ENSEIGNEMENT SPIRITUEL



 
J’espère en cette visite et je souhaite le bonsoir, que vous puissiez faire autant d’expériences spirituelles que d’expériences visuelles.
Je vous le souhaite et je me prêterai à ce jeu qui, pour vous, revêt une grande importance.
 
Ma visite ce soir, est d’un ton un peu plus calme donc, moins choquante que ma dernière venue, simplement parce que vous avez fait quelques centièmes de seconde, quelque effort sur ce que je vous avais demandé.
 
Je viens donc discuter calmement de quelques réflexions que vous avez pu avoir avec quelques questions qui vous torturent l’esprit quoique les réponses… vous les ayez déjà obtenues pour à peu près 99,99 % de ce que vous avez formulé.
Mais, je viens tout de même car… à votre habitude… vous demandez toujours quelque chose de plus… alors ma visite, ce soir est pour vous satisfaire.
 
Vous avez pensé… réfléchi… supposé les quelques paroles, les quelques pensées insignifiantes que j’ai pu vous donner mais… je vous le dis… elles vous aideront à aller au-delà… parce que vous aurez trouvé, vous-mêmes, le complément… parce que vous aurez trouvé vous-même l’idée portante et ce que vous attendez… chacun pour vous… en vous et… par vous.
 
Demandez, demandez encore, vous ne demandez jamais assez ! et je sens déjà en certains d’entre vous, s’insinuer en leur esprit cette pensée suivante :
-          « Mais il se répète ! Il ne dit que toujours la même chose et pourtant je demande à chaque seconde, j’ai demandé, j’ai obtenu des résultats… que veut-il de plus ? »
Je veux que vous continuiez. Je veux que vous alliez au-delà de vos possibilités.
 
Des possibilités que vous-mêmes vous êtes fixées.
C’est-à-dire, au-delà des barrières (les obstacles que nous rencontrons par manque d’attention et de présence) que vous vous êtes imposées.
Vous les reculez chaque jour, du moins chaque mois, du moins à chacune de mes visites (on ne redevient vraiment présents, attentifs que lorsque nous le rencontrons) Ces barrières, je veux que vous les supprimiez totalement.
Peut-être y arriverez-vous ? Alors, à force de vous le répéter à chacune de mes visites… vous raffermissant sur votre pensée, sur vos idées… peut-être arriverai-je à vous pousser au-delà, un peu, de vos limites… au-delà, du moins, des limites que vous vous êtes fixées. Je ne fais que me répéter !
 
Ce qui me satisfait… c’est que ce soir… la plupart d’entre vous ont des questions à poser et tout à l’heure, nous en viendrons aux questions/réponses.
Nous en viendrons à ce débat qui vous fait tant plaisir… qui vous permettra peut-être d’avoir la réponse à ce que vous vous êtes posé.
 
Ce que je voudrais maintenant, c’est vous amener à créer, à recréer, à formuler un exercice que je vais vous donner.
 
 
 
 
 
 
Ne vous attendez point à quelque chose d’extraordinaire !
 
Je veux simplement vous demander la chose la plus incroyable que vous puissiez attendre dans votre vie courante (je n’ai point dit  extraordinaire, j’ai dit  incroyable !).   
Demandez trois fois ! J’appuierai de ma prière ce que vous pourrez demander trois fois… au-delà, changez votre désir.
Chaque mot ayant son importance, vous réitérez l’écoute de cette cassette car vous avez déjà l’habitude de le faire pour certaines d’entre elles. C’est pourquoi maintenant  je suis attentif pour répondre à vos questions.
 
(Désiré) On a parlé avec Guy, l’autre soir de la réintégration au Père. Vous nous aviez demandé une question. Est-ce que vous pourriez méditer là-dessus parce que, pour parler de réintégration au Père, il faut avoir l’éveil quoi !
-          Quel est le sujet de la méditation ?
 
(Désiré) J’essaie d’imaginer ce que peut-être la réintégration au Père !
-          J’ai demandé un sujet de méditation !
 
(Georges) Mais à ce moment là ce serait une question !
-          Ce n’est pas une question : un sujet de méditation !
 
(Georges) Non ! Mais ce que vient de dire Désiré.
Si ce n’est pas un sujet de méditation, ça peut être transformé en question !
-          Sa pensée est très bonne mais je n’ai point demandé de question.
-          La pensée est très bonne, j’attends donc le sujet de méditation qui ressort de cette pensée.
 
(Désiré) … essayer de se situer par rapport à nous. Nous situer par rapport à cette intégration. C’est une chose qui, pour moi, est vraiment le trou noir.
-          Très bien, voilà mon sujet de méditation. J’attends donc les autres sujets.
 
(Georges) Je n’ai pas de sujet de méditation.
-          Ah ! oui ?
 
(Georges) Comment est-ce qu’on peut ? L’élévation. On parle de l’élévation de l’esprit. C’est une chose qui paraît très simple pour vous mais j’aimerais que vous puissiez nous expliquer… enfin, vous mettre un peu à notre niveau pour qu’on puisse nous aussi…
-          j’y suis tous les jours, c’est pour cela que je demande un sujet de méditation !
 
(Georges) Vous nous en donnez beaucoup à nous des sujets de méditation mais en fait…
-          C’est pour cela que je veux inverser les pôles.
 
 
 
 
 
(Claudine) Mais c’est difficile de donner à quelqu’un un sujet de méditation, surtout à vous, oui !
-          Ah ! vous ne vous en posez point, jamais…. à aucun moment de la semaine… certain sujet de réflexion… de méditation ?
Vous, ne vous poussez-vous point à réfléchir au-delà de vos limites ?
À vous interroger sur une phrase que vous avez pu lire dans quelque bouquin traînant dans vos mains… pareil que roman que vous appelez de science-fiction ?
Aucune phrase ne vous pousse-t-elle jamais à réfléchir l’instant où vous formulez cette question ou ce sujet de réflexion ?
 
Me croyez-vous donc supérieur ?
Me croyez-vous donc différent de ce que vous pouvez être ?
Je ne le suis point !
Il est vrai… ce qui est tentant pour vous… c’est que je ne vis pas sur le même plan et pourtant…cela je l’oublie… ce n’est point important !
 
Il me faudra donc une visite supplémentaire pour avoir ces sujets de réflexion !
 
Un m’a été apporté !
J’aimerais que vous y repensiez quand au fur et à mesure vous formulez ces pensées… vous formulez ces questions qui… peut-être et certainement dans la question qui suit… seront pour vous et pour moi un sujet de réflexion.
 
Vous aurez progressé au-delà de votre pensée, vous aurez évolué au-delà de vos propres limites simplement parce qu’un sujet de réflexion est hors limites. Peut-être arrêterez-vous un jour et comprendrez-vous ce qu’est « ne plus supposer de limites ».
A la prochaine visite, je vous reposerai la même question.
Je veux et je vous demande par amitié que vous me donniez un sujet de réflexion. J’attends maintenant vos questions.
 
(Georges) Est-ce que je peux vous demander pourquoi vous vous intéressez à nous ?
-          Moi, ce que j’aimerais bien savoir, c’est pourquoi vous avez la patience de m’écouter ?
 
(Georges) Parce que tout ce que vous nous dites est très, très enrichissant.
-          C’est simplement parce que tu trouves cela très enrichissant que je m’intéresse à vous !
 
(Georges) Oui ! Mais au départ ? il y a quand même un départ.
Pourquoi vous nous avez choisis ? Pourquoi ?
-          Parce que je savais très bien et pertinemment que depuis le moment où je t’ai rencontré et à partir d’aujourd’hui même tu as évolué d’au moins 60 % dans l’inverse de ce que tu étais destiné.
Tu as donc évolué ! Je savais qu’il y avait en toi la potentialité de l’évolution.
 
Donc, je m’intéresse à toi et libre à toi, du jour au lendemain, de me repousser et de repousser toute idée de réflexion… toute idée de pensée… toute idée d’évolution.
Réflexion : il est réfléchi sur votre propre moi. Celui dont tu essaies de faire le rapprochement et l’unité.
Le contact… l’union… ce n’est que le reflet de toi-même.
Réflexion ! Pensez à ce mot !
 
(Georges) Donc, nous vous apportons quand même quelque chose ?
-          Bien sûr ! pour quitter une marche sur laquelle on est, il faut mettre quelqu’un qui est prédestiné pour y être.
 
(Georges) Est-ce que notre contact vous a fait évoluer ?
-          Oui ! je viens de le dire !
 
(Désiré) Est-ce que vous êtes mon grand frère quand vous le dites ?
-          Oui !
 
(Georges) Vous nous connaissez donc très bien ?
-          Oui !
 
(Georges) Est-ce qu’on est capables d’aller très loin ?
-          Oh oui !
 
… rires….
-          Mais vous êtes un peu… comment dites-vous ? feignant !
Non point « bouchés » car vous savez très bien ce qu’il faut faire mais il est tellement facile de l’oublier… de se dire :
-« je remets cela à demain » !
-« Je pense à ce qu’il faut faire mais ce soir je suis fatigué donc je demanderai mieux demain » !
 
(Georges) Ouais !
-          Monsieur le demandeur qui demande des preuves tout le temps.
 
(Georges) St Thomas
-          Ce que je voudrais, mon jeune ami, c’est que vous ne soyez point le demandeur mais l’intercesseur[1]. Vous êtes en passe de l’être !
 
(Georges) Je pense qu’on en est autant éloigné qu’on en est proche.
-          Autant éloigné qu’une puce d’un vêtement à la peau.
 
(Georges) Oui mais la puce a deux possibilités : elle peut sauter et tomber de l’autre côté du vêtement.
-          Mais pour manger, il faut qu’elle aille sur la peau.
 
 
… rires…
 
 
 
 
(Désiré) Je devrais être inquiet mais disons… j’ai ma mère qui, en ce moment, a un problème de santé.
Est-ce que je me trompe quand je n’ai pas l’impression que c’est grave ?
-          Je n’en ai pas l’impression non plus ! mais ce que je peux te dire tout de même, pour te rassurer et que tu le sais déjà, c’est que même si cette maladie s’est déclarée, ta mère n’est pas éternelle mais ce n’est pas maintenant qu’elle sera rappelée vers là !
 
(Denise) Qu’est-ce qui se passe dans la tête de Paulette (sœur Denise) ?
Ces derniers temps, elle est venue passer quinze jours…
-          un problème gérontologique.
 
(Claudine) Vous pouvez nous définir ce mot ?
-          un problème de dégénérescence des cellules cérébrales qui fait que vous vieillissez lentement mais sûrement.
Une personne dans ce qu’on appelle la vieillesse donc la sénilité.
 
(Denise) Mais alors, elle n’est pas…
-          Parce qu’elle le souhaite !
 
(Claudine) On ne peut pas l’aider ?
-          Rien, elle ne le veut point.
Elle se complaît dans la souffrance morale. Que peut-on faire pour elle ?
 
(Denise) Et plus elle ira, plus elle sera désagréable comme ça quand elle viendra ?
-          Elle ne sera point désagréable selon votre attitude.
Mais vous savez, quelqu’un peut sourire un jour sur une plaisanterie que vous faites et, c’est ce qu’il a fait parce qu’il la trouve très bonne… mais celui qui sourit « jaune » vous prend pour un imbécile. Celui qui rit de bon cœur vous prend pour un être intelligent ayant fait un trait d’esprit.
Elle se tournera toujours vers celle qui rira jaune.
Elle ne veut plus comprendre !
Les cellules, par sa propre volonté, sont entrées dans une dégénérescence. C’est pour cela que j’ai dit, tout à l’heure, c’est un problème gérontologique.
 
(Denise) et son mari est pareil alors ?
-          Non !
 
(Denise) On pensait que c’était une question de jalousie vis-à-vis de son docteur.
-          Oui ! la non intelligence n’engendre pas l’intelligence.
Priez, cela est utile sinon nécessaire ! Aviez-vous d’autres questions ?
 
(Désiré) … sur ce fait qu’on ne peut pas donner aux autres ce qu’on n’a pas. Georges en parlait tout à l’heure.
 
(Georges) Ce que vous avez dit la dernière fois « demandez mais vous ne pouvez pas demander ce que vous n’avez pas acquis ! »
-          Oui !
 
(Georges) Qu’est-ce que ça veut dire, « ce qu’on n’a pas acquis » ?
-          Que demandes-tu pour les autres d’abord ?
 
(Georges) Si je demande la santé pour quelqu’un ?
-          L’as-tu déjà obtenue toi-même ?
 
(Georges) Je n’en sais rien !
-          Il faut donc… pour demander la santé de quelqu’un… tant pour pouvoir la lui donner… que tu l’aies d’abord acquise.
 
(Georges) mais je ne sais pas !
-          Toi, le comptable, tu n’as qu’à bien comprendre l’image très simple que l’on peut donner à un enfant : tu veux donner 10 fr. à un pauvre dans la rue mais tu ne les as pas dans la poche.
Si oui… tu les donnes… sinon tu ne peux point le faire !
Lorsque tu demandes la santé pour quelqu’un… il faut d’abord que tu t’astreignes à l’avoir obtenue… à la fabriquer… à la demander… à la posséder.
Si tu demandes l’intelligence pour quelqu’un… il faut l’avoir toi-même !
Si tu demandes la conscience pour quelqu’un… il faut d’abord l’avoir recherchée !
Si tu demandes une main droite[2]… il faut la posséder soi-même sinon comment veux-tu comprendre quelle est la nécessité du moteur ?.. si tu ne l’as point déjà obtenu toi-même.
 
(Georges) Cela laisse supposer qu’il faut d’abord demander continuellement pour nous-même alors ?
-          Il faut, non seulement demander : cela est la solution de facilité lorsqu’il s’agit de toi-même…
Il vaut mieux que tu te mettes en mouvement pour obtenir toi-même !
Il vaut mieux que tu fasses un travail nécessaire et utile dont j’ai donné déjà les grandes lignes dans les messages précédant celui-ci !
Il faut que tu fasses un effort sur toi-même chaque seconde et la conscience sera présente… attrape cet état d’ « êtreté » et tu pourras faire ce que tu veux où tu veux… quand tu veux… sur ce que tu veux.
 
(Guy) Il y a quand même des limites parce que…
-          il n’y en a point !
 
(Guy) Il y a quand même le côté karmique. Nous, on a eu la preuve ici qu’on avait guéri des gens de certaines maladies… ils sont quand même morts !
-          vous n’êtes limités par le karmique des gens parce que vous n’êtes point libres de votre propre karma.
 
Possédez votre liberté, votre « êtreté » et vous ne serez point limités par le karmique de votre voisin.
Tant que vous aurez une limitation, vous serez limités sur celui de votre voisin.
 
Dès que vous aurez obtenu la liberté… vous aurez la liberté totale d’agir… parce que libéré de votre état karmique… de votre état d’inconscience… de votre roue des naissances.
Libéré de cela, vous serez conscients de ce qu’il est, donc vous pourrez remettre… et à ce moment là seulement … vous remettrez les péchés !
 
      Croyez-vous que celui qui… se permettant de dire un jour :
-« je te remets tel et tel péché » … la maladie s’en allant…
Croyez-vous que cela n’était point un état karmique ? 
 
Étant donné que l’on remet les péchés… on efface d’un même coup et d’un seul coup… l’ardoise de ce qui est écrit dans le passé.
Par contre… libre à la personne à qui il a été remis… donc, à qui on a fait échapper à la loi karmique… de refaire ou de ne point refaire les sottises ou les bêtises qui l’ont amené à cet état d’être… autant que ce soit de la maladie qu’un état de pensée… qu’un état physique ou social.
 
(Guy) Il faut quand même que la personne malade s’aide un peu elle-même.
J’ai un cas, actuellement comme ça de dépression nerveuse.
-          Il faut que la personne s’aide elle-même… c’est-à-dire qu’elle fasse les premiers pas vers celui qui peut pour elle.
Mais il faut que… si tu veux… si tu souhaites… si tu demandes à ce qu’elle aille mieux ou même qu’elle guérisse… alors que son karma n’est point  « être guéri ou soulagé »… si tu veux aller à l’encontre de ce karma… libère-toi de ce karma toi-même !
Tu ne peux donner de liberté à quelqu’un sur le karma qu’en l’ayant obtenue au préalable… Comprends-tu cela ?
 
(Désiré) Donc, on est limité dans la mesure…
-          vous n’êtes point limité… vous vous posez vos propres limitations puisque vous ne souhaitez pas acquérir votre propre liberté !
 
(Georges) Mais comment l’acquérir ?
-          En le souhaitant… en le désirant… en le demandant… et en faisant des efforts chaque jours sur vous-même pour ne point critiquer et en aimant votre prochain comme vous-même. La loi est simple !
 
(Georges) Mais…
-          Demandez !
 
(Denise) Et comment peut-on savoir que c’est arrivé ?
-          Demandez !
 
 
 
 
(Guy) Moi, je reviens à cette personne.
J’en ai eu d’autres beaucoup plus compliqués que celle-là qui s’en sont sorties rapidement et celle-là, ça fait des mois que je la traite et elle en est au même point. Alors, elle ne veut pas participer…
-          elle ne veut pas…. mais elle se rassure en venant te voir. Tu veux forcer les choses, tu veux forcer la nature, tu veux forcer l’Esprit ! force-toi de ces mêmes choses là !
 
(Georges) Vous nous avez dit l’autre fois, qu’il fallait se poser la question nous-mêmes : qui suis-je ? Où vais-je ? Que fais-je ? Pourquoi suis-je là ?
Ces questions, j’imagine que tous mes amis ici se les sont posées, moi également. Mais comment obtient-on une réponse ?
-          En se posant moult fois la question !
 
(Georges) Bon !
-          Ca ne veut rien dire pour toi… pour l’instant….
Si tu re-écoutes la cassette… avec quelques phrases qui ont été données avant… la réponse est contenue mais une partie seulement.
La plus grande a été donnée en réponse à la question que tu viens de me poser. Mais ne crois pas que c’est un faux-fuyant… la réponse est là : Perçois-là ! Il faut que tu réécoutes 150 fois la cassette, peut-être, pour arriver à appréhender au fur et à mesure que ton esprit va s’élever.
La réponse est inscrite dans des mots qui te paraissent vides.
 
(Georges) Vous nous souhaitez que nous arrivions tous à une élévation !
-          Oui !
 
(Georges) Vous souhaitez que nous y parvenions tous !
-          Bien sûr !
 
(Georges) Mais tous en même temps ou presque ?
-          Peu importe !
 
(Georges) J’imagine que lorsque nous obtiendrons une certaine élévation, ça vous permettra à vous de faire appel à…
-          D’autres états vibratoires.
 
(Georges) Mais on ne peut pas atteindre cette élévation en même temps, c’est pratiquement impossible… Chacun…
-          Il y a quelques mètres de différence.
 
(Claudine) Ca pourrait être possible.
-          Vous êtes liés !
 
(Georges) Nous sommes liés mais nous travaillons chacun d’une manière différente, chacun…
-          Vous êtes liés…
 
 
(Désiré) Comme on est une chaîne, automatiquement, même si, il y en a un qui passe un peu avant, il entraîne.
-          Vous êtes autour de cette table liés.
 
(Georges) Mais, on ne se connaît pas par nos « moi intérieurs »…
-          Pourquoi mangez-vous ensemble ?
 
(Georges) Parce qu’on s’aime bien !
-          Je croyais que vous ne vous connaissiez point !
 
… rires….
 
(Guy) Moi, je pense qu’on mange ensemble parce que c’est une espèce de communion réciproque.
-          C’est donc déjà que vous vous connaissez.
 
(Georges) Oui, mais pas d’une manière interne, intime.
-          Qu’en sais-tu ?
 
(Georges) Et bien ! J’aimerais bien !
-          Cela viendra de même.
 
(Georges) c’est cette communion qui nous manque, c’est cette union !
-          Elle y est !
 
(Claudine) Elle y est mais après, il y a le travail de chacun.
-          Voilà…
 
(Georges) Alors, c’est pour cela, on est lié sans doute mais on a un travail propre à effectuer chacun.
-          Jusqu’aux propres limitations que tu peux y mettre.
 
(Georges) Les limitations, elles se mettent toutes seules.
-          Non !
 
(Georges) vous nous avez dit, il y a trente secondes, « il suffit d’aimer son prochain, ne pas critiquer »…! Bon !
Dès l’instant où on commence à critiquer, et bien ! Ça y est, la limitation vient toute seule ? Non ?
 
(Claudine) Ce n’est pas irréversible, si après on fait des efforts !
-          (à Georges) de qui parles-tu ?
 
(Georges) de moi, eh !
-          De ceux qui t’entourent ou t’amuses-tu de ce qui est autour de toi et en même temps de toi ?
 
(Désiré) la multitude ?
 
 
(Georges) Quelle multitude, moi, je parle de moi, la multitude, je m’en tape !
-          Tu me parlais tout à l’heure de l’amitié qui te lie autour… de ceux… des gens qui t’aiment et ainsi… de ceux qui t’entourent autour de cette table.
 
(Georges) Oui
-          Bon, où te places-tu ? parles-tu de toi ou parles-tu de vous ?
 
(Georges) Moi, je parle de ma propre personne !
-          Comment peux-tu parler d’amitié par rapport à toi-même ?
 
(Georges) Je veux parler d’union !
-          Comment peux-tu parler d’union tout seul ?
 
(Georges) Justement, je veux faire l’union avec moi-même « être Un » Je suis !
-          Commence à faire l’union avec ton frère !
Tu es beaucoup plus proche de lui que tu peux l’être de toi. Comment veux-tu faire l’union avec toi-même alors que tu ne l’as pas faite avec ton frère ?
 
(Georges) Oh ! Il y a du boulot alors !
-          Il n’y a point de travail ! C’est bien plus facile que tu ne le penses !
 
(Georges) Mon frère ! Ça veut dire tous les gens qui m’entourent !
-          Non !
 
(Georges) Et qui est mon frère ?
-          Il y a une unité dans toutes ces pensées ! tant que tu n’auras point fait le rapprochement de cette unité-là… de ce qu’elle peut représenter… de ce qu’elle comprend… tu ne pourras point effectuer un travail efficace.
Tu as fait une demande vibrante profonde… elle a été écoutée.
Il faut que tu fasses le premier pas de ce travail.
Je n’ai point envie d’aller au-delà de cette conversation. Point aujourd’hui. Chaque chose en son temps.
Les réponses sont venues… tu as ouvert le livre… tu as lu !
… alors Dédé, pas de question ?
 
(Désiré) J’en avais pas mal, c’est vrai mais vous m’avez donné pas mal de réponses. Il est vrai, je pense, qu’il y a un changement de comportement dans nos attitudes depuis que vous êtes venus.
-          Si peu, si peu…
 
(Georges) Non, ce n’est pas vrai. On en a parlé tout à l’heure… on sent qu’il y a quand même une sorte de changement qui est en train de se produire et on a l’impression qu’il va se passer quelque chose, depuis plusieurs semaines déjà.
J’ai l’impression d’attendre quelque chose.
-          Oui ! vous êtes en train de naître… et bientôt vous allez percevoir un renouveau. Aussi bien au milieu de vous-mêmes que dans votre vie sociale.
 
 
 
Simplement… parce qu’un changement commence à s’opérer… par rapport à un changement de pensée… par rapport à une ouverture d’esprit… une ouverture sociale.
Et cette rénovation sociale… cette renaissance… va enfin prendre une consistance beaucoup plus réelle pour vous qu’elle n’a été jusqu’à présent littéraire. Vous sentez que quelque chose va se passer !
Vous sentez que quelque chose va commencer à naître dans votre vie civile…! votre vie de tous les jours…
Simplement parce que vous avez accepté… il y a quelques temps seulement… qu’un renouveau puisse se faire en vous-même…
 
… coupure…
 
-          Votre appareil ne marche point !
 
(Georges) on a sauté beaucoup parce qu’il est arrêté depuis longtemps.
-          Je disais donc que l’humour serait votre meilleure arme pour arriver à la conscience.
 
(Georges) L’humour !
-          Oui ! je demande pour vous ce soir… ce que vous ne demandez pas assez. Je vais me substituer à vous en demandant à partir ce soir … un peu plus de présence dans la conscience… c’est-à-dire… un peu plus de rappel à tout ce qui vient d’être dit et tout ce qui sera dit.
Je demande en même temps… un meilleur état de santé et de forme pour la plupart d’entre vous…  donc… plus de constance physique qui vous permettra un peu plus de liberté sur le plan spirituel.
J’espère que je n’ai point trop demandé et que le Ciel m’accordera ce que pour vous j’ai posé sur cette table !
 
(Guy) Moi, j’ai une question à vous poser ; j’aimerais faire la connaissance d’un médecin pour qu’on puisse travailler ensemble. On en a connu un… on l’a perdu de vue malheureusement. Est-ce que vous pensez qu’il y en aura un ?
-          Oui ! mais il n’est pas médecin !
Donc, dans peu de temps… il y a déjà une personne… qui recule sa visite depuis quelques mois… qui va bientôt se présenter.
Il viendra… non point pour être soigné… non point pour faire soigner… mais par intérêt… pour poser des questions.
Vous le rencontrerez d’ici l’année prochaine. Ne soyez point pressés, il faut que chaque chose soit en son temps.
Pour répondre à un vœu que tu avais formulé il y a quelques temps, peux-tu me donner un objet qui t’appartienne ?
 
(Claudine) c’est à Georges que vous parlez ?
-          Qui regarde ?
 
(Georges) mmmm !
 
(Claudine) votre alliance, votre montre
-          non ! non !
 
(Claudine) Les clés dans votre poche !
-          Oui ! montre moi ce qui te sert le plus !
… non…
 
(Georges) La clé ?
-          Non ! ce qui te sert le plus c’est ceci. Pourquoi ?
 
(Georges) C’est un porte clés ça !
-          Oui !
 
(Georges) Ca ne sert pas plus que le reste, ça sert mais c’est moins utile !
-          Oui ! lorsque tu attrapes cela… que tiens-tu le plus dans ta main ?
 
(Georges) Euh ! Saint Christophe, l’autre côté !
-          Oui ! mais lorsque tu le cherches dans ta poche sur quoi t’arrêtes-tu ?
 
(Georges) Sur ça, ça gratte les doigts !
-          Alors, j’en fais le symbole aujourd’hui de ce qui va te faire travailler.
Lorsque tu toucheras cela… tu penseras à moi.
Mais cela sera dérangeant sur plus d’une fois... car, lorsque tu touches cet objet… tu es toujours pressé ! Tu seras obligé de devenir plus calme… plus patient… plus conscient !... L’acceptes-tu ?
 
(Georges) Oui ! Absolument !
-          Bon et puis, je vais te faire un autre cadeau.
Redonne moi ces clés ! Il ne faut point que les autres… autour de cette table… disent : - « il y a toujours quelque chose pour le même personnage ! »
 
Bien ! Ce St Christophe… lorsque vous aurez un problème, vous autres et non point celui à qui il appartient… lorsque vous aurez un problème… repensez à lui… et lorsque vous n’aurez point votre imagination assez grande… et bien ! Téléphonez à Georges !
Car lui… avec tout ce qu’il fait faire… sous demande… saura (et je vous le confirme… et je vous l’affirme) résoudre votre problème.
Cela devient donc… aujourd’hui… pour vous et vous seuls autour de cette table ainsi que ceux qui dorment à côté… votre intercesseur… L’acceptes-tu ?
 
(Georges) Oui ! bien sûr !
-          Mais ne douteras-tu point ?
 
(Georges) Il ne faut pas que je doute.
-          Bien
 
(Georges) Sinon tout sera foutu !
-          Donc… ce St Christophe… maintenant c’est toi ! cette clé sera ton contact. Comme elle l’est déjà pour ton véhicule.
 
 
Je vous laisse maintenant et je te laisse toute la responsabilité des quelques semaines qu’il y a devant toi.
 
Je reviendrai donc faire le bilan de ce que j’ai annoncé ce soir.
 
Tu réécouteras cette cassette… encore… qui te rendra bien des services mais… je vous conseille… à vous tous… d’en avoir au moins une copie ou un écrit car vous serez… après ce cher ami qui est là et à qui vous devrez demander… vous serez le suppléant qui viendra le remplacer à tour de rôle.
 
Ah… je n’ai pas indiqué qu’il pourra vous guérir… il y a déjà ce qu’il faut parmi vous… moins six personnes… j’ai dit que vous pourrez demander vos désirs.
 
 
 
 
 


[1] Qui intervient en faveur de quelqu’un.
[2] La main droite est le symbole du Père en chacun. Le moteur de toute action, de réalisation dans la droite ligne du don.
 
 



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