Bonjour les amis qui ont une soif de savoir… qui… au-delà de ces quelques instants… seront abreuvés !
La réponse viendra… et même si ce n’est point par ma bouche… cela peu importe du moment que la réponse est donnée !
Vous vous posez de multiples questions… je répondrai à certaines d’entre elles en cette soirée… Ce que je voulais vous dire…
c’est qu’il ne faut point vous remettre en question… trop… trop au-delà d’une certaine limite… il ne faut point sous estimer… vous êtes… une fois mis sur la Voie… aidés à ce stade là…
Allez au devant de tous les mots que je pourrais prononcer…
Voie bien plus active et bien plus précise et bien plus portante que toutes les considérations et toutes les réponses que je vais dans quelques instants vous apporter.
Des questions… vous en avez de multiples…
Ces questions vous aideront peut-être à progresser sur votre plan de pensée…
Sur votre spiritualité… donc, sur votre vie…
Applicables instant par instant… seconde par seconde…
Tous les jours de votre vie présente.
J’espère du moins que cela sera ainsi car quelques minutes ou même une heure de conversation ne remplaceront point la conscience…
Je ne répondrai point comme je le fais d’habitude aux questions que vous avez dans votre tête car votre échange verbal a vaguement contribué… en début de soirée…
à répondre à plusieurs d’entre-elles…
je ne parlerai point de la fin… je les passerai sous silence…
Je suis donc là pour répondre à vos questions comme je l’avais promis il y a quelques temps… Ces questions vont surgir !
Je vous demanderai… au-delà de l’appareil qui m’enregistre… d’être attentifs aux réponses que je vous donnerai afin que vous puissiez dans l’instant, avoir la question qui surgira de votre compréhension.
Aussi, je ne vous dirai point en cette soirée : réfléchissez à poser des questions précises… des questions réfléchies… je vous dis… les questions qui se succéderont auront leur réponse dans la mesure de ce qu’elles auront posé… dans la mesure de ce qu’elles auront demandé…
Mais d’ici un jour… une semaine… un mois… je ne répondrai point au-delà de la réflexion que vous pourrez avoir sur l’enregistrement qui est pris…
Donc, je vous renvoie sur votre propre réflexion, votre propre esprit, votre propre conscience… je vous écoute !
(Guy) Comment se fait-il qu’en ce moment, je doute de mes possibilités ?
- cela simplement du fait que tu doutes…
Cela vient simplement du fait que vous avez, les humains (et je ne répondrai point pour toi) l’habitude de vous grandir…
l’habitude de penser que ce que vous avez compris est universel…
Pense toujours que de ce que tu as compris, il manque toujours la pensée universelle que tu as encore à travailler…
sur tout ce que tu as compris… que le peu que tu as compris ne vaut rien par rapport au travail qui t’attend…
Alors… je te dis : « Ne doute point, ne te crois point, pense que tu es cet apprenti qui commence et qui recommence toujours et toujours… jusqu’à ce que son travail arrive à l’œuvre. L’Oeuvre Universelle qui fera peut-être un jour, un Maître ».
Tu n’en es pas loin. J’écoute…
(Désiré) Est-ce que vous pouvez nous parler un peu de la balade (parce que moi, je n’étais pas là, la dernière fois) au Château.
- cette balade était simplement un retour sur le passé… c’était simplement une certaine résurgence de souvenirs…
Mais tu ne dois point voir en cette soirée… de rapport sur l’évolution spirituelle que vous devez effectuer… ce qui m’intéresse… c’est ce que vous avez à faire… non ce que vous avez fait… même il y a quelques siècles…
ce que tu as vécu ainsi que toutes les personnes qui sont autour de cette table… même s’ils en doutent !
(Désiré) L’évolution spirituelle pour le moment, elle paraît…
- Stagnante ! tu as raison !
(Désiré) Et elle est assez difficile.
- Non ! elle stagnante… elle n’est point difficile !
Il suffit simplement de se lever pour aller prendre le verre qui est à l’autre bout de la table… si tu restes assis… tu ne boiras point…
(Désiré) Je ne pense pas que je reste assis, j’essaie de me lever !
- Il ne suffit point d’essayer !
(Désiré) C’est-à-dire… éventuellement, je me lève mais personnellement, j’ai l’impression que ce n’est pas… probant…
- Justement, cela fait donc que tu ne te lèves pas !
(Guy) Quand on est monté à Monségur, j’ai défini… moi… un endroit où il y a encore des secrets enfouis… est-ce exact ?
- Ces secrets sont tous vibratoires… il n’y a plus de secret matériel écrit ou… en ce Château…
(Georges) Je suis un peu plus terre à terre que mes amis ici… peut-être parce que je n’ai pas atteint leur degré de spiritualité ? Je voulais vous demander si dans le monde où vous vivez, les gens comme vous sont tous parfaits… aussi parfaits que vous ?
- Mais non ! je suis aussi parfait que toi !
(Georges) Ah ah… (rire) il ne faut pas dire ça !
- Ah bon ! et pourtant je l’ai dit ! mais j’écoute la question…
(Georges) Mais existe-t-il sur votre monde… parce qu’en fait je ne sais pas où vous vivez habituellement…
- mummmm ! ce n’est point à côté de Bordeaux !
(Georges) Existe-t-il une vie comme celle que nous connaissons nous ici ?
- Bien sûr !
(Georges) Vous avez une vie tout à fait normale ?
- Non !
(Georges) C’est une vie spirituelle ?
- Oui ! elle est toute spirituelle… c’est pour cela que par rapport à ton critère… elle n’est pas normale !
(Désiré) Mais si vous viviez parmi nous… vous auriez quand même une partie des défauts que l’on a ?
- Non ! je serais plus petit que vous !
(Georges) Vous vous déplacez par la pensée… toujours ?
- Pas toujours ! cela n’est pas exténuant pour nous mais, à partir du moment où des moyens matériels ont été inventés, créés, et sont utilisables pour se déplacer… il n’y a point d’utilité à agir par certaines forces de la pensée…
Comme les Maîtres te le disent ici : « Pourquoi marcher sur les eaux puisque les hommes ont construit un pont ? ».
Chez nous, c’est un peu cela… il y a une recherche matérielle qui a été jusqu’à un certain degré d’évolution… et à partir de ce moment, nous sommes passés à un degré supérieur…
Non point qu’en cela il n’est supérieur au vôtre… mais était au-dessus !
Ce degré supérieur nous a permis de nous déplacer par la pensée… ce que je fais ce soir… mais je ne me déplace point physiquement car je suis toujours confortablement installé sur mon divan…
Je suis pleinement avec vous… ceci pour répondre à ta question…
Mais, par contre, quand j’ai besoin d’aller faire mes courses… même si c’est sur une autre planète, j’utilise un vaisseau… disons un moyen de transport matériel qui n’a point de correspondance chez vous.
Nous utilisons d’autres sources d’énergie…
Mais, pour répondre à ta question, je pourrais très bien me déplacer sur terre, sans l’utilité de ces engins-là… mais je mettrais en route… je mettrais en mouvement… des forces non matérielles de ce que vous appelez… « spirituelles »… auxquelles je mettrais une certaine portion de volonté donc d’ingérence… je ne sais si c’est bien clair ?
Mais la pensée peut tout faire…
Mais à partir du moment où quelque chose d’existant ne met point en force… ne met point en forme… ne met point en mouvement les forces à créer…
il n’y a point de raison de l’utiliser en allant puiser des énergies qui seraient utiles à autre chose qu’au mouvement qu’on a eu l’envie de faire ou de créer… ou simplement de visiter… par souci de curiosité…
Je suis allé au-delà de l’explication simple… ce que tu souhaitais… j’écoute !
(Georges) Vous arrive-t-il de vous trouver parmi les habitants de notre Planète ?
- Oui !
(Georges) D’une manière tout à fait anonyme ? Physiquement, vous vous ressemblez ?
- Oui !
(Georges) Vous nous avez dit la dernière fois que vous vous ressemblez vraiment !
- Je serais un bon joueur de basket !... rire…. D’ailleurs, j’ai eu certaines propositions ces derniers temps qui m’ont fait bien sourire !
(Georges) En France ?
- Ces derniers temps : oui !
(Guy) Il y a peu de temps… une personne est venue se faire soigner ici en disant qu’on avait un objet ici… dans lequel on peut voir… est-ce la glace qui est derrière nous ? Parce que j’ai perçu certaines choses dans ce miroir…
- Entre autres… cela n’est qu’un aspect…
(Guy) On peut voir son « Aura » dans la glace ?
(Désiré) Vous pourrez bientôt évoluer parmi nous donc ?
- Je vous ai déjà rencontrés…
(Georges) Moi aussi ?
- Oui !
(Denise) Avec votre grande taille de basketteur ?
- Oui !
(Désiré) Je ne me rappelle pas !
- Nous ne nous sommes point parlé… nous nous sommes croisés !
(Désiré) Cela ne me revient pas à l’esprit…
-cela… peu importe ! Mais bientôt, nous deviserons par notre forme physique… mais soyez patients… je vous en prie…
(Désiré) Oui !
- Vous dites oui ! vous pensez non ! c’est votre côté spontané… pas la vérité… oui ?
(Denise) Pourquoi cette glace a été ?
- PARCE QUE ! ce n’est, à travers cette glace, que l’objet du reflet…
(Denise) Et ça peut nous servir ?
- Non ! c’est intéressant sur le plan vibratoire… cela vous apporte certaines choses pour corriger certains mouvements de votre personne et de votre esprit… ils ont besoin d’être corrigés !
(Claudine) Ils ont de la chance…
- Peut être que je viendrai chez toi poser quelque chose… peut-être l’ai-je fait déjà ?
(Claudine) Dites-nous…
- Je ne me souviens plus…
(Désiré) Oh !…
(Claudine) Là, vous m’étonnez !...
(Georges) Existe-t-il sur votre Planète le mensonge ?
- Non !
(Georges) Ca n’existe pas… donc sur votre Planète, les gens comme vous atteignent un degré de perfection….
- D’évolution…
(Georges) D’évolution parfaite !
- Non, point parfaite… d’évolution tant que nous ne sommes point arrivés au sommet… nous ne sommes point parfaits mais nous avons compris certaines nécessités…
(Georges) Est-ce qu’il y a d’autres personnes comme vous qui contactent des gens comme nous ?
- Oui ! mais sur d’autres plans… d’autres plans de votre propre planète… sur d’autres plans d’existence qui ne vous ressemblent point forcément… et sur d’autres plans en parlant d’autres dimensions de votre galaxie. Je suis venu sur la Terre… dans votre dimension, selon votre temps… et je suis bien !
(Guy) Moi, j’ai un grave problème actuellement… j’ai une femme qui vient se faire soigner ici, depuis un certain temps, qui voudrait avoir un enfant et ça ne marche pas… Moi, je sais pourquoi, parce que ce serait une monstruosité… Mais je ne peux pas lui dire… comment m’en sortir ?
- En lui disant qu’elle n’aura point d’enfant !
(Guy) Mais c’est dur…
- Alors, engage toi vis-à-vis du Ciel… Elle en aura un qui ne sera point une monstruosité… Mais si tu t’engages, il te sera demandé beaucoup d’efforts…
(Guy) Mais il ne faudrait pas qu’il y ait une déception de sa part ensuite… je serais en partie responsable !
- Non ! il ne t’a pas été dit que tu devais t’engager vis-à-vis d’elle mais vis-à-vis du Ciel…
(Guy) Je le désire vraiment, en plus !
- A toi de choisir !
(Guy) C’est une sacrée responsabilité !
- Tu l’as choisi… à toi de le faire maintenant… Non, ne me pose pas la question… tu veux savoir… tu sais… choisis !
(Guy) Et si par la suite, ça fait comme l’histoire de Maître Philippe ?
- Non ! dans ma réponse, je me suis engagé… à toi de le faire mais sincèrement comme je l’ai fait…
(Georges) Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à obtenir des guérisons… parce que j’essaie…
- La réponse a été donnée… tu en as le pouvoir mais tu n’as point encore la Foi… à partir du moment où tu soignes, tu as peur d’être jugé et quand tu as peur d’être jugé… tu as peur de ne point avoir réussi… lorsque tu as peur de ne point avoir réussi… tu ne fais plus aucun mouvement…
Tu peux, dans le secret, essayer de soigner en étant sincère avec toi-même et en observant sur des gens que tu connais, les résultats que ça donne…
Tu t’apercevras que cela marche… il suffit simplement de ne pas avoir une Foi aveugle et idiote en disant « cela a marché une fois… mais il faut que cela marche plusieurs fois ! ».
Le hasard n’est pas de mise dans ce que tu demandes.
Donc, applique plusieurs fois sans que les gens le sachent… simplement par ta propre demande… mais avec Foi et avec sincérité… quand tu t’apercevras que cela marche… comme les autres personnes assises autour de cette table l’ont vérifié de multiples fois, tu n’oseras plus poser les mains sur quelqu’un en disant : « attendez… je ne sais point si cela va vous faire du bien… mais que risquez-vous d’essayer ? ».
(Georges) Oui ! Mais les seules « choses » sur lesquelles j’ai essayé, ce sont des animaux !
- Ah ! parce qu’un animal ne peut pas te répondre ?
(Georges) Eh ! non ! donc je pensais que c’était plus facile sur un animal…
- il est beaucoup plus facile sur l’homme, sais-tu ?
(Georges) Non !
- parce que l’animal, lorsque tu poses la main sur lui, ne peut pas engendrer la Foi… l’homme, lui, lorsqu’il a confiance… même en rejetant cette confiance… même en rejetant cette Foi… en disant : « tu peux mettre les mains… tu ne réussiras point ! »… espère en lui-même ne plus souffrir… 50 % du travail sont faits…
(Georges) Je vous ai adressé une fois une prière… Est-ce que vous avez la faculté de nous entendre quand on s’adresse à vous ?
- J’ai la faculté d’entendre mais je ne suis point un radar 100 % à l’écoute 24H/24H comme le sont certaines de vos émissions de radio terrestres. Elle l’est cependant à partir du moment où tu l’as formulée avec Foi… même si je n’en ai point été conscient, elle a été perçue et acceptée… même si tu n’en as point le résultat !
Maintenant que tu m’en as parlé, je vois ce que tu veux dire… tu sauras que dans quelques jours… la réponse te sera donnée… positive, je l’espère pour toi… de la façon peut-être dont tu ne l’espères pas mais positive tout de même…
(Georges) De toutes façons, ce qui arrive… c’est toujours de la façon dont on ne l’entend pas puisque on a l’impression de comprendre d’une certaine façon et puis la Vérité est toute autre…
- Oui ! S’il s’agit d’une prière, cette résolution ou cette solution matérielle ne peut être que positive sinon ce n’est pas la concordance de ta pensée, ni de ta prière, ni de ton désir. Cela ne se fait pas souvent comme tu l’as souhaité dans ta prière… cela est vrai… mais si le résultat est positif… ta prière a été donc entendue… si par contre, tu demandes qu’une personne soit guérie (pour prendre ton exemple) et que cette personne meurt de sa maladie… ta prière n’a point été entendue….
(Désiré) Parce qu’on n’a pas mis assez de Foi dans sa prière ?
- Peut-être ! Il y a peut-être aussi des karmas qui ne peuvent point être changés !
(Guy) C’est ça qui est parfois difficile !
- Il est difficile de se faire à l’idée de comprendre…
(Guy) On se sent inutile !
- Vous n’êtes pas inutile !
(Georges) Si notre degré d’évolution ne dépend que de nous, il est bien difficile d’évoluer !
- Non !
(Georges) Il faut constamment être disponible dans la pensée… dans la réflexion !
- Non ! Il faut simplement… constamment… être disponible à l’éventualité où l’enseignement peut être une réalité… Voilà ta réponse… tu doutes encore de la réalité et de l’existence de certaines choses !
(Georges) Oui ! Absolument !
- Je te dis que lorsque tu seras fermement convaincu que, même, si peut-être, ça n’existe pas, mais que malgré cette non existence, certaines choses peuvent être faites et que simplement par cela, la Voie et ta conviction pour ne point utiliser la « Foi » peuvent être à l’écoute et peuvent servir à certaines autres personnes, alors, je te dis : la « Foi » est là !
(Georges) Est-ce qu’elle est suffisante ?
- Bien sûr ! Expérimente et tu verras bien… Ne te fie point à ma seule parole… cela ne sert à rien !
(Georges) Vous venez pour nous aider à progresser pourtant…
- Non ! comme tu le dis souvent et comme vous le dites à multiples moments dans votre vie matérielle… pour vous donner des coups de pied au…
… rires….
(Georges) Mais c’est ce que j’allais dire ! vous ne nous aidez pas beaucoup… vous nous donnez des réponses qui sont souvent des énigmes et qui nous obligent encore à réfléchir, encore penser, donc, en fait, votre apport n’est pour nous qu’un problème supplémentaire !
- Il me vient à l’idée une histoire que j’aimerai te conter… Tu as chez toi un objet cassé que tu vas porter à une personne que tu sais avoir les possibilités de le remettre en l’état. Une fois l’objet porté, le personnage répond : - « je n’ai point les outils pour réparer votre objet ». Et toi, de lui demander ce qu’il lui faut… lui de te passer la liste… Toi, possédant tous les objets de cette liste, de lui donner… et il te répond : - « je suis désolé, vous m’avez donné tout ce qu’il fallait mais je n’ai point la Foi pour résorber tous les dommages de votre objet, aussi, je vous le rends, je garde les outils mais je ne puis rien faire pour vous ». Et toi de dire : - « c’est un homme bien ignorant ! … en connaissant l’état de son ignorance et de son manque, je réponds à son manque mais pas à son ignorance…. Cet homme ne vaut pas, à l’instant, l’attention que je lui porte ! Demain, seulement, il faudra que je vienne le voir !…
Aujourd’hui, je suis venu… j’espère grandement revenir pour la même chose ! Pour simplifier toutes ces phrases… je viens de vous donner les outils…, ne soyez point assez imbus de vous pour me demander de faire le travail !
(Quelqu’un) on n’oserait pas…
- Je l’espère ! bien que quoique…
(Désiré) Ca serait trop bien pour nous et en même temps, trop… d’un autre côté…
- Mais vous l’espérez à bien des moments…
(Georges) Est-ce qu’il vous serait possible de nous donner un signe ?
- OUI !
(Georges) Prouvant que vous nous connaissez vraiment…
- Bien sûr !
(Désiré) Moi, ça va…
- Il y a quelques années (tu en feras le compte toi-même)… j’ai été auprès de toi lorsque tu eus peur… où tu avais plein d’appréhensions dans ta tête… ces appréhensions dataient d’avant cet évènement… d’avant sa mise en route… une personne très âgée en parlait avec toi…
Tu ne l’as point écoutée…
Il n’a point déterminé d’avenir… ce n’était que de simples mots… Lorsque j’étais à côté de toi, tu ne me connaissais point, j’étais simplement un inconnu dans un lieu commun et pourtant je t’ai donné deux mots qui t’ont marqué et que tu t’es dépêché d’oublier avec les problèmes que cette naissance t’ont posé… mais, je le dis… dans quelques jours, tu te rappelleras… quoique ces souvenirs doivent peut-être te rappeler quelque chose… tu devras te souvenir de deux mots exacts qui seront pour toi la preuve que tu attends et qui te forceront peut être à devenir plus ferme sur ton chemin.
Je ne me fais point de soucis… tout cela est enregistré donc… tu pourras y repenser plus d’une fois, deux, trois, quatre fois et je m’arrête car ton poste va s’user.
(Georges) Il est solide.
- Heureusement pour lui… malheureusement pour tes oreilles….
(Georges) En fait, j’ai bien fait d’enregistrer ce que vous dites car, pour l’instant, ce n’est pas clair du tout… vous parlez beaucoup par énigmes.
- Non ! je parle de choses dont tu n’as point le souvenir mais ce n’est pas une énigme… Si tout ce dont tu ne te souviens pas est une énigme… alors, toute l’histoire de ta famille… de l’Homme… de ton Pays…. de la Terre… de l’Univers… est une énigme ?
(Georges) Oui ! bien sûr ! Guy m’a parlé d’une histoire de ballon bleu dont je n’ai aucun souvenir.
- Il t’a parlé à une époque d’un ballon bleu… un objet que tu as détenu peu de temps… qui t’a été donné par lui-même… à un moment de ton enfance… par un personnage que tu as connu quatre mois et demi exactement.
Un objet auquel tu as tenu particulièrement du fait de l’amitié qui t’a été donnée et qui a été retransmise par cet objet que tu as perdu… parce qu’abîmé ou détruit … mais (où) lorsque tu replongeras par ta famille… ou par les gens qui t’entourent… sur ce souvenir… tu auras des précisions.
(Désiré) C’était vers quel âge ?
- Vers tes 5 à 8 ans
(Georges) Vous nous aviez dit l’autre fois que vous aviez en âge de notre temps 1834 ou 1864 ans.
Est-ce que vous avez vécu ces années toujours sur votre Planète ?
- Bien sûr !
(Georges) Vous n’étiez pas sur Terre donc vous n’avez pas connu Jésus à l’époque où il vivait sur Terre ?
- J’y ai fait des incursions… tu m’as demandé si je ne vivais pas sur Terre… je n’y vivais point mais j’y venais quelquefois en visite… comme quand tu vas en vacances…
(Georges) Oui ! Mais à l’époque, vous étiez déjà assez avancés pour vous permettre de voyager ?
- Non ! j’étais très jeune mais je voyageais tout de même… mais tu peux monter dans la voiture de ton père !
(Georges rit…) Mais votre degré de civilisation par rapport au notre est très très en retard ?
- Pas très très en retard… elle est très en retard mais vous n’êtes pas loin de passer le cap de l’Evolution… nous sommes prêts à vous aider !
(Claudine) Je crois qu’on en a bien besoin !
- Mais aussi pour mon bien être, ainsi que tous ceux de mon peuple et des autres plus élevés… moins élevés…
(Georges) Il y a actuellement des problèmes au niveau des vols spatiaux… la fusée Ariane ne fonctionne plus, la navette américaine a des problèmes… les terriens que nous sommes ont pris beaucoup de retard sur la conquête de l’Espace… est-ce que ces problèmes sont voulus ?
- Oui ! Il a été pris contact avec certaines personnes bien placées pour les décisions de ces vols interplanétaires… en parlant de votre terre bien sûr ! Ils ont été plusieurs à refuser de nous écouter simplement parce qu’ils refusaient notre existence… Sachez qu’au fur et à mesure de ces vols interplanétaires… vous seriez arrivés à un certain contact dans l’espace, allant plus loin, car une certaine technologie découverte il y a très peu de mois, vous aurait permis de dépasser, par vols habilités, bien des distances qui vous paraissent jusque là inaccessibles et qui vous mettaient en danger…
Nous n’avons point fait autre chose que de prendre contact avec certaines personnes étant habilitées à nous écouter, connaissant déjà, même s’ils n’étaient point déjà les témoins de rencontres antérieures…. Ces personnes avaient lu les rapports de contacts qui sont restés vains, comme ceux-là le sont restés… ces personneslà ont été convaincues, inconsciemment par la suite, de là… refus de stopper la recherche de la conquête de l’espace.
Il y a donc eu des erreurs flagrantes qui n’ont point été corrigées, alors que ces esprits-là sont supérieurs, et qui ont fait capoter, en quelque sorte, ces futurs vols…
Il en sera de même tant qu’ils ne seront pas prêts à accepter une certaine rencontre et d’accepter certain contact qui leur permettra à eux ainsi qu’à nous, de ne point nous mettre en danger d’une façon commune… mais j’en ai trop dit… j’ai fini par me perdre dans les mots.
Sachez que … il n’est point question que nous puissions permettre que l’Homme ne fasse point d’erreurs dans ses recherches lorsqu’il s’agit de le mettre en danger et de nous mettre en danger. Notre mission est de vous sauvegarder pour nous sauvegarder… mais nous sommes dans une ère de compréhension et d’évolution… Peut-être, d’ici quelques mois ou quelques années, nous permettrons de nous montrer au grand jourafin de vous apporter l’évolution nécessaire de votre société technologique et de votre société spirituelle nous permettant de faire une certaine fraternité… en espérant que vous évoluiez assez pour être, un moment, nos frères… Nous avons tout à votre portée… pour l’instant vous n’avez rien dans la notre… simplement par le fait que vous le refusez… Nous sommes prêt… vous ne le voulez pas…. nous attendons simplement que vous en ayez la volonté et au-delà, le désir…
(Denise) Oui ! Mais si c’est toujours les hommes du gouvernement qui doivent décider !
- Non ! Le cap est, que ce que tous les hommes de gouvernement, à l’heure actuelle, savent… entreprendront, réussiront des catastrophes… Ils seront remis en question…
A ce moment là, une certaine prise de conscience se fera sur la masse car il n’est pas normal que, pendant quelques années (très peu pour nous), vous ayez eu des réussites fabuleuses… pensez-y !... l’homme a posé le pied sur une autre Planète (même si c’est son satellite le plus proche) et que, maintenant, simplement pour se mettre en orbite, toutes les tentatives se soldent par un échec. Il y aura une prise de conscience de la masse : « que se passe-t-il donc ? … serait-ce que les esprits deviennent incompétents ?... Serait-ce que la machine que vous appelez ordinateur ait pris le pas sur vous et ne vous guident qu’à vous détruire ? »… surtout que depuis quelques mois, à la suite de l’évolution, depuis plusieurs années d’une certaine littérature, d’une certaine évolution de l’esprit spirituel… il se posera de plus en plus de gens qui, s’ouvrant à une certaine possibilité de réflexion, observeront certaines réussites personnelles et observeront certaines présences dans le ciel… Ils se mettront à faire pression par leur masse sur les personnes dirigeantes qui, elles, savent, mais ne veulent pas.
Mais sachez que ceux qui veulent mais ne savent pas, seront plus forts, car la bonne volonté et le désir seront toujours supérieurs au vouloir et à la mauvaise volonté… et je n’ai pas tout dit… mais je réserve tout de même pour l’avenir quelques secrets….
… dommage !
- Non ! nous verrons pourquoi…
(Guy) Pour changer de sujet… dans mon jardin, j’ai un pied de mauve qui, cette année, prend les proportions d’un arbre… moi, ça me paraît extraordinaire…
Qu’est-ce que cela veut dire ?
- si la mauve a grandi, cela est simplement pour te faire prendre conscience de son emplacement.
La vie a succédé à la Mort… Repense à cet endroit.
Il y a quelque chose qui est mort et l’arbre, un autre arbre est là… Il y a une transformation, reprends la symbolique… reprends les actions de ces deux plantes… tu t’apercevras d’ici trois mois… l’objet qui a été posé en un autre endroit, te feras observer d’autres changements….
Ils ont une corrélation avec ce pied de mauve.
Essaie d’en faire la jonction, ce n’est pas un puzzle, c’est une réaction physiologique de la Nature !
(Guy) Est-ce que par ces proportions exceptionnelles, elle a quelque chose de plus que les autres ?
- Bien sûr !
(Guy va parler)…
- Non ! s’il s’en doute, il a la réponse… Le jour, mes amis, mes enfants, où vous aurez cessé de penser, de parler par énigmes parmi vous… je parlerai clairement !
(Guy) Je ne parle pas par énigmes… moi, je pensai à Maître Philippe… Il a, à une certaine époque de sa vie, lui qui par sa connaissance a déclaré que la mauve pouvait tout faire, puisqu’on lui posait une question sur les plantes… il a dit que la mauve pouvait tout faire !
- Non ! non… Je te dis « regarde bien à quel moment elle a commencé à pousser » et je te donne son nom « mauve lunaire »…
Et c’est vrai que l’action qui était dévolue à la mauve depuis la création de cette plante, qui date de six ou sept millénaires, a été amplifiée et qu’une nouvelle a été créée. Devine un peu laquelle ?... non ?... tu en es loin !
Tu as pourtant un rêve de guérison qui jusqu’à présent est resté inaccessible, et grâce à cette plante, à ses nouvelles propriétés, tu réussiras à le guérir et pourtant, de cette maladie, tout le monde a dit, même les plus grands professeurs « c’est une maladie incurable »… elle te tient à cœur mon ami, elle te tient à cœur !
(Guy) J’ai pensé au psoriasis !
- Oui ! la deuxième étape n’est pas loin…
(Claudine) C’est un beau cadeau ça ! il y aura une façon particulière de la préparer ?
- Il connaît !
(Claudine) Je vous remercie !
- Je n’y suis pour rien !
(Denise) Mais c’est cette plante seule qui pourra soigner le psoriasis ?
- Non !
(Georges) C’est bizarre ! J’allais lui demander si notre ami Guy allait bientôt guérir…
- Avez-vous d’autres questions à poser ?
(Georges) Quand vous venez nous voir… est-ce que vous sentez une solllicitation de notre part ?
- Oui !
(Georges) Et c’est vous qui décidez si vous viendrez ou pas ?
- Non ! c’est vous qui décidez !
(Georges) Mais il y a des fois où on le souhaite et vous ne venez pas ?
- S’il y a des personnes dans la pièce qui ne le souhaitent pas… je ne fais point d’ingérence…
(Désiré) Alors, nous, on dépend de certaines personnes ?
- Oui !
(Georges) Ce n’est pas juste !
- Non ! je vais te donner une image qui va peut-être te choquer mais elle passe souvent dans les journaux ou du moins, dans les informations de ta planète et de ton pays à l’heure actuelle.
Imagine qu’une belle et douce jeune fille vient à ta rencontre et que tu veuilles la violer, dira-t-elle « il voulait me faire du bien ? »…
Les personnes qui sont assises autour de cette table viennent pour vous voir et n’ont point envie d’être violées par l’esprit, par des personnes qu’elles ne connaissent point et n’ont point envie de connaître.
(Désiré) Mais parfois, certaines personnes, elles vous connaissent aussi !
- Oui ! mais si elles ont peur de nos paroles, elles ne souhaitent point ma venue !
(Désiré) Mais dans ce cas là, ça peut retarder certaines personnes ?
- Non ! ce n’est point parce que tu viens me rendre visite que je vais en faire de même ou parce que tu serres la main à Guy que ton évolution va progresser.
(Désiré) Mais certaines réponses pourraient être positives, certaines réflexions meilleures ?
- La réponse à tes questions t’est toujours donnée… même si tu es seul !
(Désiré) Oui ! C’est vrai ! Mais parfois, on a plaisir peut-être…
- parfois… peut-être…
(Désiré) on a plaisir à vous rencontrer…
- J’ai envie… je vais continuer… il ne répondra pas…
(Désiré) Bien sûr…
(Denise) Mais si, mettons, dans un couple, l’un voudrait vous rencontrer et l’autre pas. Alors, ça condamne automatiquement l’un !
- Non ! au bout d’un temps, la rencontre se fera tout de même de façon toute platonique… quand il y aura des réponses précises à fournir… je rencontrerai seul cette personne.
(Guy) Bon ! Je vous ai parlé de ma mauve, vous avez parlé d’une deuxième plante… à mon idée, c’est le plantin…
- Tu verras d’ici un ou deux mois, une autre…
(Guy) Je voudrais savoir pourquoi vous m’avez attribué ça, à moi… je ne suis pas meilleur que les autres… peut-être pire que les autres…
(Quelqu’un)… Non !
- N’est-ce pas !
(Guy) Vous me connaissez ?
- Alors à toi de travailler…
(Guy) Je sais bien.
(Georges) Est-ce que…
- Tu as une autre cassette ?
(Georges) Je l’ai tournée déjà…
- Oui ! mais est-ce que tu as une autre cassette ?
(Georges) Oui oui !
- Ah !
(Papa) Est-ce que je peux espérer que ma fille Laurence guérira de son diabète ?
- Oui !
(Georges) Oui d’accord… elle a 20 ans actuellement …
- ce n’est pas grave ! les gens meurent à 90 ans ! n’ait point peur… ait confiance… tu le sais qu’elle guérira.
(Georges) Je l’aimerai !
- Non ! tu le désires !
(Georges) Oui !
- Pourquoi n’utilises-tu point le mot ? Ait confiance ! tu verras bien si je t’ai menti ou point !
(Georges) On désire tellement de choses que si on pouvait obtenir tout ce qu’on désirerait… ce serait trop facile !
- Non, car cela est licite !
(Guy) Par rapport à la pensé de Georges et de sa fille… Il en a le désir mais, on ne peut quand même pas lutter contre la personne intéressée qui ne veut pas ceci ou cela parce qu’elle a peur de ci ou ça…
- Il m’a parlé d’un aspect de sa maladie et j’ai répondu… et je sais que vous êtes plusieurs à prier… je ne dis pas que les gens sont automatiquement guéris à leur corps défendant mais… lorsque cela est désiré sincèrement par un cœur pur et sincère… aimant au plus haut point (et quoi de plus aimant que le cœur d’un père !)… soutenu par des amis sincères qui prient d’une façon désintéressée et sincère… la guérison sera ! Maintenant toute la suite sera à donner…
(Guy) Est-ce qu’on a le droit de surpasser les réticences de la personne ?
- Oui ! quand il ne s’agit que d’un seul aspect de la maladie, même quand c’est celui qui la gêne le plus psychologiquement… les autres aspects suivront son choix, son désir et son amour.
(Guy) On ne peut pas forcer les gens !
- Non !
(Désiré) Est-ce que la nuit vous viendrez me rendre visite bientôt ?
- OUI !
(Désiré) Vous êtes agressif…
- Non ! c’est pour que tu m’entendes mieux dans ta voiture !
… rires….
(Georges) Mais je vous parle beaucoup quand je suis dans ma voiture !
- N’est-ce pas ! Ainsi je te donnerai plus de réponses ! souhaites-tu être loin ou près de moi ?
(Georges) Auprès… c’est bien plus pratique…
- Et je me rapproche donc un peu plus ! sais-tu l’ami, il fait du bruit ton appareil !
(Georges) Oui !
- Cela te distrait « Boum ! » (on entend un bruit)… je l’ai fait tomber… il fait moins de bruit !
(Georges) Il en a fait plus quand il est tombé !
- C’est vrai… tout est relatif n’est-ce pas ! déjà une réponse t’est donnée…
Bien ! Avez-vous d’autres question ou me permettez-vous de me retirer ?
(Guy) Avons-nous le choix ?
(Denise) On aimerait que vous restiez… on aimerait que vous nous fassiez la « conversation »… un petit peu… !
- cela viendra, sans que l’on pose des questions, mummmm
Je vous ferai la conversation mummmm…. Mais pour l’instant, vous aviez trop besoin de réponses par rapport à vos problèmes… et ces questions… sur ces problèmes particuliers, vous ne les avez point posées… cela n’est pas grave, cela viendra la prochaine fois, peut-être dans ma conversation… toutes les réponses seront données aussi… pouvons-nous passer sereinement à autre chose ?
(Désiré) Peut-être qu’on n’a pas voulu en parler !
- Et vous aviez peut-être raison !
(Georges) On n’ose pas trop vous parler de nous-mêmes !
- N’est-ce pas ? et pourtant sur tes cent et quelques questions, tu en as posé bien peu… Mais les autres viendront dans ta petite voiture… ce n’est point péjoratif, cela veut dire que tu y es seul !
(Georges) En fait, les questions qu’on a posées sont générales… pas personnelles. C’est pour ne pas être taxé d’égoïsme que personne n’ose trop parler de son propre cas. Sauf Guy, qui a parlé d’un cas qui n’est pas vraiment personnel… qui est un cas de conscience… on a sans doute tous des questions que l’on n’ose pas vous poser pour ne pas être taxé d’égoïsme ou de matérialisme !
(Désiré) Je vais vous en poser une, moi, qui ne se place pas sur le plan matériel mais sur le plan spirituel : Est-ce que Christian va s’en sortir ? ça m’intéresse beaucoup !
- Laisse lui son libre choix mais je serai là pour l’aider… Ait confiance, ne doute pas !
(Désiré) Oui !
(Georges) Vous avez donc une certaine vue sur l’avenir de chacun ?
- Oui ! mais chacun de vous a le choix de modifier… d’affirmer ou d’infirmer ce qui est inscrit, ce qui est écrit, encore faut-il que vous le désiriez !
(Désiré) Moi, ce que je désirerai, c’est une meilleure compréhension… j’ai parfois, certaines choses qui viennent, que je perçois mal dans certaines lectures ou dans certaines choses…
- vous apprendrez à travailler efficacement avec des gens qui vous ressemblent !
(Désiré) On commence à se ressembler un peu entre nous… c’est une impression…
(Georges) Si je ne retrouvais pas les souvenirs auxquels vous avez fait allusion, tout à l’heure, est-ce que lors de notre prochaine entrevue, vous me donnerez plus de précisions ?
- On parlera peut-être d’autres souvenirs… plus faciles et qui te mettront peut-être un peu plus sur la voie… mais pose des questions autour de toi.
(Georges) Si ça me concerne, moi… je ne sais pas si autour de moi… comme vous avez dit quelques années… il faut du temps…
- Tu m’as demandé si tu me connaissais ?
(Georges) Oui !
- Je te réponds : ce n’est point d’hier… réfléchis ! rappelles-toi !
(Georges) Je suis sur qu’en réfléchissant bien, je vais trouver dix réponses…
- Tu en trouveras une ou tu ne la trouveras pas… il n’y en a point dix….
Bien, mes amis, je vais donc vous laisser et vous donner rendez-vous la prochaine fois…
Veux-tu changer du tout au tout de 100 % à partir de cette seconde (il parle à Désiré)… Bien, tu as donc ta réponse !
Mes amis, Bonsoir et à très bientôt pour disserter avec vous et non pas répondre à des questions… Mais cela vous ( ?) beaucoup…
Mais vous l’avez demandé, je l’ai « enregistré » comme vous…
Tu peux couper ! Je m’en vais !