ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
(Participer)
Sont présents : Claudine, John, Georges, Nicole
 
Je suis « tenté » de vous dire : Bonsoir !
Ma deuxième question serait : « Y a-t-il âme qui vive ? »
 
(Georges) Ah ! C’est joli ça : y a-t-il âme qui vive ?
 
(Claudine) C’est une question ?
-          C’est une question « Y a-t-il âme qui vive ? »
 
(Claudine) Oui !
(Georges) J’espère que oui !
-          Je sens qu’il n’y a pas unanimité[1] dans votre réponse et que cela vous a suscité bien plus de questions que de réponse unanime et spontanée.
Alors que j’aimerais que vous soyez spontanées et bien sûr[2] dans votre spontanéité unanimes !
 
(Nicole) Alors en cœur, disons « oui »
-          La réponse n’est plus de fait (fête) ma jeune amie… parce qu’il n’y a plus spontanéité.
Il faut que vous preniez « vôtre »[3]
Que vous intériorisiez bien des choses et que, d’une façon spontanée, vous puissiez réagir aux questions qui vous sont posées…
Aux multiples questions de la Vie, d’Etat ou d’Etre…Il faut que vous « soyez ».
 
C’est la seule façon d’être spontané alors que vous cherchez pour l’instant la spontanéité, vous n’avez point posé la question d’êtreté…
Cela est simple, bien sûr, mais cela demande un certain petit travail que vous ne faites que juste avant les messages !
 
Très bien vos réflexions ! Admiratif je suis de vos pensées…
Alors que c’est dès le lendemain de ces écrits ou de cette diffusion que j’aimerais une certaine réflexion afin qu’enfin, la spontanéité à mes questions, arrivés à une certaine soirée, à ce certain rendez-vous… puisse être.
Cela inverse le travail !
 
Vous mettez le travail, toujours comme les élèves, au tout dernier moment parce qu’on a toujours le temps ! Vous n’avez plus le temps…
Si les élèves se rendaient compte que les maîtres leur enseignent un savoir perpétuel, ils s’ingénieraient enfin à percevoir de suite ce qu’il fallait comprendre : prendre avec soi.
On n’attendrait pas le dernier jour de l’interrogation mais le lendemain de la leçon afin de bien mémoriser et d’être enfin un cran au dessus de la connaissance…
(À John) Eh oui ! Mon jeune ami, « l’école », même à ton niveau, n’est qu’une marche pour la Connaissance… ce qui te fera obtenir ta propre liberté.
Ne te sens pas emprisonné par tes maîtres…
Sens toi libre enfin des entraves de l’ignorance, de ce que l’on t’apporte enfin !
 
Chaque marche que tu graviras te permettra de penser par toi-même… te rendra enfin l’égal de tes ancêtres qui sont autour de toi et de ceux qui sont avant et morts depuis sept générations… apprends ! Apprends[4] !
Et vous qui m’écoutez, les vieux, apprenez aussi de lui qui, peut être, par les questions qui vous paraîtront puériles, vous amènent enfin à reposer les questions du commencement.
 
De ce pourquoi enfin, vous êtes venus sur la voie de l’Enseignement…
Ce pourquoi, il y a dix ans et dont vous ne vous rappelez point la teneur, l’opportunité, la profondeur… vous vous reposez aujourd’hui les questions que vous dites essentielles.
Vous faites devant lui, « le jeune », celui qui connaît, alors que vous n’êtes nés que d’aujourd’hui… vous n’êtes nés qu’il y a dix ans…
 
Vous êtes toujours sur le travail. Vous n’êtes point sages !
« Sage » est celui qui possède parce qu’il a vécu !
Qu’avez-vous vécu de l’Enseignement ?
Non point la Sagesse, mais simplement la théorie !
Cette théorie, aujourd’hui, il faut l’appliquer, je vous le dis !
 
Pourtant, les messages antérieurs étaient clairs, du moins les deux derniers… vos réflexions, apportées sur des pages de couleurs différentes, étaient encore plus sensibles à mon esprit, en me disant… enfin, ils ont mis le doigt sur l’essentiel : l’Essence des ailes.
Vous avez compris que par les jeux de mots, vous arriviez enfin, à percevoir ce que le Père voulait dire dans l’UN… l’IN (le lin blanc : l’âme purifiée) cette toge qui peut vous habiller enfin…
Il faut que vous méditiez[5] et… non point que vous médisiez[6] alors que vous faites tout l’inverse…
Il faut vous purifiez et ne vous fier qu’au pur…
Vous avez perçu qu’enfin, dans vos jeux de mots, il y avait l’essentiel de votre « Enseignement »… mais ce ne sont que des jeux… ce n’est qu’une méthode d’approche !
(Note : « A…proche » le A étant la première des voyelle, celle qui symboliquement représente le Verbe, le premier souffle lancé par « l’Origine »… le « Dieu inconnu » mais pour nous « le Père »… le Père en nous, le Père en tout… vous les lecteurs de cet enseignement, ne perdez jamais l’Espoir de comprendre toutes ces idées, toutes ces notions qui paraissent très difficiles à comprendre. Je vous le dis : soyez curieux ! Désirez comprendre.
Surtout, ne vous dites pas « c’est impossible, cela me dépasse !! » Non !
Si cet enseignement vous intéresse, vous attire, plongez-vous dedans… et si votre recherche est sincère, vous aurez toujours les réponses.
Il suffit de « désirer » … sincèrement… et en premier lieu, d’écouter en vous !
La petite voix de votre conscience supérieure vous parle… toujours !
Ne foncez pas comme un taureau sur le mur des agressions extérieures, prenez le temps de vous calmer et de vous poser. Ecoutez « vous » !
À l’intérieur : « Intuiri » est la voix de la Sagesse, de l’acceptation, donc de l’Amour).
Ne vous fiez pas aux jeux ! Fiez-vous aux mots…
Vos douleurs (doux leurres) seront votre bonheur (bonne heure)…
Votre bonne heure ne sera que votre bonheur… car, quand vous aurez fait UN avec le Père, il n’y aura point plus de « douleur » que l’Amour (l’Amour efface toute « douleur » ou tout leurre, même la maladie est une illusion mais nous y croyons si fort)..
 
Vos « douleurs » seront votre bonheur car quand vous aurez fait UN avec le Père, il n’y aura point plus de douleur que l’Amour… et dans l’Amour, il n’y a plus de douleur… il est doux leur mot (leurs maux).
Vous qui aimez les jeux de mots, je vous ouvre enfin des opportunités[7] qui pousseront bien plus loin dans votre réflexion… mais je vous dis, j’aimerais vous pousser bien plus loin dans votre Amour. Il faut « être » et « avoir ».
 
Le mot Amour commence par le verbe « Avoir » (voir par le Père)
« A »… est heureux celui qui « a » et celui qui « est ».
Vous pouvez les marier dans tous les sens… Est A…. A est…
Vous retrouverez ces racines dans toutes les langues des siècles passés et des siècles à venir.
« Participer » sera le mot du message que j’aimerais vous faire passer ce soir. « Participer », car pour l’instant vous avez devisé, pensé, projeté, aimé… mais vous n’avez point participé !
« Participer » veut dire : s’impliquer ! Veut dire : plonger ! Veut dire : être entier ! Veut dire : être parfaitement UN ! Participer !
 
Quand vous participez à une pièce, vous faites partie d’elle-même.
Vous n’êtes non plus spectateur, mais acteur…
Acteur pour être mieux spectateur !
Spectateur pour être enfin mieux acteur !
Ré activité : Participer : Ré action.
L’amour est un Don, mais c’est un reçu[8]… vous n’avez pensé dans le mot amour que le don. Et comment donner si l’on n’a pas ?
Comment « Avoir » sans « recevoir »[9]
Vous avez totalement oublié de « recevoir »
 
Donc, votre prochain labeur, je vous le dis, sera d’être perméable !
D’observer et de prendre ! D’aimer en recevant (quoi ? l’Amour du Père ?)
Comment voulez-vous donner ce que vous n’avez pas ?
Et comment avoir sans recevoir ?
Vous qui aimez retourner chaque notion, vous pensiez obtenir, vous pensiez être possédant alors que vous n’avez point acquis !
Acquis ! A qui allez vous le dédier une fois que vous l’aurez…
L’AVEZ-VOUS en FIN ? (L’avez-vous enfin… lavez-vous de tout orgueil)
Soyez humble ! Et « humble » c’est « recevoir »… ne point « donner »
Celui qui donne est maître… mètre qui mesure !
J’élève la voix (Voie) et pourtant, je vous le jure, c’est par Amour que je l’ai fait… l’avez-vous enfin compris ?
Lavez-vous je vous le dis… et par amour, enfin, ce message vous parvient…
Je pense que c’est la dernière « pierre » dont vous aviez besoin… « La dernière pierre »… ne vous sentez pas au-dessus mais au-dessous !
Celui qui donne est au dessous… celui qui est au-dessus ne prend que de ses esclaves…
 
Vous n’êtes point des maîtres ! vous êtes des senti maîtres bien au dessous…
Soyez humbles et prêts toujours à recevoir, donc « A Par donner » « pardonner » un mot magique… un mot clé !
Un mot secret dans l’Enseignement expliqué par mes éclats de voix…
Vous vouliez de l’Enseignement, avec un coup de pied au « cul »… je vous le dis… vous l’avez eu !
Mon ami Georges, tu l’as souhaité… voilà qui est fait… vous demandez… cela vous est donné…Votre compréhension n’avait pas été au-delà…
 
Quand je vous avais demandé l’opportunité d’inverser chaque chose, il fallait qu’en fin, cela soit fait… et vous avez mis quelques semaines à ne point le comprendre… et il faut que je vienne à point nommé pour nommer enfin le point qui vous manquait…
 
« Humilité » est un mot que nous employons depuis le début de nos messages… et je vois, en vous, enfin se détruire cette notion de connaissance et de sagesse !
Toutes les briques s’effondrent en disant « Bon Dieu », mais c’est bien sûr ! » Car vous étiez orgueilleux…
Vous pensiez être humbles, vous pensiez être aimants, mais vous étiez encore plus férus d’orgueil dans votre humilité… Fausse humilité !
Retournez-vous enfin ! Intuiri ! Mentanoya !
Intuiri ! mentanoya !... deux notions de plus en plus profondes, l’avez-vous compris enfin par rapport à ce message ? Je ne suis point sûr encore.
 
Mais dites vous bien que malgré toute ma dureté… après les caresses des messages derniers, je vous aime au plus haut point et que j’attends, simplement, qu’une chose, c’est que nous partagions cet amour.
 
Le Père est aimant et donnant et vous étiez aimants.
J’aimerais que vous soyez donnant !
 
Et je ne vous dirai qu’une seule chose : Donnant Don en !
 
 
L’ANCIEN
 
Il est dur cet ami, en cette soirée qui était pourtant si souriante… et moi, j’étais venu là que pour blaguer et sourire.
Et voilà… une larme au coin de mes yeux est venue… et pourtant, Dieu sait que c’est avec humilité, sourire et humour, malgré sa voix cassante qu’il vous a dit toutes ces choses.
Vous rajouterez à vos feuillets, sous une seule agrafe, ce message complémentaire car, dites vous bien qu’il est complémentaire…
 
Il vous aime aussi… sinon, il ne viendrait pas !
Et moi qui voulait rire de chaque chose, j’ai bien ri de tout ce qu’il vous a dit !
Eh ! Eh ! Eh ! Eh ! … je le savais depuis longtemps !
Ah ah ah ! Et j’en ris parce que vous le saviez aussi… vous le saviez, pourtant, vous ne vouliez point « LE RE CON NAITRE »…
Re connaître chaque chose EN SON TEMPS !
 
Il y a un temps pour connaître les re dites que vous aviez de l’Enseignement…
Très bien ! Ces compilations écrites que vous faites, très très bien…
si j’avais eu un peu plus de temps, dans tous les siècles passés, je crois que j’aurais fait quelques volumes de toutes mes pensées… mais, comme je pense très peu de choses, je compte sur vous pour pouvoir les étaler…
Car, il est bien connu, comme un trait d’humour de votre planète première, planète sur laquelle vous êtes nés… nés comme un pied… pied de nez (un jeu de mots mais lequel : π est deux nés… pi étant un nombre infini… 3,141…. ?)
Bon ! Je m’égare… je compte sur vous pour étaler tout cela… vous qui avez toute la connaissance… plus vous étalerez, moins vous connaîtrez… je vous en prie, soyez concis, concis comme la Connaissance qui est à votre portée. Elle doit être très simple et claire, vous l’avez compris car, depuis que l’on vous parle… ce soir… enfin, vous avez frémi et j’en étais fort aise…
 
De toute la Genèse de mon âme, j’ai frémi avec vous.
J’étais enfin conscient de tout ce que j’avais omis… vous aviez oublié aussi.
Dites vous bien que je suis avec vous… qu’Il l’est aussi, même lorsqu’il gronde… Il vous aime… je sais que vous l’aimez aussi.
Il me semble bien abrupt parfois, comme ce soir, et pourtant, relisez bien les lignes que vous tirerez de ce dialogue… vous verrez qu’il y a plein de jeux encore. Il y a plein d’humour aussi, il y a plein d’humour encore…
 
Il faudrait que vous lui ressembliez afin de bien comprendre, c'est-à-dire : « prendre avec »… que si, enfin, il gronde, c’est parce que vous aviez compris mais que vous n’appliquez point… car sinon, jusque là, il vous a caressé pour que vous compreniez.
Mais là, la tape sur les fesses, ce soir, c’est pour vous dire enfin : « Je sais que vous m’avez compris… je sais que vous me comprenez et je sais qu’enfin, dès demain (dès 2 mains en coupe)... Vous allez aimer !
L’Amour dites-vous est la seule chose importante !
Eh oui ! Répétez-vous le tous les jours ! Écrivez le sur vos tablettes et sur votre front ! ce sera la marque que je vous impose… parce que c’est la marque qu’on m’a imposée… vous voyez, mon front aujourd’hui est large et ouvert… il faut que vous soyez comme lui !
Compréhensif : large, ouvert, aimant…
Ces trois notions là, si vous les développez, vous attirerez à vous, tout ceux qui ont envie de savoir…savoir ce que vous savez… et vous savez ce que vous pouvez donner… en faisant attention bien sûr, à tout ce que mon ami vous disait tout à l’heure ! Tout ça m’épuise ! Je vais vous quitter !
Tout cela est bien fatiguant.
Il suffit d’aimer, cela est bien reposant !
 
(Après un long moment…) Retour de Véga
 
-          Notion de quoi ? notion de question ou d’action ?
Mon premier message n’a pas été clair. Mon Ami (l’Ancien) pourtant a essayé de vous clarifier certaines choses… vous avez relu et vous n’avez point vu…
Saisissez les choses les mains pleines d’Esprit ! Comprenez enfin, ce qu’il faut que vous fassiez. Cela était clair et vous n’avez rien fait !... rien !
 
Vous vous êtes abîmés dans vos certitudes ! Je vous réveille !
Vous donnez et je vous réveille !
Chaque jour ! Chaque jour ! Il faudrait que vous fassiez vôtre ce que vous venez de lire dans toute cette soirée… cela est simple !
 
Vous vouliez de temps en temps être fustigés : cela est fait !
Sachez que je vous aime, mes amis ! Je ne vous claque point par mépris mais par Amour ! Comme une claque, ces mots fusent… et comme le chapeau IL prend forme… jeu de mots : chapeau claque…
 
(Georges) Haut de forme !
-          Prend forme ! une note d’humour enfin devait finir ce dialogue… puisque vous n’aurez point de question… non ! vous n’aurez point de question !
Ou alors, d’ici quelques minutes, quand vous aurez devisé de ce message, peut-être reviendrai-je encore pour répondre à quelques questions…
Mais vous n’en aurez point, je suis sûr !
Appliquez d’abord ! Les questions viendront après… moi, je vous le dis… quand on caquette un récit, on se perd dans les paroles ! Et dans les paroles, on se perd car quand on caquette, on oublie enfin d’être… et « d’être » ne peut pas se faire sans parole… mais la parole est une notion essentielle de l’Etre… l’Etre enfin ! L’Etre enfin ! L’Etre en Fin !
 
Nous sommes arrivés à la fin de la page (là pas « je » = moi)
En fin l’Etre suit l’Etre !
 
(Georges) S’il revient pour une deuxième couche, je rentre à la maison !
 
 
L’ANCIEN
 
Eh eh ! Aie, aie, aie !! Un coussin, vite… un coussin, vite !
 
 
VEGA
 
-          Avez-vous vu ce qu’il y avait à voir ?
 
 
(Georges) Eh, j’ai l’impression que non !
-          A voir ! à voir… il faut Voir, mon cher !
Il faut voir en toutes choses ce que les gens demandent !
Il faut voir comme en transparence, au-delà d’un miroir !
Il faut voir en fin, être humble, ne pas aller au-delà de ce qui est demandé…
Voir ! Quelle est la question ? Quelle est l’aspiration ?
Expirer en fin votre réponse !
A voir ! Avez-vous vu ce qu’il y avait à voir dans tout l’Enseignement ?
Avez-vous perçu (Père sût… le Père sait) ? Avez-vous lu ? Avez-vous pris ce qu’il y avait à voir ? Possédez enfin ! Avez-vous été perméables ?
« Avoir et posséder » : jeu de mots qui vous apprend la seule notion qui vous permettra de donner ! UN DON qui EST NE…
Votre vision juste et humble des choses, vision juste et humble des choses…
 
Il faut, lorsque quelqu’un vient vous voir, que ce soit vous qui soyez les « voyants ». Faites preuves de perception. Faites œuvre de préhension !
Car, enfin, après avoir compris : pris avec, vous puissiez enfin donner efficacement en vous oubliant totalement !
L’humilité c’est l’effacement de l’être ! Être enfin UN… l’Unité.
L’Unité de tous les êtres… il faut vous effacer…
Vous ne parlez qu’avec votre histoire, vous ne parlez qu’avec vos acquis ! Acquis ! À qui allez vous faire croire que vous avez TOUT compris ?
A qui enfin allez-vous faire croire que vous savez ? Vous qui n’avez point vu !
A voir ce que vous allez faire de mon Enseignement…
A voir enfin ce que vous allez donner à celui qui vient au devant de vous !
 
Cela est valable pour tous ceux qui m’écoutent, ici, ce soir…
Vous savez la Vérité, par rapport à votre histoire et votre vécu…
Toi qui demandais un coussin… vécu est un bon jeu de mots…à voir ce que vous allez enfin résonner de cet Enseignement.
Vous voulez donner à vos « excendants »… vos ascendants !
Vous voulez faire comprendre les choses qu’ils ont vécu : les avez-vous compris ?
Percevez ! (que) Père sait ce que vous avez ! Père sait ce que l’autre a !
 
Voyez l’Union, l’Amour qu’il peut y avoir entre deux…pour qu’enfin, la Parole juste vous vienne… et que surtout, sûr Tout, je vous en prie, une fois que vous aurez « compris » laissez-vous guider Par le Père !
Oubliez totalement votre passé, vos expériences !
Vous ne parlez qu’à travers elles, et elles sont fausses, car elles ne s’attachent qu’à vos pas !
Et vos pas n’on jamais été dans la vraie voie… aujourd’hui, vos pas s’attachent au vrai chemin… je cherchais un jeu de mots sur le « chemin » mais, vous le trouverez bien avant moi... Le jeu que je fais mien !
 
Attachez-vous à comprendre, à voir la vie de l’autre, les pensées de l’autre…
Détachez-vous de toute votre histoire, de toute votre connaissance, de tout votre orgueil enfin car, la connaissance est signe de tout orgueil
L’Humilité : vous n’avez rien vu, rien vécu. Vous êtes tout neuf comme le Père. Vous aimez comme LUI… vous prenez sur votre Cœur et enfin la parole juste vous sera donnée lorsque vous laisserez parler le Père…
Oubliez-vous ! Parce que lorsque l’on dit « oubliez-vous » déjà vous êtes multiples… oublie-toi !
Toi qui m’écoutes, toi qui comprends, toi qui as, toi qui vois, toi qui est !
Déjà ces verbes sont simples ! Déjà ils résonnent en vous ! Vois ce qu’il y a à voir ! Aime ce qu’il y a à aimer ! Oublie toi et tes raisonnements… oublie toi je t’en prie… sois humble !
 
Humble comme le caillou sur le chemin qui lui ne résonne (raisonne) pas, n’a pas d’histoire, qui prend le pas du Maître avant de mettre bas !
Un coussin, je vous prie !
Mais naître par vos pas en marchant dans le pas du Maître pour voir et suivre…
Lorsque vous suivrez, vous aimerez…et parce que vous aimerez, vous suivrez… et enfin, vous attirerez à vous enfin, en fin (en ce qui est fin, subtile, la plus haute vibration contenue en Tout puisque Origine de tout jusqu’à la matière.)
Vous marcherez et tout le monde vous suivra par Amour, et parce que vous serez humbles, parce que vous n’aurez point jugé…
Ne jugez point par rapport à votre histoire…
Votre histoire est limitée et ne correspond point à l’histoire de l’autre.
L’autre histoire, l’histoire de l’autre… voir et avoir (à voir).
 
Etre et Voir : c’est vrai que ces deux verbes sont importants dans votre langue et se retrouvent à peu près dans toutes les traductions des langues étrangères…
Ces auxiliaires comme vous dites, deviendront vos amis, deviendront vos partenaires… soyez violents pour vous… soyez aimants pour l’autre… et non point l’inverse : ce que vous avez appliqué jusque là…
Pas demain mais dès aujourd’hui, appliquez cela dans la seconde qui suit, centimètre par senti/maître…
Apprenez qu’il faut comprendre et voir, afin d’expliquer et guider… vous qui serez les guides et qui l’êtes déjà depuis quelques années : soyez humbles ! Je vous en prie !
 
Vous ne savez pas où vous attirez les gens et les choses.
Le Père Seul le sait ! Donc, laissez-vous guider : laissez parler le Père par vous, et laissez par vous le Père parler.
 
Soyez humoristiques toujours avec vous, toujours, toujours et avec les autres mais jamais blessant, je vous en prie !
Soyez aimants, toujours, et riez de chaque chose…
même du Père… et encore plus de vous-même car, plus grands vous êtes par rapport au Père, plus vous devez rire.
Pour qu’enfin vous fassiez UN avec LUI, riez, riez de vous !
Riez de chaque chose !
Vous n’avez point de dogmes, ni de croyances à avoir…
Riez de tout cela… soyez libres !
 
Libres de voir, d’avoir et d’être… c’est mon dernier message !
 
Et maintenant, si vous avez quelques questions à poser après toutes ces notions fondamentales (qu’il va falloir que vous appliquiez)… je suis toute ouie pour vous répondre !
 
 
 
(Nicole) C’est dur !
-          Oui, je le sais… sur ces notions fondamentales, avez-vous quelques questions à poser ?
Y a-t–il quelques jeux de mots que vous n’avez point encore compris ?
Ou certains autres que vous souhaitez ? Sur l’oreiller ? Le coussin ?
(L’oreiller sert à reposer la tête donc dans l’idée de Véga, de reposer le mental : nos raisonnements… le coussin ou le cou sain.. le cou, là où nous avons les organes de la parole… des mots et des phrases que nous exprimons… ce serait Sain et Saint si le Père s’exprimait par nous.)
 
(Nicole) Donc, finalement …/…
-          …/… finalement…
 
(Nicole) La dernière fois : le Dit eux… il n’y a que ça qui importe, que regarder les autres…
-          Ah ! je vous l’ai dit au début de ce message : vous n’avez point appliqué ce que je vous ai dit au dernier entretien que j’ai eu avec vous !
Il faut que vous soyez enfin avec le « Dit eux » !
Il faut que vous soyez avec DIEU !
Il faut que vous le disiez enfin et il faut que vous le montriez enfin !
Il faut que vous l’appliquiez enfin !
Il faut qu’enfin vous vous mettiez en mouvement…
Que vous fassiez le « pas » vers LUI.
 
(Georges) C’est la prière !
-          Oui, il y a la Prière effectivement : chaque seconde étant tourné vers LUI…
 
(Nicole) et le regard…
-          et le regard qui est une prière tournée vers LUI, et le pas qui est un pas fait vers LUI… il faut le dire à tous… mais non point le dire par la parole mais le dire par le geste… par l’Action, par la Volonté, par l’Amour…
Enfin, il faut « ETRE » mais, on ne dit pas ce que l’on EST…
 
(Georges) on le montre…
(Nicole) on l’a trop dit…
-          vous avez donné deux réponses qui ne me satisfont point… mais qui sont un bon début… c’est un bon pas…  pas… (Georges veut que Nicole pose une question en rapport avec le message précédent où il était question d’un « lac »)
 
(Georges à Nicole) …sur le lac, sous le lac… deuxième notion
(Nicole se met à chercher dans le texte en question).
-          Mummm… reprend donc tes notes ma jeune amie, vite, vite… (Véga parle pour Nicole) : « il pose une question » je n’ai point compris… mais de quoi veut-il parler ? hum et va-t-il m’éclairer enfin une fois que j’aurai posé la question ?
Voyons, voyons… devisons de ce qui est dit… ce qui est dit est tout noté… reprenons nos notes parce que je n’ai pas encore compris ce qu’il (Véga) a dit… mais comme je n’ai pas encore fait tout ce qui est dit, je n’ai pas encore compris tout ce qui est marqué… alors, reprenons toutes nos notes !
 
 
(Nicole a eu du mal à trouver le passage en question d’autant plus que Véga exprimait à haute voix ce que la conscience de Nicole aurait pu lui dire : son « ironie » était très dérangeante) d’ailleurs, Nicole enchaînera le dialogue sur une autre partie du message antérieur).
Voyons page 6 ! Peut être pas cela… ou peut-être page 5 ?
Je ne sais plus moi… c’est noté quelque part…
Voyons, voyons, ne nous énervons pas !
Nous avons tout notre temps… tout notre temps ! Mais… hum !
Georges, de quoi voulais-tu parler en fait ?...
(Une erreur de la part de Nicole car Véga demandait à Georges de préciser sa question… mais Nicole n’a pas « écouté » et a suivi ses propres idées… tout ceci est un exemple des difficultés de communication entre « personnes » entre l’Esprit et nos dispersions :
1.       Nicole n’avait pas intégré donc compris le message précédent où effectivement « il » (Véga) nous parlait d’un lac
2.       il nous prouve que si nous avions fait le travail pour appeler la Conscience en nous… « Nicole » par cette conscience, aurait pu répondre à la question posée par Georges sans chercher dans les notes des messages…
Avoir la réponse à toutes questions posées et si nous ne la trouvons pas… pas de baratin, le silence est meilleur…)
 
(Nicole) là ! Ah oui ! Est-ce que cela est en rapport avec ce que vous nous dites « oubliez-vous, vous-même, cette voie est longue » ?
-          Mummm ! elle est longue telle que vous la pratiquez à l’heure actuelle »…
Ça, cela est vrai ! la preuve, vous avez dit tout à l’heure « cela fait dix ans, dix ans avant que l’on comprenne enfin ! » pour dire « je sais ce qu’il nous a dit » … dix ans : c’est long !
Mais, ma patience, (comme celle du Père), est sans limite !
La preuve : je suis encore là aujourd’hui à caqueter avec vous.
Voyons, voyons, page suivante…
 
(Georges) On avait l’impression d’avoir bien compris et vous nous mettez un coup de pied au « cul »… alors qu’en fait …/…
-          … un seul ?
 
(Georges) Plusieurs, non ?
(Georges éternue)
-          A tes souhait… A tes souhaits !
 
(Georges) En tout cas, on a bien cerné le problème.
-          Hummm
(Georges éternue encore…)
-          A tes souhaits… souhaites-tu enfin « Etre » ? car quand on dit « à tes souhaits » (encore un jeu de mots : A (le Père) tes sous « est »)
Souhaites-tu enfin ETRE ?
Eternue donc encore un peu !
Vous avez cerné le problème, cela est vrai mais, l’avez-vous fait vôtre ? L’avez-vous appliqué ? Cela est une autre question…
Ça c’est vrai aussi, effectivement.
 
(Georges) Oui, on a bien élagué. On a quand même bien …/…
-          …/… ah ! ça ! vous avez élagué ! vous avez fait le tri !
Vous avez bien écrit, vous avez compilé, cela est vrai !
Mais, à quel moment dans votre vie commune avez-vous pu mettre en application tout ce que vous avez entendu ?
Alors là, vraiment, c’est une autre question parce que…
 
…lorsque vous revenez dans vos labeurs et soucis quotidiens…
Mais ces soucis quotidiens vous font oublier l’Enseignement…
…et puis, lorsque je me retrouve à midi…
Je me dis « Oh ! Mon dieu, mon dieu, j’ai déjà tout oublié »…
…mais dès 14 h, quand je vais revenir au travail avec tous ceux qui m’entourent, m’importunent et qui viennent me trouver et qui me posent des questions incongrues et puis, qui m’agaçent… alors que j’ai des pensées vraiment consistantes et intéressantes…
Je vais enfin m’appliquer à tout leur dire… mais hum !
Je ne peux pas leur dire puisque je réponds simplement à leurs questions…
…Des questions tellement bêtes, mon Dieu, mon Dieu… sur mon travail… cela m’énerve tellement !
…Et dès arrivé au soir…
Je me dis :
…« Ah ! À quel moment as-tu appliqué ce que tu as écrit ?
…Et ce que tu as entendu puisque tu l’as écrit ?
…Et ce que tu as compris puisque tu l’as entendu et écrit ?…
…Voyons à quel moment, mon Dieu, je n’ai pas appliqué largement…
Alors, demain matin, puisqu’il m’avait dit qu’il fallait que je fasse une certaine chose dès en me levant, je vais le faire…
Mumm… et tous les matins j’ai oublié, pendant six jours… mais le septième… ça alors là, c’est le jour du père, donc, avant de prier, je vais me rappeler qu’il faut remercier, qu’il faut ceci et cela…
…Voyons à quelle page l’ai-je déjà noté ?
Parce que je ne me rappelle plus vraiment tout ce qu’il m’avait dit… reprenons mes notes, reprenons mes notes...
Ah oui ! Mais alors là ! Attends ! Il est l’heure de déjeuner…
…ma femme m’appelle… et puis, il y a la télévision, et puis, il y a les enfants qui appellent… je n’ai pas le temps maintenant, je remets ça à lundi…
Et puis, lundi… et puis, lundi… le travail recommence et je remets ça au dimanche d’après… voyons où sont mes notes ? Où sont mes notes ?
Je les ai classées pourtant elles sont dans tel dossier… je me rappelle, je les extrais, et je n’arrive pas à retrouver la page !
Ce soir, la retrouverez-vous la page ? (Là pas je)
 
(Georges à Nicole) Tu as trouvé la page ?
-          de vos réflexions… du pourquoi vous n’avez pas agi, ni appliqué ?
Appliquez vous ce qui est écrit ?
 
(Georges) On est trop alambiqué…
-          Vous n’êtes pas alambiqués… vous êtes compliqués
 
(Georges) pas naturel !
-          Non !
 
 
(Georges) On est trop réfléchis !
-          « UN pliqué » ! il faut être UN ! il faut dire à partir de demain je ferai …/…
 
(Georges) …/… Tout de suite !
-          Ah ! cela me sied d’entendre,  non pas demain, mais tout de suite…
Mummm… ces mots m’étouffent ! Déjà, en fin, « tout de suite »… non pas hier ou demain mais TOUT DE SUITE !
De quelle note (encore un idée : note de musique. Le « la » début de l’accord des musiciens avant de jouer dans la Vie harmonieusement… Jouer la « musique » du Père de « L’Uni vers », ne pas dé tonner en jouant notre propre partition)…as-tu tiré ton application ? As-tu ton dossier complet ? (Encore une idée : le dossier de la chaise sur laquelle nous nous appuyons, bien assis sur le siège de notre conscience supérieure).
 
(Georges) On a beaucoup réfléchi
-          Ouais ! on a appliqué la notion n° 12
 
(Georges) Et on a eu tort de réfléchir. Il faut qu’on reste naturel !
-          Bien sûr ! vous avez tort de réfléchir. Je vous avais dit, il faut être calme comme un lac… (ici, il répond quand même à la question sur « le lac » du message précédent posée par Georges et que Nicole n’avait pas su retrouver dans ses notes).
Il faut être calme comme un lac, pour agir et après réfléchir (réfléchir : non pas mentalement mais renvoyer comme la surface d’un lac la lumière pure que ce lac reçoit sans vague donc, sans déformation de la Lumière ou de l’Amour reçu) « A » près ! (Ce que nous avons près du Père)
 
(Georges) On ne peut pas « donner ce qu’on n’a pas » mais moi, du moment qu’on donne de l’Amour, je ne vois pas pourquoi nous allons chercher à comprendre, à savoir, s’il y en a ou s’il n’y en a pas !
-          Je crois que je vais percevoir la notion dans laquelle tu alambiques… pour « ME » perdre « en fin »… tu le sens bien que tu as tort…
(A quel genre d’amour Georges pense-t-il ? l’Humain, celui qui sélectionne, qui sépare ou l’Amour divin identique pour tous, destiné à tous…)
 
(Georges) Ah ah ah !
-          Oh ! il veut me faire croire qu’il est honnête (devenu net par le haut) cet homme… qu’il est UN honnête homme !
 
(Georges) On ne peut pas donner ce qu’on n’a pas, c’est exact !
-          Eh bien ! obtiens !
 
(Georges) On n’a pas à savoir si on a ou pas ! C’est la spontanéité !
C’est aider les gens… qui… (Rupture de la cassette… reprise)
-          …/… admettez que vous n’avez point appliqué ! effectivement, je viens mettre un oreiller sur votre « derrière » afin de le tancer comme il faut !
Effectivement il va falloir qu’enfin vous RE AGISSIEZ : AGIR avec la RE FLEXION … pour l’instant vous n’êtes que toute flexion devant le Père alors qu’il ne faut que « REFLECHIR CE QU IL VOUS ENVOIE ! »
 
Soyez perméables à chaque « inspiration », à l’énergie qu’IL vous envoie… le Père est une Source d’Expiration !
Mais il faut qu’à chaque « Expiration du Père », il faut que vous « INSPIRIEZ » !
Je prends en moi ce qu’IL m’envoie, car IL m’aime ! (bruit d’expiration)
Je redonne enfin ce qu’IL m’a envoyé…
Il faut que vous soyez des retransmetteurs !
Vous êtes les facteurs du Père !
« Une petite tunique bleue avec des rayures jaunes » vous remettez en chaque boîte à l’Etre (lettres)… l’Amour qu’IL vous dit ! Sur Tout, surtout les lettres recommandées !
Les mauvaises nouvelles vous les gardez pour vous !
Vous n’êtes que des dons d’amour ! Vous n’êtes que des dons d’Amour !
Vous ne pouvez pas être aimés par vous-même ou pour vous-même… vous n’êtes que des retransmetteurs d’Amour !
N’essayez pas d’être aimés, d’être beaux, d’être grands, d’être forts… d’être aimants…. (Soupir long : 2 fois plus de temps d’expiration – voir ci-après)
 
C’était ce geste là : d’inspirer et enfin de donner !
Mais ce geste-là, il fallait qu’il soit discret comme une aspiration… un souffle qui veut guérir !
 
Je te le dis mon ami, à toi, toi, toi, il vous faudra deux fois plus de temps d’expiration que d’inspiration !
 
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Note : l’essentiel : l’essence des ailes…. L’essence du ciel…
Les ailes donnent les moyens de s’élever intellectuellement, spirituellement. Elles indiquent que l’action englobe tous les plans de vie, même les plus subtils et nous amènent à voir les choses avec une grande acuité.
Elles confèrent un aspect angélique. (Dans le Tarot : comme l’Impératrice, la Tempérance est ailée, cependant, si l’Impératrice créait la vie, la Tempérance l’entretient, la fait circuler.)
 
« Une petite tunique bleue avec des rayures jaunes » 
Le manteau bleu que porte certains personnages du Tarot indique la sérénité animique… La spiritualité…
Les rayures jaunes, telles des rayons de soleil, peuvent signifier la lumière divine.
 
 


[1] Animé par l’Un.
[2] Correctement sûr de ce que vous faites.
[3] Ce qui est réellement à vous ; ce qui est vrai en chacun…(votre hôte : celui qui vous habite)
[4] Prends par le A : initiale de A voir… Ame… Amour !
[5] Reposer le mental et son agitation pour écouter la petite voix intérieure.
[6] Mal dire.
[7] Occasion favorable. (Jeu de mots : le Haut porte l’Unité).
[8] Re-« su » : savoir à nouveau la Vérité dépouillée de toutes nos expériences.
[9] Dans la même idée : ne voir que ce qui est… et prendre… en soi.
 
 



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