Tellement à ras bord que cela débordera par définition et que tout ce qui débordera vous n’aurez qu’un devoir : c’est de le laisser couler et de donner !
Laisser couler pour ne pas retenir, pour ne pas tenir… mais donner !
Donner le surplus qui ne vous retirera rien, puisque votre coupe sera pleine et vôtre mais tout le débordement, n’ayez crainte, ne vous manquera pas !
La Source est éternelle… elle débordera éternellement !
Éternellement, vous pourrez donner sans compter.
N’ayez crainte qu’IL vous soit retiré puisqu’IL vous est donné à profusion.
Donnez que ce qu’il ne vous a pas suffi !
Votre coupe, une fois pleine, que vous suffit-il d’arrêter le robinet ?
Que vous suffit-il d’arrêter le courant ?
Puisqu’il court, mettez vous dessous !
Prenez : goûtez, jouissez, vivez ! Donnez pour goûter vivre et jouir… car si vous retenez, je vous le dis, une seule chose ne pourra que vous arriver : à ce que cette coupe soit en fin vide, car elle ira couler à côté, et que la mort seule vous sera donnée.
Cette source est Vie. Si elle ne coule pas en vous, il n’y a pas de Vie…
Mort éternelle, mort irrémédiable, mort incalculable… incalculable est la vie puisqu’elle ne vous est pas comptée…. Il est quand même bien plus simple d’arrêter de souffrir, d’arrêter la souffrance des autres car le débordement ira remettre un peu d’harmonie dans tout ce désordre.
Le désordre de votre tête et de votre cœur sera enfin uni dans vos mains réunies en coupe « Qui » versera dans ces mains réunies en coupe, autour de vous, symbolisées par le cœur… et pourquoi par le cœur ?
Parce que simplement l’Amour est la seule chose qui vous permet de ressentir cette unité, cette vibration !
L’Amour est la seule chose qui est universellement ressentie un jour ou l’autre par chacun d’entre vous et qu’il suffit enfin de faire perdurer… de faire durer dans le Père ! Cette chose unique qu’IL vous a donnée à tous, cette joie et cette chance de percevoir ce qu’était le Père !
Il n’y a pas un seul d’entre vous qui soit passé au-delà des quinze premières années de votre vie au travers de cette sensation là !
Cette unicité, cette êtreté de la vibration qu’est l’Amour donné par le Père… par le partage et le regard de celui qui était en face de vous.
Il est inconcevable qu’avant la quinzième de vos années terrestres, vous n’ayez point ressenti cette sensation car elle est inscrite dans le contrat qui vous lie avec le Père ! Vous avez ressenti !
Je vous en supplie : n’oubliez point !
(Nicole) Et on a oublié…
- Mais encore ? (mais/mets en corps) on peut toujours trouver ce que l’on a en soi…
Il n’y a pas de service des « objets trouvés », entendons par là : des « objets perdus ». Vous n’avez point perdu ! Vous avez ! Mais encore ?
(Georges) « Tu es chez elle. Tu n’es point chez toi. »
(Nicole) Ah ! Ça ! On n’a pas compris : Elle…
(Georges) Ce que ça voulait dire
- mum… que votre imagination est …/…
(Nicole) …/…faible
- est faible effectivement !
Il faut avoir des « ailes » mes jeunes amis, pour enfin s’arracher à cette terre à terre, idée du « soi », de cet égoïsme qui ne vous fait percevoir que votre propre image, votre propre sentiment, votre propre êtreté, votre propre égoïsme, votre propre notion d’être… alors que vous oubliez tout le reste.
La moindre petite douleur ressentie à votre tête, à votre pied ou à votre dent vous fait oublier les tortures qui sont endurées par des multitudes !
Votre égoïsme est incommensurable alors que l’Amour devrait être universellement ressenti en vous. Vous devriez vous astreindre à vous oublier. Et pour cela, seules les ailes de votre âme vous permettront enfin de surélever « un petit » qui peut au dessus de cette notion d’égoïsme…Chez « elle »…
Il faut être ailleurs qu’en vous-même, il vaut mieux être chez elle, il vaut mieux être chez l’autre. Un autre jeu de mots intéressant est encore sous-entendu, mais je ne vous donnerai point la clé aujourd’hui… et toc !
(Nicole) on trouvera !
- je compte sur votre sagacité…. Mais encore ?
(Nicole) Il n’y en a plus !
- Non ! moi, j’avais quelque chose à demander.
Je tiens mes mains en forme de coupe depuis tout à l’heure, et personne n’est venu y verser quoique ce soit.
Tout le monde attend que je donne et personne, à moi, ne vient me donner. Pourtant, depuis tout à l’heure, je ne parle que de notion de partage…
Partage veut dire : je veux bien vous donner à condition que l’on partage… qui va donc me donner quelque chose ? (Silence de Nicole et Georges)…
Non ! Pas un mot ! bien sûr !
Ça y est, ils commencent déjà à intellectualiser… mon Dieu ! Qu’ils me fatiguent ! Faites donc, simplement un geste ! Ça suffira…
(Nicole se lève, les mains en coupe et « verse » dans les mains en coupe de Véga)
(Georges se lève aussi)
Je verse, comme elle un peu de ma coupe dans votre coupe…
Tu es très bon avec moi…
Eh bien ! Je vais faire comme le Christ : je vais donc vous offrir cela et enfin la boire… (Véga élève ses mains en coupe, offre et porte à sa bouche. Nous nous étions rassis à nos places).
Que de « bonnes humeurs » m’avez-vous données !
Mummm ! Et je vous remercie et je vous rends au centuple ce que vous avez pu me donner pour moi. J’aimerais que cette vibration qui vous est donnée de par le Père en moi, soit enfin partagée…
Que chaque personne à qui vous donnerez la main demain, ne soit pas, bêtement « un bonjour comment vas-tu ? » mais secrètement bien sûr, je te redonne cette force, cet Amour, cette vibration, cette unité que le Père m’a donnée déjà, il y a quelques millénaires et qui, hier soir, m’a fait re/vibrer un peu à travers cet innocent qui est venu nous parler…
Allez en Paix ! Avec moi !
(Pendant ces derniers mots, Véga avait ouvert ses bras et tendu ses mains ouvertes et nous avons Georges et Nicole, mis notre main droite, chacun dans une de ses mains.
Quelle sensation étrange… et quelle émotion !) Un court instant après …
L’ANCIEN
Ah ! Là… vous me tuez (tu es)… Alors là, vous me tuez !
Pourquoi donc être tant émus sur une chose aussi ordinaire ?
Tous les jours vous devriez y penser… tous les jours !
Alors là… la… vous me tuez !
Autant de Vie en un seul instant alors que tous les jours vous pourriez le distribuer ! Alors là… alors là… alors là… vous me tuez !
C’était une des seules choses qui me fait « Vie rire » d’ailleurs : que vous me tuiez aussi souvent, en un aussi grand nombre de fois, en une seule journée et « être conscient journellement » et « off » « off »…. et votre conscience est journellement renouvelée.
C’est votre renaissance qui me tue autant (au temps) eh bien !
J’espère qu’enfin cette vibration qui est en votre main vous la partagerez !
Non point, innocemment, comme je l’ai fait, pendant des millénaires mais depuis hier d’une façon confiante. Et oui, depuis hier !
Et vous, demain (deux mains) … juste milieu en l’instant présent... Présent !
C’est ce que répond l’élève au maître : « Présent » à l’appel de son nom !
Je vous appelle maintenant tous les jours… au lever et au coucher… répondrez-vous « présent » ?
(Georges) présent !
Tu as donné la réponse avant que je pose la question et toi seul a répondu d’une façon claire et expressive. Et les autres, tout seuls ont dit « oui, oui, je suis d’accord ! » - hé, hé, hé ! Au lever comme au coucher (24 h/24h) –
Et sachez bien que si vous m’oubliez, je me rappellerai à vous !
Ne riez pas ! Je me rappellerai à vous !
Et sachez qu’il n’y a pas plus têtu qu’un vieillard surtout qu’il ne se souvient pas de ce qu’il a promis mais se souvient très bien de sa jeunesse. Toujours !
Ça, on ne peut pas lui enlever ! Non, non, non !
La veille et le lendemain n’existent pas ! Mais sa jeunesse est éternelle !
Alors, sachez que je n’oublierai pas… je n’oublierai pas ! Je n’oublierai pas ! (Quoi ? sa jeunesse…)
(Nicole) Et j’espère, nous non plus !
Note : dans cette intervention, il joue avec son nom : l’Ancien.
En étant présent nous tuons l’ancien, le passé en nous.
Il nous met en garde sur la difficulté à tuer le vieil homme en nous que j’appellerai le « moi » profond ! Ce vieil homme est têtu… mais cependant il contient sa jeunesse, c'est-à-dire son origine divine et malgré les empreintes du passé, cette origine divine ne peut disparaître…
En tuant l’ancien : « le vieil homme », chacun retrouve sa Source, c’est la re/naissance…
Le 11.8.98 – VEGA et l’ANCIEN
(Message reçu par Georges par intuition)
Etre humble c’est s’effacer.
C’est : accepter de vivre par être interposé
Ce n’est plus toi, ce n’est jamais toi
Chaque acte ne t’appartient plus
Demande et agis au Nom du Père.
Attention ! Recommence encore et efface-toi !
Le Christ ne demandait pas car IL avait !
Quand tu sentiras que tu as, tu ne demanderas plus car tu seras.
Quand tu auras : tu seras :
C’est un retrait, un effacement, une révérence
Baisse la tête, ouvre les bras et prie :
Demande : pas de flagellation – pas de pénitence – pas de conditions.
Accepte ce que tu reçois :
Tu le donneras sans compter en permanence.
Plus de mots magique – plus de gestes – plus de formules : c’est très simple !
Vous êtes trop intelligents, reconnaissez-le !
L’enfant n’a pas de soucis, pas de gêne, pas de honte, « il est »,
Puis l’éducation arrive et il régresse.
L’échelle sociale est l’inverse de l’ascension spirituelle.
On travaille pour s’élever – on s’efface pour « être ».
Aucun conseil car les voies du Ciel sont impénétrables pour qui veut les comprendre.
Les ténèbres ne les ont pas comprises.
Le cœur a ses raisons que la raison ignore.
Tu auras froid quand il fera chaud.
Les signes sont là qui vous parlent ! Qu’attendez-vous ? Tout est là !
Fermez les yeux et vous verrez enfin !
Fermez les oreilles et vous entendrez enfin !
Fermez votre bouche et agissez enfin !
Vous ne pouvez pas donner ce que vous n’avez pas !
Mais pourquoi ne pas donner ce que vous avez ?
Car vous avez ! Mais vous ne savez pas LE « donner »
Prières et méditation sont liées.
Le Sage ne parle pas, il n’explique pas, il agit car il sait !
Com/prenez bien ! Il n’y a pas de formule !
Vos explications ne servent qu’à vous-même !
Comment expliquer le jour, la nuit, le soleil, l’Amour ?
Christ est venu. Vous l’avez vu, vous l’avez entendu.
Il était comme vous et depuis 2000 ans vous réfléchissez.
Cette réflexion intellectuelle : c’est votre frein ! Ouvrez-vous !
L’ANCIEN :
« Voir » - Regarder : Re/gardez/vous de vos réflexions.
Vous ne voyez rien ?
Fermez les yeux et vous verrez !
VEGA (reprend)
Avez-vous le Don du Don de Dieu ?
Tu ne dois rien prendre : tu reçois !
On ne te donne rien… on te prête ! Confiance ! Patience !
C’est un prêt sans intérêt !
Tu t’effaces et tu donnes ce que tu reçois
Tu rends ce qu’on t’a prêté : c’est la Sagesse, la Confiance, la Paix.
Le cœur, c’est le canal du Ciel.
Ce n’est pas facile, c’est simple !
C’est évident : laisser faire – suivre…
…Le chemin est tracé depuis toujours, il suffit de le prendre.
C’est un chemin de « faire ».
Amour de Soi = Amour du Père qui est en soi.
Laisser agir le Père qui est en soi en toute simplicité.
Transformez vos obligations en volontariat (en bénévolat) !
Ce qu’il faut faire : Fête le : JOIE !
L’Amour est dans Tout, Tout est dans l’Amour.
Réveille-toi : Lucidité !
Notre histoire est quelque chose de simple.
Les mauvaises ondes n’existent pas.
« Etre » ou « ne pas être » n’est pas une question : soyez tout le Temps.
Enseignement… j’enseigne d’en/saigner.
Pour enseigner : IL a saigné.
« Tu es » chez elle – « Tu n’es point » chez toi
[1] Ornement ajouté à la composition écrite (ici) pour varier la mélodie – ornement.
[2] Inhérent à la nature même (de quelqu’un, de quelque chose) du Père.
[4] Contradiction entre deux concepts.
[6] Qui appartient en propre en chacun – chaque UN.