J’espère que ce soir, nous aurons des questions intéressantes et ça fait un moment que je suis vos conversations… et que je dois dire… que je me réjouis de vos projets autant que de votre passé… d’esprit ! bien sûr !
Vos multiples questions m’intéressent énormément et j’espère que vous aurez la présence d’esprit de les poser ce soir.
La dernière fois… je suis resté sur ma faim… j’espère que ce soir, ce sera vous !
Bien des fois, j’essaie de me rendre sensible à votre vie commune et à votre pensée et, bien des fois, j’ai été présent pour vous car vous demandez… tels des Saint-Thomas… tous autant que vous êtes… des preuves.
Ces preuves vous ont été données et vous les disséquez tout de même pour arriver à votre esprit matérialiste… c’est-à-dire, à cette imagination.
Pourquoi voulez-vous que je m’évertue si vous ne faites point la même chose de votre côté ? Je m’éloigne car il fallait que ce que je viens de dire soit clair et vous retournez et retournez encore… et encore…. mes paroles pour bien comprendre ce que je dis.
Bien affirmativement, bien des fois je parle trop vite… aussi, il faut que vous réécoutiez pour que vous compreniez bien.
Des signes ont été donnés et vous verrez que sur des cassettes, vous aurez de multiples surprises pour les uns et sur d’autres, à travers, vous retrouverez beaucoup de paroles déjà inscrites et dites… mai qui ne resteront point.
Vous voulez des preuves dans votre vie matérielle… vous allez en avoir dans peu de temps… mais je vous le dis… il faut peut-être les mériter.
Vous voulez que je sois pour vous comme un frère… je le suis !
Et vous… pour moi ?
Vous voulez que votre pensée évolue… je le souhaite … je le désire !
Le voulez-vous ?
Je souhaite qu’un jour vous le désiriez !
Vous allez avoir encore des manifestations sous de multiples aspects mais toujours bien subtils car le spectacle ne m’intéresse point.
Imaginez… et cela… je voudrais que cela reste gravé…
Une lumière tout au sommet de votre crâne, tout au sommet de votre tête….
A l’endroit où votre ossature, dans les premières années de votre vie est souple ; Cette lumière… comme une flamme blanche… pure… immaculée… imaginez-la quelques secondes par jour seulement… flambant au dessus de votre tête et vous verrez que vos yeux percevront une certaine image de moi et bien des résultats qui dépassent de loin vos espérances par rapport à lorsque vous avez commencé.
De vos questions… je serais prêt à répondre...
De vos questions… je passerai à une conversation…
Comme je n’ai point beaucoup de temps à vous consacrer ce soir… j’espère que cela se fera plus vite qu’en quatre heures !
(Désiré) Il est dit que vers les années 60, une personne, vers l’Orient, est née et qu’elle changera la face du monde. Est-ce vrai ?
- Cette personne bien sûr est née… et elle changera la face du monde.
Regarde un peu ce que les prophètes ont dit… comprend surtout le sens de ce qu’ils ont dit.
En disant que cette personne changera la face du monde… ne l’entendez point que cela soit une répétition de l’histoire.
Sachez que votre siècle dans deux ou trois ans seulement, va basculer.
Ce basculement va s’effectuer… tout dépendra de vous bien sûr… de la masse de personnes qui travaillent.
Ce sera une personne positive mais il faudra toujours… toujours… revérifier chaque chose et ne point croire sans avoir vu. Contrairement à ce qu’il a été dit il y a 2000 ans. Prenez le contre-pied de l’Enseignement.
(Claudine) Est-ce que cela veut dire que les écrits ont été modifiés ?
- Il y a bien sûr, exactement 286 traductions… 286 malversations et plus de 2800 reprises des 286 malversations… et au bout de 10, l’esprit est déformé…
(Georges) les 10 commandements… que doit-on en penser ?
- Ils étaient valables à l’époque pour des gens complètements livrés à eux-mêmes… ne vivant plus en société mais vivant comme des bêtes.
Les 10 commandements devaient leur redonner une structure sociale.
(Désiré) Un jour, j’ai vu comme un bâton dans le ciel avec comme une guirlande accrochée et la lumière montait et descendait. Pouvez-vous me dire ce que c’était ?
- Ce n’était pas le 14 Juillet !
… silence général…
- Tu donnes toi-même la réponse et tu attends que je te parle là-dessus.
Désiré insiste beaucoup et Vega dit :
- y a-t- il d’autres questions ?
On rit et Désiré dit : J’ai la réponse !
(Georges) Vous avez parlé la dernière fois de l’Aggartha blanche et de l’Aggartha noire. Moi, je m’étais imaginé que dans votre monde, il n’existait que du bien et en fait, il semble que non ?
- Il y a bien sûr cette notion de dualité qui existe depuis des siècles et qui existera dans d’autres siècles tant que vous n’aurez pas fait le choix… mais il ne s’agit pas seulement de vous car il y a encore une immensité d’êtres vivants qui ne font point partie de votre terre et qui attendent de votre évolution… et de qui, vous attendez l’évolution.
Cela est une chaîne.
Il y a l’Aggartha blanche qui ne fait pas partie de cet Univers matériel terrestre à trois dimensions et puis, il y a l’Aggartha noire qui est irrémédiablement implantée dans votre matérialité.
Dirigez-vous vers l’Aggartha blanche qui tend vers Dieu… un jour les portes s’ouvriront pour vous.
Si vous choisissez l’Aggartha noire, sortez dehors et vous serez emmenées.
Si vous choisissez l’Aggartha blanche, il vous faudra encore quelques années de patience.
(Désiré) Peut-on tuer certaines personnes pour éviter un conflit ? Cela ne correspond pas aux paroles du Christ !
- Cela évoque la Justice divine et cette Justice de Dieu frappera le mauvais pour défendre le juste.
(Désiré) Je l’espère…
- Non, tu ne l’es pas encore.
Cette justice divine frappera le méchant pour te défendre à toi, si tu fais partie des justes car, tuer… commencera à ouvrir sur la face de l’humanité un chemin qui sera suivi.
Si cette justice divine décidait de te laisser tomber sous le joug du mal, du noir… il n’y aurait plus d’espoir !
Il faut un jour… malheureusement… que ce qui paraîtra aux yeux des hommes comme un meurtre… soit une justice aux yeux des autres.
Il y aura toujours une notion… non point de sacrilège de la vie… mais un passage du noir vers le blanc… car tout noir n’existera point de toute éternité, il faudra seulement assez de temps pour qu’il revienne au blanc.
Relisez les écrits… repensez à votre cœur et vous verrez qu’un jour… vos frères… bien au-dessus de vous, dont je ne fais point partie… seront amenées à trancher pour vous protéger car vous êtes la représentation… l’image… la voie… pour qu’un jour, une unité parfaite puisse se concrétiser.
Il faut un moment que le Glaive tranche… le Christ l’a dit : « je reviendrai et le Glaive viendra un jour séparer le bien du mal »… garderas-tu un ennemi dans tes troupes en sachant que tu vas partir au combat ?
Imagine la maison avec une voie…
Celui qui s’engage sur la maison par la voie de derrière est un traître !
Celui qui s’engage sur la maison par devant est un ami… un frère !
Cette voie de derrière t’amènera, non pas à juger… mais à discerner la personne qui s’approche… et la voie de devant t’amènera à reconnaître celui qui te ressemble.
Ceux de l’Aggartha blanche ne jugent point… ils sont là pour observer… pour analyser et enfin reconnaître.
Leur seul et unique travail est de reconnaître les frères… de les inclure… et pour tous ceux qui n’en font point encore partie… simplement par le fait qu’ils sont sur la voie de devant mais qui ne sont point encore arrivés à la maison… il y a une effort permanent ou pas permanent selon notre puissance de volonté et de désir.
Mais vous êtes tout de même engagée sur la bonne voie.
Ceux qui arrivent par derrière… arrivent à un gouffre qui sépare la mauvaise voie de la maison.
La bonne voie c’est l’enseignement… c’est à dire, ce que nous appelons l’Amour, la Conscience et la Vérité.
Nous, vos frères… nous sommes dans la maison et nous vous regardons arriver avec une sympathie particulière… un cœur plein d’Amour tourné vers vous… et nous attendons que vous arriviez.
Peut-être un jour feront-ils le pas pour aller au devant de vous ? Mais ne dites pas qu’ils jugent… tu juges ! Eux non !
Ils ne veulent pas assassiner le genre humain.
(Désiré) insiste : allusion à un romain de J. Guieri
- Tu me parles d’un roman.
Sachez bien que ce roman (l’Ordre Vert J.G) dont tu me parles… il y a une leçon à retenir… une leçon spirituelle.
Il n’y a point d’assassinat car il y a les juges qui s’en chargent… car à tout Univers… il faut des gardiens.
Mais dis-toi bien que le mot « assassiner » ne veut point dire tuer.
Des fois… lorsque tu arrives devant une porte qui ne veut point s’ouvrir…
Que fais-tu ?
(Désiré) J’insiste !
- Non ! tu te retournes et tu t’en vas. Voilà l’assassinat !
(Georges) Vous nous avez annoncé l’autre fois, l’assassinat, la disparition prochaine d’un chef d’état. Pourtant, moi je croyais que vous étiez pour éviter ce genre de choses. Vous êtes toute bonté… tout pardon… or vous annoncez l’assassinat de quelqu’un et vous ne ferez rien pour l’éviter ?
- Si nous avons l’accès sur le futur… si nous voyons les choses inscrites… c’est peut-être que nos efforts ne pourront point les changer… surtout c’est sur les évènements essentiellement matériels… c’est sur les évènements et les hommes tournées vers l’Aggartha noire que nous pouvons avoir accès… il nous suffit simplement que d’annoncer les évènements et d’attendre.
On ne peut pas obliger un enfant à manger lorsqu’il est repu.
Nous sommes là des observateurs intègres qui ne font que regarder.
Car c’et vous qui délimitez notre rayon d’action.
Nous lançons simplement le bouchon comme le pêcheur et attendons que le poisson vienne mordre. Car vous êtes des poissons… je suis le pêcheur…
Si vous ne mordez point…
Cela me laissera en appétit et vous aurez votre liberté entière.
Si vous mordez à l’hameçon…
Vous aurez votre liberté prise pendant un temps et vous commencerez à revendiquer… comme tout humain… d’être pris dans une voie que peut-être… vous n’aurez point choisie au départ et même si vous l’avez choisie parce que l’appât vous a tenté… vous vous êtes efforcés de sortir de l’eau… de votre fange et peut-être… lorsque vous serez détachés pour être mis dans une mer plus belle et plus pure… peut-être… là… comprendrez-vous ce que le pêcheur a voulu faire de vous…
Non pas, vous manger car nous ne sommes pas des assassins !
(Georges) Vous nous avez parlé, la dernière fois, des représentations, des symboles du bien et du mal… du mal représenté par le « croissant de lune ».
Ce croissant est l’emblème de beaucoup de pays arabes.
Est-ce que c’est une image ?
- C’est une image ! regardez simplement le symbole et vous verrez le sens de « mort », comme tu viens de le dire, ma chère amie, est très plausible.
Ce croissant de lune a deux pointes.
Imagine le symbole qui est donné de ce soleil et qui était le Dieu des Egyptiens et des Ibères troyens.
Imaginez le symbole sous sa forme géométrique : le soleil est rond sans une pointe… le croissant est pointu. Le croissant symbolise simplement la fourche qui attaque… celui qui va pénétrer… celui qui est faux car il est concave.
Celui qui, par contre, est comme le soleil… est convexe… va être amplificateur d’une certaine image, d’un certain rayonnement et ne va pas être blessant.
L’Etoile est une autre image… l’étoile est quelque chose de protecteur… quelque chose de lointain qui rayonne et qui peut-être… peut s’approcher de vous… mais est toujours très lointain.
L’étoile est tout de même symbole de protection… de connaissance… de chance… c’est le symbole de l’Aggartha blanche.
(Georges) Vous avez fait allusions aux écrits « soi disant religieux ».
Pourquoi soi disant ?
- L’homme est parti de faits précis et voulant supprimer ces faits, a essayé de sublimer le phénomène…
Pour vous tromper… il a suffit de créer des règles… des frontières… pour que vous ne puissiez point voir l’éternité de ce qui vous était enseigné car le Christ supprimait les barrières de l’esprit et vous amenait à concevoir l’éternité… donc son Père… donc lui… donc vous…
Ce qu’ont fait les hommes qui voulaient avoir une emprise sur vous… ceux qui voulaient se confondre au berger… ceux qui voulaient vous garder comme troupeau… ont fait simplement (puisqu’ils ne pouvaient point supprimer cet homme si haut, si brillant, si humble et si petit)… ils en ont fait une image.
Ils vous ont trompé… ils vous ont dressé autour de vous des barrières.
J’ai dit « soi disant religion » car toutes les religions ne sont que des barrières. Pensez donc l’homme… pensez donc la Vérité… pensez Dieu…
Regardez l’enseignement du Christ… non point comme des obligations de vie… des règles de pensée…
Le Christ a-t-il dit une jour « je vous interdis de faire cela »…
A-t-il dit un jour « je vous oblige à faire cela »…
A-t-il dit un jour « ne prenez point femme »
A-t-il dit « je serai toujours sur la croix mort pour l’éternité »…
Recherchez la Vérité… Celle qui va vers l’Eternité… celle qui élargira votre pensée… celle qui ne vous cloîtrera pas dans un esprit étriqué d’orgueil… de vanité… de jalousie… et peut être un esprit de supériorité meurtrier… car c’est de cela que l’on a fait le Christ…
Regardez le Christ… regardez simplement ce qu’il a voulu dire… essayez de comprendre son enseignement et vous aurez tous les trésors du monde.
Ne regardez pas ce que les hommes en ont fait !
(Georges) J’ai enregistré une cassette… lors de l’enregistrement de cette cassette, j’ai beaucoup de problèmes. Est-ce que c’était voulu ?
- Tu as beaucoup de problèmes sur ta cassette… j’ai eu beaucoup de problèmes par tes paroles…
(Georges) rit : d’accord !
- Tiens ! tiens !
(Georges) En fait… au fur et à mesure que je parlais… je me demandais si j’étais dans le vrai ou dans le faux. Donc je devais être dans le faux.
- Tu as eu ta preuve. Car tu me l’as demandé juste à la fin.
Pourquoi veux-tu que je me pose un problème à tes agissements… tes paroles et tes appareils d’enregistrement alors que tu me poses tant de problèmes de pensée et de contre conversation car tu as été pendant « un mois ? » d’une idée bien… tu en as fait l’inverse… tu es revenu sur le bien pour (?) autre chose… pour finir quand même par me clouer au pilori.
Ta cassette est complètement décousue comme ta pensée et tes paroles.
Tu voulais une preuve ? … à la fin, quand tu as écouté ta cassette… tu avais la preuve car tu l’as demandé… ce que tu n’as point mis dans ta conversation.
(Georges) J’ai eu ma preuve.
- Tu viens de le demander, cela est enregistré et cela ne sera point décousu sauf ce petit épisode bien comique… je trouve… car j’ai aimé te voir t’énerver sur mes paroles… sur mon nom… ou sur mon aspect physique que tu contre verses tant… et pourtant… tu ne m’as point vu !
(Georges) J’aimerais bien pouvoir vous voir.
- Oui ! mais qu’est ce que cela sera ?
(Georges) Je voudrais vous demander une chose : vous parliez des Maîtres…
Qu’il y avait certaines résurgences de Maîtres et vous parliez de Maîtres méchants.
Ca existe des Maîtres méchants ?
- Mon cher ami, lorsque tu progresses, tu deviens ce qu’on appelle un « initié ». Les initiés… au fur et à mesure de leurs progrès… obtiennent des pouvoirs. Ces pouvoirs… ils peuvent s’en servir d’un côté ou de l’autre : pour guérir ou pour faire des maladies… pour faire des miracles ou pour tuer… pour sauver ou pour détruire.
Mais de ces Maîtres comme tu le dis, il y a peut-être des mauvais, il y a des résurgences de mauvais… mais chaque fois qu’un mauvais ressurgit, il y a un bon qui est là pour lui faire la contre partie et nous attendons que vous fassiez partie de ces bons. Nous attendons car nous avons la main dans la main tous ensemble autour de cette table. Car ne vous l’avais-je point dit : cette visite nous verrait tous réunis !
(Georges) Nous portons en nous autant de bien que de mal ?
- Non ! mon ami et tu le sais très bien. Pourquoi continues-tu à être hypocrite dans les mots… tu as plus de bien que de mal puisque tu fais un effort pour faire le bien.
(Georges) On peut basculer en quelques secondes et devenir très très méchant.
- A toi de faire le choix mais tu sais ce que tu risques car maintenant tu n’es plus ignorant… car tu risqueras dix fois, cent fois, mille fois plus.
Je suis dur car je ne te laisse point le choix.
(Georges) Je dis ça parce que je sais que nous avons en nous une dose infinie de bonté mais nous avons aussi du mal. C’est une question de volonté.
- Ce qui t’empêchera de basculer, c’est l’Amour et je sais que tu en as une pleine valise… malgré que tu t’énerves sur tes touches, sur tes clients, sur tes conducteurs, sur ceux qui te déplaisent et sur ton vocabulaire qui bien des fois me fait sourire.
(Denise) Vous nous aviez annoncé des semaines agitées.
- Oui ! Il y a quelques mois déjà… je vous l’avais prédit. N’est-ce pas mon cher ami… c’est pour cela que tu aimes tant le champagne… image…
(Denise) Cet accident de santé de Guy était prévu par vous ?
- Oui !
(Georges) Les semaines agitées que vous aviez prédites concernaient-elles le pays en général ?
- Non !
(Georges) Alors, c’est le groupe qui était concerné ?
- Oui ! des évènements qui nous touchent nous …
(Georges) Il y a deux mois, vous aviez parlé de la mauve et vous aviez annoncé une autre plante. Cette plante (le père de Guy) pense que c’est le figuier… est-ce vrai ?
- C’est le figuier fleuri.
Si vous laissez quelques figues sur cet arbre, il y aura des fleurs. Cette fleur là sera très importante mélangée à la mauve pour soigner le psoriasis.
(Georges) Mais ça va mettre beaucoup de temps !
- Cela ne mettra pas plus qu’un an et quatre mois !
(Désiré) Je suis déçu parce que je croyais que Laurence pourrait vous comprendre par télépathie.
- Elle me comprendra ! Cela sera traduit ! Cela sera fait à la quatrième visite ! Mais je ne pense point forcer ce qu’elle ne veut point faire.
Elle percevra, si elle fait un effort. Mais je sais qu’elle va le faire parce que je lui ai annoncé… car il lui faut toujours… comme un âne… une carotte pour avancer. Je dis cela sur elle parce qu’elle ne m’entend point… pour que vous l’entendiez… vous !
(Père de Guy) Est-ce que ce qui m’est arrivé est en rapport avec ce que vous aviez prédit ?
- Pas tel que tu l’entends ! c’était le complément de ce qui t’était arrivé.
Tu as eu une certaine protection pour que cela soit définitivement achevé.
Tu as été sorti d’une affaire cardiaque car tu t’énerves bien trop, mon ami… tu jures bien trop… et tu blasphèmes bien trop.
Cela tout seul… dans ta tête et pas toujours en paroles.
Il faut que tu arrives à pratiquer ton art et non point à en parler.
Tu t’appliques toujours à dire voilà comment j’ai fait mais le fais-tu toujours ?
(Père de Guy) Et le vaisseau que j’ai vu trois soirs de suite (à la clinique) !
- Ah ! nous avons été là pour rectifier une certaine chose mais ce vaisseau qui était là… par son action de rayonnement… a été une certaine gomme. Attention ! tu as voulu avoir une activité publique… il faut être conforme à la pensée des gens qui viennent te voir.
Un Maître comme un Christ qui se serait comporté comme le dernier des goujats… violant femmes et enfants… et commettant des ( ?) tout en prononçant de ( ?) paroles… aurait trompé la foi que les gens mettaient en lui. Essaie donc en plus d’être.
(Père de Guy) Les médecins n’ont pas compris ce que j’avais.
- Bien sûr car dans la seconde où tu est arrivé à la clinique… avec ce médecin « n’est-ce pas coco »… ce mot là a tout gommé et il t’a répété ce mot la quatre fois durant ces cinq jours.
(Désiré) Pourquoi des inventions comme la caméra qui permet de retracer la vie du Christ, par exemple, ont été étouffées. Cela pourrait nous être utile !
Imagine l’Eglise catholique qui a passé deux millénaires à occulter un enseignement et tu voudrais que du jour au lendemain, on laisse une caméra qui puisse voir ou entendre un personnage parler dans sa plus simple simplicité de l’Amour et l’enseignement… supprimer tout dogme… tout enseignement de connaissance.
Si cet objet était laissé sur le simple marché, dans votre société de consommation… chaque personne en acquérrait au moins un et ne serait plus dépendant de… tout homme… toute loi… toute action sociale…
Et deviendrait un être à part entière… réfléchissant et aimant…
Car il aurait compris… étant à même d’entendre… d’épouser les paroles de celui qui les a consignées…
Car de ces paroles là… seule une poignée d’initiés ayant survécu… les ont fait passer sous le manteau et ils ne restait plus rien que les lois édictées par les hommes pour laisser les autres hommes en état d’esclavage afin qu’ils ne comprennent point la (route ?).
Imaginez que vous deveniez libres… que vous compreniez ces paroles même… seriez-vous toujours dépendants de cette société matérielle qui vous contraint à aller toujours plus avant dans la concession ? Non !
Vous posséderiez tout… parce que vous aimeriez…
Vous feriez tout ce que vous aimeriez…
Vous seriez capables de monter au Ciel et d’en redescendre… d’aller sur les nuées et de n’y être point… d’être visible et invisible… de faire des guérisons et de ne point les faire… de travailler ou de ne pas travailler… que votre travail soit fait avant même de lever le petit doigt… cela vous permettrait seulement de faire dix fois plus… ah !
(Désiré) C’est vrai mais ce genre d’objet a profité à certains… à un petit nombre d’initiés…
- Cela va…. (?)
(Georges) La dernière fois… vous nous aviez dit qu’il restait une dizaine d’années pour que se dessine notre avenir et pour qu’il existe une possibilité de vous rencontrer vraiment officiellement.
Est-ce à dire que vous pouvez savoir si dans dix ans nous serons tous là ?
Est-ce que vous pouvez agir sur nos destins ?
Alors qu’une fois vous nous avez dit que notre avenir nous appartient personnellement ? Je ne comprends pas très bien !
- Alors je vais te l’expliquer.
Dans dix ans… tu seras encore là et cela te rassure ?
(Georges) Oui !
- Comme il dit « on en sera encore là ! ».
Je n’influe point sur votre voie… Je n’influe point sur votre progression… Je vous annonce simplement un phénomène du futur qui se réalisera car il est prévu que dans dix ans… à partir de cette année… se fera un contact interplanétaire que vous vivrez car vous serez encore là.
Ce n’est point simplement de votre action… de votre évolution… de votre élévation… qu’il s’agissait… mais c’est simplement une prophétisation dans le domaine du futur. Calculez bien ! le comptable l’a fait : 1986 + 10 = 1996.
Cette prédiction là… vous l’avez déjà eue… vous l’avez déjà entendue. Elle vous chante à l’esprit car réfléchissez un peu par rapport à l’an 2000.
(Georges) Donc vous connaissez, en fait, notre avenir ?
- Je connais les formations principales de l’avenir… mais sur votre avenir personnel… vous avez une influence primordiale par votre évolution et votre élévation. Même sur l’avenir de la Planète, par rapport à la masse, il y a des phénomènes prévus.
Vous faites partie des avatars non point relevés… bien sûr !
Bien ! Il va falloir s’arrêter.
(Georges) une question.
- une dernière
(Georges) Il m’arrive souvent, très souvent, d’avoir l’impression d’être supérieur par rapport aux êtres qui m’entourent…
- cela n’est point un phénomène d’humilité !
(Georges rit…) Est-ce de l’orgueil démesuré ?
- Non ! effectivement, il y a un constat parce que tu te poses en observateur.
Mais poses-toi complètement en te disant que tu es différent… mais non point supérieur... tu es différent parce que tu te mets à regarder ce que tu étais jusque là… et parce que tu t’arrêtes… tu finis par te comprendre à travers les autres.
Ne regarde pas un homme en te disant quel « couillon » celui-là… dis-toi quel beau miroir cela fait pour que je puisse y contempler mon image dans toute l’acceptation de mon intelligence.
Tu vois que tu n’es point supérieur à ton image dans la glace qui est tous les matins mal rasée avant que tu y appliques ta main… qu’il est laid ce personnage avant que tu penses à l’arranger !
Arrange-toi donc à chaque seconde de la journée, car à chaque seconde de ta journée… tu te regardes en chacun de ceux que tu critiques et qui, extériorisent, pour toi, tous les défauts que tu as à l’intérieur….
et j’ajouterais entre guillemets « con » car c’est un mot qu’on te dit souvent !
(Georges) Ah bon !
- Je dis entre guillemets car je n’emploie pas cela comme image dans le vocabulaire mais comme détermination.
(Georges) Encore une petite question !
- J’avais dit une seule mais je t’écoute !
(Georges) la dernière fois que vous êtes venu, le chien Bijou est parti aboyer dehors et vous avez dit « ne vous inquiétez pas… il doit voir mon assistant qui m’attend dehors ». Venez-vous réellement ou venez-vous par transmission de pensée ?
- Nous avons une certaine présence physique invisible mais que les animaux ressentent plus précisément… ils savent où nous localiser… nous voir, là… à l’encontre de vos perceptions.
Mon assistant était là, comment dire… peut-être comme garde du corps. Cela est une image rassurez-vous…vous ne pouvez pas m’attaquer et de plus, j’ai bien confiance en vous puisque je viens converser.
Mon assistant était là pour faire en sorte que ce figuier puisse avoir une certaine …?.
Mon assistant a donc… comment diriez-vous ? trafiqué les dés… et a joué en quelque sorte, quelque chose qui pourrait… dans la partie… être truquée… mais comme le résultat est bénéfique… cela n’est point grave.
Je suis resté bien trop longtemps et Petit John pleure…
L’extension dans votre temps est pour le rêve un peu néfaste et perturbateur… cela n’est point grave…
Les enfants sont beaucoup plus perceptifs que vous déjà de vieux enfants.
Je vais être obligé de m’en aller, tant que je me suis bien incorporé, malgré une certaine gêne tout à l’heure mais, si vous le permettez, je vais aller prendre mon thé.
(Question incompréhensible).
- Oui, je vous avais promis que la fois où vous serez tous réunis (quoiqu’il manque encore une personne) vous arrivez rarement à être entiers ! je vous avais promis que je viendrais.
Je vous donne rendez-vous dans un mois.
Bonsoir Messieurs, bonsoir Mesdames, bonsoir les amis….